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Après cinq ans de deuil, Lisa Niemi a tourné la page : la veuve de Patrick Swayze s’est remariée ce week-end. Une seconde jeunesse pour l’actrice, qui avait vécu 34 ans auprès de la star de Dirty Dancing.

Elle s’était fiancée en décembre dernier : cette fois, Lisa Niemi a dit « oui » officiellement à Albert DePrisco, un joaillier qu’elle avait rencontré en 2012, lors d’une cérémonie qui s’est tenue à Palm Beach en Floride ce dimanche, d’après le magazine People. Deux jours auparavant, l’actrice leur avait confié : « Ce que j’attends avec le plus d’impatience, c’est d’avancer dans l’allée, d’être devant l’autel et de me plonger dans ses yeux si incroyables. Il n’y a rien qui pourrait me faire plus plaisir. »

Veuve de Patrick Swayze, elle avait eu du mal à accepter l’idée de refaire sa vie, après 34 ans de mariage avec l’acteur de Ghost. Désormais, après un mariage entre des bouquets de roses blanches et un quatuor jouant du Haydn et du Mozart, Lisa Niemi se montre beaucoup plus sereine. « Nous voulions une cérémonie rafraîchissante et heureuse », a-t-elle précisé.

L’année prochaine, l’actrice verra Edgar Ramirez reprendre l’un des rôles emblématiques de son mari décédé : il sera Bodhi dans Point Break 2 (il remplace Gérard Butler, qui en avait peut-être assez des cascades). Un moment qui sera sûrement fort en émotion, mais qu’elle pourra désormais affronter au côté de son nouvel époux.

Après Letter to the Lord en 2011 (disque de platine) et une tournée internationale, Irma est de retour avec l’album Faces, porté par le single Save Me. Partie plus d’un an à New York pour composer et enregistrer, la chanteuse de 25 ans revient en France avec un opus plus consistant que le premier, inspiré par tous les gens qu’elle a rencontrés. Et elle a bien retenu la leçon des livres sur la spiritualité qu’elle dévore : chacun doit trouver son propre bonheur.

Gala : Ça fait trois ans que Letter to the Lord est sorti, une période longue et courte à la fois. Vous avez profité de la tournée pour composer ?

Irma : Non, pas du tout. J’étais vraiment à fond dans la tournée, donc pas du tout. C’est vrai qu’avec du recul ça paraît très long, entre la sortie du premier album et celle du second, mais finalement la conception du dernier album est allée assez vite. Un an et demi de retraite spirituelle.

Gala : À New York, c’est ça ?

Irma : Ce qui est fou c’est que j’y suis pas du tout retournée pour écrire. J’étais partie dans un concept où j’allais mettre beaucoup plus de temps que ça pour écrire un album, j’avais l’impression qu’il fallait que je retrouve mes esprits, car ce que j’avais vécu avant était très intense. Donc j’étais vraiment partie pour prendre l’air, pour m’éloigner de ce que je connaissais. J’avais envie de ne pas me reposer sur le fait que le premier album avait marché, et de me mettre un peu en danger. Du coup j’y suis allée, et c’est toute cette démarche de redécouverte qui a mené à l’écriture du second album.

Gala : L’idée, c’était de se ressourcer par l’inconnu ?

Irma : Exactement. New York, j’y étais déjà allée, mais par très courtes périodes. Je sentais qu’il y avait une énergie à prendre, mais je n’avais jamais vraiment pu la saisir.

Gala : Pour cet album, vous vous êtes beaucoup baladée dans la ville, vous avez rencontré des gens au hasard… Vous avez besoin des histoires des autres pour écrire vos chansons ?

Irma : Disons que les autres sont un miroir : finalement on a tous les mêmes questions, on a tous les mêmes problèmes… C’est une volonté humaine aussi, au-delà des chansons, mais j’ai vraiment l’impression qu’on court tout le temps, qu’on ne prend pas la peine de connaître les gens. À New York, il y a ce côté grande machine, mais ce que j’ai aimé y trouver et ce qui m’a libérée c’est que finalement il y a très peu de New-Yorkais à New York, il y a beaucoup de gens qui viennent de partout, et ces gens-là viennent chercher le rêve américain. Beaucoup se cassent la gueule, mais on est quand même contents de se retrouver entre personnes qui viennent chercher cette chose-là. Ça crée une vraie énergie, et les gens sont finalement assez ouverts.

Gala : Ils viennent chercher le rêve américain, mais ne le trouvent pas forcément.

Irma : Street Lights, pour moi, c’est vraiment la chanson qui symbolise cette démarche new-yorkaise, les lumières dans la ville, le côté euphorisant du jour dans la nuit, Times Square où on devient épileptique tellement c’est lumineux. Ces lumières-là sont forcément quelque chose qui m’attire, moi, petite fille africaine. On se dit « Ah, c’est mieux là-bas, c’est mieux ailleurs. » Et c’est la question qui sous-tend l’album : aller chercher son bonheur ailleurs. En grandissant, je me disais que le bonheur n’était pas là où j’étais, mais forcément vers ces choses-là qui ont l’air belles et qui brillent. Je parle justement de tous ces destins qui comme moi sont attirés par ces lumières-là, mais qui sont souvent désillusionnés en réalisant que ça peut être de la façade. Il faut se rendre compte que si déjà le travail n’est pas fait à l’intérieur il ne se passera pas grand-chose. Le bonheur, tu te conditionnes pour le trouver en toi.

Gala : Au-delà de la ville, vous avez eu d’autres influences ? Faces est assez différent de Letter to the Lord, il sort vraiment du simple guitare-voix.

Irma : (Elle rit.) Il y a encore des chansons guitare-voix dans l’album ! Mais sinon : Timbaland. J’ai enregistré dans un studio qui n’était pas du tout connu il y a deux ans, que maintenant tout le monde s’arrache, et Timbaland était juste au-dessus. Il travaille de minuit à minuit, tout le temps. (Elle rit.) J’ai vu un peu sa manière de travailler, ça m’a beaucoup appris sur le lâcher-prise. Aujourd’hui, on a des ordis, on peut tout modifier, on fait tout par ordinateur et finalement, alors qu’on a plein de moyens, on ne fait plus grand-chose. Lui, c’est tout l’inverse : autant il a plein de moyens, autant le côté organique de ce qu’il fait est super présent. Par exemple, il prend des clefs, il les fait tomber par terre et il enregistre le son. J’ai trouvé ça magnifique. Il y a un côté « science du son ».

Gala : Vous l’avez croisé ?

Irma : Oui, il est venu écouter mes chansons. C’était fou ! Lui travaillait sur l’album de Beyoncé, et sur The 20/20 Experience de Justin Timberlake. Un jour, alors que j’allais aux toilettes, j’ai croisé Justin Timberlake. (Elle rit.) Je me demandais ce que je faisais là ! Ce sont des moments où tu peux pas faire la fan, tu peux pas crier, alors je criais dans ma tête tout en lui parlant normalement.

Gala : Sur le premier album, vous aviez le soutien de tous les gens qui avaient donné de l’argent pour produire votre album avec My Major Company. Là, ce n’est pas le cas : était-ce une pression supplémentaire ?

Irma : J’ai eu cette pression, et plus maintenant. Je l’ai eue au moment où je suis allée à New York, et c’est justement pour ça que j’avais besoin de partir, pour l’enlever, car je savais qu’avec je ne ferais rien. J’avais besoin de m’en libérer. De me dire qu’il n’y avait plus les producteurs, mais que le premier album avait permis d’aller à la rencontre de tellement de gens qu’il n’y avait pas de raison, si je continuais à donner sincèrement ce que j’avais envie de donner, que ces personnes-là arrêtent de me soutenir. Et même, au-delà de penser au résultat, je me disais qu’il fallait que je crée sans penser à ce que les gens attendaient de moi.

Gala : Vous devez tout de même avoir un rapport particulier avec vos fans.

Irma : Il y a un côté très proche, oui. Quand je finis les concerts, parfois je vais voir les gens du public, je discute avec eux pendant des heures et ça énerve tout le monde d’ailleurs – l’équipe veut rentrer et moi je suis tout le temps en train de discuter. (Elle rit.) Les gens sont surpris car je leur dis que je vois leurs tweets… Je me dis qu’au moment où je perdrai l’envie d’entretenir ce lien-là, ça ne vaudra plus vraiment la peine.

Album Faces, sortie le 02/06. Irma est en concert au Trianon le 03/06 et reviendra à Paris le 19/03/15, après une tournée dans toute la France.

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Dans une tribune de la version française du Huffington Post, Geneviève De Fontenay a exprimé son mécontentement quant au projet de réforme territoriale.

À 82 ans, si Geneviève De Fontenay avait la langue dans sa poche, on le saurait. Si elle était plus connue pour ses sourires apaisants que pour ses coups de gueule réguliers, on le saurait également. Pas de surprise alors à voir hier lundi, apparaître dans les colonnes du Huffington Post les mots bien sentis de la dame au chapeau, exprimant son avis quant au projet de réforme territoriale.

Quoique détachée désormais de son rôle de présidence du comité Miss France, les élections des reines de beauté sont malgré tout restées son cheval de bataille. Même si elle officie maintenant au nom du Comité Miss Prestige Nationale, l’importance des régions reste identique pour elle. Elle explique ainsi que les miss sont choisies pour représenter un folklore régional, des traditions propres à leurs origines. «Comment peut-on avoir envie de supprimer tout ça?» s’indigne-t-elle alors qu’elle vient de faire référence aux «mamelles de la France» qu’avait évoqué le Duc de Sully.

Fidèle à elle-même et à ses paroles sans langue de bois, Geneviève De Fontenay interroge vis-à-vis de l’intérêt d’une telle réforme, elle dénonce le coût et l’utilité très subjective d’un hôtel de région construit récemment en Auvergne pour 80 millions d’euros. «Sous prétexte d’économies? Lesquelles? Où? Comment?» La dame au chapeau s’énerve encore du caractère presque dictatorial de cette prise de décision: «Tout cela élaboré, discuté et décidé par le président, avec l’envoie de la dépêche à l’AFP un soir à 20h37. «J’ai décidé», Amen!»

Alors, qu’à cela ne tienne, tant pis pour les usages, Geneviève De Fontenay n’en fera qu’à sa tête: «Non! Non et non, nous continuerons à faire nos écharpes avec des titres évocateurs comme la Provence, qui sent la lavande, les oliviers et Pagnol ; le Béarn, la Rouergue, le Quercy, la Cerdagne, l’Artois, la Flandre, le Berry, le Limousin ( et ses vaches), la Bretagne (…) »

On dirait bien que les réfractaires de la réforme on trouvé là leur porte-parole.

Crédits photos : Non renseigné

Au petit jeu des distributions de bons points (enfin surtout des mauvais ici), le magazine Rolling Stone a élu Rihanna pire actrice de l’année 2012 pour sa performance dans “Battleship”. Et histoire de ne pas faire de jaloux, son pendant masculin est Taylor Lautner dans la conclusion de “Twilight”.

Les fins d’années / début d’années sont toujours l’occasion de faire des bilans, en bien comme en mal. Peter Travis, l’influent critique ciné du magazine US Rolling Stone, a choisi de distribuer quelques cartons rouges. Il a ainsi élu Rihanna pire actrice de l’année 2012, pour sa prestation dans le Battleship de Peter Berg, où elle incarne une femme soldat de la marine à qui on ne la fait pas.

 

Certains se souviennent peut être qu’en mai 2012, un mois après la sortie du film, le site Vulture s’était même amusé à compter le nombre de répliques que la chanteuse – apprentie actrice avait dans le film, qui ne la placait pas très loin de l’économie de mots d’un Schwarzenegger dans Terminator (voir notre article). Et histoire de respecter la parité, le carton rouge masculin a été attribué à Taylor Lautner pour sa prestation dans l’ultime volet de la saga Twilight. Et vous, quels sont vos cartons rouges de l’année 2012 ?

 

OP avec Rolling Stone

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“Jack Reacher” : la suite menacée ?

February 21, 2020 | News | No Comments

Initialement envisagé comme le point de départ d’une nouvelle saga, “Jack Reacher” pourrait bien ne pas connaître de suite, à cause de ses résultats quelque peu décevants au box-office.

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Millions impossibles pour Tom Cruise ? – © Paramount Pictures France

Qu’il semble loin le temps où Tom Cruise faisait exploser le box-office par la force de son seul nom ! Si l’on excepte le carton de Mission : Impossible – Protocole fantôme (le plus gros de sa carrière), la star a en effet connu quelques déceptions ses derniers temps, entre Night and Day, Rock Forever ou encore Jack Reacher. Malgré les 60 millions de dollars d’un budget déjà remboursés sur le sol américain, le film de Christopher McQuarrie ne satisfait pas vraiment les attentes de la Paramount, qui hésiterait à lui donner une suite. A moins que le marché asiatique, où il est attendu en février, ne change la donne en lui permettant d’atteindre la barre des 250 millions de dollars de recettes mondiales, objectif du studio pour envisager un épisode 2. Une mission pas si impossible, dans la mesure où le long métrage en est déjà à 153 millions, mais qui a quand même poussé le comédien à venir le promouvoir au Japon la semaine dernière. Un comédien qui devra également ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre sur un éventuel Jack Reacher 2, car la Paramount souhaite rester dans les mêmes eaux niveau budget. Beaucoup de conditions donc, mais au pire, Tom Cruise aura toujours les Mission : Impossible pour se consoler…

Maximilien Pierrette avec The Hollywood Reporter

La bande-annonce de “Jack Reacher”

Monet, money, money

February 21, 2020 | News | No Comments

La France a la côte sur le marché de l’art. Lundi 23 juin à Londres, une œuvre de Monet a été attribuée pour la coquette somme de 39 millions d’euros. Un record pour le chef de file des impressionnistes.

Si le peintre britannique Francis Bacon fait certes frémir le marteau dans les salles de vente aux enchères, le français Claude Monet est aussi une valeur sûre du marché de l’art. A Londres, lors d’une vente Sotheby’s consacrée à l’impressionnisme et à l’art moderne, une des versions des Nymphéas – peinte en 1906 – a remporté tous les suffrages. Estimée entre 20 et 30 millions de livres (soit 25 et 37 millions d’euros), la toile a finalement atteint les 39 millions d’euros. Une somme colossale pour l’artiste, dont sa déclinaison des Nymphéas confirme sa suprématie sur le marché de l’art.

En 2008, Le bassin des Nymphéas de Monet frôlait les 60 millions d’euros, dans une vente organisée par Sotheby’s Londres. La série Les Nymphéas de Monet est une des œuvres majeures de l’Histoire de l’art, composée de 250 peintures à l’huile réalisées durant les 31 dernières années de sa vie. Toiles de l’intime, ces pièces phares sont une invitation dans l’intimité du peintre et son jardin de Giverny; plus précisément son bassin de nénuphars, qu’il s’est appliqué à reproduire en fonction des différents instants de la journée. Bien souvent monumentales, ces Nymphéas ont été en partie exposées à New York par Paul Durand-Ruel, célèbre marchand d’art français. Cette version des Nymphéas vendue à Londres est issue de la collection du mécène de l’Ecole de Barbizon.

Aux côtés de Monet – et d’autres de ses toiles comme La Seine à Argenteuil, ou Antibes, vue du plateau Notre-Dame -, certains de ses contemporains ont affolé le marteau, comme Pierre-Auguste Renoir et sa touchante Femme Lisant, Alfred Sisley et La Route des verrières, sans oublier Camille Pissaro. Une vente éclectique, où Monet a été suivi de près par la Composition with Red, Blue and Grey de Piet Mondrian vendue 21 millions d’euros.

Indian army remains in news for its valour and sacrifices. An Indian army officer is perhaps the most refined and unbiased person one would come across. One such soldier is Colonel Saurabh Singh Shekhawat, whose anecdote about secularism is going viral over different avenues of social media.

Col. Shekhawat says that everyone in the army lives as a “pluralistic secular society” and “act like a unit” irrespective of their caste and religion in the one-minute video.

Si bien des fans ont été déçus d’apprendre que Ryan Gosling filait le parfait amour avec Eva Mendes, au point d’être bientôt papa, il y a une actrice qui n’a vraiment pas apprécié la nouvelle : Rachel McAdams. D’après le magazine américain Life & Style, l’ex de Ryan Gosling serait dévastée par l’idée que l’acteur devienne père.

C’était la bonne surprise du début du mois de juillet. Non, Ryan Gosling et Eva Mendes ne sont pas en train de se séparer ; l’actrice est en fait enceinte de sept mois, son accouchement étant prévu pour la rentrée. Malheureusement, une ombre vient ternir l’idyllique tableau : Rachel McAdams, l’ex de Ryan Gosling, serait attristée par la nouvelle histoire de l’acteur.

« Dévastée ». D’après une source citée par le magazine Life & Style, Rachel McAdams est « dévastée ». Il faut dire que si son histoire d’amour avec Ryan Gosling avait (très) mal commencé, elle s’était tout de même étendue sur cinq ans entre 2004 et 2009 (en comptant une séparation entre 2007 et 2008). À l’époque, la rupture aurait été due à une envie d’enfants de la part de l’acteur – envie que ne partageait pas Rachel McAdams.

Déjà fortement atteinte par l’annonce de cet enfant à venir, Rachel McAdams, verra sans doute d’un très mauvais oeil le mariage prochain entre Ryan Gosling et Eva Mendes, qui devrait être célébré après la naissance du bébé. Un nouveau coup dur pour la star de la future adaptation du Petit Prince au cinéma, qui a bien du mal à se remettre de sa rupture.

(crédit photo : Starface)

Crédits photos : zz.archive De Rosa-Garcia/Starface

Sur le cours, d’illustres inconnus se sont affrontés pour remporter le tournoi de l’US Open, mais en gradin les stars se sont retrouvées pour assister à cette rencontre inattendue. De Tony Parker à Heidi Klum en passant par Thierry Henry et Bruce Willis, c’est en couple que les célébrités ont pris place dans les gradins de New York.

Pour être un bon sportif, il faut aussi savoir apprécier les disciplines des autres. Le tennis a cette vertu de fédérer autour de ses grands rendez-vous tous types de professionnels du sport et du showbiz. L’US Open, prestigieux tournoi américain, bénéficie d’une bonne cote en matière d’invités célèbres. À l’occasion de la finale hommes du tournoi qui s’est tenue à New York lundi, les tribunes ont pris des allures de red carpet.

Ainsi, Tony Parker et sa jeune épouseAxelle Francine ont partagé un agréable moment avec Thierry Henry et sa compagne Andrea Rajacic. Entre selfies d’amis et adrénaline alimentée par le match, ils ne se sont pas ennuyés une minute. Plus sages mais tout aussi concentrés, Bruce Willis et son épouse Emma ont vécu ce match au diapason des échanges du victorieux Marin Cilic et de son adversaire Kei Nishikori. Michael J Fox et Tracy Pollan ont eux aussi suivi avec intérêt ce match d’inconnus.

De meilleur Friend, David Shwimmer est devenu tendre lover. L’acteur a passé plus de temps le regard plongé dans celui de Zoe Buckman, son amoureuse, que tourné vers les revers foudroyants du joueur serbe. Heidi Klum et Vito Schnabel ont suivi la rencontre depuis des tribunes très VIP fournies en petits fours apparemment délicieux…

Crédits photos : Tennis magazine / Panoramic / Starface

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Actor Robert De Niro appeared on The Late Show with Stephen Colbert on Friday and described his fantasy of putting President Donald Trump in handcuffs and “tak[ing] him away in an orange jumpsuit.”

Robert De Niro, promoting his latest film, The Irishman, with legendary director Martin Scorsese, lit in Trump much to the delight of Colbert’s audience.

“We have a wannabe gangster in the White House now,” De Niro said in the interview, which was taped on Tuesday, two days before the special counsel report on Russia’s election interference was released to the public. “Even gangsters have morals; they have ethics, they have a code, and you know, when you give somebody your word that’s all you have is your word, especially in that world. This guy, he doesn’t even know what that means.”

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The Meet the Fockers star has spent the last couple years fantasizing about punching President Trump in the face, calling him a “white supremacist” in January, and a “soulless, amoral, abusive, con-artist, son of a bitch” last June at an awards show for high school students. Robert De Niro also portrays special counsel Robert Mueller on Saturday Night Live.

“[…] I guess. It’s a civic duty. It’s my civic obligation to play Mueller,” De Niro told Colbert. “I’m hoping that it goes further. I don’t know what’ll happen, but I keep saying that, I don’t know whether this is actually possible in reality, where I can handcuff him and take him away in an orange jumpsuit.”

Ironically enough, it was but a week ago that De Niro was still hoping Mueller could put Trump “away for a long time.”

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