Month: January 2020

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Le jeune acteur américain Zac Efron confirme avoir rencontré les dirigeants de Disney en vue d’intégrer le très attendu “Star Wars: Episode 7”, dont J.J. Abrams débutera prochainement le tournage.

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© Black Bear Pictures

On pensait qu’il s’agissait d’une des nombreuses rumeurs circulant autour de Star Wars: Episode VII. Erreur : Zac Efron est bel et bien pressenti pour faire partie de la très attendue nouvelle aventure intergalactique que réalisera dès cette année J.J. Abrams. C’est le jeune acteur de 26 ans lui-même qui a révélé au micro de MTV avoir rencontré les pontes de Disney en vue d’intégrer le casting. “Effectivement, je vient de juste d’y aller et de les rencontrer”, a-t-il ainsi déclaré. “Donc, je ne sais pas. Ce serait cool. J’adore les films de la saga, mais… qui sait ?” La sortie française de Star Wars 7 est prévue pour l’été 2015.

Clément Cuyer

 

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A decision by the US Department of Homeland Security (DHS) to defer rollout of a proposal barring spouses of certain H1-B visa holders from seeking employment, provides potential applicants with a breather.

The date for issuing the draft proposal has been deferred to June from its earlier target of February 2018. It is estimated that more than a lakh employment authorisations have been given to eligible spouses since the program was introduced in May 2015, a fair portion going to Indians.

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Immigration experts add that the DHS handles nearly 30,000-odd applications for employment authorisations each year, in addition to requests for renewals. The issue of the draft proposal in June by the Trump administration will be the first step towards ending the mechanism of granting such authorisations.

Lundi, la chroniqueuse de Télé Matin s’est retrouvée aux prud’hommes de Créteil. Elle doit aujourd’hui verser 35 000 euros à son ancienne gouvernante. Une mauricienne qui s’occupait de sa maison et de ses enfants et dont les papiers n’étaient pas en règle.

En septembre dernier, Carine Teyssandier et son mari étaient poursuivis en justice par une personne qui partageait leur quotidien. Une certaine Joanne Dimba, âgée de 38 ans, que le couple avait engagée comme gouvernante dans leur maison à Villejuif. Celle-ci les accusait de l’ “exploiter “. Ils étaient condamnés à six mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende, chacun, pour motif d’ ” emploi d’étranger sans titre de travail “, « travail dissimulé par dissimulation de salarié » et d’” aide au séjour irrégulier d’un étranger en France ».

Comme l’explique Le Parisien, l’employée se chargeait aussi bien des tâches ménagères que des courses et de la garde des enfants mais n’avait pas de visa de travail. Seulement un visa touristique. “Ils m’avaient prévenue que je toucherai 700 €. J’étais censée travailler quatre-vingt heures par mois, soit vingt heures par semaine », avait expliqué la mauricienne au journal. Or elle travaillera finalement jour et nuit au domicile de la chroniqueuse jusqu’au jour où on lui annoncera son licenciement. Elle n’a alors ni papier, ni logement ni autre possibilité de travail. La jeune femme fait alors appel à la justice.

Lundi, les juges ont statué sur l’affaire et condamné la chroniqueuse Carinne Teyssandier à lui verser la somme de 35 000 euros. Aujourd’hui, l’employée exploitée rêve de signer un vrai contrat de travail.

Crédit photo: Starface

Leonardo DiCaprio n’a pas tari d’éloges sur Martin Scorsese, son réalisateur fétiche, durant le traditionnel déjeuné des nommés aux Oscars.

© Metropolitan FilmExport

Quand DiCaprio parle de Scorsese, c’est fort. L’acteur n’a ainsi pas tari d’éloges sur son réalisateur fétiche durant le traditionnel déjeuné des nommés aux Oscars, qui s’est déroulé ce lundi à Beverly Hills. Il est “l’un des premiers cinéastes à m’avoir sidéré quand j’étais jeune. Il a inspiré toute ma génération”, a ainsi déclaré le comédien, nommé pour sa prestation dans Le Loup de Wall Street, sa cinquième collaboration avec Scorsese. “Je suppose que notre relation s’explique par le fait que nous avons les mêmes goûts. (…) “Je ferais tout ce qu’il veut à l’écran”, a-t-il poursuivi. La 86e cérémonie des Oscars se tiendra le dimanche 2 mars, cérémonie pour laquelle Le Loup de Wall Street est cité à cinq reprises.

Clément Cuyer avec AFP

 

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Resplendissante de beauté, Halle Berry est apparue sur le tapis rouge des Oscars avec une coupe courte et bouclée. Qu’il s’agisse des photographes ou des internautes, son style n’a laissé personne indifférent.

Halle Berry a fait sensation lors de la 89e cérémonie des Oscars. Vêtue d’une robe signée Atelier Versace, l’actrice fraîchement divorcée d’Olivier Martinez, n’a pas attiré l’attention pour sa tenue mais pour sa coiffure. A 50 ans, la maman de deux enfants a finalement décidé d’assumer ses boucles naturelles en optant pour une coupe courte et sauvage qui lui sied à merveille. « La robe est glamour avec un côté romantique qui me fait sentir féminine et fraîche. Avec ce look, je célèbre mes cheveux en leur permettant d’être naturels et libres », a-t-elle déclaré sur le tapis rouge. Sublime, Halle Berry a provoqué un véritable tollé sur les réseaux sociaux. Un compte Twitter au nom de ses cheveux a même fait son apparition avec le message suivant : « Si vous ne le saviez pas, il y a une famille de lapins qui se cache là-dessous ».

Extrêmement affaiblie, la veuve de John Lennon serait en train de vivre ses dernières heures. L’artiste japonaise de 84 ans aurait émis le souhait de se réconcilier avec Paul McCartney et Ringo Starr avant de mourir.

Sa dernière apparition publique remonte au 21 janvier dernier lors de l’historique Marche des femmes. Alors que 500 000 personnes battaient le pavé à Washington contre la politique de Donald Trump, Yoko Ono, elle, avait au côté de Whoopy Goldberg, remonté la Cinquième avenue de New York jusque sous les fenêtres du président businessman.

Une présence qui avait émue les internautes puisque la veuve de John Lennon était apparue très affaiblie sur un siège roulant. Une santé qui à en croire les récentes déclarations d’un proche de l’artiste japonaise au multiples casquettes (plasticienne, poète, chanteuse, compositrice, écrivain, comédienne et cinéaste) n’aurait fait depuis que décliner. Jusqu’à même envisager concrètement sa prochaine disparition.

« Yoko Ono ne va pas bien du tout ! Elle a toujours été très vive d’esprit mais aujourd’hui, cette étincelle est presque partie.», a expliqué le proche de la mère de Sean Lennon au site internet RadarOnline. « Yoko parle beaucoup de son mari John et elle espère le revoir au paradis. Elle sent qu’elle est en train de mourir et elle se prépare à quitter ce monde », peut-on également lire dans l’article du média américain.

Un papier qui évoque également le désir de Yoko Ono de se réconcilier, avant de mourir, avec Paul McCartney et Ringo Starr. La légende voudrait qu’elle soit, en effet, la raison de la séparation des Beatles en 1970. En cause notamment son omniprésence lors des sessions d’enregistrement du groupe qui enrageait les compères de l’interprète de Woman.

Pour le grand public, Yoko Ono reste, en effet, notamment connue pour le couple qu’elle forma à partir de mai 1968 avec John Lennon, jusqu’à son assassinat sous ses yeux à New York le 8 décembre 1980. Ce dernier avait coutume de la surnommer « The world’s most famous unknown artist » (la plus célèbre artiste inconnue du monde).

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Après avoir filmé la justice dans “La Fabrique des juges” et les rapports professionnels dans “Bienvenue au grand magasin”, Julie Bertuccelli a posé sa caméra durant une année scolaire dans une classe d’accueil. Le résultat : “La Cour de Babel”, documentaire aussi passionnant qu’émouvant, plébiscité par la critique.

© Pyramide


AlloCiné : votre film est une magnifique bouffée d’espoir en la France et en son modèle d’intégration. Est-ce que c’était votre volonté de départ où est-ce que ça s’est dessiné, de manière inattendue, au fil du tournage et du montage ?

Julie Bertuccelli : Ces jeunes ne donnent pas tant d’espoir en la France qu’en l’être humain. Mais je n’ai pas fait ce film pour créer un message d’espoir. Evidemment, j’ai envie que ça ouvre l’esprit des gens et que ça détruisent leurs préjugés. J’avais aussi envie de rappeler certaines choses au moment où on entend beaucoup de discours nauséabonds… Les discours et les peurs c’est une chose, mais montrer l’énergie positive et la volonté d’intégration de ces jeunes m’intéressait. Sans tomber dans le film militant. Au départ, j’avais juste envie de passer une année scolaire avec eux et de voir ce que ça signifiait de vivre ensemble quand on a autant d’origines différentes réunies dans une même classe. (…)

La réalité que j’ai découverte était extrêmement enthousiasmante, même si ces enfants ont des difficultés et même si l’on sait que rien ne sera rose et que ça ne se passe pas ainsi partout. C’est important de montrer la dureté des choses et le tragique car ça fait partie de la vie, mais j’ai le sentiment que ça a tendance à refermer les spectateurs sur eux-mêmes et à les mettre en position d’impuissance. Montrer l’espoir et des choses positives, ça donne plus d’outils d’améliorations, ça montre que c’est possible. Sans ça, on n’avance pas. (…)

Quand les intégrations ne marchent pas, c’est qu’il y a plutôt un problème du côté de ceux qui accueillent. Ces gens ont plutôt envie d’être intégrés, d’y arriver, mais on ne les encourage pas et on ne leur donne pas les moyens de réussir. Je ne sais pas quel sera l’avenir de tous ces enfants, mais on sent qu’ils ont tous le potentiel. Et rien que ce petit potentiel et le fait de se dire “c’est possible qu’ils y arrivent”, rien que ça, c’est déjà énorme. Et c’est aussi parce que cette femme, Brigitte Cervoni, les accompagne et les encourage. Ce n’est que parce qu’on est encouragé qu’on peut y arriver. Il y a plein de gens qui y arrivent, grâce à des rencontres inopinées qui leur ont donné le courage ou le désir… On a tous croisé une prof ou une personne qui a créé un déclic.

Cour de Babel

Oui, la bienveillance ouvre beaucoup de portes…

Totalement. A ce propos, il y a à mon sens un vrai problème de bienveillance avec les notes justement, qui servent plus à pénaliser les élèves qu’autre chose. Une étude montre que la France, au sein des pays de l’OCDE, est en tête du classement des élèves qui préfèrent ne pas répondre aux questions plutôt que de se tromper ! C’est l’illustration par les chiffres de cette impasse : on préfère ne rien dire plutôt que de se tromper… C’est terrible car c’est souvent par l’erreur qu’on apprend, donc il ne faut pas avoir peur de se tromper. C’est pour ça que cette prof est géniale et que sa classe est un modèle idéal pour… tout en fait. Par rapport aux notations par exemple, quand elle met une mauvaise note, elle corrige, réexplique et refait le même contrôle quelques semaine après : elle garde alors la meilleure note car l’important à ses yeux c’est de valoriser. Une bonne note donne envie de continuer. Et quand on aime son prof, on a envie de bien travailler. Et ça, beaucoup ne l’intègrent pas…

© Pyramide

Votre film pose la question de la volonté d’intégration mais aussi de la peur de l’acculturation. C’est quelque chose que vous avez senti chez tous ces élèves ?

Ces enfants-là n’ont pas forcément voulu venir. S’ils viennent et si leurs parents viennent, c’est vraiment pour une nécessité, ce n’est pas pour le plaisir de quitter un pays. C’est terrible un arrachement. C’est douloureux. Même face à une guerre ou des persécutions, on n’a pas envie de partir de chez soi. Dès lors, l’équilibre entre intégration et acculturation est très délicat. Brigitte Cervoni en a d’ailleurs bien conscience : elle sait qu’ils risquent de perdre petit à petit leur culture, alors que c’est une richesse de garder ça en soi. C’est une question intéressante qui revient souvent au cours de l’année scolaire dans sa classe… et qui revient régulièrement à l’Education Nationale. A l’avant-première du film, les élèves demandaient ainsi à Mr. Peillon si leur langue pouvait devenir une deuxième langue… Il y a beaucoup de langues qui ne sont pas mises en valeur en France, et certains élèves ne peuvent pas s’en valoriser en ayant des bonnes notes dans cette langue qu’ils maitriseraient. Quel dommage ! C’est sans doute compliqué à organiser mais c’est une question importante…

Cour de Babel

Est-ce que ce système, qui apparaît comme une bulle protectrice, ne coupe pas les enfants d’une réalité assez dure à laquelle ils vont être confrontés assez violemment une fois revenus dans le système “normal” ?

La classe d’accueil dure un an, sauf difficultés majeures. Mais durant cette année ils ne sont pas dans une bulle, ils font certains cours dans des classes normales selon leurs niveaux… Mais c’est bien équilibré : c’est un sas de protection qui réunit tous ensemble plein d’enfants différents. C’est très important pour eux. C’est dur de quitter son pays, qui plus est à cette période de l’adolescence où on façonne son identité et où on veut souvent être comme tout le monde. Et c’est dur d’être seul dans une classe, d’être l’étranger dont on se moque où à qui on ne veut pas parler. Pour ça, ce système est très bien fait, ça permet de les préserver un peu. Ça existe depuis les années 70, il y en a 800 en France dont 130 à Paris, mais il y a encore des choses à améliorer, dans les lycées notamment. Après, je ne pouvais pas tout montrer dans le film. Ce n’est pas un reportage pédagogique, c’est un portrait de ce groupe et un documentaire sur ce que ça signifie de vivre ensemble, pas un décryptage de ce système scolaire.

© Pyramide


Les élèves semblent étonnés que cette prof soit si attentive à leur psychologie, et surpris de retrouver une vraie place d’enfant…

Oui, d’autant qu’ils viennent de pays où on ne les écoute souvent jamais. Ils sont touchés qu’une prof soit si attentive, si respectueuse et les considère comme des personnes avec leurs talents propres et en devenir, avec un potentiel et un avenir. Ils étaient donc surpris et touchés et la considéraient un peu comme une maman, mais sans qu’elle ne soit que maternelle d’ailleurs. Elle met la distance nécessaire mais elle sait mettre en valeur les talents. Et en même temps c’est un endroit où ils retrouvent leur vraie place d’enfant : ils sont respectés comme futurs adultes et respectés comme enfants. Elle a aussi compris que pour faire parler et participer un enfant, il faut le faire parler de ce qui l’intéresse et qui lui tient à cœur. Du moins au début. C’est pour cette raison qu’elle les fait beaucoup parler d’eux-mêmes : ce n’est pas pour le film qu’ils racontent leurs derniers jours dans leur pays, leur arrivée, etc… C’est elle qui les questionne sur ces sujets car en plus cela leur apprend à s’écouter les uns les autres, à réagir, à s’enrichir des expériences de leurs camarades.

D’ailleurs, cette mixité et ce mélange cultive une ouverture d’esprit très touchante, comme dans cet échange sur les religions…

Totalement. D’ailleurs pour moi ça a été bouleversant de voir Djenabou, qui parle de Dieu comme de son meilleur ami, se mettre à douter et à se poser des questions. Ce n’est pas pour autant qu’elle doit s’empêcher de croire, l’école laïque ne doit pas empêcher ça, mais au moins elle doute. Une possibilité qu’elle n’avait peut-être jamais eu dans son milieu d’origine. Et c’était beau à voir. C’est l’adolescence dans toute sa splendeur, d’éclosion, d’épanouissement… Et ça à tous les niveaux comme la petite Xin qui était renfermée, malheureuse et timide en début d’année et qui à la fin s’ouvre.

Cour de Babel

En revanche, la question de la sexualité et de l’éducation sexuelle n’est pas abordée dans le film. C’est un sujet que Brigitte Cervoni préfère éluder pour respecter certaines cultures qui n’en parlent pas ?

Au contraire, ce sont des questions qui sont abordées et qui donnent des échanges assez rigolos. Il y a donc eu des cours sur ces questions, ils ont même évoqué les différences de sexualité dans leur projet de film basé sur la différence. Mais ces scènes étaient moins intéressantes et percutantes que ce que j’ai gardé dans le film. Après ce sont des questions que le film évoque en filigrane, en parlant de la place des femmes, des femmes voilées, de l’excision… Mais je voulais aussi protéger l’intimité des gens. On ne sait pas tout des histoires de chacun.

Le film montre également qu’il n’y a pas d’immigration mais DES immigrations…

On est toujours l’étranger de quelqu’un d’autre… Cette diversité très riche montre que nous sommes tous différents mais surtout uniques. Les gens oublient souvent ça, et ont tendance à systématiser et à stigmatiser les immigrés. Il y a autant d’histoire d’immigration qu’il y a d’immigrés : il y a des histoires d’amour, des histoires de bourgeois, des histoires de parents qui retrouvent leurs enfants, des histoires économiques, des histoires politiques, des histoires personnelles… Il y a de tout. Et il n’y a pas de hiérarchie entre toutes ces histoires : elles sont toutes aussi intéressantes les unes que les autres. Et douloureuses aussi.

Cour de Babel

Vous aimeriez retrouver et suivre ces jeunes dans cinq, dix ou quinze ans ?

J’aimerais beaucoup. Sur la plupart des documentaires que j’ai fait d’ailleurs. Dès qu’on s’intéresse à quelqu’un, on a envie de savoir ce qu’il devient. Et sur ce film encore plus, car il y a plein d’avenirs et de trajectoires très ouvertes. Je suis très curieuse du coup. Après, je ne sais pas où j’en serai dans dix ans… On verra. Et en même temps c’est peut-être bien, aussi, de laisser cette réflexion ouverte. Pour que les spectateurs se disent qu’autour d’eux il y a peut-être une Maryam ou une Djenabou, et que le devenir de ces enfants dépend de chacun de nous.

Au final, quel est le fil conducteur de vos documentaires ? Une envie de décrypter les fondements de plusieurs aspects de notre société ?

C’est vrai que les documentaires que j’ai fait tournent autour de structures sociales. L’école de la magistrature, les grands magasins, les classes d’accueil : un système juridique, un système économique, un système d’immigration… Après, je ne vais jamais dans une intimité trop forte : un documentaire étant par définition déjà très réaliste, je reste assez à distance, en observation, car je veux que le spectateur garde une part d’imaginaire. J’aime aussi voir comment les gens sont en représentation : ce qu’ils disent d’eux, ce qu’ils montrent d’eux, ce qui se raconte vraiment entre les lignes, dans les regards… Il y a des choses à interpréter et ça rend tout ça plus complexe et donc plus intéressant. En fiction, je vais plus loin dans l’intimité, plus en profondeur sur les sentiments, sur des choses plus personnelles. En documentaire, j’ai plus envie de découvrir le monde, d’être à l’écoute, d’être un passeur de cette réalité un peu fermée pour ouvrir l’esprit des gens.

Propos recueillis par Yoann Sardet le 7 mars 2014 – Remerciements Jérémie Charrier & Matilde Incerti


Cour de Babel


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À l’approche du lancement sa nouvelle émission sur France 2, Laurent Delahousse tenterait de convaincre Ségolène Royal de devenir chroniqueuse au côté de Jean-Pierre Raffarin.

Décidément, les politiques sont de plus en plus nombreux à se trouver une vocation pour le petit écran. Alors que Raquel Garrido, proche de Jean-Luc Mélenchon, s’apprête à rejoindre les Terriens du dimanche et Thierry Ardisson, Jean-Pierre Raffarin sera au casting de 19h le dimanche, la nouvelle émission de Laurent Delahousse sur France 2 et pourrait bien être rejoint par Ségolène Royal. D’après les informations d’Europe 1, l’ancien présentateur du JT chercherait « une personnalité de gauche pour intégrer son pool de contributeurs » et serait actuellement « en discussion avancée » avec l’ancienne ministre de l’Écologie.

Mais Laurent Delahousse a peu de chances de convaincre Ségolène Royal. D’autant que cette dernière a déjà décliné une proposition similaire il y a à peine quelques mois. En juin dernier, Closer avait révélé que l’ex-compagne de François Hollande était en négociation avec LCI pour présenter un talk-show environnemental, avant de finalement se retirer du projet.

De son côté, l’ancien premier ministre de Jacques Chirac a fièrement officialisé son arrivée dans 19h le dimanche sur les réseaux sociaux : « J’ai accepté de contribuer à l’émission de L. Delahousse. Ce sera une participation régulière, espacée et circonstanciée. 1 dimanche/ 2 ou 3. »

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Crédits photo : JACOVIDES-BORDE-MOREAU / BESTIMAGE

WASHINGTON — 

The Trump administration took steps Tuesday to roll back an Obama-era rule intended to ensure that communities confront and address racial segregation in housing, saying local governments have been overburdened by the requirements.

The proposed Department of Housing and Urban Development rule would redefine fair housing standards to place more emphasis on improving housing choice rather than reducing discrimination. It would reduce regulatory burdens and eliminate the assessment tool used to map racial segregation under the 2015 Affirmatively Furthering Fair Housing rule.

According to HUD, simplifying the process for cities to meet fair housing requirements would help them meet their civil rights obligations. But housing advocates caution the plan would substantially weaken fair housing enforcement, leading to a resurgence of racial segregation across the country.

“This proposal would dismantle efforts to combat ongoing racial segregation in the housing market and effectively allow jurisdictions free rein to discriminate without consequences,” said Kristen Clarke, president and executive director of the Lawyers’ Committee for Civil Rights Under Law.

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Housing Secretary Ben Carson, who previously criticized President Obama’s fair housing rule as “social engineering,” said the new rule would give people more affordable housing options in communities nationwide.

“Mayors know their communities best, so we are empowering them to make housing decisions that meet their unique needs, not a mandate from the federal government,” Carson said. “If a community fails to improve housing choice, HUD stands ready to enforce the Fair Housing Act and pursue action against any party that violates the law.”

The 2015 fair housing rule, put in place to strengthen enforcement of the landmark Fair Housing Act of 1968, for the first time required more than 1,200 jurisdictions receiving HUD block grants and housing aid to analyze housing stock and come up with a plan for addressing patterns of segregation and discrimination. If HUD determined that the plan, called a Fair Housing Assessment, wasn’t sufficient, the city or county would have to rework it or risk losing funding.

The Trump administration in 2018 suspended the full implementation of the rule and withdrew a data tool designed to help cities analyze their housing, arguing it was too costly and burdensome for both local jurisdictions and the federal government. A group of housing and civil rights advocates unsuccessfully sued HUD over the suspension of the rule.

The proposal released Tuesday aims to replace the 2015 rule. The public will have 60 days to submit comments once it is published in the Federal Register.

It seeks to change the definition of fair housing from “taking meaningful actions that, taken together, address significant disparities in housing needs” and “replacing segregated living patterns with truly integrated and balanced living patterns” to “advancing fair housing choice within the program participant’s control of influence.”

Housing advocates say the consequences will be disastrous.

“If the rule takes effect, ongoing housing discrimination and segregation will likely continue to be swept under the rug and HUD resources will do far less to reduce segregation and expand housing opportunities for people of color, people with disabilities, and other protected groups,” said Peggy Bailey, vice president of housing policy at the Center on Budget and Policy Priorities.

HUD officials emphasized a simpler process that focuses on achieving results.

In a shift from a 92-question checklist localities had to answer on housing desegregation, the proposed rule would require each jurisdiction to submit three goals it plans to reach to overcome obstacles to fair housing choice, and leaves the contents of those goals largely up to the cities themselves. According to HUD, 63% of localities had their fair housing plans either rejected or only accepted after “substantial HUD-directed revisions,” with proposals that averaged 204 pages.

The proposed rule also seeks to rank jurisdictions based on housing costs and market rates, and reward top-performing jurisdictions with incentives that could include additional program funds. Those localities where housing choice is relatively poor will be more closely scrutinized.

The goal is to boost the availability of affordable housing. But some housing advocates say it could put high-cost coastal cities with great housing needs, such as California, at greater risk of losing federal funds than smaller, less-expensive rural areas, which tend to be more supportive of Trump.


SACRAMENTO — 

California has been slowly erasing legal immigration status as a requirement for medical coverage under the state’s healthcare program for low-income residents, allowing children and, this month, young adults living in the U.S. illegally to enroll. Now, Democratic lawmakers expect Gov. Gavin Newsom to embrace an effort to include seniors without legal status in the state’s Medi-Cal program — either in his new state budget or with his signature on legislation.

Newsom will send the Legislature a full state spending plan this week and is expected to unveil it Friday. State Sen. Maria Elena Durazo (D-Los Angeles) said she expects it to include the Medi-Cal expansion after the governor told her in September that he would champion the effort in his next budget. Durazo said that assurance prompted her to hold her bill last year that would have expanded coverage to adults 65 or older who are living in the U.S. illegally.

“He made a very explicit commitment that he would include it in his budget,” Durazo said Monday, adding that she had not heard anything since then to change that understanding.

“I’m hopeful,” she said. “I have no reason to think it won’t be included.”

Newsom’s office declined to comment on whether his budget will include the Medi-Cal expansion. The relatively small population of seniors who live in the state without legal immigration status means the cost of covering them — estimated to be $121 million a year — is a fraction of the state’s overall $215-billion budget. But Medi-Cal already covers a third of California’s residents, and critics of expanding the program argue it is already struggling with long wait times because of too few doctors who are willing to accept the state’s low reimbursement rates.

“There are issues with access,” said state Sen. Patricia Bates (R-Laguna Niguel) in opposing the bill in May, adding that extending coverage to more people when those currently enrolled struggle to get appointments would constitute a “false promise.”

This month, California became the first state to cover adult immigrants younger than 26 who lack legal status through the state’s Medi-Cal program under Newsom’s proposal to spend $250 million a year on the effort, which was included in last year’s budget. The state first expanded the healthcare program in 2015 to children living in the U.S. illegally, which has allowed more than 200,000 minors to enroll in the benefit at a cost of $300 million a year.

Supporters of the expansion say covering seniors is the logical — and less costly — next step toward universal healthcare coverage, a policy goal central to Newsom’s campaign platform. One of the largest groups of uninsured Californians is immigrants in the U.S. illegally, with an estimated 1.5 million adults eligible based on income but excluded because of their immigration status. The administration estimated last year that expanding Medi-Cal to all income-eligible adults regardless of age or immigration status would cost $2.4 billion a year.

Though Medi-Cal is funded by both federal and state money, the cost of expanding coverage to immigrants who are in the U.S. illegally falls solely to California because the Affordable Care Act prohibits the use of federal dollars for covering such immigrants. Adult immigrants without legal status can enroll in limited scope Medi-Cal coverage, which covers pregnancy, some cancer treatments, emergency services and long-term care.

“We believe fundamentally that primary and preventative care makes our healthcare system more efficient and effective for everyone,” said Anthony Wright, executive director of Health Access California, a consumer advocacy group. “It’s important that we take these important steps to provide real relief to Californians who are excluded due to eligibility or affordability.”

Durazo’s legislation to expand coverage to seniors here illegally passed the Senate last year and was set for a vote in the Assembly when she held it. Durazo said she would push for an Assembly vote on Senate Bill 29 if Newsom does not include the expansion in his budget this week. The bill would have to return to the Senate for a concurrence vote.

A legislative analysis of SB 29 estimated that 25,300 people who are 65 or older and lack legal status would enroll in Medi-Cal coverage. The Newsom administration formally opposed Durazo’s bill last year, saying that it would “create significant general fund pressure.”

“For many of these seniors, they have made a lifetime of contributions to California — to our economy, tax base and our society — and right now they are excluded from healthcare programs,” Wright said. “It makes sense to focus on those who need this the most. It doesn’t mean we don’t want to get to everyone, so we will continue to press on that as well.”


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