Month: December 2019

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The Madhya Pradesh Protection for Child Rights Commission on Thursday initiated an inquiry into the reported abandonment of a 13-year-old girl adopted from Bhopal by a Spanish couple earlier this year.

Sources say the couple has written to Central Adoption Resource Agency (CARA) that they were misled on the child’s age and she is 13-and-a-half years old, not seven as her papers said at the time of adoption. The teenager is now in a protection home in Spain, awaiting rescue by the women and child development ministry.

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The Spanish couple had adopted the child from special adoption agency Udaan in Bhopal on January 1, 2018.

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Actuellement à l’affiche de “Mon poussin”, Thomas Solivérès se dévoile un peu plus sous les traits de Spirou, grâce aux nouvelles photos de l’adaptation de la célèbre bande-dessinées de ses aventures publiées par “Le Figaro Magazine”.

1. Spirou (Thomas Solivérès) et Spip
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© Le Figaro / Sony Pictures

Depuis le 28 juin, il doit faire face aux méthodes parfois brutales de parents pourtant bien intentionnés, joués par Pierre-François Martin-Laval et Isabelle Nanty, dans Mon poussin. Et le 21 février prochain, c’est un tout autre défi qui attend Thomas Solivérès : être le premier acteur à incarner Spirou sur grand écran, dans l’adaptation signée Alexandre Coffre (Le Père Noël). Un long métrage qui se dévoile un peu plus aujourd’hui grâce aux photos publiées par Le Figaro Magazine.

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Quand Ramzy se rase le crâne et devient Zorglub en images :

Les Aventures de Spirou et Fantasio BONUS "Ramzy devient Zorglub"

Egalement emmené par Alex Lutz et Géraldine Nakache, Les Aventures de Spirou et Fantasio entraînera les deux héros, alors qu’ils ne sont pas encore amis, en Europe et en Afrique pour sauver le célèbre et farfelu Comte de Champignac, incarné par Christian Clavier. Lequel, après Astérix, L’Enquête corse et Les Profs, et en attendant Cédric, ajoute une adaptation de bande-dessinée supplémentaire dans une filmographie déjà bien riche en la matière. Reste maintenant à la découvrir en action, avec ses camarades, dans une bande-annonce.

Mais vous pouvez avoir un aperçu du film grâce à notre reportage sur le tournage :

Les Aventures de Spirou et Fantasio "Visite du tournage"

Les Macron et les Chirac n’auront eu que peu de temps pour faire connaissance et nouer des liens solides. Pourtant, dès la première rencontre, le courant est immédiatement passé entre les deux couples.

C’est Claude Chirac elle-même qui a joint Emmanuel Macron par téléphone jeudi matin pour lui annoncer la nouvelle. A 86 ans, son père Jacques Chirac venait de mourir. Annulant tous ses engagements, le président de la République a consacré la journée d’hier à préparer son discours mais aussi à organiser les différentes cérémonies à venir. Dans son allocation télévisée, Emmanuel Macron a rendu un vibrant hommage à son prédécesseur : Il était un homme d’Etat que nous aimions autant qu’il nous aimait“.

Click Here: pandora BraceletsQuelles relations entretenaient les deux hommes ?

Emmanuel Macron, plus jeune président de l’histoire de la république élu à seulement 39 ans, et Jacques Chirac, vieux lion de la politique retiré de la vie publique depuis plusieurs années. Les Macron et les Chirac se rencontrent pour la première fois en juillet 2017 au domicile des Chirac dans le 6ème arrondissement, quelques semaines après l’élection du nouveau président. Selon le Parisien, Jacques Chirac aurait été touché par la démarche de son successeur et lui aurait offert un portrait de Charles de Gaulle. Un cadeau très personnel puisque le petit tableau a accompagné Jacques Chirac durant toute sa carrière, de la Mairie de Paris à l’Elysée.

« Chirac y tenait beaucoup. C’est le président Pompidou qui le lui avait donné. Ce geste symbolisait la transmission républicaine » confiait il y a quelques mois Claude Chirac à nos confrères. Ultime hommage rendu à l’ancien président, lors de son discours hier soir, le seul objet que l’on devinait sur le bureau d’Emmanuel Macron était justement ce petit portrait. Ce rendez-vous entre les deux hommes aurait dépassé le simple passage obligé. Lors de leur rencontre, il s’est passé quelque chose” confirmait un ami du président au Parisien. Mais il n’y a pas qu’entre les deux présidents que le courant est bien passé. Leurs épouses se découvrent également des points communs et déjeunent ensemble à l’Elysée quelques semaines plus tard. En juin dernier, déjà très affaiblie, Bernadette Chirac démissionnait de la Fondation des hôpitaux de Paris et demandait à Brigitte Macron de lui succéder. Un passage de témoin symbolique.

Hier soir peu après 21 heures, Emmanuel Macron et son épouse se sont rendus au domicile des Chirac pour se recueillir devant la dépouille du président. Selon la volonté de Claude Chirac, ils ont été les seuls à avoir ce privilège.

Crédits photos : DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE

10 ans après la sortie de “Dikkenek” son réalisateur, Olivier van Hoofstadt, nous a accordé un entretien revenant sur ce film devenu culte aujourd’hui. Comment un projet aussi déjanté a-t-il vu le jour ? Une suite est-elle envisagée ? Rencontre.

A l’occasion de la diffusion de Dikkenek ce soir sur NT1, nous vous proposons de découvrir un entretien inédit avec son réalisateur, Olivier van Hoofstadt. Sorti en 2006, en pleine Coupe du monde, cette comédie belge portée par un impressionnant casting (François Damiens, Marion Cotillard, Florence Foresti, Mélanie Laurent, Jérémie Rénier…) est désormais régulièrement rediffusée à la télévision avec succès…

AlloCiné : Dikkenek est incontestablement un film devenu culte. On vous en parle encore beaucoup aujourd’hui ?

Olivier van Hoofstadt, réalisateur et coscénariste : Souvent oui. Ca fait plaisir que les gens aiment bien. C’est dommage que pour faire des films un peu singuliers, ça soit aussi compliqué. Mais sinon, ça me fait plaisir quand on me parle du film. Il passe beaucoup à la télé.

Ce film singulier en particulier a été compliqué à monter ?

7 ans pour trouver les financements, le réaliser… De la feuille blanche à la sortie.

Personne ne voulait faire Dikkenek

Pourquoi est-ce que ça été aussi long ?

Personne ne voulait le faire.

C’était le cas des acteurs aussi ?

Si, toujours. J’adore les comédiens. On écrit un autre [film] et si vous entendiez le casting, vous tomberiez de votre chaise ! Mais c’est compliqué car c’est hors du commun, c’est plus décalé, c’est plus violent.

Il y a des remix de Dikkenek avec Pretty Woman…

Comment percevez-vous justement que l’on s’approprie votre œuvre ? C’est plutôt flatteur ?

Je trouve ça gai qu’il y ait des gens qui s’amusent. Il y a des gosses qui ont refait le film sur Internet. Il y a des morceaux de musique avec des dialogues du film. C’est gai d’entendre des gamins répéter ton film.

Le point de départ d’inspiration de Dikkenek, c’était quoi ?

Mon enfance. J’ai cherché dans toutes les conneries que j’ai faites quand j’étais jeune, des personnages qu’on a croisé à la campagne parce qu’on habitait souvent à la campagne. Claudy Focan, le mec il existait vraiment dans le village où on habitait quand on était petit. Tous ces gars qui ont des vies complètement décalées… Pendant un an et demi, j’ai réfléchi à tout ça. On ne parle que de ce qu’on connaît bien.

Et comment le film a été perçu par les gens dont vous vous êtes inspiré ?

Ils ne savent pas, ils ne savent pas ! J’aime bien mettre des prénoms de gens que je connais, et puis ça les fait rire quand ils regardent le film ! Ils ne s’y attendent pas, ils ne savent pas au départ.

Est-ce qu’il y a une scène ou un personnage dont on vous parle plus ?

Claudy Focan. Il faut dire que je le connais bien le personnage. Il est habillé par mon père, par son père. C’est vraiment un mélange de nous.

Le film est culte aujourd’hui mais parfois on a des surprises quand on s’intéresse au succès en salles d’un film devenu populaire avec ses passages télé… Ces films ne font pas forcément beaucoup d’entrées en salles. Est-ce que c’était le cas de celui-là ?

Oui, carrément. Il n’est peut être pas sorti au bon moment. Il est sorti en pleine Coupe du monde où la France était en finale contre l’Italie, au début de l’été [2006]. 130 000 personnes en France. Donc ça n’a pas marché, mais c’est après. Le bouche à oreille avec la VOD, Canal+…

Et en Belgique, ça a bien marché ?

Ca a fait aussi plus ou moins 100 000 entrées. Ce qui est pas mal pour une comédie belge. C’était un film très gai à faire. On s’est bien marrés.

Et c’est un casting complètement fou. Quand on voit la carrière de Marion Cotillard, par exemple, aujourd’hui, et qu’on sait qu’elle a joué dans un film comme celui-là…

Surtout elle était dans mon premier court métrage, elle avait 15 ans.

Comment l’avez-vous connue ?

Elle tournait dans un téléfilm en Belgique avec Anna Karina [Chloé de Dennis Berry, Ndlr.]. J’ai un ami qui m’a dit : ‘Il faut que je te présente Marion. C’est une jeune comédienne. Elle va réussir, tu verras…’ J’étais à Liège, on a vu Marion. On a fait ce court métrage qui s’appelle Snuff Movie.

Il y a également Jérémie Rénier qu’on associe plutôt au cinéma des frères Dardenne et à des films plus « sérieux ». Comment vous sont venues toutes ces idées de casting et de contre-emploi ?

Quand on écrivait, on essayait de réfléchir à des gens avec qui on aimerait travailler, de justement prendre des gens à contre-emploi. Jérémie, ça lui a plu de tourner une comédie. François Damiens commençait à faire des caméras cachées en Belgique et quand j’ai vu ça, je me suis dit : il nous faut ce gars là. François est très très doué, c’est un plaisir de travailler avec lui.

Est-ce que tout était très écrit ? Par exemple les répliques de François Damiens justement ?

En fait, il y a énormément de préparation. Il y a beaucoup de répétitions. 90% était écrit. Après, ce que j’avais dit à François, un mois avant le tournage, c’était qu’on allait arrêter de répéter, arrêter de trouver des blagues, et comme ça quand on fait ensuite des prises et qu’elles sont bonnes, tu peux garder de l’improvisation, trouver d’autres choses…

Il n’y a eu aucune censure

Est-ce que la version qui est sortie au cinéma est une version censurée ?

Ah non, là franchement, il n’y a eu aucune censure. Luc Besson [producteur de Dikkenek] m’avait vraiment donné carte blanche. Ils ont juste oublié une feinte de Florence Foresti dans la copie 35 pour les salles, mais qui est sur le DVD.

Luc Besson justement, comment est-il arrivé sur ce projet ?

En fait, mon premier court métrage, c’était Snuff Movie avec Marion Cotillard. Puis, j’ai fait Parabellum et Keo avec José Garcia. La femme de José Garcia, Isabelle Doval, a fait Rire et châtiment [produit par EuropaCorp, la société de Luc Besson]. Je pense qu’un jour José Garcia a dû déjeuner avec Luc Besson qui avait vu Parabellum sur Canal+ ou ailleurs. Il lui a demandé comment j’arrivais à faire un court métrage de 33 minutes en scope avec des poursuites d’hélicoptère, des fusillades, 4000 figurants… José lui a expliqué comment j’avais procédé, avec beaucoup de débrouille, des sponsors… J’ai toujours fait un peu comme ça.

Luc m’a appelé en me demandant si j’avais un projet et j’avais justement Dikkenek. Tout était déjà story-boardé et tous les décors étaient pris en photo. On s’est rencontrés. Il a lu le scénario et m’a dit qu’il allait financer le film avec son propre argent et c’est comme ça qu’on l’a fait.

Avant lui, vous aviez eu beaucoup de refus parce que le film était trop…

Les gens ont la trouille, alors que c’est juste pour faire rigoler. Mais c’est comme Steve [projet sur lequel il travaille actuellement, Ndlr.] : il y a Anglade, Berléand, Foresti, Natacha Régnier, Jérémie Rénier, Pauline Etienne, Corinne Masiero, Lubna Azabal, Paul Bartel, Karim Leklou, Alice Belaidi, Chloé Jouannet… C’est une comédie, il n’y a rien de violent.

C’est un projet donc pour lequel le scénario est prêt, un casting… Et maintenant vous attendez que quelqu’un ait le courage de le financer ?

Il y a des gens qui l’ont lu, qui aiment bien. Entre temps, on a aussi écrit un film qui s’appelle Uca qu’on a vendu pour 7 tomes de BD, qu’on va essayer de développer.

Quand on voit le côté culte de Dikkenek, on pourrait se dire que ça ouvre des portes ?

Mais c’est justement ça le problème : c’est que généralement un film culte ne marche pas au cinéma.

Il n’y aura jamais un Dikkenek 2

Y aura-t-il un Dikkenek 2 ?

Jamais. Déjà parce qu’un casting comme celui-là, c’est impayable.

Parce qu’à l’époque, il n’avait pas coûté cher ?

Non, ça avait coûté 2,5 millions d’euros en tout. De toute façon, on n’aurait pas eu plus d’argent, donc il fallait le faire comme ça. On ne peut pas avoir beaucoup d’argent pour faire des films aussi décalés que celui-là. Mais les acteurs, ce n’est pas un soucis.

Alors pourquoi jamais ?

Jamais parce que je trouve qu’on a fait le tour avec ces personnages et j’ai envie de m’amuser avec d’autres personnages, d’autres histoires. Et s’il y avait de quoi monter un peu plus dans Dikkenek, si on ne l’a pas fait, c’est bien comme ça.

Il y a beaucoup de scènes coupées ?

Il y en a certaines, mais il y a surtout des prises. C’est un petit peu comme si vous aviez un bêtisier.

Vous les avez déjà montées ou montrées ?

Je les ai vu pendant qu’on montait. Ils existent.

Vous ne voudriez pas les utiliser ?

Si, ce serait cool, en DVD. Un remix en fait !

Aviez-vous été contacté pour faire un Dikkenek 2 avec le succès télé ? Luc Besson par exemple vous l’a-t-il proposé ?

Non. Luc Besson souhaitait que je fasse Go Fast juste après, ce que j’ai fait. Il n’en a jamais été vraiment question.

Après Dikkenek, vous avez tourné Go Fast, dans un tout autre univers. Est-ce aussi un film dont on vous parle beaucoup ?

Surtout à Roschdy Zem, je pense. Il me disait qu’on lui parlait beaucoup de ce film, comme s’il avait fait que celui-là ! Il y a beaucoup de femmes qui adorent ce film, c’est marrant ! Un film très difficile à faire, gros tournage, mais très chouette expérience. Tous les courts métrages que j’ai faits avant sont d’ailleurs beaucoup plus comme Go Fast que Dikkenek.

Dikkenek : notre rencontre avec l’équipe du film en 2006 lors de sa présentation à Cannes 

Interview 1 – Français

 

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Ce 30 septembre, les obsèques de Jacques Chirac se sont tenues en l’Eglise Saint Sulpice, à Paris, en présence de nombreux chefs d’états et souverains. La reine Elizabeth II, qui a bien connu l’ancien président de la République, du temps de ses années à l’Elysée, entre 1995 à 2007, a envoyé un membre de la famille royale pour la représenter.

En douze années à l’Elysée, Jacques Chirac a croisé la route de nombreux souverains. Outre Hussein de Jordanie, Hassan II du Maroc, Rainier de Monaco, sa relation avec la reine Elizabeth II du Royaume-Uni était des plus complices, malgré ses entorses répétées au protocole royal. Ce 30 septembre, c’est finalement un membre de la famille royale britannique qui a représenté la Couronne à Paris. Les obsèques de l’ancien président de la République se sont tenues en l’Eglise Saint Sulpice, en présence du prince Edward.

Quatrième et plus jeune fils de la reine Elizabeth II, comte de Wessex et de Forfar, il était venu sans sa femme Sophie Rhys-Jones, et a été aperçu en train de serrer la main d’Edouard Philippe, avant de s’asseoir derrière le grand-duc Henri de Luxembourg et son épouse María Teresa. On l’a croisé plus tard sur le perron du Palais présidentiel, avec le prince Albert de Monaco, saluant le couple Macron.

Le prince Edward salue Emmanuel et Brigitte Macron à l’Elysée, ce 30 septembre – CYRIL MOREAU / BESTIMAGE

Un déplacement cordial qui a pourtant fait grincer des dents, ce lundi. En effet, en lieu et place du prince Edward, certains soutiennent que c’est son grand frère, le prince Andrew, qui aurait pu être chargé de cette mission… si seulement son nom n’était pas cité dans l’affaire Epstein. Une théorie fantaisiste, selon Richard Palmer correspondant du Daily Express. L’absence du prince Andrew serait en réalité due à un contre-temps. Comme cet expert l’a expliqué sur Twitter : “Le duc d’York (alias le prince Andrew, NDLR) est en Australie et continue d’assumer ses fonctions royales malgré les accusations d’Epstein le menaçant“. Et de conclure : “Ses engagements ne sont généralement pas annoncés à l’avance. On ne sait pas si c’est parce que son bureau est incroyablement mal organisé ou tente de se soustraire à un contrôle“.

Crédits photos : GOFF INF / BESTIMAGE

80-year-old ex-serviceman Nand Lal, having tears in his eyes, sent shockwaves across the country with his image telling the story of poor Indians during 2016 demonetisation. He was among the millions of Indians forming queues at various banks to exchange the old notes that were declared illegal by Prime Minister Narendra Modi. Many helpless people could not sustain the pain of standing for hours and died in the successive days. Nand Lal, with his military training, was able to bear the pain physically, however, emotionally, he was so broken that he could not keep his composure and burst into tears.

His image gave voice to many unheard stories as the world got to know that poor people are bearing the brunt of the scheme that was, according to the government, aimed at bringing back the thousands of crores of Rupees hoarded in cosy homes of the rich people.

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Très discrète sur sa vie amoureuse, Sophie Davant a laissé entrevoir sa vision du mariage lors d’un épisode de son émission Affaire conclue. Alors qu’un candidat évoquait ses 52 années de vie commune avec son épouse, l’animatrice a eu une réaction plutôt cocasse.

Sophie Davant a une vie professionnelle bien remplie et épanouie. Aux commandes depuis 2017 de l’émission Affaire conclue, qui enchaîne les records d’audience depuis sa première diffusion, l’animatrice chouchou des Français a rempilé à la rentrée pour une saison de plus. Un beau succès qui n’est sûrement pas étranger à sa personnalité chaleureuse et sa complicité naturelle avec les candidats qu’elle reçoit chaque jour sur le plateau. Côté cœur, en revanche, la situation semble être un peu plus compliquée. Mariée pendant 23 ans au journaliste Pierre Sled, l’animatrice s’est faite très discrète sur sa vie privée depuis son divorce en 2012. Même si cette dernière a confié avoir eu d’autres histoires après la fin de son mariage, et même si elle pourrait avoir récemment retrouvé l’amour, Sophie Davant chercherait toujours la formule magique de la longévité des couples.

C’est du moins ce que l’animatrice a laissé entendre dans un épisode d’Affaire conclue. Sur le plateau, Sophie Davant reçoit ce jour-là Gérard, venu mettre aux enchères une boite à cigares ancienne. Après les questions sur sa profession, l’animatrice l’interroge sur sa vie personnelle. Mais quand le candidat lui répond qu’il est marié depuis 52 ans, sa réaction est hilarante. « Wow ! Comment vous avez fait pour tenir aussi longtemps ? », demande-t-elle avec un grand sourire, avant de s’exclamer, lorsque Gérard lui explique qu’il a dû « choisir la bonne » : « Ah, c’est ça ! ». Un ingrédient indispensable que Sophie Davant n’a apparemment pas trouvé !

Crédits photos : Capture France 2

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“La Nuit des morts-vivants”, un des films iconiques de la Pop Culture, oeuvre fondatrice d’un genre qui a bercé toute une génération de cinéphiles et dont l’influence est plus que jamais d’actualité. Retour sur un film culte en 10 anecdotes.

1. Judith O'Dea et Russell Streiner
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© Films sans Frontières

Genèse du projet

George A. Romero et ses amis d’université ont toujours eu le désir de réaliser un long-métrage. Malheureusement, les démarches auprès des financiers se sont révélées catastrophiques. C’est ainsi qu’ils décident de fonder ensemble leur propre société de production : Image Ten, en la finançant par leurs propres moyens. Chaque actionnaire s’engage à rapporter 600 dollars à la société. Le capital obtenu sera alors quintuplé en étant vendu cher à des tiers.

Hommage à un classique du genre

Si nombres de cinéastes n’ont pas manqué de rendre hommage au film de Romero et s’en sont plus que largement inspiré -pour ne pas dire pillé-, Romero fait lui aussi avec son film un bel hommage à un petit classique du film d’épouvante : Le Carnaval des âmes de Herk Harvey, réalisé en 1962. Réalisé pour à peine 30.000 $ et tourné en trois semaines, le film devait être, selon les propres termes de Herk Harvey, “un mélange du style de Bergman avec l’influence d’un Cocteau”. Par sa réalisation soignée, sa musique obsédante et inquiétante, intégralement composée sur un orgue (si si  !), le film a non seulement biberonné toute une génération de cinéphiles, et a aussi influencé nombre de metteurs en scène, à commencer par un certain George A. Romero donc. Ce n’est d’ailleurs pas tout à fait un hasard si  l’héroïne de sa Nuit des morts-vivants fait furieusement penser à l’actrice vedette du film de Harvey, Candace Hilligoss.

Un genre lucratif avant tout

Si George A. Romero est passé maître du cinéma d’horreur, il n’était pas spécialement amateur du genre lorsqu’il a commencé à tourner La Nuit des Morts-Vivants. Si le réalisateur et ses amis ont décidé de se tourner vers le genre pour leur premier long-métrage, c’est avant tout pour espérer rentabiliser les capitaux investis. En effet, à une époque où la télévision avait fait chuter les taux de fréquentation des salles de cinéma, il fallait surtout s’assurer que le film allait être lucratif tout en restant une oeuvre de qualité comme le confirme l’un des producteurs du film Russel Streiner : “Sans doute, nous aurions préféré réaliser un grand film dramatique. Mais une fois que nous avons opté pour un film d’horreur, nous nous sommes efforcés de le rendre le plus réaliste possible avec le budget dont nous disposions.”

Modeste budget

Le budget du film s’est élevé à 114.000 $. Dans cette perspective, c’est pour des raisons d’économie que le film a été tourné en noir et blanc, et non pas pour atténuer -comme on a pu le lire- les effets de gore. Par ailleurs, La plupart des personnages sont interprétés par des amateurs, de simples habitants de Pittsburgh, amis ou clients de la maison de production.  Russell Streiner et Karl Hardman, les producteurs eux-mêmes, jouent respectivement Johnny et Harry dans le film. Le succès du film fut très important, et près de 30 millions de $ au Box Office. Pour son malheur, et en raison de son inexpérience, Romero n’a pratiquement pas vu la couleur des billets… Il avait en effet mal négocié les droits avec le distributeur US de son film, The Walter Reade Organization, qui lui siphonna une bonne partie des recettes…

Ca s’en vient et ca repart pour Tom Savini

Initialement, Tom Savini fut engagé pour réaliser les maquillages sur le film. Les deux se sont rencontrés lorsque Savini débarqua un jour pour passer des auditions sur un film qui ne s’est finalement jamais concrétisé. Se souvenant que Savini était doué pour le maquillage (il avait apporté son book de photos montrant son travail aux auditions), Romero le contacte donc pour lui proposer de faire ceux de La Nuit des morts-vivants. Malheureusement, ce dernier ne pourra pas rejoindre l’équipe du film : il est appelé pour faire son service au Viêtnam, en tant que photographe de guerre.

Accident de voiture

Dans la scène du cimetière au début du film, tournée en deux jours séparés, un accident a obligé Romero à sensiblement modifier le script du film. La voiture conduite par Barbara (Judith O’Dea) et Johnny (Russell Streiner) appartenait en fait à la mère du comédien. Entre les deux journées de tournage de la scène du cimetière, un automobiliste rentra en collision avec le véhicule; collision dont les traces sont visibles dans le film. C’est pour cela que Romero a modifié la fin de la séquence, lorsque la voiture conduite par Barbara termine sa course contre un arbre.

Domaine public

L’une des plus fameuses anecdotes concernant le chef-d’oeuvre de Romero est que le film est tombé aux Etats-Unis dans le domaine public. Le copyright fut bien apposé par le distributeur The Walter Reade Organization, mais lorsque le film s’appelait encore La Nuit des mangeurs de chair. Mais le copyright passa à la trappe du côté du distributeur lorsque le film changea de titre, pour devenir La Nuit des morts-vivants.

Maison à vendre

La maison servant de refuge au groupe de survivants fut louée à l’équipe du film par un propriétaire qui envisageait de toute façon de la raser ! Il leur donna du coup sa bénédiction pour que l’équipe fasse absolument ce qu’elle voulait dedans durant le tournage. Du pain béni pour la production, qui cherchait à rationaliser au maximum les coûts.

Charcutage / hérésie en règle pour les 30 ans du film

En 1998, tout juste 30 ans après la sortie du film, John A. Russo, coscénariste sur La Nuit des morts-vivants avec Romero, a rendu un drôle d’hommage au classique de 1968 : il a en effet tourné 16 min de métrage en plus, en noir et blanc, qu’il a inséré dans l’oeuvre originale, sans en parler à Romero.  Une séquence où figure notamment S. William Hinzman, le fameux zombie des premières minutes du film original, et dont le maquillage devait être raccord avec le film sorti en 1968. On a connu des hommages plus respectueux face à un tel caviardage.

Ci-dessous, une Featurette d’époque, sur le tournage de ces scènes supplémentaires…

Le négatif original perdu

Le négatif original, ainsi que tous les éléments originaux du film, ont malheureusement été définitivement perdus. Conséquence d’une inondation survenue dans le sous-sol de la maison où ils étaient stockés. Il s’agit de la même maison, propriété de Latent Image Inc., où furent tournées les scènes situées au sous-sol. Quoi qu’il en soit, cela n’a pas empêché la Bibliothèque du Congrès américain de faire entrer le film de Romero dans son prestigieux catalogue, en novembre 1999, eut égard à l’importance “culturelle, historique et esthétique” de cette oeuvre dans l’Histoire du cinéma.

Et en bonus, ci-dessous : le film en version intégrale (mais réservé aux plus anglophones d’entre vous !)…

 

Box-office US : Dunkerque remporte la bataille

December 8, 2019 | News | No Comments

La tension était palpable autour du week-end du 21 juillet 2017 aux Etats-Unis où sortaient le même jour deux mastodontes : “Dunkerque” de Christopher Nolan et “Valerian et la Cité des Mille Planètes” de Luc Besson.

1. N°5 – Valérian et la Cité des Mille Planètes : 17 millions de dollars de recettes
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© EuropaCorp

Christropher Nolan retrouve aux Etats-Unis le même succès qu’avec son dernier film, Interstellar, qui avait réalisé le même premier week-end en 2014. La marque Nolan continue donc à être un gage de qualité et d’enthousiasme chez les spectateurs américains qui lui réservent toujours un bon accueil. Nolan remporte donc haut la main le duel contre Luc Besson et son Valérian et la Cité des Mille Planètes.

Box-office américain du 21 au 23 juillet 2017 : le Top 10

Rang (Rang précédent) Film Recettes (en dollars) Total US (en dollars)

1 (Nouveauté)
Dunkerque
50 500 000
50 500 000
2 (Nouveauté)
Girls Trip
30 370 720
30 370 720
3 (2e)
Spider-Man: Homecoming
22 010 000
251711581
4 (1e)
La Planète des singes – Suprématie
20 400 000
97 750 914
5 (Nouveauté)
Valérian et la Cité des Mille Planètes
17 020 000
17 020 000
6 (3e)
Moi, moche et méchant 3
12 714 475
213 322 700
7 (4e)
Baby Driver
6 000 000
84 233 939
8 (5e)
The Big Sick
5 000 000 
24 539 378
9 (6e)
Wonder Woman
4 630 000
389 033 279
10 (7e)
I Wish – Faites un voeu
2 477 816
10 522 081

Pire encore pour le Français, car une autre nouveauté de la semaine lui grille aussi la politesse en deuxième place : la comédie afro-américaine Girls Trip avec Queen Latifah dans le premier rôle intéresse aussi beaucoup plus outre-Atlantique, le week-end de sa sortie, que le nouveau film européen de science-fiction.

En réalité, Luc Besson doit se contenter de la cinquième place du classement, ne parvenant pas à faire mieux que deux blockbusters sortis les semaines précédentes sur le territoire américain : Spider-Man: Homecoming et La Planète des singes: Suprématie se portent bien mieux que Valérian, qui fait un démarrage catastrophique aux Etats-Unis avec seulement 17 millions de dollars de recettes sur son premier week-end.

Box-office France : Moi, moche et méchant 3 toujours au top

Luc Besson, qui avait pourtant cartonné chez les Américains en 2014 avec Lucy, comptait beaucoup sur le succès de son nouveau film outre-Atlantique. Produit pour un budget vertigineux de 180 millions d’euros (soit environ 210 millions de dollars), Valérian et la Cité des Mille Planètes devra donc compter sur son succès sur d’autres marchés, notamment en Europe mais plus particulièrement en Asie. S’il n’y parvient pas, il risque de devenir le second accident industriel majeur de 2017, après Le Roi Arthur de Guy Ritchie.

Dans les cinq places suivantes du classement, de jolis succès déjà bien installés se confirment, de Moi, Moche et Méchant 3 à Wonder Woman en passant par Baby Driver et la comédie produite par Judd Apatow The Big Sick. Seul le film d’épouvante I Wish – Faites un vœu à la dixième place rate sa cible et de remonte pas son petit budget de 12 millions de dollars au terme de sa deuxième semaine d’exploitation. 

Découvrez la bande-annonce de Dunkerque, le nouveau film de Christopher Nolan

Dunkerque Bande-Annonce Officielle VOST

 * Les chiffres mentionnés dans l’article sont des estimations, publiées dimanche soir par la société spécialisée Exhibitor Relations.

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Si Melania Trump s’est longtemps montrée discrète, elle participe désormais à de nombreux événements. Une stratégie lancée par la Maison Blanche ?

Mélania Trump sous les feux des projecteurs ! Longtemps restée dans l’ombre de Donald Trump, la First Lady semble “rattraper son retard”, comme le remarque Vanity Fair.Ces derniers temps, l’épouse du président américain participe à de nombreux événements. Une série d’engagements qui mérite de se poser quelques questions. Serait-ce une stratégie des conseillers de son mari ? Alors que POTUS est menacé d’une procédure d’impeachment (destitution), cela pourrait être un moyen de faire diversion.

Dernier événement en date :la lutte de Melania Trump contre le vapotage qui rencontre un succès fulgurant auprès des adolescents outre-Atlantique. Dans le cadre de ce projet mercredi 9 octobre dernier, l’ancien mannequin a pris la parole auprès de jeunes âgés de 13 à 18 ans, qui ont témoigné de leurs expériences autour de la cigarette électronique. À l’initiative de l’homologue de Brigitte Macron, la Maison Blanche s’est ainsi exprimée :“L’administration Trump souhaite interdire la vente de la plupart des cigarettes électroniques aromatisées, alors que des centaines de personnes ont été écœurées par de mystérieuses maladies liées au vapotage.”

Nouveau court de tennis à la Maison Blanche

Quelques jours auparavant, le 8 octobre dernier, Melania Trump se réjouissait d’un nouveau projet sur la Toile : la construction d’un court de tennis ouvert à la Maison Blanche. “Ravie de donner le premier coup de pelle au pavillon de tennis à la Maison Blanche aujourd’hui. Merci à tous ceux qui rendent ce projet possible, un héritage qui permettra aux futures familles présidentielles de se rassembler et de s’amuser dans les prochaines années”, a-t-elle tweeté. Ce bâtiment de 1200m2 et de 6 mètres de hauteur sera installé entre le potager “Kitchen Garden” et le “Children’s Garden” de l’épouse du président Johnson.

Rafting et prévention anti-drogues

Autre sortie officielle : l’escapade de Melania Trump dans l’état du Wyoming pour une séance de rafting avec des scouts le long de la rivière Snake, dans le cadre de sa campagne Be Best qui vise à améliorer le bien-être des enfants. Qui dit bien-être, dit sorties en extérieur, retour aux sources loin du bruit, et connexion avec la nature. Aussi, le 7 octobre dernier, la Première dame a assisté àun événement caritatif au sein de l’agence fédérale anti-drogues, en Virginie. Accompagnée de l’acteur Dean Norris, elle s’est ainsi adressée au public : “Je suis très heureuse d’être ici et d’avoir l’occasion de parler de l’importance de ne pas consommer de drogueet de contribuer à la diffusion du message de la Semaine du ruban rouge.” Un programme étrangement chargé… mais qui fait plaisir à voir !

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Yesterday I met Jackson District Boy Scouts at the elk antler arches in town square learning about their conservation…

Posted by First Lady Melania Trump onFriday, October 4, 2019

Crédits photos : Bestimage