Month: January 2020

Home / Month: January 2020

David Guetta nous présente Jessica

January 18, 2020 | News | No Comments

Très attendu par les photographes à l’Elysée lundi soir, David Guetta a donné le change. Invité à la table du président cubain Raul Castro, le DJ en a profité pour présenter à tous sa nouvelle amoureuse.

Il y a quelques mois encore, nous nous demandions comment David Guetta tenait le coup. Appelé à mixer partout dans le monde, le DJ s’impose un mode de vie très strict pour tenir le coup. “Je suis un Jedi! Ni alcool, ni tabac, ni drogue… Sport et régime” confiait l’auteur de Hey Mama au Parisien Magazine. Mais l’ingrédient ultime de sa réussite est encore et toujours l’amour.

Hier soir, David Guetta a répondu présent à l’invitation de L’Élysée afin d’assister au dîner donné en l’honneur de Raul Castro. Le DJ a prévu de donner prochainement un concert à La Havane et compte bien sur le soutien des autorités. Mais le quadragénaire a déjà de son côté l’une des plus jolies recrues de l’île. Jessica Ledon, mannequin et actrice de 22 ans, originaire de Cuba, partage la vie du Français depuis plusieurs mois. Préférant vivre sa nouvelle idylle à l’ombre des projecteurs, David Guetta a finalement céder à l’envie de montrer au monde son nouvel amour.

Habillé d’un costume cravate, dont il est peu coutumier, le DJ est sorti de sa voiture pour jouer les gentlemen et tendre une main à Jessica pour l’aider à sortir. Le couple ne s’est ensuite pas lâché une seule seconde et ils ont traversé souriants et main dans la main la cour de l’Elysée. David et Jessica ont finalement posé quelques instants sur le perron, juste le temps d’immortaliser leur douce idylle.

Hugh Jackman son combat contre le cancer

January 18, 2020 | News | No Comments

Hugh Jackman, atteint d’un cancer de la peau, vient d’être opéré pour la cinquième fois en moins de trois ans. Il profite de son malheureux exemple pour faire de la prévention auprès de ses fans.

À 47 ans, Hugh Jackman vient de se faire opérer d’un cancer de la peau, pour la cinquième fois en deux ans et demi. Il est atteint d’un carcinomes basocellulaires, une forme de cancer de la peau, conséquence directe d’une mauvaise exposition au soleil. Très bien soigné, cette maladie ne met que très rarement la vie du patient en danger. Par contre, si elle peut détruire les tissus lorsqu’elle n’est pas traitée à temps, et peut laisser des cicatrices.

Hier, sur son compte Instagram, l’acteur en a profité pour mettre en garde ses fans, et leur donner des conseils pour ne pas se retrouver dans son cas. “Un exemple de ce qui arrive quand on ne met pas de crème solaire. Basocellulaire. Le type de cancer le moins agressif, mais quand même sérieux. S’il-vous-plaît, mettez de la crème solaire et allez régulièrement chez le médecin”, a-t-il noté, en légende d’une photo de lui, où il apparaît avec un pansement sur le nez.

C’est en novembre 2013 que le cancer d’Hugh Jackman a été diagnostiqué. Le premier signe de la maladie: une tâche sur la peau, repérée par sa femme, Deborra-Lee Furness. “Deb m’a dit de faire vérifier une marque sur mon nez. Et on peut dire qu’elle a eu raison ! J’avais un carcinome basocellulaire. S’il vous plaît, ne soyez pas aussi stupide que moi. Faites vous contrôler. Et mettez de la crème solaire !!!”

Crédits photos : SIPANY/SIPA

Edouard Baer déchaîne sa colère sur Facebook

January 18, 2020 | News | No Comments

Sur sa page Facebook, Edouard Baer a publié dans la nuit une tribune “coup de gueule” contre le récent remaniement du gouvernement. Soutien des socialistes, l’acteur est aujourd’hui déçu des choix de François Hollande.

Amoureux du verbe et jamais effrayé à l’idée de prendre position, Edouard Baer s’insurge contre ce qui lui semble être une aberration. Dans un long texte découpé en paragraphes, comme des tirades, l’acteur fait part sur Facebook sa colère face au remaniement du gouvernement.

Lui qui commence pourtant sa tribune en déclarant “c’est emmerdant ces acteurs qui s’expriment sur l’actualité, les indignations, les colères, les coups de gueule: ça sent l’envie de buzz” devance là les critiques grâce au second degré. Alors que des milliers de gens ont réagi en découvrant “cet enfant échoué sur plage de Méditerranée” et d’autres se sont naturellement indignés face aux attentats qui ont frappé la France en 2015, pour Edouard Baer, “le déclic” fut le remaniement.

Le Parisien se sent trahi “par des gens qui semblaient avoir compris que rien ne pouvait être comme avant”. Après les différentes manifestations de solidarité entre les Français et leur dirigeants, Edouard Baer s’attendaient à autre chose. Il se demande si: “C’était si important de libérer Fabius pour qu’il prenne à temps la tête du Conseil constitutionnel ? Si nécessaire de récupérer quelques figures écolos pour affermir la majorité ? Si urgent de nommer l’éternel monsieur Baylet au gouvernement dans le même but ? Si malin de nommer une nouvelle ministre de la Culture pour exciter les médias et détourner leur attention?”.

Emporté par la fougue de sa prose, l’acteur, qui est actuellement à l’affiche d’Encore heureux avec Sandrine Kiberlain, termine sa tribune en réclamant “autre chose que ce mépris, ces calculs politiciens d’un autre âge”. Edouard Baer estime que les Français n’attendent “pas qu’on nous vende ou même qu’on nous donne”, ce dont nous avons besoin serait: “l’espérance”.

Ce point de vue n’est pas sans rappeler celui de Vincent, Lindon, l’ex-compagnon de Sandrine Kiberlain, qui déclarait àMetronews en 2015 lors de la sortie de La loi du marché être “un homme colère et surtout furieux contre les injustices”.

Click Here: Crystal Palace Shop

Crédits photos : STEPH / VISUAL Press Agency

Un article du quotidien US Tampa Bay Times évoque un camp de vacances situé en Floride inspiré de “Hunger Games”, qui propose des activités inspirées de la trilogie littéraire…Gros scandale aux Etats-Unis, tandis que la direction de la colonie de vacances se défend en affirmant vouloir “promouvoir l’esprit d’équipe”.

Quand le cinéma inspire la vie réelle, chapitre II. Au début du mois, un article paru dans le quotidien américain Tampa Bay Times évoquait une colonie de vacances estivales baptisée Florida Country Day School, basée à Largo, en Floride, qui accueille les ados pendant une semaine. Au menu : des activités de plein air…inspirées de la trilogie littéraire Hunger Games, signée Suzanne Collins : cérémonie d’accueil comme dans les livres, tir à l’arc, etc…Mais la journaliste du Tampa Bay, qui est venue sur place pendant une semaine pour faire un reportage, a constaté que les ados se glissaient un peu trop dans la peau des personnages, employant à tout bout de champ le mot “meurtre” pour se débarrasser de son / ses adversaires. En clair, qu’ils collaient un peu trop à l’univers de la saga qui décrit un futur plutôt terrifiant…

 

Alors que la presse US s’enflamme, la direction du camp est évidemment montée au créneau pour éteindre ce départ d’incendie. Tout en assurant que les liens avec les oeuvres ne sont que marketing, elle fait face aux critiques en expliquant vouloir enseigner “l’esprit d’équipe”. Bon…Encore quelques années, et on devrait voir des camps d’été inspirés de Battle Royale…

 

Ci-dessous, la bande-annonce de Hunger Games – L’embrasement, en salle le 27 novembre :

 

Papa gâteau de deux petits garçons, Zachary, 5 ans, et Elijah, 3 ans, Elton John est très à cheval sur les principes éducatifs. Il en a fait part au journal britannique le Daily Mirror.

Connu pour ses extravagances, Elton John s’est bien rangé depuis la naissance de ses garçons Zachary et Elijah. Complètement gâteau, il ne manque jamais une occasion d’évoquer la joie qui lui procurent ses bouts de chou. On pourrait penser que pour eux, rien n’est trop beau et même craindre leur transformation en enfants-rois, mais le chanteur compte bien les préserver. Pour ça, ils seront privés d’héritage.

Il n’est pas question de les faire vivre dans la pauvreté ou de les abandonner à leur sort, mais simplement de leur apprendre la valeur des choses et notamment celle de l’argent. “J’ai appris que les choses les plus simples dans la vie, comme passer une minute avec eux, valent plus que n’importe quelle peinture, maison ou record de vente (…) Les garçons ne sont pas des enfants comme les autres et je ne prétends pas qu’ils le sont, mais il leur faut avoir un semblant de normalité, un certain respect de l’argent, du travail.”

Il leur laissera donc “un patrimoine financier pour les aider”, mais entend réserver le plus gros de son héritage à des oeuvres caritatives comme d’autres millionnaires l’ont fait avant lui. Selon Elton John, “c’est terrible pour des enfants de naître avec une petite cuillère en argent dans la bouche. Cela ruine leur vie.” S’il a attendu le poids des années pour connaître la richesse, il parle en connaissance de cause puisqu’il avoue avoir lui-même dilapidé une partie de sa fortune en futilités. “Je n’avais rien d’autre sur quoi me concentrer” explique-t-il. Alors pour que Zachary et Elijah ne connaissent les mêmes errances, à la maison, il veille avec son mari David Furnish à ce que chacun mette la main à la pâte, et cela semble efficace. “Ils comprennent qu’ils en ont besoin et ils aiment ça.”

Crédits photos : Topphotos/Unimedia Images/SIPA

Loin, très loin des explosions et autres CGI qui sont au fil des ans devenues sa marque de fabrique, Michael Bay signe avec “No Pain No Gain” un film très surprenant, quelque part à mi chemin entre un “Pulp Fiction” et le “Fargo” des frères Coen. Et s’il avait justement signé là son meilleur film ?



Au croisement de Pulp Fiction et d’un Fargo des frères Coen pour l’humour noir, No Pain No Gain est le très surprenant dernier film du roi du blockbuster hollywoodien Michael Bay. Mais pour le coup loin, très loin des effets pyrotechniques qui sont sa marque de fabrique. Un film habité par un solide casting au milieu duquel Dwayne Johnson est pas loin de voler la vedette à ses petits camarades. Bref, un film à découvrir en salle le 11 septembre prochain. En attendant, petite rencontre avec l’équipe du film, à voir ci-dessous.

Click Here: France Football Shop

Lara Fabian pleure pour Bruxelles

January 18, 2020 | News | No Comments

Quelques heures après les attentats de Bruxelles mardi 22 mars, Lara Fabian a donné un concert à Marseille. En rendant hommage aux victimes, elle s’est effondrée.

Lara Fabian est une hypersensible. Née à Etterbeek, commune limitrophe de Bruxelles, comment pouvait-elle ne pas réagir hier suite à la violence et l’horreur des attentats qui ont fait une trentaine de morts et plus de 200 blessés dans la capitale belge? Sur Facebook d’abord, elle a rédigé un message empreint de confusion, de colère et de douleur. “Je suis choquée par ces horribles attentats contre mon pays, contre nous tous, contre l’humanité… Mes pensées vont à toutes les victimes et leurs familles.”

Très touchée par ces évènements, elle a tenu à assurer malgré tout son concert prévu à Marseille hier soir. Comme elle l’a expliqué sur scène, elle ne se voyait pas pour autant faire comme si rien ne s’était passé et “commencer comme tous les autres soirs”. N’ayant pas “trouvé les mots” elle-même pour exprimer sa tristesse, elle a “choisi ceux du Grand Jacques”. A fleur de peau, elle a interprété le titre Voir un ami pleurer des sanglots dans la voix. Tellement bouleversée qu’elle a dû s’agenouiller pour se reprendre, visage dans les mains, pour terminer la chanson. Elle n’a toutefois pas réussi à retenir ses larmes, et s’est effondrée une fois les derniers vers entonnés.

Poignant moment, témoin de la forte émotion qu’ont fait ressurgir les attentats de Bruxelles, tant chez nos amis belges directement touchés que de notre côté de la frontière où la plaie de novembre commençait tout juste à cicatriser.

Marseille, il y a quelques minutes..
Posté par Lara Fabian sur mardi 22 mars 2016

Crédits photos : SADAKA EDMOND/SIPA

Click Here: Spain Football Shop

Après l’ouverture en fanfare avec “Gravity”, la compétition débutait hier avec “Tracks” de John Curran ou l’histoire vraie d’une jeune femme qui parcourut 2500 km de désert australien en 1975. La presse applaudit la prestation Mia Wasikowska

Variety (Justin Chang)

Porté par une performance subtile et rigoureuse de Mia Wasikowska, cette saga d’aventure, merveilleusement restituée par le cinéaste, est une réussite, pas seulement parce qu’elle capture la rudesse et la beauté sauvage du voyage de Davidson, mais aussi parce qu’elle trace un chemin délicat vers le coeur de cette exploratrice des plus atypiques.

Lire la critique

The Telegraph (Robbie Collin)

Mia Wasikowska est l’interprète idéale pour jouer une personne qui doit être à la fois coriace et fragile (…) la star de Tracks est l’Australie elle-même, capturée de façon éblouissante par Mandy Walker, chef-op originaire de Victoria (…)

Lire la critique

Levif.be (Jean-François Plugijers)

Inscrit dans un espace ouvrant sur l’infini, Tracks s’écarte ainsi des chemins trop balisés d’un biopic classique, lui préférant ceux d’un road-movie initiatique au caractère mouvant.

Lire la critique

The Hollywood Reporter (David Rooney)

Mia Wasikowska, à qui il incombe de porter le film toute seule, plus que dans tout autre rôle en-dehors de Jane Eyre, accomplit sans doute sa prestation la plus captivante à ce jour (…) Sans verser dans le New Age, c’est probablement le meilleur film du genre depuis Into the Wild

Lire la critique

ThePlaylist (Oliver Lyttleton)

Jamais depuis La Randonnée (Walkabout) de Nicholas Roeg, la beauté et la diversité impressionnantes de cette nature aride n’avait été aussi bien mise en valeur (…) Cela dit, le film ne dépasse jamais vraiment le stade du superbe carnet de voyage.

Lire la critique

Le Monde (Franck Nouchi)

Si vous aimez les grands espaces, le sable chaud et les couchers de soleil sublimes, ce film (…) est pour vous (…) Mia Wasikowska [est] totalement crédible en conductrice de chameaux. Elle porte le film à bouts de bras, c’est le cas de le dire. Très (trop ?) linéaire, le récit souffre cependant d’un manque évident de dramaturgie.

Lire la critique

Slate (Jean-Michel Frodon)

C’est de la télé, de la déco, de la pub, tout ce que vous voulez sauf ce qui, voudrait-on ici réaffirmer, mérite de se parer du nom de film de cinéma. Tracks est promis à un beau succès.

Lire la critique

Edward aux mains d’argent

http://blogs.indiewire.com/theplaylist/venice-review-john-currans-tracks-starring-mia-wasikowska-adam-driver-20130829

Click Here: New Zealand rugby store

Sur M6 le mercredi soir, aux côtés de Faustine Bollaert, il met à l’honneur les Superkids de 9 à 16 ans venus de toute la France. Mais son coeur de père ne vibre que pour sa fille à lui, Emma. installée depuis quelques mois à Milan où elle étudie la mode, le design, le modelage, la couture…

L’animateur de Superkids (à l’antenne sur M6 depuis ce 6 avril) l’admet volontiers : le talent ne se mesure ni en centimètres ni au nombre des années. Il en sait quelques chose ! Du haut de ses dix-neuf printemps, sa fille unique fait preuve de passion et de persévérance. Son domaine ? la mode sous toutes les coutures. Ce n’est pas pour rien qu’elle a choisi Milan pour étudier. Milan où son père la rejoint parfois…

Gala : Père et fille en balade à Milan, ça vous arrive souvent ?

Stéphane Rotenberg : Ces derniers temps, pas mal ! ça fait un an et demi qu’Emma étudie la mode ici, à l’Istituto Marangoni.

Emma : Ça s’est décidé par hasard… Il y a trois ans, j’étais en vacances à Milan , attablée dans un fast food et j’ai vu deux jeunes garçons qui brassaient des tissus et des dessins de mode. Je les ai abordé pour savoir quelles étaient les meilleures écoles de mode à Milan et ils m’ont parlé de Marangoni. Jusque là j’avais plutôt imaginé aller à Londres mais je me suis dit que comme je parle déjà pas mal l’anglais et couramment l’espagnol (sa famille maternelle est d’origine ibérique, ndlr), ça serait bien d’apprendre l’italien. J’ai envoyé mon dossier et j’ai été reçue. J’ai intégré l’école tout de suite après mon bac.

Stéphane : Il faut dire que tu t’es donné les moyens de réussir ! Lycéenne, tu prenais des cours du soir aux Beaux-Arts, à l’École supérieure des arts et techniques de la mode, tu as multiplié les stages en bureaux de presse, en boutiques… Tu prenais peu de vacances !

Gala : D’où vient cette passion pour la mode, Emma ?

Emma : Ça a commencé quand j’avais treize ans. J’aimais l’art en général. La musique, la poésie et grâce à mon père, le cinéma.

Stéphane : Je t’ai fait découvrir quelques vieux films…

Emma : … Qui m’inspiraient beaucoup ! Mais quand je rentrais de classe, je regardais Fashion TV ! Je connaissais tous les designers, les collections, les mannequins. Je rêvais d’assister à un défilé. Tu m’as emmenée à la présentation de Vanessa Bruno et ça a été une révélation ! La mode synthétise pour moi toutes les formes de l’art. Le dessin bien sûr, mais aussi le modelage, la peinture et même la poésie…

Stéphane : D’autant que tu intellectualises beaucoup ton travail. Dans tes créations, il y a des références. Ce qu’on pourrait voir juste comme une robe est le résultat d’un cheminement, l’expression d’un poème, d’un tableau, d’une musique.

Emma : Mes profs me le reprochent. Ils me trouvent trop intello !

Gala : Comment avez-vous réagi, Stéphane, lorsque votre fille vous a fait part de son souhait de s’envoler pour Milan ?

Stéphane : Je n’ai pas été surpris parce que j’ai assisté à la naissance de sa passion. Mais évidemment, elle n’avait pas encore dix-huit ans ! J’ai été bluffé. Moi j’ai quitté le domicile parental à vingt-deux ans. Et encore, je rentrais le week-end avec mon linge sale ! Elle, à dix-sept ans et demi, elle est partie toute seule chercher son appartement, gérer ses inscriptions. Je n’ai eu qu’à la rejoindre pour valider ses choix et donner quelques conseils de circonstances.

Gala : Lesquels ?

Stéphane : Je ne sais pas précisément… Je suis un père qui laisse faire. Très peu dirigiste. J’ai peut-être tort. Mais ce qui est sûr c’est que je suis toujours présent pour ma fille. Lorsqu’elle était plus jeune, j’ai été très absent. J’ai loupé son anniversaire tous les ans durant six ou sept ans à cause du tournage de Pékin Express. J’étais souvent sur les routes, en tournage, en plateaux… Mais elle le sait : j’aime plus que tout parler avec elle, réfléchir, répondre à ses questions. Parent, ce n’est pas un métier qui s’apprend. C’est empirique. J’ai choisi depuis le début de lui faire confiance.

Gala : Vous l’avez laissée s’envoler sans stress ?

Stéphane : Oui, sans doute aussi parce qu’elle est sérieuse. De toutes façons, je ne sais pas ce qui se passe dans son quotidien : je n’ai que la version officielle de sa vie. Elle est à 888 kilomètres de moi, je n’ai pas la main. Mais je ne suis pas inquiet ! Plus, disons. La première année à Milan a été très difficile. Il y avait une pression énorme dans son école et Emma est une jeune fille très sensible aux critiques.

Emma : Quand on a bossé jusqu’à très tard dans la nuit, qu’on s’est levée super tôt pour travailler et qu’on s’entend dire « C’est nul ! recommence ! », c’est violent.

Stéphane : Ça l’a été aussi pour moi ! Les avis péremptoires de tes profs, et ton jugement si dur sur toi-même. Moi, à distance, je le vivais mal. A un moment, j’ai même pensé qu’il fallait que tu rentres…

Emma : Tu me l’as trop dit ! Mais il n’en était pas question. Toi, tu es assez détaché de la réussite scolaire mais pour moi, c’est hyper important.

Stéphane : Tu te mets une pression incroyable. Je suis d’avis qu’il faut d’abord aimer ce qu’on fait et avoir du plaisir à le faire. Evidemment, c’est parfois au prix de moments désagréables mais ces derniers ne doivent pas prendre le dessus sur le plaisir.

Gala : C’est ce que vous avez voulu transmettre à votre fille ?

Stéphane : Oui, sans doute. J’accorde de l’importance à la gourmandise de la vie. Je trouvais ça plus important de rendre Emma curieuse que forte en thème. La curiosité c’est le remède contre l’ennui.

Emma : Quand j’étais petite, tu me disais toujours : « Il faut que tu sois passionnée ! ». Et finalement, t’as vu, papa, message bien reçu !

Crédits photos : Ugo RICHARD

Vidéo – La première interview de Slimane

January 18, 2020 | News | No Comments

Favori dès les premières émissions, Slimane n’a pas failli ! A 26 ans, ce jeune homme qui a depuis longtemps déjà consacré sa vie à la musique, a bouleversé le public avec sa voix au grain si particulier. Nous l’avons rencontré au lendemain de sa victoire pour qu’il réponde à toutes les questions que le public (qui l’a toujours plébiscité) se pose sur lui.

Désormais, il faudra compter avec cet auteur-compositeur-interprète tout en charme. Slimane va entrer en studio dès cette semaine pour enregistrer le premier single de son prochain album. Il est prêt. Ses chansons sont déjà écrites. D’origine algérienne (ses grands-parents), il refuse d’être un porte-parole, et s’il a un message à faire passer, c’est un message d’amour, de partage, valeurs que ses parents lui ont inculquées dès l’enfance. Slimane est à lui tout seul une invitation à la paix. Le regard, le sourire, le phrasé, tout est doux chez lui, tout est harmonie, équilibre. La preuve : il a tatoué sur le dos d’une de ses mains un soleil, sur l’autre, la lune. On lui souhaite de briller autant que ces deux astres.

Click Here: liverpool mens jersey