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December 6, 2019 | News | No Comments
December 6, 2019 | News | No Comments
The Los Blancos attacker has been backed to win football’s top individual award in the future
Eden Hazard has been described as the Michael Jordan of football as Belgium boss Roberto Martinez tipped the Real Madrid star to win the Ballon d’Or.
Hazard – regarded as one of the best players in the world – swapped Premier League outfit Chelsea for La Liga powerhouse Madrid in a blockbuster transfer prior to the start of the season.
The Belgium international has showed flashes of his brilliance, earning praise for his performances prior to suffering a small ankle fracture.
Asked about Hazard, Martinez likened the Red Devils captain to Chicago Bulls great and NBA Hall of Famer Jordan.
“I see Hazard winning the Ballon d’Or,” Martinez told Cadena Ser program El Larguero. “He has the role of being a Ballon d’Or winner.
“What he has done is the level of the Ballon d’Or and he is always eligible for the prize.
“He has done it at Chelsea, in France. It is difficult for a foreigner to be at the reference of a project that works to win the league.
“He is a last-pass player, a Michael Jordan. Hazard is the Michael Jordan of football.”
Hazard – who has scored once this season – will miss El Clasico against Barcelona on December 18 due to a small fracture in his ankle.
The Madrid forward was forced off in the 2-2 Champions League draw with Paris Saint-Germain last month.
“It’s more the process of the injury,” Martinez said on Thursday. “In the game against PSG, he had a setback and now we’ve discovered that he will spend a bit more time out than expected.
“There’s nothing to worry about. You want a player like Eden to be 100 per cent, and now he’d established himself in the team and he was playing well.
“He’s in very good physical condition and he’ll be back very soon. You don’t want to lose players of his level, but a team always has to deal with injuries, suspensions…Real Madrid are well prepared for this.”
Hazard has made 13 appearances for Real Madrid in all competitions this season, scoring one goal and contributing one assist in the process.
December 5, 2019 | News | No Comments
Le réalisateur Michaël R. Roskam et le duo d’acteurs Adèle Exarchopoulos-Matthias Schoenaerts évoquent au micro d’Allociné “Le Fidèle”, à mi-chemin entre le polar fiévreux et le drame romantique.
Après le succès de Bullhead, nommé à l’Oscar du meilleur film étranger, et une incursion aux Etats-Unis pour Quand vient la nuit, d’après un scénario de Dennis Lehane, le Belge Michaël R. Roskam revient avec Le Fidèle, une histoire d’amour passionnelle sur fond de courses automobiles et de grand banditisme, portée par Adèle Exarchopoulos et son acteur fétiche, Matthias Schoenaerts.
Le Fidèle devait être à l’origine votre deuxième long-métrage. Pourtant, vous avez réalisé entre temps Quand vient la nuit…
Michaël R. Roskam : Après Bullhead, je ne m’attendais pas à une telle attention, notamment d’Hollywood. Quand on a été nommé aux Oscars, j’ai eu d’autres opportunités. Au moment de la lecture du scénario de Quand vient la nuit, celui du Fidèle n’existait pas encore dans sa forme finale. Je sentais que c’était le bon moment pour le faire. Réaliser Le Fidèle, c’était une promesse que je devais tenir.
Matthias Schoenaerts : Michaël a développé l’idée pendant qu’on tournait Bullhead. Pendant 5-6 ans, on a parlé des personnages, de l’histoire et ça s’est construit petit à petit.
Comment vous est venue l’idée du Fidèle ?
Roskam : J’ai toujours été un grand fan de courses, de formule 1, le Mans,… depuis que je suis enfant. Avec les arts, c’est une bonne combinaison (rires). C’était très organique, je n’ai pas forcé les choses. Je me suis inspiré d’un couple formé par une jeune fille pilote de courses et un homme qui faisait parti du grand banditisme à Bruxelles. Il y aussi eu Vanina Ickx, la fille de Jacky Ickx, un grand pilote de courses belge qui a gagné notamment 5 fois le Mans. Je trouvais original de développer un personnage féminin qui évolue dans les courses automobiles et j’étais très heureux d’unir deux passions.
Vous co-signez le scénario avec Noé Debré et Thomas Bidegain, qui sont tous les 2 familiers de l’univers de Jacques Audiard, un cinéaste que vous admirez.
C’est un exemple, un maître, une source d’inspiration, un grand monsieur du cinéma. J’ai vu Un prophète une semaine avant le début du tournage de Bullhead et je me suis dit “je ne peux plus rien ajouter au cinéma”. Quelques jours après, ça m’a redonné envie de faire des choses, du cinéma. J’étais tellement content finalement de voir ce film avant Bullhead. J’ai rencontré Jacques plusieurs fois, il est très généreux. Idem pour Thomas et Noé, ce sont deux grands esprits très créatifs et gentils. Ils m’ont aidé à développer ce projet, ce fut un grand honneur pour moi.
L’expérience américaine de Quand vient la nuit a-t-elle changé votre approche du cinéma sur Le Fidèle ?
Roskam : Oui, mais pas tant que ça. Je fais du cinéma comme je le fais. J’ai eu l’occasion de travailler avec des gens très cools à Hollywood, très respectueux de l’auteur-réalisateur. Il faut s’entourer des bonnes personnes, comme ici. Revenir en Europe, c’est super, je veux continuer à faire l’aller-retour, ce serait mon rêve.
Schoenaerts : La seule chose que ça change vraiment, c’est que le soir je rentre chez moi et je dors dans mon lit ! C’est chouette les hôtels mais tellement impersonnel, on peut se sentir déraciné. Ce qui est chouette, ce sont aussi les retrouvailles avec des personnes de l’équipe technique avec qui j’ai travaillé par le passé. Ce que j’aime en Belgique, c’est qu’on n’a pas le système où tout est syndiqué comme aux Etats-Unis, où tout est très strict et impersonnel. Ici tout le monde se parle, tout est convivial et généreux.
C’est la 4e fois que vous tournez ensemble. Vous comptez prolonger l’expérience ?
Roskam : C’est une collaboration très organique. On est devenu amis après avoir commencé en 2005 avec un court. Il y a toujours un homme dans sa trentaine dans mes films (rires). Peut-être que la question que l’on me posera à mon prochain film sera “ça fait quoi de faire un film sans Matthias ?”. Pour moi, il y a juste l’espoir de faire du cinéma et si c’est avec lui, ce sera toujours un honneur. Il est fantastique, c’est un ami, un collaborateur. J’espère que l’on continuera à travailler ensemble. Je fais tout ce qui est possible pour que ça continue.
Schoenaerts : On est meilleurs amis, on s’amuse, on s’éclate comme deux gamins qui ont envie de faire du foot. On est sérieux mais en même temps on s’amuse, on est très direct et on se comprend. C’est une relation très organique et simple.
Et vous Adèle, comment avez-vous fait votre entrée dans l’univers de Michaël ?
Adèle Exarchopoulos : Je connaissais son cinéma. J’avais adoré Bullhead, la manière dont il estimait les animaux, dont il insérait l’enfance dans ses films, l’image, la pudeur, la poésie, … Quand j’ai lu le scénario, l’histoire d’amour, l’envie de jouer avec Matthias et de jouer quelque chose de plus éloigné de moi, de plus hermétique que ce que j’avais fait avant, … tout ça m’a donné envie.
Le film repose sur le couple formé par Adèle et Matthias. Comment s’est déroulée votre collaboration ?
Schoenaerts : Je l’ai rencontrée aux essais maquillage et je l’ai prise dans mes bras comme si c’était une amie que je n’avais plus vue depuis des années. C’était simple et généreux.
Exarchopoulos : Oui c’était facile. Une fois sur le plateau, le principal c’est d’être généreux et de se faire confiance, de s’abandonner. C’était assez facile et naturel, comme si on était 2 animaux de la même race. Puis avec Michaël, c’était vraiment une collaboration à 3, il était là dans la réflexion, dans l’action, dans l’observation, … On a vraiment formé un trio.
Quel regard avez-vous sur l’amour que se portent vos deux personnages ?
Exarchopoulos : On est tous enchaîné dans des moralités, dans des conventions. Ils sont dans une recherche d’équilibre sur des bases bancales avec tout ce qu’il se passe autour d’eux. C’est l’une des choses les plus dures dans la vie : l’amour, être en couple, il faut être courageux pour aimer. Je pense qu’ils ont ce courage, ils forment une entité quand ils sont ensemble.
Schoenaerts : Ils sont liés mais ils ne dépendent pas de l’autre. Il y a un rapport de pouvoir dans la dépendance. Ils ont besoin de l’autre, ils aiment être proche l’un de l’autre. C’est l’un des éléments du propos de Michaël par rapport à l’amour inconditionnel que j’aime beaucoup : cet aspect de ne pas dépendre de quelqu’un mais d’avoir besoin de quelqu’un, ce qui est pour moi une différence fondamentale.
Votre rôle, Adèle, pourrait être cantonné celui de la petite amie du héros mais il prend une véritable ampleur au fil du récit. J’imagine que c’est gratifiant de se voir proposer un rôle féminin aussi complexe, d’autant qu’elle évolue dans un milieu masculin, celui des courses automobiles…
Exarchopoulos : Les codes sont inversés. Matthias n’est pas l’archétype du gangster au crâne rasé qui crache par terre mais c’est un gangster sophistiqué, élégant, qui flotte quand il marche, qui est romantique. Elle, elle a quelque chose de masculin. C’est tellement plus féminin quelqu’un qui assume sa part de masculinité et inversement. C’était excitant rien qu’à la lecture du scénario. De toute façon, je me sens privilégiée de faire ce film et de faire ce métier tout court.
La préparation physique pour ce rôle a-t-elle été difficile ?
Je n’avais pas mon permis, j’avais rien. Je me suis dit “putain c’est dur”, en tout cas c’est beaucoup de travail, c’est physique. J’ai évidemment passé mon permis et j’ai traîné sur des circuits, j’ai vu des compétitions, je suis beaucoup restée à Zolder qui est une piste de course. J’ai appris les vieilles voitures, les boîtes de vitesse, … Et finalement c’est plus mentalement que ça a été compliqué : dans sa voiture, elle se sent en sécurité là où moi je ne me sens pas en sécurité, c’est son bureau d’aller à 200 km/h. Je demandais sans cesse sur le circuit au début “t’as pas peur ?”. C’est comme les joueurs de poker, ce n’est pas l’envie de gagner, c’est le risque de perdre qui est le plus présent. Il fallait que je trouve cette sérénité, ce bien-être.
Le poids de la tragédie se fait sentir dans tous vos films Michaël : vos héros sont prisonniers de leur condition ou tentent d’échapper à leur passé…
Roskam : Ce n’est pas parce que c’est organique qu’on n’est pas conscient des choses. Tout est minutieusement construit, il n’y a pas de coïncidence dans mon cinéma. Il y a un plan et on s’y tient. Alors oui, les personnages sont enfermés, comme on l’est tous un peu, on est des esprits dans des corps, il y a toujours le désir d’une liberté absolue mais si on arrive à se libérer, on est perdu. C’est toujours cette bataille, comme un chien dans une cage qui veut en sortir mais qui veut y retourner quand il est libre car il y a une certaine sécurité. La seule chose que veut le chien, c’est entrer dans la cage avec la porte ouverte. C’est pourquoi le chien est devenu une sorte de métaphore dans le film et l’amour permet de donner le meilleur des deux mondes et en même temps nous enchaîne. C’est une soumission volontaire.
Difficile en voyant Le Fidèle de ne pas penser à Heat de Michael Mann pour les scènes de braquage et au court-métrage C’était un rendez-vous de Claude Lelouch pour la scène finale.
Je fais évidemment référence à Michael Mann qui est un grand cinéaste que j’adore, une source d’inspiration qui m’a beaucoup influencé. Quand on filme un braquage, il y a toujours Heat comme référence. On a filmé la scène de braquage différemment car il faut trouver une certaine identité pour ton film. C’est comme une chorégraphie, c’est une préparation à 100%. Je crois qu’on a fait 9 prises, la neuvième c’est celle du film.
Un Homme et une femme m’a influencé. Les deux influences sur ce film, c’est Heat et Un Homme et une femme. Il y a aussi un personnage de pilote, mais là c’est une femme. C’était un rendez-vous est un court qui m’a marqué tellement fort mais je n’ai jamais pensé faire quelque chose de similiare. Pourtant, en écrivant la scène, on m’a fait remarquer la similitude avec Lelouch. Tout d’un coup, ça me paraissait évident. Ici aussi à la fin on peut dire qu’il y a un rendez-vous mais de manière différente. C’est un hommage à ce grand cinéaste. J’espère qu’il va le voir (rires), M. Lelouch, appelez-moi !
La bande-annonce du Fidèle, en salles le 1er novembre :
Le Fidèle Bande-annonce VF
December 5, 2019 | News | No Comments
A l’occasion de la promotion de “M”, à l’affiche mercredi 15 novembre, Sara Forestier nous a expliqué les raisons pour lesquelles elle a souhaité prendre la parole sur la place des femmes au cinéma dans le sillage de l’affaire Weinstein.
A quelques jours de la sortie de M, son premier long métrage en tant que réalisatrice, Sara Forestier multiplie les interviews et les émissions télé (de “On n’est pas couché” samedi dernier, à “Quotidien” hier soir), l’une d’entre elles ayant particulièrement été commentée : sa prise de parole sur les femmes au cinéma dans l’émission spéciale de “Stupéfiant” de Léa Salamé sur France 2.
Dans le cadre de notre interview sur son film (que vous pourrez lire en intégralité dans quelques jours), Sara Forestier a accepté de revenir sur cette prise de parole :
“Je l’ai fait de manière très spontanée, nous répond Sara Forestier du tac au tac. Je trouvais que c’était intéressant d’analyser ce qui se passe en ce moment autour de la femme. Je trouverai ça dommage qu’on réduise l’affaire Weinstein juste à un effet de scandale. Ce que je trouve intéressant dans cette histoire, c’est d’essayer d’analyser un peu plus profondément la situation de la femme dans la société. C’était vraiment dans une perspective d’analyse que j’ai donné cette interview. Je trouvais intéressant de le faire.”
Je trouverai ça dommage qu’on réduise l’affaire Weinstein juste à un effet de scandale
“Ce qui est important pour moi, c’est qu’on ne monte pas les femmes les unes contre les autres. Il n’y a pas d’un côté les filles qui se maquillent et les filles qui ne se maquillent pas, celles qui posent nues et celles qui ne posent pas nues. Une femme a le droit de faire ce qu’elle veut et on doit respecter ses choix. Pour moi, le plus important dans tout ça, c’est qu’on respecte le désir de la femme. On n’a pas besoin d’être “No Make-Up” ou le cheveu sale pour être une féministe. Le féminisme, pour moi, c’est simplement de dire que le désir de la femme est le plus important, que le désir de la femme est plus important que celui qu’il suscite. La femme est libre de faire ce qu’elle veut, se maquiller, pas se maquiller ; poser nue ou pas.”
Faire les choses par désir et par plaisir, et pas parce qu'[une femme] sent une pression, qu’elle se sent obligée
“J’ai simplement voulu aussi montrer d’une certaine manière qu’on avait perdu l’habitude de voir des visages nus à la télévision. C’est aussi ça, la vraie nudité. Il y a tellement de choses à dire. Le désir de la femme doit être au centre de tout ce qu’elle fait. De faire les choses par désir et par plaisir, et pas parce qu’elle sent une pression, qu’elle se sent obligée.”
L’interview de Sara Forestier dans l’émission Stupéfiant, diffusée lundi soir sur France 2 :
AlloCiné : Y a-t-il une grande part autobiographique dans votre film ?
“C’est parti d’une histoire que j’ai vécu, une histoire vraie avec un garçon. Je crois que ce qu’il y a de plus autobiographique dans le film, ce sont les sensations que j’ai voulu retranscrire. Cette sensation de l’amour, d’être amoureux, d’être passionné par quelqu’un, d’avoir envie de lui plaire et en même temps avoir peur de ne pas lui plaire. De se découvrir soi-même face à l’autre. De se rendre compte qu’on avait peur de l’abandon. Cette sensation parfois qu’on est bloqué, qu’on est en colère contre la terre entière parce qu’on n’arrive pas, parce qu’en fait on est en colère contre soit. La sensation d’une première fois quand on fait l’amour.”
“Ces mélanges d’émotion, cette sensation de parler vraiment à quelqu’un, pour une fois. Je pense à cette scène du déjeuner pendant laquelle ils se parlent. Filmer des gens qui se parlent, ça ne veut pas forcément dire grand-chose. Mais quand tout d’un coup, dans une scène on voit des gens qui se parlent vraiment, soit par les yeux, soit par les corps, soit par des paroles… Je trouvais ça fort et c’est une sensation particulière quand tout d’un coup on sent qu’on a une vraie écoute en face de soi. Parler vraiment à quelqu’un ; tout ce qui se passe à l’intérieur de nous quand on le fait.”
* Un entretien à retrouver en intégralité dans quelques jours pour la sortie de M, premier long métrage de Sara Forestier, à l’affiche le 15 novembre.
Un extrait de M, dans lequel les deux protagonistes Lila et Mo échangent dans une voiture :
M EXTRAIT "Voiture"
December 5, 2019 | News | No Comments
A l’occasion du jour de la marmotte, retour sur “Un jour sans fin” et sur ces autres films ou séries dans lesquels les personnages se retrouvent piégés à l’intérieur d’une boucle temporelle…
1. Un Jour sans fin (1993)
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“I Got you Babe”… Le symbole de la boucle temporelle ! Dans Un jour sans fin, Phil, présentateur télé aigri et cynique (Bill Murray), revit indéfiniment la même journée. Le pire, c’est que cette journée, c’est celle de la Marmotte, une journée de festivités qu’il couvre tous les ans et qui l’ennuie mortellement. Coincé seul dans cette boucle qui semble incassable, Phil perd d’abord les pédales mais finit par mettre à profit ce temps, pas si routinier que ça, pour devenir une meilleure personne…
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© Sony Pictures
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December 5, 2019 | News | No Comments
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La rumeur court outre-Atlantique : dans “Dark Phoenix”, le double maléfique de Jean Grey pourrait tuer l’un des personnages principaux de la saga. Explications.
Si l’on sait le tournage de X-Men : Dark Phoenix terminé depuis mi-octobre, le film de Simon Kinberg s’est fait plutôt discret, jusqu’à aujourd’hui. Si l’on en croit le podcast de That Hashtag Show, le long métrage dévoilera l’étendue des pouvoirs du Phoenix de Jean Grey, aka Sophie Turner. Mais cela nécessite de tuer l’un des personnages principaux de la franchise. Info ou intox ?
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“Notre source nous a dit que Kinberg allait montrer à quel point Jean était puissante sous l’emprise de son pouvoir maléfique et, pour ce faire, il semble disposé à éliminer l’un des acteurs qui se trouve dans la franchise depuis le début.” Et d’ajouter : “A un moment, quand Jean se trouve en pleine possession de ses pouvoirs, ils deviennent trop puissants pour qu’elle arrive à les contrôler. Et c’est à ce moment qu’elle va empaler l’un des mutants, le laissant pour mort. Enfin dans un premier temps, en tout cas.”
Dark Phoenix : un film en deux parties ?
Espérons que le résultat soit plus convaincant que la vaine tentative de Brett Ratner dans X-Men : l’affrontement final, sorti en 2006. Une question reste cependant en suspens : qui, de Magneto (Michael Fassbender), Professeur X (James McAvoy), Mystique (Jennifer Lawrence) ou le Fauve (Nicholas Hoult) passera ici de vie à trépas… Car selon la source, le spectre se réduirait bien à ces quatre mutants. Réponse en salles le 31 octobre 2018.
Avant cela, vous avez rendez-vous avec Les Nouveaux Mutants, au cinéma en avril
Les Nouveaux mutants Bande-annonce (2) VO
December 5, 2019 | News | No Comments
De nombreux films mettent en scène de vrais acteurs handicapés, avec pudeur et sans verser dans le pathos. Une leçon de courage et de dignité en dix films, à l’occasion de la journée internationale des personnes handicapées.
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Au Sommaire
Freaks
Le Huitième jour
Kenny
Yo Tambièn
De toutes nos forces
Marie Heurtin
Murderball
The Tribe
Les nains aussi ont commencé petits
December 5, 2019 | News | No Comments
Just when the government data revealed that at least 56 pedestrians die every day that have made Indian roads deadly, people dying because of unrepaired potholes is also increasing day by day.
Due to heavy rains, water often clogs streets and hides open drains that are flowing with sewage and rainwater. As a result, many people face an ill-fated death when they fall into this potholes.
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48 year old, Dadarao lost his 16-year-old son Prakash in a similar accident when his son fell into an open drain and died. As a wave of the severity of the situation dawned upon Dadarao, he took on a mission of filling as many potholes as possible to not only pay tribute to his son but also to prevent other people from facing a similar end.
December 5, 2019 | News | No Comments
La Cité de la Peur, Astérix et Obélix, Didier, RRRrrrr, le Marsupilami : Michel & Michel débarquent avec une hotte pleine de faux raccords…
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December 5, 2019 | News | No Comments
A 32-year-old interior designer, saved many lives in a highrise tower at Tulip Orange on Sunday night, knocking on doors of flats to alert other residents to a fire that had started in the stairwell a little after 2am.
Thanks to her, almost everyone escaped to safety, to the building’s upper floors.
But Swati couldn’t. Firefighters found her dead two hours later, next to the gate leading to the 10th floor terrace, five floors above her flat. The gate was locked, trapping Swati in a stairwell filled with thick smoke.
Unable to call out for help or climb down, Swati Garg choked and collapsed next to a locked gate leading to a terrace. Firefighters found handprints on the wall next to the gate, indicating Swati’s struggle to find a way out, before she lost consciousness and died of asphyxiation.
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