Si l’empire Disney règne sans partage sur le Box Office américain, il pulvérise même ses records en ce qui concerne les revenus liés au merchandising. La firme a ainsi touché en 2018 la somme astronomique de 54,7 milliards de dollars.

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Si la firme aux grandes oreilles est archi dominante du côté du Box Office, pour ne pas dire écrasante, l’empire Disney pulvérise aussi ses propres records du côté du merchandising avec toutes les licences dans son panier garni… Le magazine License global a calculé les revenus générés par le merchandising des licences des différentes Majors (entre autre), pour son classement annuel. En 2018, Disney a ainsi ramassé -tenez-vous bien- 54,7 milliards $ !  Une progression de 3,2% par rapport à 2017, où Disney récoltait 53 milliards $. Et là, on parle bien que du merchandising, donc les produits dérivés, pas ce que rapporte le Box Office !

Même si le chiffre de 2018 ne tient pas compte du rachat de la Twentieth Century Fox par Disney, pas encore totalement effectif, ca laisse quand même rêveur… A titre de comparaison, WarnerMedia arrive en 4e position “seulement”, avec 11 milliards $. The Pokémon Company International, pointe à la 23e place, avec un pactole de 2,98 milliards $. Le fabriquant de jouets US Mattel, qui s’apprête à lâcher prochainement dans les salles obscures son adaptation live de Barbie, pointe à la 32e place, avec 2 milliards $.

Jenson Button was dealt a lucky hand in qualifying this afternoon, but made the most of a Q3 session he initially didn’t even expect to be a part of.

At the end of the day however, the Brit put his McLaren in the top 5 thanks to some inspired riving in the tricky wet-to-dry conditions.

“I love those conditions, can we have those every race?,” exclaimed Button.

” It’s mega, it was an enjoyable session. I saved everything for the last lap, I took a lot of risk and luckily there was no yellow flags. It worked out, so I’ll take it when I can.”

Yet, he only scraped through to Q3 with a 0.006 edge over Haas’ Esteban Gutierrez after almost ending in the gravel trap.

“I thought it was all over, to be fair, in Q2. I locked up into Turn 3, and it was spitting in Turn 1 and Turn 2, but the rain certainly affected me into Turn 3. I ran wide and thought ‘oh no’.

“We just stayed in, and in Q3 we were quick on the wets and not bad on the dries either. Great to be starting from third, it’s a good position. I’m gonna enjoy this moment.”

“Amazing to start P3 tomorrow, it’s a bit of luck – I’ll take it, I don’t feel like we’ve had much this year. I’m chuffed to bits, actually.”

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Button  was at loss to really explain why he performed so remarkably, achieving his best qualifying results since the partnership between McLaren and Honda was renewed in 2014, but put it down to conditions and his natural ability perfectly lining up.

“There are conditions where I can’t get the best out of the car, and because of the driving style I have there are conditions where I can. Corner by corner, I feel the grip I have into the corner, rather than the memory from the last lap.”

While Button remains realistic about his chances of racing at the front tomorrow, he promises to race with his all his soul and give it his best.

“It’s going to be  a tough day as nobody really understands what the tyres are going to give us. Brits are first and third on the grid, I’m not sure we can hold it but we’ll give it ago.”

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Hospitals are considered to be places where there is complete cleanliness given the number of patients it caters on a daily basis. They need to have proper waste management mechanisms where all the biomedical waste is discarded in such a manner without affecting patients, general public and the environment. However, these rules are openly flouted at many hospitals. Keeping this in mind, the Delhi Pollution Control Committee (DPCC) has now cracked the whip on these erring hospitals in the national capital.

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DPCC has issued closure notices to 12 hospitals for not adhering to biomedical waste norms. The DPCC, in a statement, said it has so far identified 56 hospitals for violating the norms.Click Here: WORLD CUP Rugby Shop

Le coup d’envoi de la 12e édition du Festival du film francophone d’Angoulême a été donné hier soir. Pour cette édition, le film “Mon chien stupide” de Yvan Attal était projeté en ouverture.

C’est parti pour la 12e édition du Festival du film francophone ! Jusqu’au 25 août prochain, Angoulême va accueillir les plus grandes stars du cinéma français de Catherine Deneuve à Dany Boon en passant par Josiane Balasko et Claude Lelouch. Pour la première fois, le festival accueille le couple Charlotte Gainsbourg / Yvan Attal venus présenter leur nouveau film, Mon Chien stupide, en ouverture. Dans la lignée de Ma femme est une actrice et Ils finirent heureux et eurent beaucoup d’enfants, cette comédie dramatique dépeint les affres de la vie maritale et familiale. Entre pétages de plomb, fous rires et crises existentielles, le film a offert au public des scènes souvent surprenantes, voire délirantes, emmenées notamment par le propre fils du duo, Ben Attal pour la première fois à l’écran aux côtés de ses parents. Une fois encore, le public angoumoisin a répondu présent en comblant les onze salles dédiées, soit plus de 2000 spectateurs.

Le Festival du film francophone d’Angouleme démarre fort avec 11 salles pleines pour le film d’ouverture #MonChienStupide nouvelle réalisation d’Yvan Attal : un accueil chaleureux pour le cinéaste et son actrice Charlotte Gainsbourg #FFA2019 @cgainsbourg @STUDIOCANAL @FFAngouleme pic.twitter.com/u4pnLSiyuQ

— AlloCiné (@allocine) August 20, 2019

“J’ai entendu dire qu’Angoulême portait chance aux films français !”, a lancé Yvan Attal à son public conquis. Chaque année, à la fin de l’été, le festival s’impose comme l’événement incontournable de la rentrée culturelle, réunissant toute la profession et attirant surtout un public de plus en plus nombreux qui a accès à toutes les projections des films présentés, sans distinction.

Coup d’envoi ce soir du Festival du film francophone 2019 d’Angoulême. AlloCiné est présent pour vous faire vivre l’événement… et a même croisé un ex Président #ffa2019 @FFAngouleme pic.twitter.com/vNEtqVUjJR

— AlloCiné (@allocine) August 20, 2019

Outre les films présentés en avant première, dix films en compétition se disputeront les récompenses sous l’oeil de la présidente Jacqueline Bisset et de son jury Hugo Becker, Maripier Morin, Mehdi Nebbou, l’ancienne Ministre de la culture Françoise Nyssen, le réalisateur Louis-Julien Petit (Discount, Les Invisibles), le journaliste Laurent Weil, la réalisatrice et scénariste suisse Bettina Oberli, ainsi que l’actrice burkinabé Roukiata Ouedraogo. 

Au Festival du film francophone d’Angouleme, la compétition commence aujourd’hui. Louis Julien Petit, membre du jury attribue au festival la belle carrière de #LesInvisibles et #Discount tous deux passés par le @FFAngouleme #ffa2019 @LouisJulienP pic.twitter.com/8CNnOC6hS1

— AlloCiné (@allocine) August 21, 2019

Découvrez ci-dessous, la liste détaillée des films en compétition, avant-première, ouverture, clôture, ou retenus dans les sections thématiques. Le palmarès sera dévoilé dimanche soir.

La compétition

Adam de Maryam Touzani (France – Maroc – Belgique)

Camille de Boris Lojkine (France)

La Fille au bracelet de Stéphane Demoustier (France – Belgique)

Les Hirondelles de Kaboul de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec (Luxembourg – France – Suisse)

Lola vers la mer de Laurent Micheli (France – Belgique)

Papicha de Mounia Meddour (France – Algérie – Belgique – Qatar)

Tu mérites un amour de Hafsia Herzi (France)

Vivre à 100 milles à l’heure de Louis Bélanger (Québec)

Place des Victoires de Yoann Guillouzouic (France)

Au nom de la terre d’Edouard Bergeon (France)

Les avant-premières

Mon chien stupide d’Yvan Attal (film d’ouverture)

Deux moi de Cédric Klapisch

Le Dindon de Jalil Lespert

Donne-moi des ailes de Nicolas Vanier

Les Éblouis de Sarah Suco

L’Esprit de famille d’Éric Besnard

Fahim de Pierre-François Martin-Laval

La Fameuse Invasion des ours en Sicile de Lorenzo Mattotti

Fête de famille de Cédric Kahn 

Je ne rêve que de vous de Laurent Heynemann

Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part d’Arnaud Viard

Menteur d’Émile Gaudreault

Trois jours et une vie de Nicolas Boukhrief

Le Regard de Charles de Marc di Domenico (film de clôture)

Les flamboyants

Atlantique de Mati Diop (France – Sénégal – Belgique)

Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma (France) 

La Sainte Famille de Louis-Do de Lencquesaing (France)

Ciné et concerts

Notre Dame de Valérie Donzelli (France)

Je ne sais pas si c’est tout le monde de Vincent Delerm (France)

La vertu des impondérables de Claude Lelouch (France)

Les séances spéciales

La Vie scolaire de Grand Corps Malade et Mehdi Idir (France)

Les Bijoux de famille

Ma Vie en rose d’Alain Berliner (France – Belgique – Angleterre / 1997)
L’Emploi du temps de Laurent Cantet (France / 2001)
Sous le sable de François Ozon (Japon – France / 2001)
L’Apollonide : Souvenirs de la maison close de Bertrand Bonello (France / 2011)
La Fille de Brest d’Emmanuelle Bercot (France / 2016)
Jusqu’à la garde de Xavier Legrand (France / 2018)
Duelles d’Olivier Masset-Depasse (Belgique – France / 2019)

Coups de coeur

Et si New York s’appelait Angoulême de Marie-France Brière

Fourmi de Julien Rappeneau

Vif-argent de Stéphane Batut

Premiers rendez-vous

K Contraire de Sarah Marx 

Frères d’arme de Sylvain Labrosse

Long time no see de Pierre Filmon

La Dernière Vie de Simon de Léo Karmann 

Master class

Nabil Ayouch, animée par Patrick Fabre (Mercredi 21 août) 
Claude Lelouch, animée par Patrick Fabre (Jeudi 22 août)
La société de distribution et production Haut et Court, animée par Patrick Fabre (Vendredi 23 août)
Jacqueline Bisset, animée par Samuel Blumenfeld (Samedi 24 août)

Très riche en films et événéments, le festival propose également des Séances en plein air de La Chute de l’empire américain de Denys Arcand (en présence d’une partie de l’équipe) et Jusqu’à la garde de Xavier Legrand (en présence du réalisateur et de Denis Ménochet). Mais aussi un hommage à Michel Deville, un hommage au cinéma luxembourgeois, un focus dédié au cinéaste Nabil Ayouch avec la projection de Mektoub (1999), Ali Zaoua, Prince de la rue (2001), My Land (2012), Les Chevaux de Dieu (2013), Much Loved (2015) et Razzia (2018). Sans oublier la présentation en avant-première du nouveau documentaire de Julie Gayet dédié aux cinéastes.  Mentionnons également la séance au tribunal (Rendre la justice de Robert Salis), la projection de la trilogie québécoise de Ricardo Trogi (1981 – 1987 – 1991), une sélection de courts métrages de la région Nouvelle-Aquitaine, les courts métrages des Talents Adami Cannes 2019 et 10 courts métrages d’animation en compétition.

Notons parmi les nouveautés de cette édition l’organisation de conférences de presse pour tous les films en compétition. Par ailleurs, L’Ecole Buissonnière est un dispositif nouveau qui s’adresse au jeune public et qui met en avant 5 films de la sélection 2019. Un pass (non nominatif) est proposé au prix de 10 euros pour 5 entrées, destiné aux enfants et adolescents (jusqu’à 15 ans inclus) 

>>> Le Festival du film francophone d’Angoulême 2019 se tiendra du 20 au 25 août 2019.

En savoir plus…

Découvrez la bande-annonce de La Vie Scolaire projeté en séance géante à l’Espace Carat :

La Vie scolaire Teaser VF

Max Verstappen has been handed his first reprimand of the season for impeding Valtteri Bottas during FP1 at the Canadian Grand Prix.

Bottas was approaching the final chicane at full speed but found Verstappen going slowly in the middle of the two corners. As a result, the Williams had to take evasive action and ran straight on in order to avoid a collision.

With both Bottas and Verstappen summoned to the stewards following the incident in order to explain their actions, Verstappen was then handed a reprimand after FP1.

“The driver slowed unnecessarily in front of car 77 [Bottas],” the stewards decision read.

Verstappen’s reprimand is his first of the season. If a driver receives three reprimands in a season they will be handed an automatic ten place grid penalty.

LIVE: Canadian Grand Prix FP2

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Romain Grosjean column: Racing on two wheels

Chris Medland’s 2016 Canadian Grand Prix preview

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