Et une de plus ! On n’arrête plus le couple terrible du cinéma : Marion Cotillard et Guillaume Canet continuent leur gentille guerre par photos interposées. Cette fois, c’est au tour de l’actrice de ridiculiser son compagnon.

« Bon… bah vu qu’il n’y a plus de respect… j’en reviens pas que tu aies posté ça !!!! Je suis choquée !!!! Bordel ta femme est une actrice!!! » À en croire la réaction de Marion Cotillard, Guillaume Canet a visé juste en diffusant une photo d’elle le visage déformé pendant un massage. Depuis quelques jours, le couple s’amuse à mettre en ligne des clichés de plus en plus ridicules de son quotidien – tout ça pour la promotion du nouveau film de l’acteur réalisateur, Rock’n Roll, qui sortira le 22 février prochain.

Après Marion Cotillard mal habillée, après Guillaume Canet en pantoufles et équipé de bouillottes pour la nuit, voici… Guillaume Canet « face de chiotte ». C’est comme ça que l’actrice a défini le visage de son compagnon sur Instagram, en légende du nouveau cliché qu’elle a décidé de rendre public. L’acteur y apparaît le visage rougi, les cheveux mal coiffés et la mine déconfite. « Je lâche aussi une face de chiotte, écrit ainsi Marion Cotillard. Ah tu veux du moche tu veux de l’ugly ! Ou une petite crème ?… ou un peigne. » Des petites moqueries de couple qui font le bonheur des fans – les abonnés Instagram de Guillaume Canet attendent maintenant avec impatience sa propre riposte, puisque c’est à son tour de ridiculiser sa moitié dans cette mignonne petite guéguerre.

Vincent Peillon candidat à la primaire de la gauche revendique son passé de professeur de philosophie. Il se souvient avec précision de sa première rentrée des classes en tant qu’enseignant, comme il nous l’avait raconté lorsqu’il était ministre de l’Education.

Il a fait la leçon à Vanessa Burgrav dans « On n’est pas couché » samedi dernier. Il va tenter de prendre un ascendant doctoral ce soir sur ses concurrents à la primaire de la gauche. Professeur un jour professeur toujours. Vincent Peillon revendique son passé d’enseignant de philosophie.

Il y a quelques années, alors qu’il était ministre de l’Education nationale, il nous avait raconté sa première rentrée : « J’avais vingt-quatre ans, j’étais professeur stagiaire – un statut qui avait été supprimé et que je suis en train de remettre en place – au lycée Edouard-Herriot, un établissement renommé de Lyon, se souvenait-il pour Gala. J’enseignais la philosophie dans trois classes de terminale. J’avais la boule au ventre et une demi-heure d’avance. J’ai donc tourné dans le quartier à pied avant la redoutée montée d’escaliers au milieu des élèves. C’est une émotion extraordinaire, j’avais tellement envie d’exercer ce métier. Je n’étais pas beaucoup plus âgé que les lycéens que j’avais en face de moi. Or ces derniers sont attentifs à la jeunesse de leurs professeurs, interrogatifs aussi. C’est un véritable match qui s’est joué pendant l’heure de cours face à ces visages presque indistincts la première fois. J’ai dû perdre un kilo en arpentant la salle en tous sens. Je n’avais pas particulièrement soigné ma tenue pour me vieillir, j’étais en jean, j’assumais ma jeunesse ».

Ce soir le candidat Peillon ne pourra pas faire les cent pas et devra rester bien cramponné à son pupitre face aux questions des journalistes et aux piques de ses concurrents.

Cyril Hanouna a réservé une très jolie surprise à Fauve Hautot. L’animateur lui a permis de retrouver Pascale, celle qu’il l’a élevée lorsqu’elle était adolescente et qu’elle considère comme sa « seconde maman ».

En pleine promo de son nouveau spectacle Saturday Night Fever, Fauve Hautot multiplie les apparitions télévisées. Après avoir rembarré Yann Moix dans On n’est pas couché, le week-end dernier, la danseuse a vécu un moment d’une grande émotion sur le plateau de TPMP, ce lundi 16 janvier. Plein de surprises, Cyril Hanouna lui a demandé de commenter une photo prise alors qu’elle était adolescente et sur laquelle elle apparaît au côté d’une certaine Pascale. Emue, la jurée de Danse avec les stars a alors expliqué : « Là, il y a Mamoune, celle qui s’est occupée de moi. Quand j’avais 16 ans, je suis partie pour aller danser. Au final, je me suis retrouvée à être adulte à 16 ans. Et cette femme-là était une seconde maman“, avant d’ajouter qu’elle ne l’avait pas vue depuis plusieurs années. Si l’animateur lui a fait croire, dans un premier temps, que sa »seconde maman” n’avait pas pu faire le voyage à Paris depuis le sud, cette dernière est finalement apparue sur le plateau quelques secondes plus tard. Bouleversées, les deux femmes se sont prises dans les bras et n’ont pas pu s’empêcher de verser quelques larmes, à l’instar de Cyril Hanouna.

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Le magazine Forbes vient de réaliser son classement des jeunes talents européens les plus talentueux et influents. Sur un peu plus de 300 lauréats, 26 sont français. Tous les secteurs ou presque sont représentés, et les plus originaux ne sont pas ceux que l’on croit.

Recenser en Europe les “jeunes de moins de 30 ans qui ont su tirer le meilleur d’eux-mêmes“, c’est la mission que s’est fixé le magazine Forbes en ce début d’année 2017. Car Forbes aime les classements, surtout lorsqu’il s’agit de pointer les richesses des uns, ou les succès des autres.

Et parmi les quelques 300 jeunes talents compilés dans l’enquête des journalistes Steven Bertoni and Michela Tindera, tous ne sont pas connus, bien au contraire. Ce n’est pas la renommée médiatique qui apparaît être un critère déterminant, mais plutôt l’esprit d’initiative, et l’influence dans sa branche professionnelle. Les parcours atypiques sont aussi représentés.

La France, avec 26 ressortissants mis en valeur par le palmarès, est bien représentée. Sans surprise, on retrouve parmi les plus connues des personnalités, la jeune Héloïse Letissier, 28 ans, alias Christine and the Queens. La jeune chanteuse avait ébloui les Etats-Unis lors de sa tournée américaine, et s’était payée le luxe d’être invitée des plus grandes émissions de télévision. Récemment, elle déclarait sur le tapis rouge lors de son arrivée à la soirée d’annonce des nommés aux prochains Brit Awards “être persuadée d’être un élément qui peut soulever des questions, et qu’il y allait de sa responsabilité« . Forbes semble être de son avis.

Autre personnalité connue des médias, la boxeuse Estelle Mossely, âgée de tout juste 24 ans. La magazine salue sa carrière de boxeuse, médaille d’Or aux derniers Jeux Olympiques de Rio, cet été, mais aussi son autre carrière de développeuse chez Allianz. C’est d’ailleurs la plus jeune du classement, avec la mannequin Jeanne Damas, saluée pour le lancement de sa marque de vêtements parisienne Rouje.

Les 23 autres jeunes talents français du classement sont pour ainsi dire des inconnus du grand public, et sont pour la plupart des jeunes dirigeants d’ONG ou de start-up engagées, comme Guillaume Capelle, 29 ans, spécialisé dans l’intégration des réfugiés, ou Guillaume Fourdinier, 29 ans également, qui s’est lancé dans la culture de fraises sans pollutions.

Forbes rappelle d’ailleurs que “seulement 4 % de ces jeunes entrepreneurs courent après la célébrité ou la fortune”. L’argent ne fait pas tout, mais les profils des lauréats montrent tout de même que la réussite passe aussi par le business. Les chefs de »cabinet de conseil financier”, de fonds d’investissements, d’usines de demain, ou de site marchands sont nombreux dans le classement.

L’intégralité du classement :

• Jeanne Damas – 23 ans : créatrice de mode
• Damien Morin – 27 ans : réparation express de smartphones
• Louis Schena – 28 ans : plateforme de marketing automatisé
• Ana Webanck – 28 ans : directrice e-commerce de My Little Box
• Héloïse Letissier – 28 ans : Christine and the Queens
• Estelle Mossely – 24 ans : boxeuse et développeuse chez Allianz
• Guillaume Capelle – 29 ans : intégration des réfugiés
• Elisa Lewis – 26 ans : innovations démocratiques
• Soazig Barthélémy – 27 ans : empowerment des femmes du monde
• Alisée de Tonnac – 29 ans : soutien aux entrepreneurs
• Benjamin Dupays – 26 ans : fondateur de CENTIMEO
• Guillaume Fourdinier – 29 ans : culture de fraises sans pollutions
• Gonzague Gru – 29 ans : culture de fraises sans pollutions
• Joséphine Goube – 28 ans : recherche de solutions à la crise migratoire
• Reza Rahnema – 28 ans : tutorat pour les réfugiés
• Pia d’Iribarne – 29 ans : fonds d’investissement ACCEL VENTURES
• Sofia Hmich – 29 ans : solutions d’avenir éco-durable pour les entreprises
• Micha Katz – 28 ans : Banquier d’investissement en technologie
• Aymeric Barthes – 29 ans : robots pour l’agriculture et la viticulture
• Florent Longa – 29 ans : entreprise d’éclairage intérieur innovante
• Paul Morlet – 26 ans : création de lunettes à 10 euros
• Xavier Duportet – 29 ans : produits pharmaceutiques de pointe
• Victor Dillard – 29 ans : plate-forme logicielle dans l’édition génétique
• Marjolaine Grondin – 27 ans : créatrice de Jam, chatbot pour les étudiants
• Bénédicte de Raphélis Soissan – 29 ans : analyse de trajectoires pros et chasseuse de têtes
• Sandra Rey – 26 ans : créatrice d’un système de lumière biologique

Pour Forbes, ils sont pleins de succès et ont atteint l’excellence à moins de 30 ans. Ce sont eux qui ouvrent les nouvelles perspectives en Europe. Chapeau!

Crédits Photo: LIONEL URMAN / BESTIMAGE

CStar lançait lundi 23 janvier un nouveau programme : Le Van, présenté par Enora Malagré. L’animatrice à reçu comme premier invité le comédien Ahmed Sylla, héros du film L’Ascension qui sort ce mercredi.

Pour cette émission où l’invité se confie le temps d’un voyage dans un van à travers les rues d’une ville, la première recrue était Ahmed Sylla à Paris. L’humoriste de 26 ans dont on a découvert le talent dans On ne demande qu’à en rire sur France 2 en 2012, a fait beaucoup parler de lui lors du Saturday Night Live sur M6 grâce à sa parodie, très réussie, de Karine Lemarchand. Un sketch qui a fait exploser sa notoriété.

Dans Le Van, pon a pu voir le jeune humoriste verser quelques larmes après avoir découvert un témoignage vidéo de son ancienne professeure de théâtre à Nantes, Christine Moneger. « Tu m’as trop marquée ! Garde toujours ton sourire », lui lance-t-elle notamment. Et Ahmed de réagir avec émotion, les larmes aux yeux : “C’est un truc de ouf ! Les gens le savent maintenant, je suis quelqu’un de très sensible… Je sais être reconnaissant des gens qui ont été importants pour moi dans la vie. Vraiment.”

Regardez cette séquence émouvante ci-dessus.

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Le concours de Miss Univers, organisé cette année à Manille aux Philippines, aura lieu cette nuit à partir d’01h00 du matin heure française. Juste avant cette 65ème édition, 14 candidates ont accepté de poser sans maquillage, dont la française Iris Mittenaere. Et le résultat est…saisissant, comme vous pouvez le constater avec notre diaporama.

Chaque année, les participantes à l’élection de Miss Univers rivalisent d’imagination pour remporter la couronne. Car dans ce concours, tout est quasi permis : maquillage, rallonges de cheveux, faux-cils, chirurgie esthétique…Une somme importante d’artifices pour approcher des canons de beauté américains vendus comme la norme dans ce domaine.

Toutefois, il est une des épreuves préliminaires qui se place un peu en dehors de ces règles : le shooting photo « au naturel ». Et cette année, 14 des 86 jeunes femmes installées au Conrad Hotel de Manille y ont participé dont Iris Mittenaere. Une série de photos dans laquelle Miss France 2016 qui se place comme l’une des grandes favorites du concours, est la seule à afficher un grand sourire. Un bon signe de la confiance qui l’habite. On croise les doigts.

Crédits photos : Tony Barson

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L’équipe jamaïcaine de bobsleigh a organisé une campagne de fonds pour partir aux Jeux de Sotchi, organisés du 7 au 23 février. Un nouveau “Rasta Rockett” en vue ?

Détail de l’affiche originale de “Rasta Rockett”

© Gaumont Buena Vista

[MISE A JOUR 20/01/2014 – 18h50] C’est officiel : il y aura bien une équipe jamaïcaine de bobsleigh aux Jeux de Sotchi. Le pilote Winston Watts et son pousseur Marvin Dixon seront au départ de la course. Et les frais liés à la délégation (de 5 personnes) et au déplacement seront pris en charge par le comité olympique jamaïcain et l’organisation des J.O. La belle histoire continue donc !

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Rasta rockett… la suite ! Sortie en 1993, la comédie racontait les exploits de l’équipe jamaïcaine de bobsleigh à participer aux Jeux Olympiques de Calgary (en 1988). Plus de 20 ans après, une nouvelle belle aventure humaine et sportive pourrait voir le jour… grâce à vous.

Le comité olympique de la Jamaïque a en effet besoin de fonds pour envoyer son équipe aux Jeux de Sotchi, organisés du 7 au 23 février. Une campagne de dons a ainsi été lancée pour obtenir les 40 000 dollars nécessaires (notamment pour l’équipement), relayée notamment via les réseaux sociaux :

FANS can now make a donation to our Jamaica Bobsleigh Team at http://t.co/f5FItpLRMl Thx #JamaicaBobsled #Sochi2014 pic.twitter.com/cA6Nu8bbGj

— Team Jamaica (@JamaicaOlympics) 20 Janvier 2014

Verra-t-on les jamaïcans au départ de l’épreuve de Bobsleigh ? Ne serait-ce que pour avoir droit à une suite à Rasta Rockett au cinéma…

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Thomas Destouches avec AFP & L’Equipe

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Acteur installé confortablement, depuis des années, dans le cœur des Français, Jean-Pierre Darroussin est aussi discret sur sa vie privée que talentueux face aux caméras. En couple depuis 2009 avec la réalisatrice Anne Novion, les deux amoureux sont allés ensemble soutenir le club de cœur de l’acteur, l’Olympique de Marseille.

On ne peut pas être l’acteur fétiche du réalisateur marseillais Robert Guédiguian et s’enflammer pour l’Olympique Lyonnais. Non, les couleurs de Jean-Pierre Darroussin sont le bleu et le blanc de la cité phocéenne. Aussi quand il est question d’aller supporter le seul club français vainqueur de la Ligue des Champions, face à Lyon en 16ème de finale de la coupe de France, c’est avec son épouse qu’il fait le déplacement. « Dis moi quelles sont tes passions, je te dirai qui tu es ! ».

Et quel bonheur pour l’acteur de 61 ans de goûter – avec la mère de son fils Vincent né en 2014 – à l’effervescence d’un stade Vélodrome prompt à bouillir à la moindre occasion et plus encore depuis le retour au club de Dimitri Payet. Car le comédien vu la première fois sur grand écran en 1979 dans Coup de Têtede Jean-Jacques Annaud (film sur le milieu du football au réalisme rare) ne s’en est jamais caché, il est un fervent supporter de l’OM.

À ce titre, dans une interview à nos confrères de L’Equipe, il n’avait pas hésité à tailler gentiment l’adversaire historique des Marseillais, le PSG : « Je les appelle l’équipe du Qatar évidemment ! Si, à côté de moi, il y a un Parisien, je ne vais pas me gêner ! Quand j’arrive sur un tournage le matin et que toute l’équipe est pro-PSG, vous croyez qu’ils se gênent ? » Un propos loin d’être radical puisqu’il assure aussi que « l’argent, qui détruit beaucoup de choses, n’arrive pas à détruire totalement le football. L’esprit du jeu reste là. (…) Il y a toujours la même incertitude. » Comme un but en prolongation qui a donné la victoire aux Marseillais ce mardi 31 janvier ?

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Une passion pour le ballon rond et l’Olympique de Marseille qu’il va sans nul doute transmettre au petit Vincent. Car ce papa de deux grandes filles, Marie et Juliette, nées d’une précédente relation, a plus que jamais gardé sa propension à donner de l’amour : « Depuis dix mois, je suis de nouveau père, avouait-il au JDD en mars 2015. Ça ne m’était pas arrivé depuis vingt ans. Je constate que je n’ai pas beaucoup bougé. Un bébé, je le regarde toujours pareil, ça me passionne, ça me ravit autant. » L’acteur à la profondeur réelle et aux racines solidement ancrés dans le sol de l’authenticité, se questionnait néanmoins : « Je ne sais pas comment il appréhendera mon histoire quand il pourra la comprendre. »

Dans “C’est le métier qui rentre”, son 5e livre, Sylvie Testud raconte le naufrage d’un long métrage. Un roman de fiction dans l’envers du décor de la production cinéma.

© Fayard / 2012 ALEXANDRE FILMS – RISE FILMS – France 3 CINEMA – RHONE ALPES CINEMA – NEW LIGHT FILMS

“Ce livre est une oeuvre de fiction. Toute ressemblance avec des faits réels ne peut être que le fruit du hasard.” Dès la première page, Sylvie Testud pose les bases : “C’est le métier qui rentre”, son 5e roman, est une fiction ! Ainsi, l’actrice et romancière nous propose de retrouver le personnage de Sybille qu’elle avait déjà mis en scène dans ses précédents livres.

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Dans ces nouvelles aventures, Sybille, apprentie cinéaste, se lance dans la réalisation de son propre long métrage. Malheureusement, cette expérience va virer au naufrage : “producteurs qui écrivent les scénarios, actrices qui entrent en résistance, agents hystériques, financiers qui ne financent pas…“, les problèmes vont s’accumuler ! “C’est le métier qui rentre” est une véritable immersion dans l’envers du décor de la production, “une visite inédite dans les coulors de l’usine à rêve“.

Inévitablement, on s’interroge sur ce qui a inspiré cette histoire à Sylvie Testud. A notre confrère Didier Jacob du Nouvel Observateur, l’actrice et romancière admet qu’elle “ne peut jamais inventer quelque chose de toutes pièces“. “C’est vrai que je n’ai pas réussi à monter un film. Ca a été d’abord un échec personnel, poursuit-elle dans l’interview. Ca a été très difficile de l’accepter. Mais mon tort a été d’avoir eu la prétention de penser que j’étais à l’abri de l’échec. En réalité, je pensais avoir les codes, et je ne les avais pas.

Et d’ajouter : “Je suis toujours attirée par ce que les gens ont vécu, s’ils me l’ont raconté, ou par ce que moi-même j’ai pu vivre. Si je dois écrire, même en étirant, en transformant, en mentant, il faut que je l’ai ressenti. Un peu comme quand j’ai écrit «Gamines». Je me suis inspirée de nombreux membres de ma famille pour essayer d’aboutir à une sensation d’enfance qui soit aussi pure que possible. Là, c’est pareil, appliqué au cinéma” (lire l’interview en intégralité).

“C’est le métier qui rentre” – écrit par Sylvie Testud (Editions Fayard), 263 pages, 18 euros (disponible depuis le 22 janvier 2014).

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Sylvie Testud se prête à l’interview “bio commentée” concoctée par AlloCiné :

Sylvie Testud Interview : La Vie d’une autre, L’Ordre et la morale, Gamines, Lucky Luke, Sagan

Brigitte Baronnet

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Kylie Jenner a voulu copier Kylie Minogue et s’en mord les doigts. Alors que la sœur de Kim Kardashian voulait prendre son envol en lançant sa marque de cosmétiques, elle s’est vue rattrapée par les avocats de Kylie Minogue. La chanteuse l’a devancée il y a bien des années et l’empêche aujourd’hui de réaliser ses rêves commerciaux.

Elles ont eu le même éclair de génie devant le miroir, à la différence que l’une d’entre elles a pris son envol il y a bien des années.

En 2014, alors que la petite sœur de Kim Kardashian rêvait de se faire un nom dans l’univers de la beauté en lançant son e-shop KylieCosmetics, elle apprenait que Kylie Minogue l’avait devancée sur la toile.

En effet, la chanteuse australienne de 48 ans possède déjà un site référencé sous Kylie.com, déposé depuis 1996. Problème, comme l’explique le Daily Mail, celle-ci refuse que la plateforme ouvre sous une appellation semblable et a déjà contacté un comité d’avocats pour défendre sa cause. Pas question pour eux de donner raison à une « personnalité de seconde zone issue de la téléréalité“, face à une figure beaucoup plus connue. L’artiste elle-même se considère comme une femme de renommée internationale. Une »militante dans l’humanitaire et contre le cancer du sein, connue dans le monde entier comme étant simplement Kylie.”

Bien qu’elles aient chacune trouvé des arguments solides pour vendre leurs palettes, crèmes, rouges à lèvres aux tons mats et ombres à paupières, la débutante a perdu le combat. Kylie Minogue a remporté cette petite guerre le 5 février dernier. Soit seulement quelques jours après que la jolie starlette de 19 ans a reçu la réponse négative du bureau des brevets, le « United States Parent and trademark office ». Miss Jenner, qui tentait en parallèle de percer dans l’univers du textile, voit aussi ce rêve repoussé. Elle ne pourra pas non plus lancer sa marque de vêtements sous ce patronyme.

Crédit photo : Abaca

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