Month: December 2019

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Après son rôle dramatique dans “Les Bracelets Rouges” où il s’était révélé très convaincant, Michael Youn jouera dans un téléfilm de TF1 qui traite d’un sujet sensible, la tentative de suicide d’un adolescent…

Le succès de 13 Reasons Why semble avoir donné une idée et surtout du courage à TF1 pour traiter d’un sujet très sensible : le suicide adolescent. Ce sera à travers le téléfilm Le jour où j’ai brûlé mon coeur, prochainement en tournage en Alsace, avec Michael Youn et Camille Chamoux dans deux des rôles principaux, loin du registre comique pour lequel on les connaît.

Tiré d’une histoire vraie et librement adapté du roman de Jonathan Destin “Condamné à me tuer” (édition XO), l’unitaire démarre sur le geste désespéré de Jonathan, un adolescent en surpoids qui tente de mettre fin à ses jours en s’immolant par le feu. Pour comprendre ce qui l’a conduit à en arriver là, le CPE de son lycée entreprend de mener sa propre enquête. Pendant que les parents de Jonathan font face à l’impensable, l’émoi est fort dans l’établissement scolaire en particulier pour Tiffany, Clara et Antoine, des camarades pas innocents dans la décision de Jonathan de disparaître… Anne et Marine Rambach sont au scénario, Christophe Lamotte à la réalisation pour Ango Productions.

Difficile donc de ne pas penser à la série Netfflix, dont la saison 2 vient d’arriver sur la plateforme. Ce n’est pas le seul fait divers que TF1 est en train d’adapter en téléfilm. Il y a également Jacqueline Sauvage avec Muriel Robin en tournage actuellement.

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Three rocks, collected from the surface of the moon by a Soviet space mission in 1970, were sold for a whopping $855,000 at a New York auction on Thursday.

Sotheby’s auction house said the “moon rocks” are the only known documented lunar matter in private hands. They were offered for sale by an unidentified private American collector, who purchased them at auction in 1993 for $442,500.

Sotheby’s said that the buyer was an American, but did not disclose his/her name.

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A l’occasion de la sortie ce mercredi de “Jurassic World: Fallen Kingdom”, retour sur 10 dinosaures incontournables de la saga depuis “Jurassic Park”, du vélociraptor au T-Rex en passant par le ptéranodon et le brachiosaure.

1. Le vélociraptor
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© Universal Pictures

Le vélociraptor antirrhopus ou deinonychus

Période : Crétacé inférieur

Lieu : Centre-Ouest de l’Amérique du Nord

Régime : Carnivore

Taille : 3,5 m de long, 1,80 m de haut

On le voit pour la première fois dans Jurassic Park et le vélociraptor est la star de la saga avec le T-Rex, il apparaît donc dans tous les films de la saga. Une des scènes les plus emblématiques est certainement celle avec les enfants dans la cuisine dans le premier film.

Le tyrannosaurus rex

Période : Fin du crétacé

Lieu : Amérique du Nord

Régime : Carnivore

Taille : parfois plus de 13 m de long, 5 m de haut… et environ 8 tonnes

Il apparaît pour la première fois dans Jurassic Park, c’est l’autre star des films avec le vélociraptor. Le plan dans le rétroviseur “les objets dans le miroir sont beaucoup plus proches qu’ils n’en ont l’air” est l’un des plus incontournables avec le T-Rex. 

Le brachiosaurus

Période : Jurassique supérieur

Lieu : Centre de l’Amérique du Nord, Centre-Est de l’Afrique

Régime : Herbivore

Taille : 25 m de long, 12 m de haut

Après la visite du parc qui a mal tourné dans Jurassic Park, Sam Neill et les enfants grimpent dans un arbre et tombent nez à nez avec un brachiosaure. 

Le tricératops

Période : Crétacé supérieur

Lieu : Ouest des États-Unis

Régime : Herbivore

Taille : 9 m de long, 4,5 m de haut

Le tricératops est le dinosaure à cornes malade sur lequel tombent Sam Neill et Laura Dern dans Jurassic Park. Ellie et Alan sont d’ailleurs très émus de le sentir respirer.

Le dilophosaurus

Période : Jurassique inférieur

Lieu : Arizona, Asie

Régime : Carnivore

Taille : 6 m de long, 2,5 m de haut

Avec ses crètes qui se déplient lorsqu’il crie, c’est l’un des dinosaures les plus terrifiants de Jurassic Park. C’est lui qui tue Dennis (Wayne Knight).

Le compsognathus longipes

Période : Jurassique supérieur

Lieu : Sud de la France, Bavière

Régime : Carnivore, insectivore

Taille : 1 à 1,5 m de long, 30 à 80 cm de haut

Dans Le Monde perdu, dès la scène d’introduction où un troupeau attaque une petite fille. Plus tard, ils attaquent le personnage de Peter Stormare, dans une séquence hommage aux Oiseaux d’Hitchcock.

Le ptéranodon longiceps

Période : Crétacé supérieur

Lieu : Angleterre et Etats Unis

Régime : Piscivore 

Taille : 7,5 m d’envergure

A la fin du Monde perdu, dans le tout dernier plan, un ptéranodon se pose sur un arbre et lance un cri. 

L’ankylosaurus

Période : Crétacé supérieur

Lieu : Amérique du Nord

Régime : Herbivore

Taille : 10 m de long, 2,75 m de haut

Lorsque les personnages passent en bateau sur une rivière, dans Jurassic Park III, on peut notamment apercevoir un ankylosaure. 

Spinosaurus eagypticus

Période : Crétacé moyen

Lieu : Egypte, Maroc

Régime : Carnivore, piscivore

Taille : 15 m de long, 3 m de haut sans la voile

Le spinosaure est la star de Jurassic Park III. La scène la plus impressionnante, et la plus improbable (comme le film) est celle de l’avion, hommage à King Kong. La scène finale avec le bateau fait également partie des moments forts. 

Le mosasaurus maximus

Période : Crétacé supérieur

Lieu : Europe de l’Ouest et Amérique du Nord

Régime : Carnivore et piscivore

Taille : 18 m de long, 15 tonnes

Dans Jurassic World, le mosasaure est l’une des stars du parc. La foule se rassemble dans les gradins autour de son bassin pour le regarder surgir et dévorer un requin. 

L’indominus rex 

L’indominus rex est un dinosaure fictif, carnivore, d’environ 15 m de long pour 5 m de haut, n’ayant jamais existé et né de manipulations génétiques. Cet hybride contient des gènes de tyrannosaure, de vélocitaptor et de carnotaurus. C’est le grand méchant de Jurassic World et la scène qui l’oppose au T-Rex est le clou du spectacle. Bien sûr, c’est le tyrannosaure qui gagne.

L’indoraptor

L’indoraptor, également obtenu à partir de manipulations génétiques, est également un dinosaure qui n’a jamais existé. Il ressemble davantage au vélociraptor que l’indominus rex et ses dimensions lui sont d’ailleurs assez semblables. Reste à voir ce que donnera le combat entre indoraptor et vélociraptor.

La bande-annonce de Jurassic World: Fallen Kingdom :

Jurassic World: Fallen Kingdom Bande-annonce VO

 

We all understand the hardship of travelling in a train, dirty washrooms and stark scarcity of water. Also, many of us have been annoyed by the slow running water that takes forever to fill that steel mug?

Worry no more, as the Indian railways are inducing a system that will reduce water filling time from existing 20 minutes to only five minutes at stations. PTI reported that the system will be introduced in March next year at over 142 stations which have the water filling system for trains.

Photo: AFP

Pour la Fête des pères, la rédaction d’AlloCiné vous offre son “cinéma de papa”… Les rédacteurs se sont rappelé leurs meilleures séances d’enfants avec leur père. Des moments de transmission inoubliables qui ont lancé bien des vocations !

1. Top Gun (Yoann Sardet)
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Un papa mordu d’aviation, forcément, ça amène à découvrir Tom Cruise et ses copains pilotes très tôt. A sept ans dans mon cas, le temps que la VHS rejoigne la vidéothèque familiale et qu’on l’use littéralement en regardant le film CHAQUE week-end. C’est en tout cas le souvenir que j’en ai. J’en ai gardé des images très fortes de la mort de Goose (spoiler ?), des dogfights, de la rivalité entre Maverick et Iceman, de la bande originale de Harold Faltermeyer… Et un souvenir forcément gênant de l’inoubliable “Maverick, bête de sexe, fais-moi l’amour ou je ne réponds plus de mon corps !” A 7 ans, à côté de papa, on a très envie d’avoir la télécommande et de faire avance-rapide dans des moments-là…
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© Paramount Pictures

Top Gun (Yoann Sardet)

Un papa mordu d’aviation, forcément, ça amène à découvrir Tom Cruise et ses copains pilotes très tôt. A sept ans dans mon cas, le temps que la VHS rejoigne la vidéothèque familiale et qu’on l’use littéralement en regardant le film CHAQUE week-end. C’est en tout cas le souvenir que j’en ai. J’en ai gardé des images très fortes de la mort de Goose (spoiler ?), des dogfights, de la rivalité entre Maverick et Iceman, de la bande originale de Harold Faltermeyer… Et un souvenir forcément gênant de l’inoubliable “Maverick, bête de sexe, fais-moi l’amour ou je ne réponds plus de mon corps !” A 7 ans, à côté de papa, on a très envie d’avoir la télécommande et de faire avance-rapide dans des moments-là…

Top Gun 3D – Bande-annonce VO

Erin Brockovich, seule contre tous (Léa Bodin)

Un papa, ça peut aussi vous faire découvrir des films avec de grands personnages féminins. La preuve, le mien m’a fait découvrir, un soir à la télévision, quand j’étais ado, Erin Brockovich, de Steven Soderbergh. “Ce soir, il y a Erin Brockovich à la télé, avec Julia Roberts. Quoi, tu ne l’as pas vu ? Il faut absolument que tu voies ça !” Et hop, rassemblement dans la chambre des parents pour découvrir cette histoire incroyable de mère élevant seule ses enfants qui s’engage dans une bataille juridique contre une grosse société d’énergie après déterré des archives du cabinet de son avocat une affaire d’empoisonnement des eaux.

Erin Brockovich, seule contre tous Bande-annonce VF

L’Arme fatale 3 (Clément Cuyer)

Le premier vrai beau souvenir de cinoche avec mon papa, c’est avec L’Arme fatale 3, vu dans le 93 après un passage chez Flunch. J’avais 15 ans, lui une quarantaine déjà bien entamée. Un écart d’âge qui s’est volatilisé dès les premières secondes du film. J’avais alors senti entre nous une totale complicité. Nous ne formions plus qu’un, nos sourires béats devant le générique “enflammé” porté par la voix de Sting, moi serré contre lui lors de chaque scène d’action, nos éclats de rire devant les pitreries de Martin Riggs ou notre larme à l’oeil commune lorsque celui-ci se rapprochait toujours plus du “vieux” Murtaugh… De ces précieux moments, je n’ai absolument rien oublié.

L'Arme fatale 3 Bande-annonce VF

Le Parrain (Laetitia Ratane)

C’est d’abord cachée derrière le large fauteuil de mon père que j’ai assisté aux premières scènes de l’un des chefs d’oeuvres du cinéma, toute époque confondue. Je l’avais si souvent entendu siffloter l’air fascinant de Nino Rota… Ce fameux soir, j’aurais dû être couchée mais je n’ai pas pu m’en détacher. Il m’a sentie à un moment derrière lui : “Qu’est-ce que tu fais là? Où est ta mère? Tu devrais être au lit”. Je n’ai rien dit, jetant un oeil d’envie vers l’écran. Il a souri : “Allez viens-là, tu vas voir ce soir un film de Grand”. Par la suite tous les samedis après-midi, il m’a emmenée au videoclub du coin, me laissant choisir ces films tous plus fous, enthousiasmants, plus ou moins interdits et marquants. Le début à ses côtés des Grands films de Grands.

Le Parrain Bande-annonce VO

Le Bon, la brute et le truand (Gauthier Jurgensen)

Souvenir. J’ai 29 ans et je creuse une tombe sous la pluie au fond du jardin de mes parents… C’est pour mon chat qui vient de s’éteindre, après une longue et belle vie de félin. Alors que je suis fourbu et trempé jusqu’aux os, j’aperçois mon père qui vient lentement vers moi, sa canne à la main. Arrivé au bord du trou, il me lance : “Tu vois, le monde se divise en deux catégories…”
J’avais cinq ans quand il m’a montré Le Bon, la brute et le truand. Depuis, il n’a jamais eu besoin de me citer une réplique du film jusqu’au bout. Je sais : “…ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent.” Et justement, moi, je creuse.

Le Bon, la brute et le truand Bande-annonce VO

 

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In a bid to curb the menace on roads and keep public safety intact, around 15,000 police personnel will be deployed across the national capital to ensure that New Year’s celebrations go off smoothly.

“We have deployed around 15,000 police personnel across Delhi to maintain the law and order situation on the eve of New Year to ensure that the celebrations go smoothly,” Madhur Verma, Deputy Commissioner of Police (New Delhi), told PTI.

Representational image

Le long métrage “Dragon Ball Super” opposera Gokû et Vegeta au Saiyen légendaire Broly, intégré pour la toute première fois dans la chronologie officielle de la saga animée.

1. L'affiche de Dragon Ball Super: Broly
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© Tôei Animation Company

Le film Dragon Ball Super: Broly a enfin dévoilé son titre, et par la même occasion son grand méchant. Décrit précédemment comme un “nouvel” adversaire surpuissant lié à la mythologie des Saiyens, le protagoniste du long métrage sera donc Broly, un personnage déjà connu des fans mais intégré pour la toute première fois à la chronologie officielle de la saga.

Apparu dans trois films par le passé (Broly le super guerrier, Rivaux dangereux et Attaque Super Warrior!), Broly n’avait jamais été considéré comme un personnage “canon”, puisqu’il n’a pas été créé par Akira Toriyama et n’est par conséquent jamais apparu – ni même été mentionné – dans le manga, malgré son immense popularité.

Dragon Ball Super : de nouvelles images du film dévoilées

Guerrier surpuissant et légendaire, Broly avait été rendu fou par les crises de larmes de bébé Gokû (les deux personnages sont nés le même jour). Contenue par un diadème magique, la colère de Broly avait explosé alors que les deux personnages s’étaient de nouveau fait face plusieurs années après la destruction de la planète Vegeta dans le film Broly, le super guerrier.

Rappelons que Dragon Ball Super: Broly sortira dans les cinémas japonais le 14 décembre prochain (aucune date de sortie française connue pour le moment). La bande-annonce du film sera, quant à elle, dévoilée dès le week-end prochain, lors de la Comic-Con de San Diego.

Quiz Dragon Ball Super : testez vos connaissances avec 20 questions

“Mission : Impossible – Fallout- fait une entrée tonitruante au sommet du Box Office français, en attirant 1,17 millions de spectateurs. “Hôtel Transylvanie 3” est logiquement rétrogradé à la seconde place.

1. 5 – Mamma Mia! Here We Go Again : 183 148 entrées
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© Universal Pictures International France

La sortie de Mission : Impossible – Fallout donne un coup de boost au box-office français, en attirant près  d’1,2 millions d’entrées qui correspond à 34% de part de marché, et avec une belle moyenne de 1190 entrées par écran. Ces chiffres situent ce 6e opus en 4e position de la franchise, derrière Mission : Impossible – Rogue Nation, qui avait attiré 1,23 millions de spectateurs en août 2015, Mission : Impossible qui avait démarré en octobre 1996 et avait atiré 1,71 millions de spectateurs, et Mission : Impossible 2 qui dépassait 1,6 million en juillet 2000. Il fait toutefois mieux que Mission : Impossible protocole fantôme (830 000 en décembre 2011) et Mission : Impossible III (996.860 en mai 2006). Décidément, Paramount peut toujours compter sur Tom Cruise, valeur sûre du Box Office.

Rétrogradé logiquement sur la seconde marche du podium, le film d’animation Hôtel Transylvanie 3 voit sa fréquentation baisser de 32%. La franchise vampirique parvient quand même à drainer 556.049 spectateurs supplémentaires durant sa seconde semaine d’exploitation, portant son cumul à plus de 1,3 millions de tickets vendus. Belle performance, car les deux précédents opus avait atteint les 1,3 millions pour leurs 4ème semaine pour le premier en 2013 et 3ème semaine pour le second, sorti en 2015.

Entré dans sa cinquième semaine d’exploitation, Les Indestructibles 2 continue de cartonner, puisqu’il cumule désormais plus de 4,5 millions d’entrées. A noter d’ailleurs que le film n’est qu’à 17 minuscules millions de $ de dépasser Toy Story 3 et de devenir le plus grand succès de l’histoire de Pixar !

Saluons enfin la jolie performance de My Lady, le superbe film emmené par Emma Thompson, seule autre nouveauté à atteindre le top. Le film fait son entrée à la 7ème place avec 123.492 spectateurs en première semaine. C’est le meilleur demarrage du réalisateur Richard Eyre. Son précédant film, Chronique d’un scandale en 2007, avait attiré 82.448 spectateurs en première semaine.

Box-office France du 1 au 8 août 2018 : le Top 10

Rang (Rang précédent) Film Entrées Cumul

1 (Nouveauté)
Mission : Impossible – Fallout
1 169 669
1 169 669
2 (1er)
Hôtel Transylvanie 3
556 049
1 379 207
3 (2e)
Les Indestructibles 2
371 034
 4 530 098
4 (3e)
Ant-Man et la guêpe
252 965
1 401 340
5 (4e)
Mamma Mia ! Here we go Again
183 148
 488 901
6 (5e)
Ma Reum
127 743
 551 335
7 (Nouveauté)
My Lady
123 492
 123 492
8 (7e)
American Nightmare 4
77 812
 924 274
9 (8e)
Jurassic World : Fallen Kingdom
69 440
3 526 286
10 (6e)
Skyscraper
68 353
606 271

Ci-dessous, la bande-annonce des nouvelles (més)aventures de Tom “Ethan Hunt” Cruise…

Mission Impossible – Fallout Bande-annonce VO

 

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Découvrez la bande-annonce de The Hate U Give, film américain coup de poing sur les brutalités policières qui secouent les Etats-Unis depuis quelques années maintenant.

C’est après la mort du jeune Oscar Grant à Fruitvale Station en 2009 qu’Angie Thomas, alors étudiante, écrit une courte nouvelle sur les violences policières à l’encontre de la population afro-américaine. Quelques années plus tard, alors que le pays a fait face à d’autres faits de ce genre qui ont abouti à la naissance du mouvement de protestation Black Lives Matter, la jeune femme décide d’en faire un livre à travers lequel elle peut exprimer toute sa colère : paru en février 2017, The Hate U Give est un véritable carton et Hollywood s’en offre rapidement les droits. L’adaptation, réalisée par George Tillman Jr. (Notorious B.I.G.), se dévoile dans cette première bande-annonce. Sous-titré en français “La haine qu’on donne”, le film nous raconte l’histoire de Starr, une jeune lycéenne qui est témoin de la mort de son meilleur ami d’enfance, tué par balles par un officier de police. Confrontée aux nombreuses pressions de sa communauté, Starr doit trouver sa voix et se battre pour ce qui est juste. Les quelques images dévoilées ici annoncent un film poignant et fort.

C’est l’actrice Amandla Stenberg, vue dans Hunger Games et le récent Darkest Minds, qui a été choisie pour prêter ses traits à l’héroïne. Elle même militante, elle s’offre grâce à ce film le rôle de porte-parole. Car nul doute que The Hate U Give, de par son sujet difficile, a aussi un message à faire passer. Sorti aux Etats-Unis en octobre dernier, le long-métrage a été un véritable succès critique.

Côté casting, outre Amandla Stenberg, les spectateurs pourront aussi y retrouver Regina Hall, Russell Hornsby, Issa Rae (Insecure) et le rappeur Common. The Hate U Give – la haine qu’on donne ne sortira en France que le 23 janvier prochain.

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Column: Alexander Hamilton saw this coming

December 2, 2019 | News | No Comments

WASHINGTON — 

The grounds for impeaching President Trump aren’t hard to find. They’re clearly stated in the spare words of the Constitution.

“The President, Vice President and all civil Officers of the United States, shall be removed from Office on Impeachment for, and Conviction of, Treason, Bribery, or other high Crimes and Misdemeanors.”

This week, the House Judiciary Committee takes up two critical questions:

Does Trump’s scheme to persuade Ukraine’s president to announce an investigation of Democrats, including Joe Biden, qualify as bribery?

If not, was it a serious abuse of power — a “high crime or misdemeanor”?

To help find the answers, I looked up the debates in the 1787 Constitutional Convention in Philadelphia that produced the impeachment language.

It wasn’t clear, at first, that the Constitution would include impeachment. One influential delegate, Gouverneur Morris of Pennsylvania, thought it wasn’t necessary.

Let the voters decide, he suggested; if a president is reelected, “that will be sufficient proof of his innocence.”

Others disagreed. “Shall any man be above justice?” demanded George Mason, a leading conservative from Virginia.

Mason worried that a corrupt president might contrive to fix his own reelection.

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“Shall the man who has practiced corruption, and by that means procured his appointment in the first instance, be [allowed] to escape punishment by repeating his guilt?”

James Madison of Virginia added another reason: A future president “might betray his trust to foreign powers,” he warned.

At that, Morris announced that he had changed his mind.

“No one would say that we ought to expose ourselves to the danger of seeing the first magistrate in foreign pay,” he said, according to the minutes Madison kept.

By “high crimes and misdemeanors,” a phrase that seems maddeningly broad today, they meant acts against the integrity of the republican system they were designing, not violations of the federal criminal code.

Morris said the clause was intended to cover “attempts to subvert the Constitution.” Alexander Hamilton, a delegate from New York, wrote that it meant “the abuse or violation of some public trust.”

By Hamilton’s standard, Trump’s withholding military aid to Ukraine while he asked its leaders to investigate Biden, the former vice president, qualifies as a “high crime,” hands down.

But bribery, since it’s specifically cited in the Constitution, would be a clearer case to take to the country. And House Speaker Nancy Pelosi (D-San Francisco) argues that the evidence supports a bribery charge.

“What the president has admitted to [in his July 25 phone call with Ukraine’s president], I say it’s perfectly wrong,” she told reporters. “It’s bribery.”

Rep. Adam B. Schiff (D-Burbank), chairman of the House Intelligence Committee, agreed, although the former federal prosecutor was a little more lawyerly.

“An official act was conditioned on political favors the president wanted for his election,” Schiff told NPR. “As the founders understood bribery, it was not as we understand it in law today. It was much broader. It connoted the breach of the public trust in a way where you’re offering official acts for some personal or political reason, not in the nation’s interest.”

The House can also charge Trump with other abuses of power — for example, failing to execute the law that provided the aid for Ukraine.

Officials in the Defense Department and the White House Office of Management and Budget warned privately at the time that blocking the aid was probably illegal.

Expect vigorous debate in the weeks ahead about what constitutes bribery, as well as other abuses of power that might warrant impeachment.

The late Charles L. Black Jr. of Yale Law School defined those abuses this way: “Offenses which are extremely serious, which in some way corrupt or subvert the political and governmental process, and which are plainly wrong in themselves to a person of honor.”

Or there’s the definition Vice President Mike Pence offered in 2008 when he was a GOP congressman from Indiana: “This business of high crimes and misdemeanors goes to the question of whether the person serving as president of the United States put their own interests, their personal interests, ahead of public service.”

Pence and his fellow Republicans have largely abandoned that standard in the age of Trump.

“An impeachable offense should be compelling, overwhelmingly clear and unambiguous, and it is not something to be rushed or taken lightly,” Rep. Will Hurd (R-Texas), who is retiring, said in one of the House hearings. “I have not heard evidence proving the president committed bribery or extortion.”

Indeed, For Trump’s supporters, the definition of an impeachable offense remains just blurry enough that they can always deny it has been met.

For a picturesque example, there’s the argument of Rep. Mac Thornberry (R-Texas) that while the president may have abused power, it was just Trump being Trump.

“There’s not anything that the president said in that phone call that’s different than he says in public all the time,” Thornberry said last month. “Is there some sort of abuse of power that rises to a threshold that is different than the American people have been hearing for three years? I don’t hear that.”

Besides, Thornberry said in an all-purpose deflection that echoed Gouverneur Morris’ initial argument in Philadelphia 232 years ago — before he changed his mind: “We have an election coming up…. Let the American people decide this.”

Hamilton, of course, saw this coming long before he got a musical on Broadway.

Impeachment is almost certain “to agitate the passions of the whole community, and to divide it into parties more or less friendly or inimical to the accused,” he wrote in the Federalist Papers.

“There will always be the greatest danger that the decision will be regulated more by the comparative strength of parties, than by the real demonstrations of innocence or guilt.”