It is hard to recognise the place which was once known as Mughalsarai Railway Station in Uttar Pradesh. With new signboards bearing the new name, the all decked-up saffron colour building stands in stark contrast from what it was earlier. Read more
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1) Blue Bottle Jellyfish Spotted At Mumbai Beaches, Several People Suffer Injuries
Après de multiples rebondissements, la saga “Narnia” s’apprête à renaître enfin de ses cendres sous l’impulsion de Joe Johnston, le réalisateur de “Captain America : First Avenger”.
Adaptée au cinéma pour la première fois en 2005 avec Le Monde de Narnia : Chapitre 1 – Le lion, la sorcière blanche et l’armoire magique, l’oeuvre de C.S. Lewis a ensuite été transposée sur grand écran à deux reprises en 2008 et en 2010. Depuis, plus rien. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé : dès 2013, la rumeur persistante d’un reboot se fait entendre. Le producteur Mark Gordon avait affirmé en janvier 2016 vouloir lancer “une toute nouvelle franchise” à partir du Fauteuil d’Argent, le sixième des sept romans de la saga fantasy.
Variety annonce aujourd’hui que le projet est relancé puisque Joe Johnston devrait être aux commandes du film. On lui doit le premier Captain America, Jumanji ou encore Jurassic Park III. Marc Gordon salue ce choix : “Joe est un formidable conteur d’histoires qui est aussi à l’aise sur des grosses franchises que dans des oeuvres plus intimes.” Passée entre les mains de Disney puis de la Fox, Narnia appartient désormais à TriStar Pictures.
Le Monde de Narnia : que sont devenus les héros de la saga ?
Côté scénario, c’est David Magee (L’Odyssée de Pi, Mary Poppins Returns) qui est en charge de l’adaptation. Le Monde de Narnia : Le Fauteuil d’Argent devrait introduire un nouveau casting, y compris pour les personnages phares des précédents films. Peu de chances donc de retrouver Liam Neeson, qui double le lion Aslan, ou Ben Barnes. L’histoire sera centrée sur Eustace Scrubb, cousin des enfants Pevensie.
Traduite dans 50 langues et vendue à plus de 100 millions d’exemplaires dans le monde, Le Monde de Narnia est l’une des plus grandes sagas littéraires pour la jeunesse. Ses trois adaptations ont, quant elles, rapporté 1,6 milliards de dollars de recettes. Un succès relatif au vu des résultats du troisième opus, L’Odyssée du Passeur d’Aurore, qui n’avait engrangé que 104 millions de dollars sur le territoire américain.
Revoir la bande-annonce du dernier épisode, L’Odyssée du Passeur d’Aurore :
Le Monde de Narnia : L'Odyssée du Passeur d'aurore Bande-annonce VO
« La mort de Johnny, c’est la fin d’une époque. » Mathilde Seigner faisait ce constat lors de l’hommage populaire rendu à Johnny Hallyday le 9 décembre 2017. Presque deux après, elle révèle avoir toujours du mal à réaliser que le rockeur est vraiment décédé.
Plus d’un an et demi après sa disparition et alors que la guerre qui fait rage autour de son héritage n’est pas encore terminée, certains ont toujours du mal à laisser définitivement Johnny Hallyday s’envoler. C’est notamment le cas de l’actrice Mathilde Seigner. « J’ai mis beaucoup de temps – ça dure encore aujourd’hui – à comprendre qu’il est mort. C’est très bizarre car il était comme immortel. La mort de Johnny était encore un peu abstraite pour moi », raconte dans une interview accordée ce vendredi 16 août à Télé Star celle qui confie l’écouter encore souvent « parce qu’elle l’adore ».
Une admiration qui était réciproque. Les deux artistes étaient devenus amis après le tournage d’un film qui n’est jamais sorti où ils jouaient ensemble. Un homme aussi les a rapprochés, l’imitateur Laurent Gerra, dont la comédienne a un temps partagé la vie et qui était lui-même très proche de Johnny.« On s’aimait. Je l’aimais beaucoup, un peu comme sa petite soeur… En fait j’étais assez franche avec lui. Je l’énervais vachement. Comme toutes les grandes stars, les mythes, on n’osait pas tout lui dire. Il avait comme ça une espèce de cour autour de lui qui parfois m’exaspérait. Mais lui savait tout à fait… Johnny n’en avait pas l’air, mais il sentait tout, il voyait tout», avait expliqué dans 50 minutes inside sur TF1 l’actrice qui n’a pas la langue dans sa poche.
Des propos qui n’ont pas dû plaire à Laeticia Hallyday, mais un caractère bien trempé qui avait séduit Johnny. Ils n’avaient besoin de beaucoup se parler, mais ils se comprenaient. « Il n’y avait pas forcément de grandes conversations sur le gouvernement, la politique. On se disait parfois très peu de choses… Mais voilà », confiait-elle en mai dernier. Une amitié rare dans le métier sur laquelle il va bien falloir se résoudre à tirer un trait, même s’il est impossible pour Mathilde Seigner d’oublier Johnny Hallyday.
Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? La Rédaction d’AlloCiné vous indique les films et séries à voir à la télé. Au programme : un polar avec Delon et Bourvil, un thriller glacial des frères Coen et un drame historique d’Akira Kurosawa.
« Permis de mater »
Le Cercle Rouge de Jean-Pierre Melville avec Alain Delon, Bourvil (Paris Première, 20h50) : “Le all stars movie de Melville ! Son polar le plus ambitieux également, référence incontournable pour bon nombre de réalisateurs hong-kongais tels que John Woo et Johnnie To. Un film âpre, froid, parfois rigide mais rendu culte par les rôles à contre-emploi de Bourvil, en commissaire tenace et méthodique, et Montand en as de la gâchette porté sur la bouteille.” Guillaume Martin
Fargo Bande-annonce VO
Fargo de Joel et Ethan Coen avec William H. Macy, Frances McDormand (TCM Cinéma, 20h45) : “Quelle claque ! Assurément l’un des meilleurs films des frères Coen, qui brille par son humour noir et son intrigue loufoque. Les personnages, pris dans une spirale de violence qu’ils ne maîtrisent pas, sont parfaitement interprétés.” Laurent Schenck
Ran Bande-annonce VO
Ran d’Akira Kurosawa avec Tatsuya Nakadai, Nezu Jinpachi (Action, 20h50) : “Choc visuel et narratif, Ran est dans la continuité de Kagemusha une oeuvre crépusculaire dans la filmographie d’Akira Kurosawa, dont l’inventivité visuelle et le sens de la mise en scène l’impose sans aucune discussion possible parmi les plus grands cinéastes de tous les temps.” Clément Cusseau
« Permis de parler »
Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?
Qu’allez-vous regarder ce mardi 16 mai ?
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Alors que Jair Bolsonaro a créé la polémique en se moquant du physique de Brigitte Macron sur Facebook – déclenchant notamment des réactions affligées d’intellectuels brésiliens -, la victime collatérale de cette sortie n’est autre que sa femme, Michelle Bolsonaro, 37 ans, comparée à Brigitte et qui n’avait rien demandé à personne. Mais qui est la Première dame brésilienne ?
Parce qu’un internaute a eu l’idée plus que douteuse de publier sur la page Facebook du président brésilien un photomontage du couple Macron et du couple Bolsonaro avec la légende : “Vous comprenez maintenant pourquoi Macron s’en prend à Bolsonaro ?” ; parce que Jair Bolsonaro eu la bêtise d’y répondre d’un très irrespectueux et surréaliste : “Ne l’humilie pas, mec… lol” ; la femme du chef d’Etat brésilien se retrouve malgré elle au cœur de la polémique, alors qu’elle n’avait rien demandé à personne. Coup de projecteur sur Michelle Bolsonaro.
Née le 22 mars 1982 à Brasilia, Michelle – née Reinaldo – a grandi dans la capitale brésilienne où elle a suivi des études dans l’administration. Jeune femme aussi discrète que croyante (c’est une évangéliste invétérée, très pratiquante), Michelle décroche après sa formation un poste à la Chambre des députés. C’est là-bas, en 2007, qu’elle rencontre son futur mari, Jair Bolsonaro, de qui elle devient la secrétaire particulière. Le couple entretient une relation amoureuse et se marie rapidement, provoquant la démission de Michelle qui ne peut alors plus exercer son emploi en raison de la législation anti-népotisme.
Déjà maman une première fois (elle a une fille de 16 ans) avant de rencontrer celui qui allait devenir président du Brésil, Michelle, 37 ans (soit 27 ans de moins que son mari), a aussi donné une fille à Bolsonaro, Laura, née en 2011, que son décidément gouja et sexiste de mari a expliqué avoir conçue lors d’un moment de “faiblesse”, lui, qui est déjà papa de quatre garçons issus de deux mariages précédents.
Jair Bolsonaro et sa femme Michelle, à Brasilia, le 8 mars 2019. – Abaca
Avant que son avantageux physique soit comparé à celui de notre ravissante Première dame, Michelle (et son beau-fils Flavio Bolsonaro) avait déjà été sous le feu des projecteurs dans la fameuse affaire Queiroz, une sombre histoire de détournements de fonds à Rio qui a explosé au début de l’année, et dans laquelle elle aurait perçu de l’argent sale. Mais les accusations n’ont pas été plus loin, et c’est en militante engagée, généreuse et aux goûts simples, que la jeune femme se voit dans son costume de Première dame.
Aujourd’hui, elle consacre le principal de son temps à l’aide aux personnes handicapées, et a été jusqu’à apprendre la langue des signes. Mais sa lutte va au-delà, puisqu’elle tient à s’impliquer dans “toutes les causes sociales possibles”, comme elle l’avait déclaré à la veille de l’élection de son mari (en octobre 2018), dans une de ses très rares prises de paroles.
Une douceur et une personnalité qui contrastent sérieusement avec la rigidité et la fermeté toute militaire de son président d’extrême droite de mari ; même si elle disait de lui, toute passionnée, dans une vidéo de campagne en 2018 : “Jair est humain, il se préoccupe des gens, c’est un être merveilleux.”
Comme il l’a donc récemment prouvé sur Facebook en s’en prenant bassement au couple Macron…
Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? La Rédaction d’AlloCiné vous indique les films et séries à voir à la télé. Au programme : Adjani et Souchon chez Jean Becker, un biopic sur le leader des Beach Boys et les retrouvailles de Kate et Leo.
« Permis de mater »
L’Eté meurtrier de Jean Becker avec Isabelle Adjani, Alain Souchon (Chérie 25, 20h55) : “Pourquoi revoir “L’Eté meurtrier” ? Pour vous rappeler que Jean Becker n’a pas toujours été un réalisateur de films gentils et humanistes, mais aussi pour redécouvrir Isabelle Adjani, incroyable de sensualité et de fragilité.” Vincent Garnier
Love & Mercy, la véritable histoire de Brian Wilson des Beach Boys Bande-annonce VO
Love & Mercy de Bill Pohlad avec Paul Dano, John Cusack (OCS City, 20h40) : “Brian Wilson est un nom qui ne doit pas dire grand chose à la génération d’aujourd’hui, pourtant il est l’une des voix (avec celles, entre autres, de John Lennon et Mick Jagger) qui ont bercé les années 60-70. Le leader du mythique groupe californien, les Beach Boys, génie incompris, auteur de l’un des meilleurs albums de tous les temps, Pet Sounds, apparaît ici sous les traits de Paul Dano et John Cusack, tous les deux bluffants et parfaitement en accord pour incarner toute la complexité de ce personnage au destin singulier. Un biopic original qui ne se contente pas d’un récit chronologique linéaire mais se concentre sur deux périodes décisives de la vie du chanteur.” Caroline Langlois
Les Noces rebelles Bande-annonce VO
Les Noces rebelles de Sam Mendes avec Kate Winslet, Leonardo DiCaprio (Ciné + Emotion, 20h45) : “Sam Mendes rassemble le couple phare Titanic pour ce film dramatique et émotionnellement très fort, le portrait d’un couple au bord du précipice qui permet à Kate Winslet et Leonardo DiCaprio de trouver des rôles à la mesure de leur talent. Un vrai chef d’oeuvre !” Clément Cusseau
« Permis de parler »
Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?
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Click:affordable forged wheels Mika quitte l’émission The Voice, après y avoir passé six saisons. Dans les colonnes du Parisien, le chanteur revient sur son départ. Comme souvent, il positive et préfère retenir ce qu’il a apporté au programme.
C’est un tout nouveau jury que découvriront les téléspectateurs de The Voice début 2020. Il sera désormais composé de deux femmes, Amel Bent et Lara Fabian et deux hommes, Marc Lavoine et Pascal Obispo. Dans les colonnes du Parisien, Mika, qui s’apprête à dévoiler son cinquième album intitulé My name is Michael Holbrook, est revenu sur son départ de l’émission, devenue un véritable rendez-vous sur la première chaîne.
Pour lui, continuer à être juré dans The Voice et faire de la musique « était impossible ». Il s’explique : « D’abord, je suis en promotion non-stop pour le disque, puis j’ai la tournée qui démarre dans les prochains jours aux Etats-Unis, puis je reviens en Europe jusqu’au 22 décembre, repars aux Etats-Unis en janvier et février, et ensuite c’est l’Asie, l’Amérique du Sud puis l’Europe pour les festivals l’été prochain… Impossible! », confie-t-il.
S’il préfère aujourd’hui quitter le programme, Mika assure qu’il était à l’aise dans son rôle de coach et dans ce fauteuil rouge qu’il a occupé six ans durant. « J’ai adoré chaque moment (…) J’ai pu entrer dans le salon des gens et décrire qui je suis, à travers la musique. Et pour n’importe que l’artiste, c’est un privilège rare. J’ai senti un regard différent des gens avant et après », constate-t-il.
Dans The Voice, le compagnon d’Andy est toujours resté lui-même. Et s’il devait retenir un bon souvenir de ces six ans passés dans le télé-crochet – en dehors des rencontres qu’il a faites – c’est le fait d’avoir apporté sa touche personnelle. « C’est toujours un challenge de mettre sur TF1 une petite touche de chansons, un peu plus « spé », un peu plus hard, trouver une interprétation hors de la norme, parler sans filtre. Et pour cela, j’ai été protégé on m’a laissé parler et agir comme je le voulais », tient-il à préciser.
Si pour l’heure, il ne préfère pas se prononcer sur le choix des nouveaux coachs, nul doute que Mika manquera aux fidèles téléspectateurs de The Voice. Mais que ses fans se rassurent, pour lui, ce n’est “qu’un au revoir”…
En révélant avoir eu recours à la chirurgie esthétique, Sarah Ferguson a brisé le silence au sein de la famille royale britannique. Car malgré les suspicions, le secret reste bien gardé auprès des autres membres.
Sarah Ferguson va célébrer ses 60 ans ce mardi 15 octobre. Alors que le recours à la chirurgie esthétique reste tabou, l’ancienne duchesse d’York a brisé le silence dans un entretien du Daily Mail. Peu avant le mariage de sa fille Eugénie, Sarah Ferguson a avoué avoir eu “un traitement au laser sur le visage, ce qui m’avait aussi aidé. J’ai eu beaucoup d’aide pour ressembler à ça”.
Fidèle au Dr Gabriela Mercik, experte en lifting dans sa clinique de Harley Street, Sarah Ferguson a également usé du Botox et eu recours à la mésothérapie pour repulper la peau, puis utilisé des produits de comblement organiques pour atténuer les rides et eu un lifting non chirurgical. Mais la membre de la famille royale semble être la seule à reconnaître d’être cliente d’une clinique de chirurgie esthétique.
Alors que Kate Middleton ne semble pas bouger au fil des années, un chirurgien esthétique britannique a récemment avancé que la duchesse de Cambridge a eu recours à des injections de Botox pour atténuer des rides sur son front. Mais cette rumeur a été rapidement démentie par le palais de Kensington : “ces rumeurs étaient catégoriquement fausses”.
Ces suspicions ne datent pourtant pas d’hier. En octobre 2017, lorsque des pirates informatiques menacent de révéler les noms des clients de la London Bridge Plastic Surgery, clinique de chirurgie esthétique réputée, ils indiquent que des membres de la famille royale figurent parmi la liste. Le nom de Kate Middleton avait alors circulé dans les médias. Cible des rumeurs, la duchesse de Sussex a pourtant un autre secret pour garder sa fraicheur, et tient cela de sa mère.
Kennedy Center honoree Linda Ronstadt let Secretary of State Michael R. Pompeo know that she thinks he’s no good during a headline-making callout at a reception over the weekend.
The tense confrontation came shortly after Pompeo, who was hosting Saturday’s State Department reception ahead of Sunday’s Kennedy Center Honors ceremony, quoted the genre-hopping musician’s 1975 hit version of “When Will I Be Loved” as he congratulated her for a lifetime achievement in the arts.
“Ms. Ronstadt,” the top diplomat reportedly said, “thank you and congratulations…. As I travel the world, I wonder: When will I be loved?”
He may have meant it as flattery, even a rhetorical question, but Ronstadt certainly didn’t take it that way. She made that clear later in the evening when it was her turn on the microphone.
“I’d like to say to Mr. Pompeo, who wonders when he’ll be loved, it’s when he stops enabling Donald Trump,” the 73-year-old said, according to Variety and CNN. Ronstadt, who gets around in a wheelchair due to Parkinson’s disease, made the statement a few feet away from the host’s table in front of about 200 people.
It was a bold move from the longtime liberal activist, who put Pompeo on blast on his own turf. Since the event was hosted by the government, the room was politically split, unlike other high-profile Hollywood diatribes issued by Meryl Streep at the 2017 Golden Globe Awards or Robert De Niro at the 2018 Tony Awards.
Trump and First Lady Melania Trump skipped the gala on Sunday, which honored Ronstadt, actress Sally Field, disco-funk band Earth Wind and Fire, conductor Michael Tilson Thomas and beloved children’s TV show “Sesame Street.”