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Le casting de “X-Men: Days of Future Past” s’enrichit avec l’arrivée du jeune Evan Jonigkeit, qui incarnera le personnage du Crapaud jeune, mutant jusqu’alors uniquement vu dans le premier “X-Men”.

© 20th Century Fox

 

Des mutants, toujours des mutants pour X-Men: Days of Future Past, dont le casting ne cesse de s’enrichir. Dernière arrivée en date, celle du jeune comédien méconnu Evan Jonigkeit, qui incarnera le personnage du Crapaud jeune, mutant jusqu’alors uniquement vu dans le premier X-Men. Dans le long métrage de 2000, c’est Ray Park qui se glissait dans la peau du Crapaud (Toad, en version originale), l’un des membres de la confrérie de Magnéto. Les principaux pouvoirs de ce mutant : une langue de plusieurs mètres et la possibilité de s’accrocher aux murs. X-Men: Days of Future Past sortira en salles le 21 mai 2014.

 

Clément Cuyer avec MTV

 

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No matter how many human rights violations reported in Haryana, the state government seems to have set its priority, which is, to keep the cows safe first. All this becomes clear when the facts on the ground are seen. Haryana Human Rights Commission (HHR ) has no members while the ‘Gau Sewa Panel’ has 16 members.

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HHRC was constituted by Congress government five years ago and now under BJP rule the post of HHRC’s chairperson has been lying vacant for 19 months, where the post of members, have also not been filled for last five months.

Le superbe générique de la série “True Detective” fait l’objet d’un sacré buzz sur les réseaux sociaux. A vous de le regarder et de le… commenter ?

Le superbe générique de la série HBO True Detective, emmenée par Matthew McConaughey et Woody Harrelson, fait l’objet d’un sacré buzz sur les réseaux sociaux, comme vous pouvez le constater ci-dessus avec une sélection de tweets sur le sujet. A vous de le regarder et de le… commenter ?

 

 

 

 

 

Clément Cuyer

 

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Panique pour CNN ce samedi 21 janvier dans la soirée ! Alors qu’elle retransmettait en direct la “Marche des femmes“ de Washington, la chaîne de télévision américaine a été prise de court par l’arrivée surprise de Madonna à la tribune. Contrainte de ne pas diffuser de gros mots à l’antenne ou de les biper, CNN a dû couper l’intervention de la “Reine de la Pop“ qui s’est pour le moins lâchée.

Bienvenue à la révolution de l’amour, de la rébellion, de notre refus en tant que femmes d’accepter cette nouvelle ère de tyrannie“, a lancé, hier, Madonna devant une foule d’environ 500 000 personnes ayant répondu à l’appel de la “Marche des femmes“ de Washington.

Coiffée d’un bonnet noir à oreilles de chat, la “Material Girl“, fidèle à elle-même, avait donc décidé d’opter pour un ton sans ambages : “ll nous aura fallu cet horrible moment de ténèbres pour nous réveiller, put*in !“ a-t-elle déclaré, mettant en garde contre la menace à l’encontre de “la dignité des femmes“ que constitue l’élection de Donald Trump.

En direct sur plusieurs chaînes de télévision, la chanteuse a renchéri quelques secondes plus tard : À nos détracteurs qui pensent que cette marche ne se concrétisera jamais, allez vous faire enc*ler !, avant d’employer le mot en “Fuck“ une troisième fois. Estimant que la ligne rouge était franchie, la chaîne CNN a alors cessé immédiatement sa retransmission en direct de l’événement.

Habituée des provocations, Madonna avait ouvertement soutenu Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle. A l’époque, moins regardante quant aux droits des femmes, elle avait promis une fellation à chaque électeur de la candidate démocrate.

La nouvelle comédie de Riad Sattouf, “Jacky au royaume des filles” sort ce mercredi sur nos écrans. AlloCiné a rencontré le metteur en scène qui nous parle des thèmes de son film, de l’égalité entre les hommes et les femmes, des voileries et de “Pascal Brutal”…
Rencontre !

 

© Mila Deth / AlloCiné

 

 

AlloCiné : “Jacky au royaume des filles” s’inspire du cadre d’une histoire courte de “Pascal Brutal” publiée en 2006, “Pascal Brutal en Belgique”. Qu’est-ce qui vous a donné envie, pour votre second long métrage, de faire ce film ?

Riad Sattouf: Comme Les Beaux gosses avait eu un succès, un peu inattendu, j’ai eu la possibilité de faire un second film, et je me suis dit que c’était le moment parfait, après un succès, de faire un film étrange, dans un style un peu différent de ce que j’ai pu faire auparavant. Tenter quelque chose d’un peu expérimental tout en restant dans le domaine de la comédie grinçante, et c’était le moment de faire ce film. Je ne pense pas que j’aurais pu le faire en premier film.

 

AlloCiné : Le film est une relecture du conte de “Cendrillon”. Vous dites que quand on vous a lu Cendrillon pour la première fois vous vous êtes demandé pourquoi elle était si soumise. Pensez-vous que ces contes ont contribué à créer une société patriarcale dans laquelle les filles doivent se soumettre à l’autorité ?

Riad Sattouf: Oui, les contes aident beaucoup…

Mais ce n’est pas la faute des contes, les contes ont été générés par la société patriarcale pour en promouvoir l’idéologie. C’est connu, je n’invente rien… Par exemple Meryl Streep, il y a peu de temps, se moquait du sexisme des dessins animés Disney. (Lire l’article)

 

Les histoires pour enfant participent évidemment à la propagation de l’idée de domination masculine. L’anthropologue Françoise Héritier a d’ailleurs écrit des livres géniaux sur ce sujet et sur le conditionnement culturel des petites filles. Elle explique que si les filles peuvent parfois avoir l’impression d’avoir des performances physiques moindres que celles des garçons, c’est parce que les filles qui ne sont pas très fortes ont été valorisées dans nos sociétés par rapport aux filles fortes.

 

Par exemple, moi en tant que garçon, je peux avoir le sentiment d’être physiquement supérieur à une fille, alors qu’en fait ce n’est pas forcément le cas, je suis certain qu’il y a plein de filles qui, si elles avaient été éduquées comme les petits garçons, pourraient écraser la gueule à un mec hyper facilement. Je ne comprends pas par exemple pourquoi les équipes de football ne sont pas mixtes, pourquoi l’équipe de France n’est pas mixte ?

 

 

© Kate Barry

 

C’est pour cette raison que vous avez décidé d’inverser les rôles dans le film ?

Ce qui me plaît beaucoup – à l’instar d’ailleurs de Pascal Brutal – c’est de ridiculiser la virilité, ridiculiser l’esprit de compétition, la force avant tout,… J’ai un grand plaisir à faire ça.

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Dans Pascal Brutal, par exemple, mon héros est une sorte d’abrutit ultra viril, et pourtant tout le monde le trouve super, … j’adore ça.

Dans Jacky au royaume des filles, ce qui m’amuse c’est à la fois de me moquer des garçons qui pour le coup sont soumis, et de me moquer des références viriles à travers les totalitarismes familiaux, politiques, religieux, langagiers, mais aussi dans le cinéma, les scènes d’action, les péripéties…

 

Je veux juste penser que quand je serai vieux, on puisse dire “mon dieu il montre ce qui se passait à cette époque, c’était vraiment comme ça !”

Ça me semble être un sujet important à aborder, cette recherche de l’égalité entre les filles et les garçons sur terre. C’est, selon moi, le sujet du XXIème siècle.

 

 

Ce qui est marquant dans le film c’est qu’il y a de véritables scènes dramatiques (harcèlement, viol,… ) pourtant ces scènes ont fait rire les spectateurs dans la salle… Un viol de femme au cinéma ne fait rire personne mais est presque devenu banal, tandis que celui d’un homme fait sourire. D’ailleurs on peut se demander ce qui est pire, la banalité du viol féminin ou l’hilarité générale d’un viol masculin… Comment expliquez-vous que ces scènes fassent rire le public quand on inverse les rôles ?

Ça me fait plaisir que vous en parliez parce que c’est exactement ce que je voulais montrer.

On rigole et puis on se demande pourquoi on rit de ces scènes qui en temps normal ne nous font pas du tout rire.

J’aime beaucoup essayer de mettre mal à l’aise par le rire, qu’on se pose des questions sur le “droit de rire”. Dans Les Beaux gosses, un des profs se suicide devant ses élèves. Cela mettait aussi mal à l’aise beaucoup de monde…

 

Cette inversion des rôles suscite des questions parce qu’on réfléchit à tous les rapports qu’on entretient les uns avec les autres. Tout est inversé. Je pense que pour comprendre le film il faut sortir des schémas dans lesquels on a l’habitude d’évoluer, celui d’un homme fort ou d’une fille faible. Et j’aime que le spectateur ne fasse pas que rire, mais qu’il se pose également des questions. Ce que j’adore c’est provoquer un rire jaune, un rire de malaise…

Donc mettre les spectateurs de mon film dans des positions dans lesquelles je peux me retrouver parfois dans le monde réel, par rapport à l’interprétation de certaines situation m’amuse. Je trouve ça marrant de les forcer à ressentir ça.

 

“J’ai créé une religion de zéro comme ça personne ne peut dire que j’attaque leur religion !”

 

N’avez-vous pas peur que le côté religieux du film soit mal interprété ?

Le fait d’avoir mis des voileries aux personnages évidement fait penser – parce qu’on est en France et que c’est un sujet important – au voile musulman, mais par exemple c’est un costume qui est également très proche des costumes des bonnes sœurs, et les couleurs font penser aux vêtements bouddhistes.

C’est une “voilerie”, c’est un costume qui est spécifique à mon film. Il n’existe pas sur terre. J’ai voulu mélanger toutes les croyances, d’ailleurs les croyances dans le film n’ont pas grand-chose à voir avec une religion en particulier: ils sont animistes, ils pensent que les poneys sont télépathes, prient, croient en l’au-delà…

 

C’est aussi une manière de me moquer de la bigoterie et de la superstition. Je ne suis pas du tout croyant, je pense que le futur de l’humanité n’est pas religieux du tout, et j’aime bien me moquer de cette façon de croire qu’il y a des forces paranormales au-dessus de nous qui ne font, en général, que profiter à quelques personnes.

J’ai créé une religion de zéro comme ça personne ne peut me dire que j’attaque leur religion !

 

© Kate Barry

 

 

Comment les acteurs ont-ils réagi à la lecture du scénario ?

Je n’avais aucun nom d’acteur en tête au moment de l’écriture excepté peut-être Vincent Lacoste, Anthony Sonigo et William Lebghil. Eux l’ont plutôt bien pris.

Le premier jour de la répétition quand Vincent, Anthony et Didier Bourdon ont mis les voileries ça leur a fait un choc, au début ils étaient morts de rire et n’arrivaient pas à faire un mouvement sans que les autres se moquent, et puis peu à peu on s’est habitués et quelques mois plus tard ils fumaient dehors en voilerie comme si de rien n’était.

 

Pour Charlotte Gainsbourg, c’est arrivé après. C’est la productrice qui m’a suggéré son nom.

C’est vrai que je n’y avais pas pensé immédiatement, c’est idiot, je l’admire beaucoup, mais je ne l’imaginais pas accepter de jouer dans un de mes films, je la voyais dans une autre dimension. Mais quand on a parlé de Charlotte je me suis dit qu’elle serait parfaite.

J’aime bien quand les acteurs ne sont pas si éloignés de leur rôle. Et c’est le cas ici, Charlotte, quelque part est une héritière, elle a réussi à s’imposer alors que cela n’a pas du être spécialement évident, par rapport à une tradition d’excellence familiale. Elle était assez proche, dans l’esprit, de mon personnage…

Je trouvais amusant qu’elle puisse jouer un “Prince Charmant”.

 

 

Propos recueillis le 13 janvier à Paris par Laëtitia Forhan – Photos Mila Deth / AlloCiné


 

A VOIR EGALEMENT

“Jacky au royaume des filles” se décline en affiches

 

 

La bande-annonce

Jacky au royaume des filles

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« L’égalité entre les filles et les garçons sur terre est, selon moi, le sujet du XXIème siècle. »

Dominic Monaghan, alias Merry dans la trilogie du Seigneur des anneaux, vient de poster une vidéo d’une partie du casting du film, 15 ans après. Viggo Mortensen, Orlando Bloom et Elijah Wood y rejouent, fourchette à la main, l’une des fameuses scènes du premier opus de la trilogie. Un remake hilarant !

Lundi soir, Elijah Wood, Viggo Mortensen, Orlando Bloom, Dominic Monaghan et Billy Boyd se sont retrouvés pour une petite soirée « Le seigneur des anneaux, 15 ans après ». Un moment passé ensemble au restaurant comme un pèlerinage quasi-annuel durant laquelle les acteurs sont comme toutes bandes d’amis, sujets parfois à la nostalgie.

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Convoquant un souvenir du tournage, la bande a donc, dans l’euphorie des retrouvailles, rejoué une fameuse scène du premier volet de la trilogie du Seigneur des anneaux, La Communauté de l’Anneau. L’occasion de revoir en position de guerrier, Viggo Mortensen (Aragorn), Orlando Bloom (Legolas), Elijah Wood (Frodon), Billy Boyd (Pippin) et Dominic Monaghan (Merry), prêts à entamer la célèbre bataille de la Moria, fourchette à la main.

Par la suite, ces 5 membres de la Communauté de l’Anneau (sur les 9 qui la composent) se sont amusés à poser des selfies sur les réseaux sociaux, tout au long de la soirée. Cette dernière qui a rappelé aux fans, combien le temps passe vite.

Jean Dujardin était de nouveau devant les objectifs des photographes. Il assistait lundi soir à la première de Mr et Mme Adelman à Paris avec sa compagne Nathalie Péchalat.

Nathalie Péchalat et Jean Dujardin, dont la petite Jeanne a grandi, commencent à profiter à nouveau de sorties en duo. Le couple, déjà présent aux César, assistait à la première de la comédie dramatique Mr et Mme Adelman. Un film réalisé par Nicolas Bedos, dans lequel il dirige sa compagne Doria Tillier. L’occasion pour l’acteur de Brice de Nice et sa patineuse, d’afficher leur amour et leur grande complicité devant la presse. En effet, si on ne les voit pas toujours ensemble, ils sont pourtant en couple depuis 2014 et s’évadent souvent sur les côtes françaises pour profiter d’un moment de tranquillité. Notamment en Gironde, comme en 2015 ou à l’île Maurice. Lorsqu’ils ne partent pas, c’est sur Instagram qu’ils s’envoient des petits clin d’oeil.

Aussi pour l’occasion, pas de vêtements extravagants pour les deux célébrités. Elles se sont présentées dans la salle de cinéma dans leur plus simple apparat, portant des jeans, des écharpes; bref adoptant un look discret, confortable et très hivernal.

Crédit photo: Abaca

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Toujours très active sur les réseaux sociaux, Karine Ferri vient de publier une nouvelle photo d’elle. Ou plutôt de ses jambes filiformes qui affolent déjà la toile…

Même au bord de la piscine et en vacances, Karine Ferri reste sur son 31. Avec ses talons aiguilles signés Aquazzura d’Edgardo Osorio, la belle, âgée de 35 ans, a offert un joli cliché à ses abonnés. Et si son visage n’apparaît pas sur la photo, les internautes n’ont pas tardé à commenter les jambes de l’animatrice de The Voice, allant même jusqu’à complimenter ses pieds : « Tu es classe en toutes circonstances », peut-on lire. « Super, j’adore tes pieds, ils sont magnifiques », a ajouté une autre internaute.

Ce n’est pas la première fois que l’ex-candidate de Danse avec les stars affiche sa silhouette de rêve sur les réseaux sociaux. L’ancienne partenaire de Christian Millette a profité de quelques jours de repos pour se balader en maillot de bain échancré, imprimé tropical, au bord de la mer. L’occasion pour elle d’afficher son corps de jeune maman, sans aucun défaut dans « son petit coin de paradis », confiait-elle alors.

Après une première grossesse en 2016 et sa participation au programme Danse avec les stars diffusé sur TF1, Karine Ferri peut désormais profiter de quelques semaines de répit avec ses proches, avant d’entamer la rentrée, bien reposée. Au programme, séances de sport, détente et promenades en famille.

Crédit photo – CVS / BestImage

Jeux de #talonshauts #funnypicture ? #effetdoptique #swimmingpool #summer #holidays #talonsaiguilles #love ?

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There are 9,774 politically active tax-exempt organizations that may have failed to notify the Internal Revenue Service of their existence or submit the paperwork to operate tax-free, according to a new calculation from an agency watchdog.

The IRS has not done enough to identify noncompliant organizations, despite having various sources of data that would enable it to do so, the Treasury Inspector General for Tax Administration said in a report Thursday. The groups are required to notify the IRS within 60 days of forming that they intend to operate as a “social welfare” group organized under tax code Section 501(c)4.

The IRS could also be failing to collect millions of dollars in penalties and fees owed by these social welfare groups, the report said.

The revelation comes as the IRS is seeking to finish regulations that would allow the groups to keep their donor lists secret unless they are requested by the agency. The groups can engage in politics as long as they don’t spend more than half of their money on campaign advertisements or activities to sway an election. Donors don’t have to be disclosed to the public.

The IRS said it has not sought to crack down on these groups because it “would be a resource-intensive process and resources would be better used in other priority areas, e.g., processing applications for tax-exempt status,” according to the report. The agency also said it would be burdensome to assess penalties because the requirement is recently new — first mandated in 2016 — and many of the organizations are managed by volunteers with limited knowledge of tax laws.

Both organizations and their officers can be fined for failing to submit the proper paperwork to the IRS. The report said those fines themselves could total more than $95 million.

“Many of these organizations may not have understood or even been aware of the notification requirement because many of them filed other documents that informed the IRS of their existence,” the report said.

Organizations with 501(c)4 status include the National Rifle Assn., the Democratic Socialists of America, AARP and Americans for Prosperity, the conservative group backed by billionaire Charles Koch.

The 501(c)4s have been the subject of public scrutiny because they have much more leeway to engage in political activities than nonprofit charities. And, because their donor lists aren’t public, critics have called them “dark money” organizations.

That has caused some prominent lawmakers, including the top Democrat on the Senate Finance Committee, Ron Wyden of Oregon, to oppose the IRS effort to let these groups keep their donors private. The regulations, anticipated this year, are expected to say that the IRS won’t require the tax-exempt groups to disclose their donors unless the IRS needs the information for an audit.

The IRS has found it difficult to audit these organizations, partially because it can be hard to get the information that they exist, as Thursday’s report noted. Some groups also form and dissolve before the 60-day deadline to inform the IRS of their existence, making it nearly impossible for the agency to find them.

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The report’s authors calculated the number of potentially noncompliant tax-exempt groups by searching through records of organizations that had filed a tax return but not the paperwork to qualify as tax-exempt. The researchers also looked at IRS historical records to determine the estimate of noncompliant groups.

Treasury Secretary Steven T. Mnuchin has said that the future regulations would protect donor privacy because the IRS doesn’t need the information to enforce tax laws. Wyden says the move could makes it easier for foreign interests to influence elections.

Organizations still need to maintain the names and addresses of their donors, and the IRS could request that information, according to guidance from the agency. Charities organized under section 501(c)3, which receive tax-deductible donations, are still required to report their donors. Those groups are barred from spending money to influence elections.

Under the 2010 U.S. Supreme Court ruling in the Citizens United case, almost any organization can spend unlimited amounts of money to support or oppose candidates for office, as long as they don’t coordinate with a campaign. Federal contractors, national banks and foreign nationals are still barred from spending, though current disclosure rules can make it nearly impossible for regulatory bodies to find out who contributes to outside groups.


WASHINGTON — 

The United States and Iran have quietly exchanged a handful of official messages in recent weeks through third parties. But a diplomatic exit for the perilous escalation of hostilities between the two adversaries remains distant, officials and analysts here and abroad say.

Both President Trump and his Iranian counterparts seem to have backed down, for now, from the cycle of military attack and retaliation. Trump on Wednesday said he was willing to talk to Tehran — but at the same time announced plans for additional economic sanctions, a move that probably prevents Iranian leaders from sitting down with U.S. officials.

Several back-channel efforts to ease the crisis and push Iran and the U.S. to talk to each other hit a flurried pace this week, with an emergency meeting of the European Union called for Friday in Brussels. Iranian Foreign Minister Mohammad Javad Zarif will attend, but there will be no U.S. presence.

The administration’s “maximum pressure” campaign, which it launched after withdrawing unilaterally from the landmark 2015 Iran nuclear deal, consists of bruising sanctions that have crippled the Iranian economy and strangled its oil industry, a key lifeline. European signatories to the deal, along with Russia and China, have been trying to salvage the agreement, which by most accounts successfully curbed the Islamic Republic’s capacity to pursue nuclear weapons.

But maximum pressure from the U.S. has been met with maximum resistance from the Iranians. The tighter Washington has turned the screws, the more Iran has stepped up its tempo of guerrilla attacks on Saudi oil installations and on cargo ships in the Strait of Hormuz, among other operations.

Iran sees a sharp contradiction between the United States’ saying it wants to talk and Trump’s calling for sanctions and for other world powers to abandon the nuclear deal — positions he reiterated Wednesday. Trump supporters say that’s just his way of negotiating: carrot and stick within the same utterance.

The administration accuses Iran of being unwilling to accept its overtures. Iran insists it needs some show of goodwill, namely a commitment to the easing of some sanctions, according to diplomats who deal directly with the government in Tehran.

“Given the level of tension, mistrust, the level of anger in Iran, the distance, still, of the United States from its European allies, we are not anywhere near a breakthrough,” said Seth Jones, a former U.S. special operations officer in the Middle East and now a security expert at the Center for Strategic and International Studies.

Switzerland, which has represented U.S. interests with Iran since shortly after the 1979 Islamic Revolution, has been the primary go-between. The Swiss government delivered a message to Iran from the U.S. about the killing of Gen. Qassem Suleimani on Jan. 3. While the contents were not made public, it is telling that it came hours after the American drone strike that took Suleimani’s life. Also through the Swiss, Iran responded to condemn the attack.

Since then, “several” messages have been exchanged, Swiss government spokesman Pierre-Alain Eltschinger told reporters, including some on Tuesday, when Iran launched retaliatory strikes against U.S. targets in Iraq, and on the following day.

Most communications so far are believed to have been aimed at deescalation, urging both sides to hold fire and preventing events from spiraling out of control, rather than opening talks.

Unusually, Iran has also asked fellow Muslim nation Pakistan to represent it to the Trump administration. This is a smart move, diplomatically, because Pakistani Prime Minister Imran Kahn, the former cricket star, has a surprisingly good relationship with Trump.

Earlier this week, Oman’s foreign minister, Yousuf bin Alawi, met with Iranian officials in Tehran. Although Oman has previously served as an intermediary between Tehran and Washington, Alawi came away this time saying there was currently “no room” for mediation.

And French President Emmanuel Macron, who came close to persuading Trump and Iranian President Hassan Rouhani to sit at a negotiating table during meetings at the United Nations last fall, spoke at length with Rouhani following the Iranian missile strikes.

In addition to urging calm, Macron called on Iran to return to full compliance with the nuclear accord. As Washington ignored and disparaged the deal, Tehran also began to step away from full compliance, finally announcing after Suleimani’s killing that it would no longer abide by caps on uranium enrichment and stockpiling. Though in violation of the agreement, Iran is still far from weapons-grade production.

The meeting that Macron attempted to broker between Trump and Rouhani fell apart, diplomats said, because Iran demanded a commitment from the U.S. to consider easing sanctions. Trump is also notoriously contemptuous of multilateral efforts and prefers to be the star of any show rather than share billing.

The next opportunity for the two leaders to meet face to face may be the Davos, Switzerland, economic forum Jan. 21-22. Trump has said he will attend, and Iran promises to send a senior-level delegation.

European leaders, meanwhile, reject Trump’s discussion of crafting a new nuclear deal, although some, like Macron, have agreed to adjustments of the current one.

Iran will be the only topic on the agenda Friday when the 28 members of the European bloc convene for an emergency meeting.

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“We are called upon to do everything possible to rekindle talks,” European Commission President Ursula von der Leyen said ahead of the session. “There cannot be enough of that.”

Further complicating a diplomatic path ahead is the participation of Secretary of State Michael R. Pompeo. As the United States’ top diplomat, he would presumably lead any negotiation, but he is also the administration’s leading hawk on Iran. In 2014, as the Obama administration was hashing out the details of the nuclear deal, Pompeo, then a congressman from Kansas, demanded the talks be broken off and called for airstrikes, saying he was confident that fewer than 2,000 bombing sorties could take out Iran’s nuclear capabilities.

“Previous administrations … chose to underwrite and appease. We have chosen to confront and contain,” Pompeo said this week. “Those are different strategies. We believe ours is successful, and we ultimately believe it will be successful at making Iran behave like a normal nation.”

The State Department refused to give Zarif a visa to attend a U.N. session this month to discuss the crisis. State Department officials said the Iranians applied too late.

Pompeo and other senior administration officials briefed members of the House and Senate on Wednesday, and many lawmakers expressed dissatisfaction with the information provided. Rep. Ami Bera (D-Elk Grove) said he heard no signs of active diplomacy with Tehran.

“I think the administration and Secretary of State Pompeo first have to work on their diplomacy with Congress,” he said.

Administration officials say they have offered Iranians an “offramp” that they have repeatedly rejected.

“Publicly and privately over the last few years, we have made many communications … and it’s all the same message of: meet our diplomacy with diplomacy, and not with military force; let’s resolve our bilateral differences diplomatically,” a senior State Department official said, briefing reporters anonymously in keeping with administration protocol. “The regime is not interested in that, and they’re paying the price for it.”

Michele Dunne, a former U.S. diplomat in the Middle East now at the Carnegie Endowment for International Peace, noted that the U.S. refused to negotiate with the Taliban more than two decades ago. Today, thousands of lives and billions of dollars later, the two sides are negotiating — but the U.S. from a weaker position and the Taliban from a stronger one. Similarly, the Saudis’ decision to fight Houthi rebels in Yemen rather than negotiate with them spelled disaster for the desert kingdom. Both Washington and Riyadh passed up on a chance to negotiate, thinking they could fight to victory.

With Iran, Dunne said, “that moment is now.”

“It’s late for diplomacy,” she said, “but not too late.”