Accompanied by a police force of nearly 200, led by IG Sreejith the women began ascending the mountain path at around 6:45 in the morning, amid isolated protests from male devotees who were climbing down after their darshan. Read more
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Enfin en librairies en français, le témoignage d’un des acteurs principaux du “pire film de tous les temps” “The Room” est enfin disponible. On y découvre des coulisses parfois plus surréalistes encore que la vision du film.
“Oh, hi Mark !” Le livre The Disaster Artist est enfin disponible en librairie en version française. Il revient sur les coulisses du “plus mauvais film de tous les temps” The Room, racontées par quelqu’un qui les a vécues au premier plan : Greg Sestero. Ce dernier est l’un des acteurs principaux du long métrage réalisé par Tommy Wiseau, et il raconte sans prendre de gants la folie et la démesure du metteur en scène et acteur principal de The Room, alors persuadé de tourner un grand film.
Dans The Disaster Artist, Sestero alterne un chapitre sur la façon dont il tente de percer à Hollywood comme acteur avec un moment du tournage de The Room, rendant le lecteur particulièrement addict. On dévore ainsi les passages où il cotoie Wiseau et dévoile comment il a essayé de se faire un nom dans l’industrie américaine, pour mieux retrouver les secrets épiques du tournage.
Bombardé par Wiseau “producteur exécutif” de The Room sans bien savoir à quoi cela fait référence, Sestero raconte les exigences extravagantes de Wiseau, l’origine mystérieuse de son argent, les après-midis perdus pour (mal) dire une ligne de dialogue et le ras-le-bol de l’équipe technique. Wiseau est si insupportable qu’une grêve se met même en place sur le plateau !
L’idée géniale du livre de Sestero est d’avoir retranscrit par écrit les citations de Wiseau avec les fautes ou bizarreries de son phrasé si particulier, immergeant immédiatement le lecteur dans le personnage. Et au-delà de l’aspect “coulisses”, on découvre un peu plus la psychologie de Tommy Wiseau, qui décide de réaliser un film suite à une séance du Talentueux M. Ripley avec Matt Damon. Tentant de vivre son rêve d’être une star à Hollywood, Wiseau mettra les petits plats dans les grands pour signer un long métrage aujourd’hui reconnu comme un nanar de haute volée.
Cet ouvrage, que Sestero coécrit avec Tom Bissell, fait l’objet d’une adaptation cinématographique portée (et réalisée) par James Franco. Franco a d’ailleurs remporté le Golden Globe de meilleur acteur de comédie pour son interprétation de Tommy Wiseau et parvient à rendre attachant cet être si particulier.
Il faut saluer l’initiative de l’éditeur Carlotta, des fondus de Panic Cinéma et de l’équipe de Chroma (chronique cinéma animée par Karim Debbache sur Youtube et Dailymotion) pour avoir permis et/ou facilité la sortie de cette perle en librairie. A dénicher d’urgence pour découvrir encore un peu mieux The Room, et pénétrer la psyché quelque peu étrange de Tommy Wiseau.
The Disaster Artist de Greg Sestero et Tom Bissell – 272 pages
979-10-93798-03-5
Prix : 17 euros
Le commander
La bande-annonce du film tiré du livre, en salles le 7 mars prochain :
The Jharkhand government has issued an official memorandum accepting to preserve the Shikharji Hill, one of the most revered spots of Jainism, as a ‘Place of Worship’. The move came after the chief minister Raghubar Das met the members of the Jain community, who had been protesting against the government’s plan to convert it into a tourist centre.
According to the community members, following the meeting the state government has taken the first step by issuing an office memorandum accepting the Hill as world’s Holiest Place and has shown commitment to maintainingthe sanctity of the Hill.Click Here: All Blacks Rugby Jersey
Un biopic sur le peintre et inventeur italien Leonard de Vinci est en cours d’écriture et Leonardo DiCaprio pourrait en interpréter le rôle principal.
Un nouveau projet pour DiCaprio ! Deadline rapporte que le scénariste John Logan va adapter pour l’acteur le roman de Walter Isaacson sur Léonard de Vinci. Peintre, scientifique et inventeur italien de la Renaissance, de Vinci est notamment connu pour ses tableaux de La Joconde ou sa représentation de La Cène. On doit précédemment à John Logan les scénarios de Gladiator, de la série Penny Dreadful, de Skyfall ou de L’Enfer du dimanche. Il avait aussi signé le script d’Aviator, déjà avec DiCaprio.
Ce dernier entretient d’ailleurs un lien tout particulier avec le personnage de de Vinci, comme il le racontait à la NPR en 2014 :
“Mon père m’a raconté qu'[avec ma mère] ils étaient en lune de miel à la galerie Uffizi, à Florence je crois. Ils regardaient une peinture de de Vinci, et j’ai commencé à furieusement donner des coups dans le ventre de ma mère qui était enceinte. Mon père a pris cela pour un signe et DiCaprio n’était pas si loin de de Vinci. Et mon père étant l’artiste qu’il est, il a dit “[Leonardo] sera le nom de notre enfant”.
DiCaprio financera le film avec sa coproductrice Jennifer Davisson, mais si le projet aboutit, il devrait a priori être tourné après le prochain film de Quentin Tarantino, dans lequel l’acteur américain doit jouer un acteur de télévision cherchant à percer au cinéma.
DiCaprio en Hoover, Gary Oldman en Churchill… Qui ressemble le plus à son personnage ?
Based on the analysis of RTI responses, a study has revealed that close to 10 workers from India died every day in Gulf countries in the last six years.
About 10,000 people migrate to the Gulf states every year from Telangana, and about 200 on average from Kalleda, according to government figures,Reuters reported. Read More
Après “War Machine”, le réalisateur australien David Michôd signera prochainement “The King”, qui évoquera l’histoire du roi Henry V, qui aura les traits du comédien franco-américain Timothée Chalamet.
Après avoir livré à Netflix War Machine en 2017, le (solide) réalisateur australien David Michôd réalisera prochainement, toujours sous la bannière Netflix, The King, qui évoquera l’histoire mouvementée et fameuse du roi d’Angeleterre Henry V, immortalisé par Shakespeare. C’est l’acteur franco-américain Timothée Chalamet qui aura la lourde tâche de se glisser dans les habits royaux du personnage. Produit par Plan B, la société de production de Brad Pitt (qui était d’ailleurs pour rappel la tête d’affiche de War Machine), The King sera scénarisé par Joel Edgerton, qui avait signé le script de The Rover pour David Michôd. On ne change décidément pas une équipe qui gagne.
A l’occasion de la sortie de “Phantom Thread”, nouveau film de Paul Thomas Anderson, gros plan sur Vicky Krieps, qui incarne la maîtresse et la muse de Daniel Day-Lewis.
Née d’une mère allemande et d’un père luxembourgeois, Vicky Krieps est formée à l’Université des Arts de Zurich, puis intègre le Schauspielhaus de cette même ville. Elle parle couramment allemand, français, anglais et luxembourgeois. Après avoir participé à plusieurs pièces de théâtre, la jeune comédienne incarne son premier rôle devant une caméra dans le court métrage “La Nuit passée” d’Eileen Byrne, qui lui permet de recevoir le prix du meilleur espoir au Festival de Budapest.
Enchaînant les castings, Vicky Krieps participe au drame belge Elle ne pleure pas, elle chante (2012) de Philippe de Pierpont, qui traite de l’inceste. Elle poursuit avec un autre drame allemand : Qui d’autre à part nous de Andres Veiel qui se situe dans l’Allemagne de l’Ouest au début des années soixante. Elle goûte parallèlement à un cinéma plus grand public via Hanna, sorte de Jason Bourne féminin, et Anonymous de Roland Emmerich. L’actrice luxembourgeoise tient par ailleurs un autre second rôle dans le thriller dramatique et sobre D’une vie à l’autre, sélectionné pour représenter l’Allemagne aux Oscars 2014 dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère.
Anonymous Bande-annonce VO
Variant les genres, Vicky Krieps prend part, toujours par le biais de rôles secondaires, à trois thrillers : Möbius (2013), La Confrérie des larmes (id.) et Un homme très recherché (2014). Dans le drame Avant l’hiver, elle tourne aux côtés de Daniel Auteuil, Kristin Scott Thomas et Leïla Bekhti. Elle trouve néanmoins un rôle principal dans Les Secrets de Lynn (2014) sorti directement en DVD en France et dans lequel elle campe une femme de chambre réservée vivant dans un monde de fantasmes. Dans le biopic Elly Beinhorn – Alleinflug (id.) racontant l’histoire d’Elly Beinhorn, la première aviatrice allemande à parcourir le monde dans les années 1930, Vicky Krieps se glisse dans la peau du rôle-titre.
Petit à petit, ses rôles tendent également à gagner de l’importance dans des productions internationales comme on peut le voir avec le drame historique Colonia, où elle incarne une infirmière enceinte aux côtés de la très demandée Emma Watson. Cette prestation témoigne par ailleurs de son engouement à jouer dans des longs métrages centrés sur des sujets sérieux, abordant des thèmes comme la conviction politique et situés dans une période de l’histoire relativement récente. Dans Le Jeune Karl Marx, elle joue le rôle féminin principal, celui de Jenny von Westphalen, la femme du célèbre penseur allemand (August Diehl).
Un Homme très recherché Bande-annonce VO
En 2017, sa carrière prend un tournant important lorsqu’elle est choisie pour donner la réplique à Daniel Day-Lewis dans le nouveau film de Paul Thomas Anderson, Phantom Thread, qui sort en salles début 2018. La Luxembourgeoise y interprète la maîtresse et la muse du grand couturier Reynolds Woodcock joué par un Day-Lewis au sommet de son art. Applaudi par la critique tant pour ses qualités esthétiques que pour les prestations de ses comédiens, le long métrage est nominé à plusieurs Oscars, dont ceux du Meilleur film et du Meilleur acteur.
Prochainement, nous pourrons voir Vicky Krieps au casting de The Girl in the Spider’s Web, le prochain épisode de la saga Millenium avec Claire Foy (The Crown) en Lisbeth Salander et Sverrir Gudnason (Borg/McEnroe) en Mikael Blomqvist. Elle incarne aussi l’un des rôles principaux dans la mini-série Das Boot qui est la suite du long métrage du même nom de Wolfgang Petersen.
Onze ans après ses débuts aux côtés des “Quatre Fantastiques”, le Surfer d’Argent va faire son retour sur grand écran, puisque la Fox développe un long métrage autour du super-héros Marvel.
Le Docteur Fatalis d’un côté, le Surfer d’Argent de l’autre : contrairement aux Quatre Fantastiques, l’avenir ciné de leurs amis/ennemis commence à se clarifier. Alors que le premier est entre les mains de Noah Hawley, créateur des séries Fargo et Legion, The Hollywood Reporter annonce qu’un long métrage centré sur le second est en développement du côté de la Fox, sous la supervision du scénariste Brian K. Vaughan, à qui l’on doit notamment les comic books Runaways, récemment adaptés en série par Hulu.
Créé en 1966 par le dessinateur Jack Kirby, ce personnage immortel et quasi-invulnérable est l’un des plus iconiques du catalogue Marvel, mais il n’a jamais vraiment connu les honneurs du cinéma et de la télévision, hormis deux séries d’animation et – surtout – une apparition en chair, en os et en métal, dans le deuxième film consacré aux Quatre Fantastiques, où il avait les traits de Doug Jones (acteur fétiche de Guillermo del Toro, actuellement à l’affiche de La Forme de l’eau) et la voix de Laurence Fishburne. Des premiers pas quelque peu déçevants et restés sans suite jusqu’à aujourd’hui.
Il faut dire que le Surfer d’Argent, ex-allié du dévoreur de planète Galactus bloqué sur Terre et privé d’une partie de ses pouvoirs, n’est pas un personnage facile à transposer au cinéma : à cause de son allure qui nécessite des effets spéciaux de pointe, et de la personnalité presque christique que lui confèrent des angoisses métaphysiques et questionnements existentiels très peu cinématographiques. Brian K. Vaughan saura-t-il relever ce défi pour permettre au héros de glisser sur les cîmes sur box-office ?
LA FOX EN (X-)FORCE ?
S’il n’y a pas encore de date annoncée pour découvrir la réponse en images, le projet vient s’ajouter à la liste déjà longue des longs métrages Marvel que prépare la Fox. Alors que deux d’entre eux sont attendus cette année, The Hollywood Reporter précise qu’il y en aura trois en 2019 et en 2020. Même si des titres restent encore à mettre sur certaines dates, sont pour l’instant prévus :
Deadpool 2 : 18 mai 2018 en France
X-Men – Dark Phoenix : 31 octobre 2018 en France
Les Nouveaux mutants : 20 février 2019 en France
Gambit : 5 juin 2019 en France
X-Force, spin-off de Deadpool dont le tournage débute en octobre de cette année
143, long métrage autour de Kitty Pryde signé Tim Miller
Doctor Doom (ou Docteur Fatalis en VF) de Noah Hawley
Le Surfer d’Argent
Soient autant de raisons de rassurer ceux qui craignaient que le rachat de la Fox par Disney ne réduise le nombre d’adaptations de comic books liés aux X-Men et aux Quatre Fantastiques. En espérant que le Surfer d’Argent ait droit à un meilleur film que celui sorti en 2007.
Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent Bande-annonce VO
“Cette victoire des « super-enfants » et des explorateurs de tout poil suffit déjà amplement à toiser d’autres meutes bien moins téméraires et à conjurer, pour un bref moment d’enchantement, le cynisme de l’époque.” Par Joachim Lepastier (Cahiers du Cinéma)
“Touchant, drôle et poétique, ce film est à la fois une ode humaniste, une allégorie politique et un appel à la révolte.” Par Claire Picard (Télé Loisirs)
2ème : L’héroïque lande, la frontière brûle
Note moyenne presse* : 3.9 / 5
L'héroïque lande, la frontière brûle
De Elisabeth Perceval,Nicolas Klotz
Note moyenne de la presse :
3,9
Critiques Presse
Critiques spectateurs
“Chaque plan, sans perdre son réalisme, se convertit sans cesse en autre chose, en des images dont la logique obéit à des règles qu’on dira faute de mieux poétiques.” par Damien Aubel (Transfuge)
“Éprouvant et complexe, le résultat repousse admirablement les frontières entre documentaire et fiction.” par Simon Hoarau (Les Fiches du Cinéma)
3ème : The Third Murder
Note moyenne presse* : 3.6 / 5
The Third Murder
De Hirokazu Kore-eda
Note moyenne de la presse :
3,6
Critiques Presse
Critiques spectateurs
“Le cinéaste japonais aborde pour la première fois le thriller judiciaire, qu’il tisse avec ses thèmes récurrents, drames familiaux et filiations. Une réussite spectaculaire.” par Dominique Widemann (L’Humanité)
“C’est ce qu’il y a de très beau et de très apaisant avec les films (réussis) de Kore-eda : ils tiennent en équilibre sur un fil sans forcément savoir où mettre les pieds. Et, finalement, ne se terminent jamais.” par Eric Libiot (L’Express)
* Selon les notes presse du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 13 avril 2018, et pour des films sortis le 11 avril ayant au moins 10 critiques.