Il avait dit oui, avant de se retirer du projet. A-t-il eu des regrets ? Selon le site Deadline.com, Johnny Depp serait à nouveau au casting de Black Mass, pour tenir le rôle de Whitey Bulger, un célèbre mafieux de Boston aujourd’hui sous les verrous.

On l’a connu un peu cabotin en Jack Sparrow ultralooké dans Pirates des Caraïbes, en héros mystérieux et tourmenté chez Tim Burton – d’Edward aux mains d’Argent à l’émouvant Willy Wonka de Charlie et la chocolaterie. Il est bankable, il est beau, il sait tout faire. Et il était parfait en gangster, sous les traits de John Dillinger, le pire braqueur des années 30, dans Public Ennemies, en 2009. C’est certainement cette performance qui avait séduit les producteurs (Exclusive Media et Cross Creek). Johnny Depp était pressenti dès l’année dernière pour porter un long-métrage consacré à la vie peu exemplaire et très criminelle de « Whitey » Bulger, un parrain de la mafia irlando-américaine installé à Boston.

Né James J. Bulger en 1929, celui qui fut longtemps le chef redouté du Winter Hill Gang, figurant parmi les hommes les plus recherchés par le FBI, a fini par être arrêté en 2011 après 16 ans de traque. Certains détails de sa vie ont d’ailleurs déjà servi de modèle à Martin Scorsese pour son film Les Infiltrés. Ce parcours violent, plein de rebondissements, était donc promis à l’ex de Vanessa Paradis. Mais en mai dernier, l’acteur s’était subitement retiré du projet, suite à des coupes drastiques dans le budget. Suite à quoi Barry Levison, dont on a surtout retenu le fameux Rain Man, avait refusé de réaliser le film.

Et pourtant, le très sexy quinquagénaire (si, si, Johnny Depp a cinquante ans) est de retour sur le projet. Vols, meurtres, assassinats, blanchiment d’argent et trafic de stupéfiants, rien ne l’effraie, celui qui s’affiche désormais avec la belle Amber Heard semble donc prêt à endosser un rôle a priori peu sympathique, sous la houlette de Scott Cooper, qui retravaille actuellement le scénario. Le cinéaste américain pourrait bien surfer sur le succès de ses deux films, Crazy Heart (Jeff Bridges avait décroché l’Oscar en 2010 pour son personnage de chanteur de Country) et le tout récent Les brasiers de la colère (avec Zoe Saldana et Christian Bale)

Le tournage devrait débuter en mai prochain. Tom Hardy, qu’on a adoré dans The Dark Knight Rises, sera aux côtés de Johnny Depp, selon Deadline.com, dans le rôle de son ami d’enfance devenu agent du FBI… de quoi pimenter le thème des frères ennemis, pour un thriller plein de promesses.

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Le 18 février, Goerge Clooney a été vu à la Maison-Blanche au bras d’une superbe demoiselle. Pour celui qui fait tourner la tête de toutes les femmes mais ne parvient jamais à en garder une plus de trois ans, c’est peut-être la bonne.

Elle est belle, intelligente et avocate spécialisée dans la défense des Droits de l’Homme: le célibataire le plus convoité d’Hollywood ne pouvait donc que succomber. Sept mois après sa rupture d’avec Stacy Keibler, ex-catcheuse reconvertie dans le mannequinat, George Clooney semble avoir retrouvé quelqu’un avec qui passer ses longues soirées d’hiver.

En effet, le 18 février dernier, il était invité à la Maison Blanche pour une projection privée de son cinquième film en tant que réalisateur, Monuments Men, avec le président Barack Obama. Et c’est accompagné de Amal Alamuddin, une grande et ténébreuse jeune femme d’origine libanaise, ténor du barreau, que George Clooney s’est présenté. Les parents de l’acteur étaient également là, ce qui donne à penser que la relation entre l’acteur de 52 ans et Amal Alamuddin, de seize ans sa cadette, est sans doute officielle. De plus, pour elle, George a pris le risque de froisser son grand copain Barack puisque l’avocate de 36 ans (qui a aussi représenté l’ex-premier ministre ukrainienne Yulia Tymoshenko) a défendu Julian Assange. Ce dernier, fondateur de WikiLeaks, a en effet attaqué la gouvernance américaine en dévoilant des documents secrets, à l’image d’Edward Snowden. Un choc politique sur lequel la Maison Blanche n’a fait aucun commentaire.

«Ils se tenaient la main», raconte au site People Harry Ettlinger, 88 ans, ancien soldat de la Seconde Guerre Mondiale qui avait fait partie de ceux qui ont inspiré le film Monuments Men et était donc invité à cette projection spéciale. Des dires que confirme un autre observateur anonyme : «Ils étaient collés l’un à l’autre comme de la glue et semblaient vraiment, vraiment ensemble». Il faut dire que la belle Amal Alamuddin, sortie d’Oxford, parlant couramment trois langues et élue «avocate la plus sexy» en 2013, a de quoi séduire, tant par sa beauté que par son esprit.

Déjà, en octobre 2013, la rumeur de leurs amours naissantes avait fait trembler la presse people lorsqu’ils avaient été aperçus ensemble en train de dîner à Londres.Un rendez-vous galant qui n’était cependant pas le premier pour George Clooney, coureur de jupons invétéré. En témoigne le nombre impressionnant de conquêtes qu’il a collectionnées ces dernières années. Ainsi, Sarah Larson, Elisabetta Canalis, Lucy Liu, Renee Zellwegger, Naomi Campbell et la Française Céline Balitran sont, entre autres, tombées sous le charme du bellâtre qui incarnait le docteur Ross dans la série Urgences.

Lui qui se dit allergique au mariage serait-il enfin prêt à se caser? Le doute est permis car, même s’il a dans l’idée de bientôt jouer les pasteurs pour ses amis Brad Pitt et Angelina Jolie, George Clooney aurait la fâcheuse tendance à répondre au principe du «fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis». Avec lui, il ne faut donc pas trop s’attacher: Amal Alamuddin est prévenue. Qui plus est, en décembre dernier, l’acteur avait déclaré dans une interview au magazine W «ne pas avoir encore rencontré le grand amour». Alors, coup de bluff ou véritable coup de cœur pour la belle jeune femme?

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À la demande du parquet, le procès du champion handisport sud-africain Oscar Pistorius, qui répond du meurtre de sa petite amie la nuit de la Saint-Valentin 2013 et se tient depuis le 3 mars à Pretoria, a été ajourné jusqu’à lundi 24 mars, comme l’a annoncé à l’AFP mercredi la juge Thokozile Masipa.

Bien mal embarqué dans son procès, Oscar Pistorius, va bénéficier de quelques jours de répit pour affiner sa défense. “La juge a accepté une demande du parquet qui a promis de boucler sa partie du dossier au début de la semaine prochaine avec la comparution restante de quatre ou cinq témoins, précise l’AFP. Il a demandé à pouvoir bénéficier d’une journée entière pour « reconsulter » ses témoins, à savoir jeudi, avant le week-end prolongé qui démarre vendredi, date fériée en Afrique du Sud (jour des Droits de l’Homme). Initialement, 107 témoins figuraient sur sa liste —mais il n’est pas obligé de les appeler tous— et le procès devait s’achever jeudi, avant que la juge ne prépare son verdict puis sa sentence qui sera annoncée sans doute plusieurs semaines plus tard.”

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Un ajournement bénéfique pour Oscar Pistorius tant l’un des derniers témoignages au treizième jour du procès de l’athlète, a été accablant pour lui. Le capitaine Chris Mangena, expert balistique de la police sud-africaine, a en effet apporté un témoignage favorable à Reeva Steenkamp. «Très probablement, la blessure à la hanche a été faite quand elle était debout (…) face à la porte, a décrit le capitaine Chris Mangena, alors que Pistorius se bouchait les oreilles. Cela lui a brisé la hanche, l’a fait tomber en arrière dans le porte-revues. C’est dans cette seconde position qu’elle a été touchée une deuxième et une troisième fois. (…) Le tireur ne portait probablement pas ses prothèses aux jambes et a tiré d’une distance supérieure à 60 centimètres (…) quelque part entre 60 cm et le mur.»

Comme le constate l’AFP, cette expertise met à mal la défense de la star sud-africaine déchue, puisque contrairement à ce que Pistorius a toujours affirmé, si on se réfère à la version du capitaine Chris Mangena, Reeva Steenkamp aurait eu le temps de crier et de signaler sa présence. Après 13 jours de procès, la partie semble bien mal engagée pour l’ancien roi de l’athlétisme, qui encourt (si la préméditation est reconnue) vingt-cinq ans de prison.

Découvrez la bande-annonce de “A glimpse inside the mind of Charles Swan III”, deuxième long métrage de Roman Coppola, avec Charlie Sheen, Jason Schwartzman et Bill Murray.

Bill Murray en cowboy, Jason Schwartzman barbu : voila entre autres ce qui vous attend dans la bande-annonce de A Glimpse Inside The Mind of Charles Swan III, le deuxième long métrage de Roman Coppola, dix ans après CQ. C’est Charlie Sheen qui joue le rôle-titre, un graphiste en crise après s’être fait plaquer par se petite amie, dans l’Amérique des seventies. La date de sortie française du film, qui sera sur les écrans américains en février, n’a pas été encore fixée.

Nommé Premier ministre suite aux élections municipales, Manuel Valls a élaboré son gouvernement avec François Hollande. Peu de nouvelles arrivées excepté celle, notable, de Ségolène Royal et François Rebsamen. En revanche, Pierre Moscovici est écarté.

Ministre des Affaires Etrangères et du Développement International: Laurent Fabius

Ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’énergie: Ségolène Royal

Ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche: Benoît Hamon

Ministre de la Justice: Christiane Taubira

Ministre des Finances et des Comptes Publics: Michel Sapin

Ministre de l’Economie, du Redressement Productif et du Numérique: Arnaud Montebourg

Ministre des Affaires Sociales: Marisol Touraine

Ministre du Travail, de l’Emploi et des Affaires Sociales: François Rebsamen

Ministre de la Défense: Jean-Yves Le Drian

Ministre de l’Intérieur: Bernard Cazeneuve

Ministre des Droits de femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports: Najat Vallaud-Belkacem

Ministre de la Décentralisation et de la Réforme de l’Etat: Marylise Lebranchu

Ministre de la Culture et de la Communication: Aurélie Filippetti

Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la forêt et porte-parole du gouvernement: Stéphane Le Foll

Ministre du Logement et de l’Egalité des teritoires: Sylvia Pinel

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Ministre des Outre mer: George Pau-Langevin

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Jennifer Lopez ne se rendra pas à Sao Paulo jeudi pour chanter l’hymne officiel de la Coupe du monde. Les motifs de son forfait restent flous, mais la chanteuse serait vexée de l’accueil réservé à la chanson.

Jennifer Lopez ne marchera pas dans les pas de Shakira. La Colombienne avait été choisie en 2010 pour chanter l’hymne de la Coupe du Monde et son Waka Waka résonne encore un peu partout aux quatre coins de la planète, augmentant encore un peu plus la popularité de la sexy chanteuse. JLo ne surfera donc pas la médiatisation que lui offre l’événement footbalistique puisqu’elle ne se rendra pas au Brésil pour la cérémonie d’ouverture.

La bomba latina avait pourtant été choisie pour interpréter la nouvelle chanson officielle, We are one (Ole Ola), avec Pitbull et Claudia Leitte. Mais Jennifer Lopez vient de faire savoir qu’elle n’ira pas à Sao Paulo jeudi pour fouler la scène de l’Arena Corinthians qui accueillera la cérémonie et le match d’ouverture, entre le Brésil et la Croatie. «Des raisons de production» ont été mises en avant pour justifier ce forfait. Un motif trop vague pour être recevable. Certains mettent en avant le mauvais accueil de la chanson et le rejet du choix de JLo, par les Brésiliens notamment qui auraient préféré des artistes locaux et une chanson davantage inscrite dans la tradition musicale brésilienne.

Jennifer Lopez, qui se serait séparée de son boyfriend Casper Smart, avait déjà annoncé la couleur en boycottant un concert organisé pour la FIFA. L’avantage, c’est ce que cela avait permis à Pitbull et Claudia Leitte d’interpréter la chanson sans la méga star qu’elle JLo. Elle ne leur manquera donc pas jeudi pour le grand show qui donnera le coup d’envoi à la coupe du monde. Pitbull a déclaré dans le communiqué officiel annonçant l’absence de Jennifer Lopez: «chanter We Are One face au monde entier, tout particulièrement dans un pays aussi joli que le Brésil, sera très amusant. Mais au-delà, ça montrera au monde que la musique est un langage universel». Que ne semble pas pratiquer Jennifer Lopez.

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Actress Jamie Lee Curtis said embattled Empire star Jussie Smollett “needs mental health help,” after police in Chicago determined that he orchestrated a fake violent hate crime against himself.

Smollett turned himself over to police on Thursday morning to face charges of filing a false police report, after investigators concluded that he had faked a racist and homophobic hate crime against himself in downtown Chicago last month with the help of two men. He was later released on a $100,000 bond.

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“It’s so disturbing, that to focus on the negative seems silly,” Jamie Lee Curtis said in an interview with Access. “He needs some mental health help … and I’m going to let courts and some other people decide what will happen.”

Curtis also weighed in on the case via Twitter, describing herself as “appalled” by Smollett’s claim he felt “betrayed” by the law enforcement system.

“HE feels “betrayed”? What about every single victim of a hate crime, every single person of color or LGBTQ who has had violence perpetrated against them? I am appalled,” she wrote. “I hope he gets the obvious mental health help he needs as he gets the attention he so deeply craved.”

Meanwhile, Smollett continues to vehemently deny all claims of wrongdoing, while his lawyers have also pledged to fight any charges against him.

”I’m sorry I’ve put you all through this and not answered any calls. I wanted to say I’m sorry and, you know me, I would never do this to any of you, you are my family,” he reportedly told his Empire co-stars on Thursday. “I swear to God, I did not do this.”

Follow Ben Kew on Facebook, Twitter at @ben_kew, or email him at [email protected].

CNN host Don Lemon worried about how conservatives would react to Jussie Smollett’s alleged hate hoax Wednesday night, saying that President Donald Trump and conservative media are going to “eat his lunch.”

“This is playing out every single moment in cable news,” Don Lemon said. “Sean Hannity’s going to eat Jussie Smollett’s lunch, every single second. Tucker Carlson is going to eat Jussie Smollett’s lunch every single second.”

“The president of the United States is going to eat his lunch, and who does the president of the United States watch every night?” Lemon asked, answering himself, “Cable news. And so, that’s all I’m saying. That’s all I’m saying.”

Empire star Jussie Smollett claimed in January that he was the victim of a racist and homophobic attack in downtown Chicago at 2am. He claimed his attackers beat him, put a rope around his neck, and yelled “This is MAGA country!”

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The 36-year-old actor reportedly surrendered to police Thursday morning after being charged with “felony disorderly conduct for filing a false police report.”

CNN’s Lemon also admitted Wednesday that he and others were skeptical about Smollett’s story from the start, saying, “a lot of people, including people in the community, people of color and gay people, had questions about this from the very beginning, the veracity of this story.”

“A lot of people were reasonably skeptical about Jussie’s story. Some of the details just didn’t seem to make sense.”

These are some of the key people to watch on Brexit this autumn:

Theresa May: The British prime minister goes into the autumn seeking to reassert her authority over Brexit. Since losing her majority at the June general election, advocates of rival Brexit visions, hard and soft, have been competing for influence in her Cabinet. The key date will be October 1, when the ruling Conservative Party gathers in Manchester for its annual conference. Will May soften any of her Brexit red lines on immigration and the future role of the European Court of Justice in British affairs, in the hope of breaking the deadlock with the EU?

Michel Barnier: The European Commission’s chief negotiator plans to deliver his verdict on the progress of Brexit talks to the European Council in the autumn. He has his eye on the technical matters — how many specific issues have been thrashed out by the negotiators. But he and his boss, Jean-Claude Juncker, will also inevitably be thinking politically: Have the British made enough concessions to the EU to foster goodwill, and encourage a good report from Barnier to the gathering of European heads of government — something that will improve the chances of “sufficient progress” being declared?

David Davis: Tasked with handling negotiations on the British side, it will be up to Brexit Secretary David Davis to recommend to the prime minister whether the U.K. should stay the course or offer major concessions to keep talks on track. With the clock ticking, it may be necessary to shift position on issues such as the role of Europe’s highest court in Luxembourg. The government does not want the European Court of Justice to decide on British matters once the U.K. leaves the EU, but in order to clear the way for agreements on a broad swathe of technical issues, it may be necessary to give ground.

Angela Merkel: Ultimately, the judgment over whether talks have made sufficient progress — and can thus proceed to the next all-important “future relationship” stage — will be a political one for the European Council. No one is more influential here than the German chancellor (assuming she is reelected as expected on September 24). A pragmatist with the future reputation of the EU in her mind, will Merkel look sympathetically on the progress made and encourage the EU27 to give the green light in search of a final deal? That would show the world the EU is responsible enough to amicably settle a major dispute, but equally, she does not want to let the U.K. off the hook in a way that will encourage others to leave.

Emmanuel Macron: After Merkel, the French president is the most powerful person on the Council. Since winning the Elysée, Macron has shown himself capable of making big political calls, and also demonstrated an appetite for grandstanding. Will the pro-EU French leader take his opportunity at the October European Council to stand up to the big bad Brits? He may use any stalling by London on say, the Brexit bill, to show that with him at its helm, the bloc will not be pushed around. Political fireworks possible.

Boris Johnson: Since joining the government, the foreign secretary has been a peripheral figure in the Brexit process, but having told the EU it can “go whistle” if it wants to extract an “extortionate” Brexit divorce bill, he may impose himself on events in the autumn. An EU demand for a multibillion-euro sum in exchange for moving on to the next stage of the talks may prove too much for Johnson, who could cause a distracting political headache for May if he wants to.

Red Bull Racing’s Adrian Newey has labeled next year’s regulation changes in F1 as “an awful shame”, the design guru expressing his frustration with the “restrictive” nature of the new rules.

Formula 1’s 2021 regulation overhaul aims to tighten the field and promote better racing thanks in part to a simplification of a car’s aero specifications.

Brawn: New F1 governance will prevent regulation loopholes!

But Newey, who penned more winning designs in F1 than any other engineer, says the limited scope of innovation as prescribed by the new rules is something he doesn’t like.

“In many ways I look forward to a regulation change because it’s an opportunity to try to understand new things,” Newey tild iNews.

“What I don’t like is the general trend in successive regulations to become ever more restrictive. What was very nice about the last major change back in 2009 was that it wasn’t more restrictive.

“But these new ones for 2021 are very restrictive and prescriptive. And I think that is an awful shame.

“It makes it a little bit GP1 which is not what I think Formula One should be.”

©Formula1