Nouvelle BA et joli casting pour ce thriller projeté au dernier festival de Sundance : Brit Marling, Ellen Page, Alexander Skarsgard, Patricia Clarkson, Shiloh Fernandez et Julia Ormond…

Agent émérite d’une officine de renseignement privée, Sarah Moss (Brit Marling) est chargée d’infiltrer un mystérieux groupe de terroristes anarchistes qui s’en prennent à de grandes entreprises. Problème : leur leader (Alexander Skarsgård) n’est pas dépourvu d’un certain charme…

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A 83 ans, Max Gallo est un immortel. L’académicien vient pourtant de révéler qu’il était atteint de la maladie de Parkinson. Malgré cela, il continue à écrire.

A 83 ans, il n’est toujours pas question de retraite pour Max Gallo. Ancien porte-parole du gouvernement de Pierre Mauroy dans les années 80, ex-éditorialiste de l’Express, historien et auteur de romans, le membre de l’Académie française n’a jamais vraiment levé le pied au cours de sa carrière. Hier, il répondait aux questions de RTL concernant la sortie de son nouvel ouvrage, Dieu Le Veut (éditions XO), prévu en librairies jeudi prochain. Au cours de l’entretien, l’écrivain a révélé à son interlocuteur qu’il était atteint de la maladie de Parkinson.

« Je suis en effet malade, c’est difficile », confie-t-il très honnêtement. « La maladie change totalement le rapport de l’écrivain avec lui-même, avec les autres et avec le monde tel qu’il est ». Malgré ce mal qui le ronge, Max Gallo continue à travailler. Il avoue cependant que le sentiment d’indépendance qu’il tirait de ses longues promenades (il a longtemps été un grand amateur de marche à pied), lui manque beaucoup. “La sensation de liberté s’efface, explique-t-il. Vous êtes obligé d’être assis d’une certaine façon, de vous lever en faisant attention de ne pas vous prendre le pied dans un tapis…”.

L’historien a désormais une crainte principale: « Etre obligé de se retirer totalement, dans tous les sens du mot. On se croit immortel et on ne l’est pas, réalise-t-il. La découverte de la non immortalité est une surprise difficile à rejeter”. Alors, Max Gallo trouve refuge dans sa foi. A ses yeux, il n’y a aucune forme d’injustice dans sa situation. »Nous avons toujours la liberté d’en finir avec nous-mêmes, observe-t-il. Je ne prêche pas ce mode opératoire, néanmoins, c’est une liberté qui nous est donnée même si elle est discutable. C’est une manifestation de la sollicitude et Dieu donnant cette liberté dit aussi qu’on peut y renoncer”. Max Gallo ne compte pas se laisser aller. Il espère sortir son prochain ouvrage d’ici à la fin de l’année. Cependant, hors de question pour lui d’écrire sur sa maladie.

Crédits photos : IBO/SIPA

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La projection hier de “La Vie d’Adèle” d’Abdellatif Kechiche a rencontré de très bonnes réactions auprès de la presse si bien qu’on le considère comme un des favoris dans la course à la Palme d’or. Petit condensé des réactions publiées sur la twittosphère…

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© Quat’sous Films

Les actrices du Kechiche sont de serieuses candidates au prix d interpretation… Sauf si le film a la palme (pas de cumul) #cannes2013

— AlloCiné (@allocine) 23 mai 2013

Joli buzz autour de La Vie d’Adele. On en discute meme avec les attaches de presse d autres films, qui iraient bien le voir #cannes2013

— AlloCiné (@allocine) 23 mai 2013

“La vie d’Adéle” d’Abdellatif #Kechiche en compétition à #Cannes2013 est un chef d’œuvre acclamé hier soir. #Linvité @tv5monde

— Patrick Simonin (@PatrickSimonin) 23 mai 2013

“La vie d’Adele” est la plus belle histoire d’amour (et de passion) que j’ai vu au cinéma depuis… Lady Chatterley !

— Benoit Basirico (@benoit_basirico) 23 mai 2013

Des doubles prix d’interprétation cette année #cannes2013 ? Pour le duo de Under the candelabra et les actrices de La Vie d’Adele??

— soulignac sophie (@SophieSoulignac) 23 mai 2013

La vie d’adèle (plébiscité par les tweetonautes) va-t-il avoir le même destin palmé qu’Holy Motors ?

— Donald James (@donaldjames_) 23 mai 2013

On tient la #palme ? #Cannes La Vie d’Adèle, d’Abdellatif #Kechiche, histoire d’amour bouleversante ! telerama.fr/festival-de-ca…

— Antoine Vieillard (@ImVieillard) 23 mai 2013

La vie d’Adèle, film fleuve vibrant et work in progress. On a du mal à quitter Adèle et Emma. Visiblement, #Kechiche aussi #cannes2013

— Lamarque Sébastien (@Sebolo_64) 23 mai 2013

La vie d’Adèle: une histoire d’amour passionnée,sensuelle et bouleversante entre 2 jeunes femmes filmée au plus près par un Kechiche inspiré

— Bruno Cras (@brunocras) 23 mai 2013

T.I. et C.C.

À la veille de son concert au Stade de France, Paul McCartney a livré quelques confidences sur ses souvenirs et ses projets. À bientôt 73 ans, il déborde encore d’énergie.

Il impose le respect et l’obtient à chaque fois. Paul McCartney, 72 ans, légende vivante du rock’n’roll, sait jouer de son autorité mais il rencontre parfois encore plus déterminé que lui. Depuis près d’un an, Maca collabore avec le présomptueux Kanye West.

Au micro d’RTL, l’ex-Beatles est revenu sur son travail surprenant avec le rappeur et Rihanna. Paul McCartney explique avoir “travaillé avec Kanye, joué de la guitare et puis il a donné la chanson à Rihanna sans me prévenir”. D’abord surpris, le chanteur avoue finalement avoir “adoré travailler avec eux”. Leur trio sur Four Five Seconds est effectivement une réussite qui leur a permis de réunir leurs publics respectifs. Pour la bande originale de Hight in the clouds, le dessin animé adapté de son livre pour enfants, Paul McCartney va encore faire appel à la jeunesse en collaborant avec Lady Gaga.

L’ancien complice de John Lennon reconnaît que “65 ans, c’est un bon âge pour la retraire” mais certainement pas pour lui. Ce soir, l’Anglais jouera dans un Stade de France rempli de jeunes et de moins jeunes. En guise de cadeau pour son 73e anniversaire (le 18 juin), il a récemment eu la chance de jouer à Liverpool devant ses huit petits-enfants. Lui qui considère la scène comme “une aire de jeux” constate avec joie que son public se renouvelle sans cesse.

Crédits photos : MPI/CapitalPictures/Starface

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Tous les comédiens rêvent de faire carrière aux États-Unis. À Hollywood. Tous ? Non, un Belge irréductible résiste encore et toujours à la tentation. Benoît Poelvoorde a confié dans C à vous ne pas vouloir traverser l’Atlantique – et il a de bonnes raisons.

« Ça ne m’intéresse pas du tout. » Benoît Poelvoorde annonçait en septembre dernier n’avoir jamais voulu être acteur : il déclare désormais ne pas rêver d’aller jouer aux États-Unis. « Comme pas mal d’acteurs, on m’a proposé de jouer deux jours pour faire le connard de service qui a l’accent belge et qui joue dans un film américain, a-t-il confié sur le plateau de l’émission C à vous. Tu as un petit peu honte pour ton copain qui accepte ça, parce que tu te dis que si le film était joué en France, il n’accepterait jamais de jouer quatre jours juste pour tenir une bougie et dire : ‘Halte là !’. »

Le fils cinématographique de Gérard Depardieu se contente en réalité de sa carrière européenne. « Je suis très content déjà d’être là », assure-t-il. S’il avait terminé l’année 2014 « un peu à bout », Benoît Poelvoorde semble désormais à nouveau d’attaque – et prêt à défendre Une famille à louer, film actuellement au cinéma et dont il partage l’affiche avec Virginie Efira.

Au-delà de la variété peu importante des rôles proposés aux comédiens belges à Hollywood, l’acteur a dévoilé qu’une raison plus triviale mais majeure à ses yeux le poussait à ne pas traverser l’Atlantique dans le cadre de son travail. « Je vais vous dire une chose assez bête : on ne peut pas fumer sur les plateaux aux États-Unis, déplore-t-il. Rien que pour ça, moi, je n’y vais pas. »

Crédits photos : Abaca

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A 50 ans, Teri Hatcher n’a aucune ride. L’actrice de la série Desperate Housewives étonne les internautes avec des photos publiées sur Instagram où elle est méconnaissable.

La chirurgie esthétique n’a pas fini de faire débat à Hollywood. Alors que Kristen Stewart compare le bistouri à “du vandalisme”, certaines stars ne sont visiblement pas de cet avis. C’est le cas de Teri Hatcher. Élue femme la plus sexy de l’année par le magazine FHM en 1997 au moment où elle jouait les James Bond Girl, Teri Hatcher semble ne pas vouloir vieillir. Actuellement en voyage au Pérou, celle qui incarnait Susan dans la série à succès Desperate Housewivespartage sur son compte Instragram ses clichés de vacances. Cependant, ce qu’ont remarqué les fans de l’actrice ne sont pas la beauté des décors péruviens mais le visage changé de la star américaine. Sur plusieurs photos, Teri Hatcher apparaît les traits tirés, le visage figé et sans aucune ride. La jeune femme révélée à l’époque dans Loïs et Clark est tout simplement méconnaissable. Si la porte-parole des femmes violées souhaitait paraître plus rajeunie que jamais, il faut bien avouer qu’elle obtient l’effet inverse.

Finalement, peut-être qu’Halle Berry avait raison en déclarant que la chirurgie esthétique “est comme du crack que l’on vous met sous le nez”. Récemment, Mickey Rourke est apparu le visage transformé, une fois, de plus. Lors des Golden Globes 2015, Catherine Zeta-Jones retenait l’attention des photographes sur le tapis rouge non pas pour sa robe mais pour son visage. Quelques mois plus tôt, Mary-Kate Olsen ne ressemblait plus du tout à sa soeur jumelle Ashley. La question de la présence d’un acte chirurgical était inévitable. Tout comme la célèbre Renée Zellweger , métamorphosée à la soirée Elle Women in Hollywood Awards. D’après un médecin, celle-ci “n’a pas forcément fait de chirurgie esthétique sur son visage, mais elle a clairement abusé du Botox: “dans le front, trop lisse, dans les pommettes, qui montent trop haut.” Serait-ce le cas de Teri Hatcher?

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Crédits photos : VISUAL Press Agency

The Trump administration’s legal bid to restore a work requirement for Medicaid benefits in Arkansas was rejected on appeal, a blow to the government’s larger effort to reshape U.S. healthcare policy.

Friday’s ruling by a federal appeals court in Washington upheld a lower-court decision in March that voided the work rules and jeopardizes similar programs approved by the Health and Human Services Department in seven other states, likely prompting the government to seek a Supreme Court review.

The initiative, which requires some Medicaid recipients to work, attend school or volunteer in order to maintain coverage, is part of a broader push to chip away at the Affordable Care Act, better known as Obamacare. In July, the administration defeated a legal challenge to rules permitting expansion of short-term and limited-duration insurance policies. It lost an earlier ruling on a program allowing small businesses and individuals to create group plans that are cheaper than those offered under Obamacare but provide less coverage.

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The appeals court said the Health and Human Services Department’s stated objectives in approving Arkansas’ plan — making people healthier and more independent — were not consistent with the statutory goal of Medicaid.

“The text of the statute includes one primary purpose, which is providing health-care coverage without any restriction geared to healthy outcomes, financial independence or transition to commercial coverage,” Judge David Sentelle, a Reagan appointee, wrote for a unanimous panel that also included Judges Nina Pillard and Harry Edwards, both Democratic appointees. They heard arguments on Oct. 11.

U.S. District Court Judge James Boasberg in Washington had voided programs in Kentucky and Arkansas in simultaneous rulings on March 27, finding that the Health and Human Services Department’s impact analysis, required in federal rule making, was inadequate. It failed, for example, to consider those who might lose coverage simply because they lacked internet access and couldn’t report their work activity online, Boasberg found.

“The [HHS] secretary’s failure to consider the effects of the project on coverage alone renders his decision arbitrary and capricious,” Boasberg wrote of the Arkansas program’s approval by HHS chief Alex Azar, because it didn’t address “whether and how the project would implicate the ‘core’ objective of Medicaid: the provision of medical coverage to the needy.”

Kentucky, under a new, Democratic governor, dropped its work requirement on Dec. 16 and asked the court to dismiss its appeal without affecting any others. Maine abandoned the work requirement for its low-income health insurance program in January.

The programs at issue require certain low-income adults to engage in their communities for 80 hours a month by working, looking for work, participating in job-skills training, getting an education or performing community service. They mostly cover people who got coverage after the Affordable Care Act expanded Medicaid, a joint federal-state program with more than 65 million people on its rolls as of July.

The federal government says the ACA authorized grants for states that give Medicaid recipients incentives for various “healthy behaviors” such as community engagement and financial independence.

State residents fighting the work-for-Medicaid requirement — joined in some cases by groups including the American Heart Assn., the American Medical Assn. and the Southern Poverty Law Center — argue that conditioning eligibility on employment will lead to mass disenrollment and dramatically worsen health outcomes.

Kentucky estimated that 95,000 adults would lose coverage under the new rules. More than 18,000 people lost coverage in Arkansas during its partial implementation.

The appeals court ruling centered on Azar’s approval of the two programs, not on the lawfulness of the work requirements itself. Health policy scholars say that’s an important distinction to understand when looking at the impact of the court’s ruling.

“Regardless of your impressions of the Medicaid Act, the broad waiver authority that was granted to the secretary gives more than enough authority for this particular waiver,” said Wes Butler, outside counsel for the Kentucky Hospital Association, which advocated for the state programs to be upheld. “If the court of appeals has a different take on that, that’s only a question the Supreme Court can resolve.”

It isn’t clear whether the justices would take the case. The upholding of the lower court’s ruling doesn’t mean other states are blocked from issuing the requirements, said Leonardo Cuello, director of health policy for the National Health Law Program, which represented the state residents who challenged the requirements.

Friday’s ruling may serve as a warning for future approvals.

“I think it sends a very clear signal to the Trump administration that this policy is unlawful and that they should stop approving these waivers,” said Joan Alker, a research professor at Georgetown University’s Health Policy Institute. “But they probably won’t.”

WASHINGTON — 

Federal prosecutors have declined to charge former FBI Deputy Director Andrew McCabe, closing an investigation into whether he lied to federal officials about his involvement in a news media disclosure, McCabe’s legal team said Friday.

The decision resolves a criminal investigation that spanned more than a year and began with a referral from the Justice Department’s inspector general, who said McCabe repeatedly lied about having authorized a subordinate to share information with a newspaper reporter for a 2016 article about an FBI investigation into the Clinton Foundation.

McCabe’s lawyers said in a statement that they were told in a phone call and letter that the case is closed and “no charges will be brought against him based on the facts.”

Facebook has decided to let political campaigns pay online influencers to spread their messages, a practice that had sidestepped many of the social network’s rules governing political ads.

Friday’s policy reversal highlights difficulties tech companies and regulators have in keeping up with the changing nature of paid political messages.

The change comes days after Democratic presidential candidate Michael R. Bloomberg exploited a loophole to run humorous messages promoting his campaign on the accounts of popular Instagram personalities followed by millions of younger people.

The Bloomberg posts weren’t much more than self-deprecating humor used to sell the candidate’s old-guy appeal, using a tactic that until now was largely used to sell skin care products or clothing-subscription services. But the lack of oversight and clear rules around influencer marketing, not to mention their effectiveness in reaching younger audiences, makes them ripe for misuse.

Bloomberg’s effort skirted many of the rules that tech companies have imposed on political ads to safeguard U.S. elections from malicious foreign and domestic interference and misinformation. Online political ads have been controversial, especially after it was revealed Russia used them in an attempt to influence the 2016 presidential election. In response, Facebook has rolled out a number of rules to prevent a repeat of that, though it has declined to fact-check political ads and refuses to ban even blatantly false messages from politicians.

Before the explosion of social media, it was clearer what constituted an ad and what didn’t — and thus what’s subject to disclosures and other rules. With social media, a campaign can pay celebrities and other influential users to spread a message on their behalf, without ever buying an ad and being subject to its rules.

“This is a new kind of activity that simply didn’t exist when the rules for internet political communications were last updated,” said Commissioner Ellen L. Weintraub of the Federal Election Commission.

Friday’s policy change involves what Facebook calls “branded content” — sponsored items posted by ordinary users who are typically paid by companies or organizations. Advertisers pay the influential users directly to post about their brand.

Facebook doesn’t make money directly from such posts and doesn’t consider them advertising. As a result, branded content wasn’t governed by Facebook’s advertising policies, which require candidates and campaigns to verify their identity with a U.S. ID or mailing address and disclose how much they spent running each ad.

Until Friday, Facebook tried to deter campaigns from using such branded content by barring them from using a tool designed to help advertisers run such posts on Facebook and Instagram, which is owned by Facebook. The rule change now allows campaigns in the U.S. to use this tool, provided they’ve been authorized by Facebook to run political ads and disclose who paid for the sponsored posts. Campaigns that avoid using the tool, as Bloomberg had, risk having their accounts suspended.

“After hearing from multiple campaigns, we agree that there’s a place for branded content in political discussion on our platforms,” Facebook said in an exclusive statement to the Associated Press. “We’re allowing U.S.-based political candidates to work with creators to run this content.”

Politicians still won’t be required to disclose how much they paid the influencers to run the posts. And the posts won’t appear in Facebook’s ad library, which publicly catalogs political ads and allows other campaigns, journalists and watchdog groups to view the type of messages politicians are pushing in the election.

Facebook’s new rules won’t apply to someone merely creating or sharing a post about a politician without getting paid.

Facebook said it is asking the influencer accounts that posted the Bloomberg memes to retroactively use the tool meant for such posts. After this happens, the posts will be labeled as a “paid partnership” with Bloomberg.

Google says it doesn’t allow political messages using its main tools for connecting with influencers, but campaigns can make individual arrangements with YouTube influencers. These videos would be covered under general disclosure rules, but would not be added to Google’s political advertising database.

The Bloomberg campaign had taken the unconventional step of paying social media influencers — individuals with huge followings — to post Bloomberg memes using their Instagram accounts. Different versions of the sponsored posts from the Bloomberg campaign ran on more than a dozen influential Instagram accounts, each of which have millions of followers.

The Bloomberg campaign’s memes showed the 78-year-old candidate, in a tongue-in-cheek awkward fashion, chatting with popular social media influencers with names like “Tank Sinatra,” asking them to help him raise his profile among younger folk.

“Can you post a meme that lets everyone know I’m the cool candidate?” Bloomberg wrote in one of the exchanges posted by an Instagram account with nearly 15 million followers. The candidate then sent a photo of him wearing baggy chino shorts, an orange polo and a zip-up vest. The reply: “Ooof that will cost like a billion dollars.” The billionaire candidate responded by asking where to send the money.

With the sponsored posts, Bloomberg’s campaign said it was reaching those who might not be normally interested in the day-to-day of politics.

“You want to engage people at every platform and you want them to feel like they’re not just getting a canned generic statement,” campaign spokeswoman Sabrina Singh said of the campaign’s strategy.

The Bloomberg campaign declined to say how much it paid for the sponsored posts, or if it had more in the works.