Month: December 2019

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Bientôt à l’affiche de “Kong : Skull Island”, Brie Larson s’est exprimée sur son prochain défi, à savoir incarner “Captain Marvel” sur grand écran. Le tout en plaisant à tous les fans, ce qui relève de la mission impossible selon l’actrice.

1. Look possible pour Brie Larson en Captain Marvel : les cheveux longs
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© Marvel

De King Kong au Marvel Cinematic Universe, il n’y a visiblement qu’un pas de gorille que Brie Larson s’apprête à franchir à grandes enjambées. Attendue face au primate le plus célèbre de l’Histoire du cinéma le 8 mars grâce à Skull Island, la comédienne jouera ensuite les super-héroïnes en prêtant ses traits à Captain Marvel, long métrage qui n’a pas encore de réalisatrice et dont elle ne peut pas parler. Ce qui n’empêche pas les fans de lui faire part de ses doléances.

“J’ai l’impression d’être au milieu d’une énorme conversation”, raconte l’actrice oscarisée en 2016 à IGN. “Et chaque jour des gens me crient dessus sur Twitter en me disant que j’ai intérêt à avoir les cheveux longs, ou la crête, ou le casque, ou pas de casque, donc je pense que quelqu’un va devenir dingue [en découvrant le résultat].” Alors qu’elle n’a même pas commencé le tournage, Brie Larson sait déjà qu’elle est attendue au tournant.

Nous sommes loin de l’euphorie lors de sa présentation au Comic-Con :

Brie Larson est Captain Marvel

Mais contenter les fans n’est visiblement pas la plus grosse de ses difficultés : “Il m’est très difficile de résumer ce que [Captain Marvel] représente pour moi”, poursuit la future interprète de Carol Danvers. “Quand j’étais petite, j’ai été perdue vis-à-vis de ce qu’un héros était, ce que je voulais devenir en grandissant et ce qui me semblait être important. Il me paraît donc compliqué de grandir et tenter de devenir un symbole de vérité tout en naviguant à travers les questions étranges qui vont avec ce passage à l’âge adulte, et ça me rend émotive rien qu’en en parlant.”

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“Le fait que [Captain Marvel] fasse le lien entre deux mondes, qu’elle puisse aussi bien évoluer sur Terre que dans l’espace et que son petit nid se situe dans cette petite zone, entre la fin de la Terre et le début de l’espace, et qu’il s’agisse uniquement du sien, me touche beaucoup (…) J’ai me sens très inspirée grâce aux comic books que je lis en ce moment.”

Attendu dans nos salles le 6 mars 2019, Captain Marvel pourrait enregistrer le retour de Nick Fury aux affaires. Mais il y a de très fortes chances pour que la super-héroïne fasses ses premiers pas aux côtés des Avengers dans Infinity War, le 25 avril 2018, ce qui signifie qu’un aperçu de son look pourrait bientôt nous être dévoilée. Une fois que son interprète aura échappé aux griffes de King Kong.

Kong : Skull Island Bande-annonce VOST

After a brief lull of nearly a week without any WhatsApp-triggered lynching incidents, the lynch mob has struck again, this time in Bidar district of Karnataka on Friday night. And the reason behind the lynching was the same, the crowd was convinced by information they received on WhatsApp that the strangers they had found was a child lifter!

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But on the receiving end was Mohd Azam, a Hyderabad based techie who worked for Google, who succumbed to the attack, while two others are battling for their lives. Read more

Enora Malagré, qui souffre d’endométriose depuis huit ans, se bat pour éveiller les consciences sur cette maladie. Et son combat prend une nouvelle forme : un livre, qui sera publié dans quelques mois.

L’endométriose : une maladie méconnue il y a quelques années, mais qui sort de l’ombre grâce à des personnalités qui en souffrent, et qui ont décidé de lever le voile sur leur combat. On pense à Lorie Pester, Laetitia Milot ou encore Enora Malagré, qui se confient sur leurs maux à renforts d’interviews et d’engagements associatifs. Cette dernière, anciennement chroniqueuse dans Touche pas à mon Poste, va évoquer le sujet dans son premier livre.

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Elle a annoncé la nouvelle sur son compte Twitter ce mercredi 3 juillet : “Voilà… Je termine l’écriture de mon premier livre, j’ai imprimé les pages… Pour que ça existe… Que je réalise. Me voilà toute émue du coup ! Il s’y dit beaucoup de choses… J’espère que ça vous plaira. Il sort en octobre. Une belle rentrée s’annonce” Une vidéo dans laquelle elle tourne les pages de l’ouvrage, bientôt publié aux éditions Leduc., dévoile son titre : Un cri du ventre.

Quelques heures après cette annonce, Enora Malagré, qui a confié récemment qu’elle ne pourra pas avoir d’enfant à cause de la pathologie, a précisé : “Pour répondre à vos très très nombreux MP ou autres, le livre parle effectivement de l’endométriose mais pas que… Beaucoup de vérités sont dites, et puis j’espère aussi vous faire sourire car croyez-moi dans la vie il y a toujours matière à rire.” Pour l’animatrice et chroniqueuse, qui souffre d’endométriose depuis huit ans, ce livre est aussi une manière de positiver.

Crédits photos : Bestimage

Avec son ton mélancolique et désenchanté, l’israélien “Personal Affairs” offre une vision décalée et inhabituelle de la vie quotidienne au Moyen-Orient. Entretien avec une réalisatrice qui s’intéresse aux rapports humains.

Personal Affairs est votre premier film. Pouvez-vous nous parler un peu de vous ? Comment êtes-vous entrée dans le monde du cinéma ?

Maha Haj : J’ai toujours été fascinée par le monde du cinéma, mais je n’ai jamais étudié ou rêvé d’être cinéaste. Je savais que j’aimais vraiment la littérature, la musique et les arts, mais rien de plus précis que cela. Mon enseignement secondaire s’est articulé autour des littératures anglaise et arabe. J’ai enseigné dans des lycées pendant un certain temps et travaillé sur des traductions. J’ai ensuite commencé à m’essayer à l’écriture de scénarios courts jusqu’à ce qu’un ami m’approche pour écrire pour un long métrage, qui a obtenu un financement. Cela m’a encouragée à continuer à écrire. C’est comme ça que j’ai écrit et réalisé mon premier court métrage en 2008, Oranges (Young Audience Award, CINEMED). Et c’est là que j’ai dû apprendre la réalisation.

Le premier jour de tournage d’Oranges a été mon premier jour sur un plateau de cinéma. Je me souviens que tous les acteurs et membres de l’équipe étaient là, la caméra prête à tourner, et moi regardant par l’oeilleton. J’étais tellement fascinée par la façon dont tout est vu à travers la lentille que le directeur de la photographie, mon mari Ehab Assal, a dû me prévenir que tout le monde m’attendait pour commencer (…) J’étais extatique. Et je savais que c’était ce que je voulais faire pour le reste de ma vie. Après la réalisation d’Oranges, j’ai travaillé comme directrice artistique sur plusieurs films, dont The Time that Remains (2009) d’Elia Suleiman, et en 2012, j’ai commencé à écrire Personal Affairs.

Votre film offre une vision pacifique de la vie quotidienne des Palestiniens. Vous vous concentrez sur 3 couples et leurs relations. Mais la menace n’est jamais loin d’eux. Tout peut être ruiné en un clin d’oeil, comme dans la scène de point de contrôle.

Alors que les couples dans le film vivent dans un calme relatif, leur vie n’est pas nécessairement si pacifique. Elles sont pleines de tensions et de problèmes quotidiens. Vivre dans une réalité colonisée ne fait qu’ajouter à cela. La frustration, l’ennui et le côté morne de la vie conjugale sont intensifiés par la situation extérieure. Et un incident anodin à un check point peut prendre des proportions dramatiques.Tout comme la vie de la grand-mère, la réalité est suspendue à un fil. C’est une bombe à retardement qui pourrait exploser à tout moment.

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Dans votre film, l’humour est proche de celui qu’Elia Suleiman a utilisé pour Intervention divine. On pense aussi à l’humour d’Aki Kaurismaki. Sont-ils deux de vos influences? Quelles sont vos autres influences ?

Je ne peux pas dire si je suis influencé par Elia Suleiman ou d’autres, mais j’aime ce genre de cinéma. Dans le cas particulier d’Elia Suleiman, nous partageons la même ville et avons grandi dans un environnement similaire. Peut-être que nous partageons la même vision de notre réalité, qui pourrait se traduire par des approches similaires. Et peut-être que l’humour impassible est capable d’embrasser toutes les complexités d’une situation qu’il serait difficile d’exprimer autrement. Je suis aussi une grande admiratrice d’Ingmar Bergman, de Nuri Bilge Ceylan, d’Abbas Kiarostami, de Roy et des frères Coen.

Tatum O’Neal a fait part de sa réaction au documentaire polémique sur Michael Jackson, Leaving Neverland, consacré au Roi de la pop et aux accusations de pédophilie qui pèsent contre lui.

Des millions de téléspectateurs ont découvert en mars 2019 le documentaire Leaving Neverland, dans lequel James Safechuck et Wade Robson accusent Michael Jackson, qu’ils ont rencontré lorsqu’ils étaient enfants, d’attouchements sexuels. Si certains dénoncent des mensonges éhontés, d’autres ont été convaincus par les témoignages des deux Américains. Parmi eux, Tatum O’Neal, l’ex-petite amie du chanteur décédé en 2009. L’actrice américaine, aujourd’hui âgé de 55 ans, a révélé qu’elle n’avait pas été surprise par ces accusations.

Interrogée mercredi 10 juillet lors de l’émission Good Morning Britain, Tatum O’Neal confie que, si elle n’a jamais été témoin de ce genre de comportement de la part du chanteur, il est “difficile de ne pas croire ces garçons”.Je suis convaincue que Michael était un pédophile, a lâché l’actrice dans des propos rapportés par le Sun.

“Ça ne me rend pas malade, a-t-elle pour autant ajouter. Il y a tellement de choses dégoûtantes sur Hollywood qui sont lentement en train d’être révélées…” Des propos qui risquent de ne pas plaire aux fans du Roi de la pop, déjà vent debout contre le documentaire et ses protagonistes.

Tatum O’Neal, également connue pour avoir fréquenté Jean-Claude Van Damme ou encore Albert de Monaco, a rencontré Michael Jackson lorsqu’elle avait 12 ans. Le chanteur, lui, en avait 17. Si elle a décrit leur relation comme “une formidable amitié”, dans le documentaire Living with Michael Jackson,diffusé en 2004, la star l’avait décrite comme sa “première petite amie”.

Crédits photos : Action Press / Bestimage

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Everybody likes a story where an underdog struggling through life gets all the riches he ever dreamed of. These stories usually come true in books and movies only. However, there are rare times when rags-to-riches stories come true in real life.

A similar story was found recently, when income-tax raid on a goat-seller’s son has unearthed unaccounted cash of over Rs 163 crore and 100 kg of gold. The cash and gold were stashed in 10 different places including high-end cars.

afp

Diffusé avant “Logan” dans les salles américaines, le court métrage “No Good Deed” qui met en scène Deadpool est à la fois savoureux… Et bourré de clins d’oeil ! En voici onze !

1. Le film "Logan" diffusé dans un cinéma de quartier
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Savoureuse mise en abîme. Le film Logan apparaît vers 00”43, lorsque Ryan Reynolds / Deadpool se met à courir vers la cabine téléphonique pour se changer.
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© Marvel Studios

Vous vous demandiez peut-être ce qui se disait dans le long texte qui défile à toute allure, à la fin du petit court métrage annonçant Deadpool 2 ? Comme précisé dans notre diaporama, il s’agit d’une relecture du Vieil Homme et la mer d’Ernest Hemingway, revu et bien corrigé par Deadpool Himself !

Ci-dessous, la traduction intégrale du texte :

« Le Vieil Homme et la mer » est l’histoire d’une bataille entre un vieux pêcheur accompli, Santiago, et un très gros poisson. Genre… ENORME. L’histoire commence sur Santiago qui souffre d’avoir passé quatre-vingt-quatre jours sans une seule prise parce qu’il est le plus malchanceux des vieux fils de p*** sur Terre. Franchement, si vous étiez sur un bateau pendant quatre-vingt-quatre jours, ce serait difficile de ne PAS choper un poisson… même par accident. Santiago n’avait tellement pas de bol que même son apprenti, Manolin, s’était fait interdire par sa Maman et son Papa d’aller pêcher avec lui. Mais, comme disait le Prince de Bel Air : « Les parents, ça pige rien ». Du coup, le gosse va faire un tour dans la cabane de Santiago. Le tout en ne faisant pas attention aux risques encourus quand on rend visite à un vieux qui se parle à lui-même. Manolin se rend utile en bougeant le matos de Santiago à gauche à droite, en faisant la bouffe et en lui parlant baseball. Surtout de Joe DiMaggio ; qui jouait à touche-pipi avec Marilyn Monroe. Le jour d’après, Santiago dit à Manolin qu’il part sur le Courant du Golfe. TRES LOIN au Nord de Cuba. Dame Chance est de retour ! Au quatre-vingt-cinquième jour de sa déveine, Santiago lance sa ligne et à midi, il sent mordre ce qui semble être un gros poisson de bâtard. Il est sûr d’avoir gagné. Il se bat encore et encore, mais pas moyen de le remonter à bord. La vieille barcasse de Santiago qui prend la flotte se fait trainer pendant deux jours et deux nuits tandis que le vieux briscard s’accroche à sa vie. Bien qu’en sang et crevé, Santiago commence à apprécier son terrible adversaire. Il se met à l’appeler « Frère » et même « Frangin ». C’est un peu une histoire d’amour, quand on y pense. Et comme dans la plupart des comédies romantiques, le lecteur s’imagine un montage sympa à la Pretty Woman où ils se changent, suivi d’un inévitable mariage inter espèces. Mais, le troisième jour, Santiago est LESSIVÉ, et il décide qu’il veut juste que le poisson fasse ce qu’il lui dit de faire et arrête de nager là où il veut. Donc il le plante. Avec un put*** de harpon. C’est le bordel. Dégueu. Du sang partout. Parce que, comme la plupart des hommes de son âge, Santiago a du mal à exprimer ses émotions et ses peurs avec des mots et se contente de ses bas instincts en imposant ses opinions infiniment mauvaises sur n’importe quel sujet via une violence aveugle. Classique. Bref, il attache le merlan à l’arrière de son rafiot et se rentre à la maison, prêt à se la raconter à mort devant tout le monde et à probablement arnaquer les gens sur le prix du poisson. Mais vous savez quoi ? Très vite, des requins se mettent à attaquer la carcasse sanglante du merlan, parce que comme chacun sait, la vie n’est qu’un tragique opéra et juste quand on croit avoir trouvé quelque chose de beau et de vrai, des requins se pointent et vous le déchirent en put*** de lambeaux en pourtant votre dignité avec leur teubs de requins lubriques et chelous. Bien sûr, Santiago essaie d’en tuer quelques-uns, mais il lâche son harpon parce que ses mains sont aussi vieilles que lui. Quand la nuit tombe, les requins ont bouffé presque tout le merlan. Il ne reste plus qu’un squelette tout blanc qui se fout de sa gueule en silence dans l’obscurité. Santiago réalise alors qu’il n’a pas de bol. VRAIMENT pas de bol. (Bah ouais !) Il appelle les requins des « assassins de rêves ». Ce qui n’est pas tout à fait juste. Je veux dire, les requins faisaient juste leur boulot et le merlan… bon sang, me parlez même pas du merlan ! Il se baladait simplement un beau jour, en s’occupant de ses affaires, peut-être en se demandant ce qu’il pouvait faire aujourd’hui pour être un meilleur chef de famille et BIM ! Coup de harpon dans la tête. Qui c’est, l’ « assassin de rêves » maintenant, connard ? L’hypocrisie n’a pas de limite, quand on en est là. Pour finir, Santiago revient à terre. En laissant les restes du merlan dans le bateau, il se traîne jusqu’à sa cabane. Il y arrive et s’écroule, comme je l’ai déjà dit : il est super fatigué. Le jour suivant, des marins se regroupent autour du bateau de Santiago. Un d’eux mesure le poisson et, put*** de bordel de m**** ! Il fait plus de 5 mètres de long ! La tête du poisson est offerte à Pedrico (bizarre vu que c’est la première fois qu’on entend parler de lui) et le reste des pêcheurs demande à Manolin de transmettre leurs joyeuses félicitations au vieil homme. Manolin amène le journal et un café à Santiago et quand il se réveille, ils décident de repartir pêcher. Des années plus tard, il y a un restaurant Red Lobster dans presque chaque ville des Etats-Unis, qui propose un service tout à fait convenable et une place de parking facile d’accès.”

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Carla Bruni semble apprécier chaque moment passé auprès de son mari Nicolas Sarkozy et de leur fille Giulia, comme elle prouve encore une fois une tendre photo postée sur Instagram.

Carla Bruni-Sarkozy est complètement gaga de sa fille : l’Instagram de l’ex-Première dame regorge de tendres clichés de Giulia, la petite fille qu’elle a eue avec Nicolas Sarkozy. Qu’elle soit en train de danser en maillot licorne, ou lui apportant un petit déjeuner surprise pour la fête des mères, l’enfant continue chaque jour d’émerveiller sa maman. Mais ce jeudi 18 juillet c’est un cliché encore plus tendre que l’interprète de Chez Keith et Anita a posté sur son compte Instagram. On y découvre la petite Giulia, sept ans et demi, enlaçant son papa, la tête délicatement posée sur son épaule, peut-être lui chuchotant un secret à l’oreille.

Une adorable pause câlin pendant des vacances familiales, que Carla Bruni légende ainsi : “Mes amours. I miei amori“. Une phrase complétée par des hashtags qui sentent bon l’amour et les longues vacances au soleil : loveistheanswer (“l’amour est la réponse”), myheartbelongstodaddy (“mon coeur appartient à Papa”) et une kyrielle d’emojis rouges : coeurs, roses, pastèques, fraises. Un été sous le signe de la communion familiale et de l’amour, visiblement.

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Mes amours ….. @nicolassarkozy & G. ?❤️❤️?❤️? I miei amori …. ?❤️??? #loveistheanswer #myheartbelongstodaddy #summertenderness ?????❤️

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Crédits photos : Bestimage

A comedy of errors by the district police pushed commuters in Puttur into thinking that the government had hurriedly introduced a new rule: making helmets compulsory for auto drivers!

The rumour got a fillip with a receipt, issued by the police fining an auto driver for not wearing helmet, going viral on social media.

Police from the Puttur station on Monday charged an auto rickshaw driver ferrying school children Rs 700, citing two violations – carrying more than three passengers and not wearing a helmet.

Dan Trachtenberg, le réalisateur de “10 Cloverfield Lane”, est en lice pour réaliser un nouveau film de science-fiction.

Variety rapporte qu’Universal a fait l’acquisition des droits de Space Race, un script de science-fiction écrit par Daniel Kunka. Le studio courtiserait Dan Trachtenberg pour mettre en scène le scénario. Aucune information quant au synopsis de Space Race n’a été dévoilée, si ce n’est qu’il s’agit d’une histoire de science-fiction.

Si le projet se concrétise, il s’agira de la deuxième collaboration entre Kunka et Trachtenberg qui travaillent actuellement sur Crime of the Century, un autre film de SF. Un genre qui décidément sied particulièrement à Dan Trachtenberg puisque le réalisateur a été révélé avec Portal :No Escape, un court-métrage tourné en 2011 qui s’inspire du jeu vidéo de Valve. On y suivait une jeune femme qui cherche à tout prix à s’évader d’une pièce dont elle est prisonnière.

Un pitch qui n’est pas sans rappeler son 1er long-métrage, 10 Cloverfield Lane, film rattaché à l’univers de Cloverfield sorti en 2008. Le cinéaste a ensuite réalisé l’un des épisodes de la saison 3 de Black Mirror dans lequel Wyatt Russell (fils de Kurt) était bloqué dans un jeu à réalité augmentée.

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