C’est mon choix, c’est l’émission phare de France 3 au début des années 2000. Ce programme est bientôt de retour et avec lui, son animatrice attitrée: Évelyne Thomas. Mise de côté un temps, cette dernière a confié ne plus croire à son retour à la télévision.

Depuis plus de dix ans, elle avait disparu du paysage médiatique, une situation douloureuse pour cette femme de la télé. Évelyne Thomas a aujourd’hui 51 ans et va signer son retour, plus d’une décennie après la fin de son émission C’est mon choix, qui avait signé sa disparition du petit écran. Elle le confie dans le magazine TV Grandes Chaînes, son come-back, elle n’y croyait plus. “J’ai reçu un coup de fil il y a trois semaines. Je n’y croyais plus et j’avais d’ailleurs fait un trait sur la télé. Il y a trois mois, j’ai fait mes valises et je suis partie m’installer en Corse.”

Si elle n’apparaît plus aux yeux du public, elle reste malgré tout dans leur pensées. C’est mon choix, talk-show quotidien diffusé de 1999 à 2004, aura marqué les esprits. « Les gens évoquent systématiquement l’émission. Ils me disent que je leur manque et me demandent quand est-ce que je reviens. »

Un souhait qui pourra donc bientôt se réaliser, puisque l’émission reprendre du service dès la rentrée prochaine, en septembre, sur la chaîne Chérie 25. Si l’on ne sait pas encore quel format prendra ce nouveau programme, il semble que le concept reste sensiblement le même. « C’est pour moi une manière de boucler la boucle. Mais il ne s’agit pas de refaire la même émission qu’il y a quinze ans car la télévision a changé. À nous de reprendre les fondamentaux de C’est mon choix mais avec les codes d’aujourd’hui. »

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Crédits photos : Robert Poulain / VISUAL Press Agency

L’annonce des nominations aux MTV Vidéo Music Awards n’a pas fait que des heureux. Nick Minaj a déjà manifesté son énervement de ne pas avoir été retenue. Moby s’est permis de gentiment la remettre à sa place en lui rappelant quelques vérités.

D’habitude, Moby ne fait pas de vague. Il fait sa musique, qui se vend plutôt bien, et se garde bien d’émettre le moindre commentaire sur ses petits camarades. Il aura fallu la polémique autour des nominations des MTV Vidéo Music Awards et le comportement des mauvais perdants, comme Nicki Minaj notamment, pour faire sortir Moby de sa réserve.

Interrogé sur le sujet et la polémique lancée par Nicki Minaj, qui a critiqué indirectement Taylor Swift, le compositeur de Extreme Ways s’est permis un petit commentaire bien senti. Sans élever la voix, sans laisser pointer le moindre agacement, Moby a déclaré sur TMZ: «Loin de moi l’envie de critiquer le point de vue de quelqu’un d’autre, mais lorsque vous êtes un musicien et que vous enregistrez des disques en 2015, que vous pouvez en vivre, vous devriez être un peu plus reconnaissant».

Puis, se faisant un peu plus précis, Moby ajoute: «Ce que je veux dire sur elle (Nicki Minaj) c’est que sa carrière se poursuit alors que 99,99 % des musiciens sur cette planète n’ont personne pour écouter leur musique, donc un peu de gratitude ne lui ferait pas de mal».

Lorsqu’elle a découvert qu’elle n’avait pas été retenue par MTV pour les prochains Vidéo Music Awards, Nicki Minaj a déclaré: «Si j’étais une artiste d’un “genre” différent, Anaconda serait nominé pour la meilleure chorégraphie et la vidéo de l’année bien sûr ». Taylor Swift, qui s’est sentie visée par les attaques, lui a répondu: «Je n’ai jamais rien fait d’autre que t’aimer et te soutenir. Ça ne te ressemble pas d’opposer les femmes les unes contre les autres. Peut-être qu’un des hommes a pris ta place». Elle a ensuite ouvert la porte à sa copine: «Si je gagne, s’il-te-plait, viens avec moi. Tu es invitée à n’importe lequel de mes concerts». Un esprit qui doit mieux cadrer avec celui de Moby.

Crédits photos : Todd Williamson/AP/SIPA

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Le craquant baby George vient de fêter ses deux ans. Mais 2013 était l’année de naissance d’autres bébés de stars.

Depuis sa naissance en juillet 2013 —et finalement, même bien avant— Baby George, par son statut royal, suscite l’engouement médiatique. Comme lui, d’autres bébés de stars ont vu le jour cette année-là.

De même que la grossesse de Kate Middleton a été suivie de près par la presse, celle de Kim Kardashian n’a pas été moins médiatisée. A ceci près que c’est la maman qui s’est chargée de la communication. Qu’on adhère ou pas à ses pratiques, il est difficile de ne pas craquer devant sa petite North, fashionista au caractère déjà bien affirmé.

Question communication, la petite Willow ne peut pas se plaindre d’être traquée. Sa mère, Laurence Boccolini, a été claire dès le départ: aucune photo ne devait circuler. En fin d’année 2013, l’animatrice publiait sur les réseaux sociaux un cliché de dos pour le moins énigmatique du nourrisson lové dans son cou, seule trace de son arrivée dans sa vie.

En octobre, Elodie Gossuin signait pour une famille nombreuse. Après ses jumeaux Jules et Rose, nés en 2007, la tribu accueillait Léonard et Joséphine. Peu avare de confidences sur sa vie privée, quelques semaines après leur naissance l’ex-Miss posait dans Gala tout sourire avec ses bébés.

La même année, en janvier, la planète showbiz se réjouissait de l’arrivée de Milan, le bébé de Shakira et Gérard Piké. Plus tard c’était celle d’Elijah le deuxième petit garçon si espéré d’Elton John et David Furnish, mais aussi Raphaël le bébé au sang bleu de Charlotte Casiraghi et Gad Elmaleh, ou encore Hina la princesse des îles de Maud Fontenoy. 2015 sera également l’année des 2 ans pour Bear, le petit dernier de Kate Winslet, pour Ali, la fillette de Virginie Efira, Suzanne, celle de Daphné Bürki et Gunther Love, ou encore Léo, le bébé de Mélanie Laurent.

Le temps passe —vite—, les petites bouilles restent adorables. Découvrez les bébés stars de 2 ans dans notre diaporama ci-dessus.

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>Dans Gala, cette semaine en kiosque, tous les détails sur l’anniversaire de Baby George.

Crédits photos : getty image

Lorsqu’elle a découvert que Jean-Michel Jarre la trompait avec Anne Parillaud, en 2004, Isabelle Adjani a touché le fond de la piscine. Mais c’est lui qui a bu la tasse, tchin-tchin! En se répandant sur l’infidélité du musicien, l’actrice a fait couler le pire des poisons…

La veille encore, ils avaient discuté au téléphone. Oh, ce ne fut sans doute pas l’un de leurs plus langoureux coups de fil, mais ils s’étaient parlé comme un homme et une femme qui entretiennent une relation amoureuse depuis deux ans. Liaison quasi officielle, vu qu’ils avaient pris soin de nous mettre au parfum dès juillet 2002, une poignée de jours seulement après leur coup de foudre: dix pages dans Paris Match où ils posaient enlacés dans la tiédeur d’un jardin de la région parisienne, le tout commenté par un Frédéric Mitterrand plus lyrique que jamais.

(…)

Deux ans plus tard, donc, au lendemain de leur coup de fil, soit le 24 juin 2004, Jean-Michel Jarre est à Londres, il travaille sur un nouvel album. Isabelle, elle, vaque dans leur appartement du 16e arrondissement. Ce 24 juin est un jeudi. Le soleil estival est à peine levé que les kiosques de Paris et de Navarre se parent de couvertures diverses et chamarrées. L’une d’elles accroche de suite le regard. Il s’agit de celle de… Paris Match. Le nom d’Adjani s’y étale en grand, juste au-dessus de son visage de porcelaine posé sur son coude, regard piscine mais mélancolique d’une star recroquevillée dans un petit pull blanc. Et ce titre: « La rupture avec Jean-Michel Jarre », puis: « J’y ai cru et il m’a trompée. »

(…)

Dans l’œil de ses admirateurs, comme dans celui des producteurs. Celle qui a toujours argué de sa discrétion, de sa pudeur quasi maladive, héritage de l’éducation sévère de son père kabyle, celle qui n’a eu de cesse de contrôler le moindre de ses clichés et de ses propos, ou d’attaquer en justice pour non-respect de sa vie privée, a bien préparé son petit 14 juillet sentimental avant l’heure. Que ça pète, que ça blesse et que cela surprenne tout le monde ! Pour avoir été soufflé, Jean-Michel Jarre a été soufflé. Pris de court. Pris la main dans le pot de confitures – en l’occurrence une idylle naissante avec Anne Parillaud – et surtout, privé du plaisir de larguer le premier. Déballage toute.

Entre la comédienne et le fils de Maurice Jarre, « il y a eu de part et d’autre beaucoup d’amour ». Ouf. « Son énergie, son dynamisme m’ont transportée. Je lui ai donné toute ma confiance », commence-t-elle. Las! « Il n’a pu résister à la tentation qui sabote le bonheur de deux personnes. » Doutes. Découvertes de « preuves sans appel qui m’ont sidérée ». « Il m’avait dit qu’il lui était impossible de prendre un seul jour de vacances avec moi, cet été, alors qu’il avait planifié un séjour en Sardaigne avec sa future nouvelle compagne. » Uppercut en plein cœur. Larmes, souvenir chagriné de cette virée amoureuse à Venise quand ils voguaient encore dans la même direction. Colère, enfin. Façon « impératrice samouraï », comme l’écrit Paris Match. “Oubliez l’amoureuse éplorée, c’est de l’histoire ancienne!”, clame-t-elle dans le numéro-grenade. L’annulation de leur hypothétique mariage en août prochain? « Tant mieux, je le quitte! »

Qu’on se le dise: il comptait peut-être la larguer d’accord, mais c’est elle qui le largue!

Découvrez demain dans Gala les détails de la vengeance d’Isabelle Adjani.

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Après House Of Cards, l’actrice américaine, 32 ans, fait planer ses superpouvoirs sur le box-office. Show devant.

Dans la famille Mara, on demande Kate, l’aînée des filles. Jusqu’à peu, c’était Rooney, sa cadette de deux ans – prix d’interprétation féminine ex-æquo au festival de Cannes cette année, pour Carol, et très remarquée dans Millenium – qui était sous les feux la rampe. Mais depuis qu’elle a joué le rôle de l’ambitieuse Zoe Barnes dans la série culte House Of Cards, produite par Netflix, la trentenaire a sérieusement rebattu les cartes. Rien ne prédestinait, cette jeune Américaine née à Bedford, dans l’État de New York, fille de Kathleen McNulty et de Timothy Christopher Mara – vice-président des Giants, la mythique équipe de football américain –, à se trouver face caméra. Bizarrement, c’est sa timidité qui l’a propulsée au sommet du box-office. Des cours de théâtre, pris alors qu’elle était encore préadolescente, ont fini de lever son inhibition à tel point qu’à quatorze ans, Kate demandait déjà à sa mère d’avoir un agent! De L’ombre d’un soupçon de Sidney Pollack, à Nip/Tuck, en passant par Le secret de Brokeback Mountain, où elle interprète le rôle de la fille d’Heath Ledger, la jeune Kate a gravi une à une les marches vers le succès. Aujourd’hui, devenue Sue Storm, la femme invisible – rôle déjà tenu par Jessica Alba en 2005 – dans ce nouvel opus des 4 Fantastiques, elle ne passe définitivement plus inaperçue. La preuve, lors de notre rencontre au Caesars Palace, à Las Vegas.

Gala: Vous étiez une lectrice assidue des superhéros des comics Marvel avant d’accepter ce rôle?

Kate Mara: J’avais vu certaines versions des 4 Fantastiques, mais je ne suis pas du tout le genre de fille à passer mon temps à lire des comics. J’étais surtout fan du réalisateur, Josh Trank, notamment pour son dernier long-métrage, Chronicle. J’aime le côté obscur de ses films et je savais qu’avec lui, le film serait différent. En fait, je suis plus film anti-superhéros.

Gala: Avez-vous aimé jouer les superhéros?

K. M.: Je dois admettre qu’il y a bien pire que de jouer ce type de rôle au cinéma! Quand je l’ai accepté, il n’y avait même pas de scénario. J’ai donné mon accord à cause de Josh (le réalisateur, ndlr). Je savais qu’il allait offrir au public un film plus sombre, plus proche de la réalité que les autres Marvel.

Gala: Vous avez pour habitude de tourner dans des films indépendants. Comment avez-vous abordé cette production hollywoodienne?

K. M.: La grosse différence, ç’a été la durée de tournage. Nous avons mis trois semaines à tourner une seule scène. Dans un film à petit budget, nous l’aurions déjà mis en boîte! Pour le reste, il n’y a pas vraiment de différence, mon travail d’actrice reste le même.

Gala: Quel pouvoir auriez-vous aimé posséder dans la vraie vie?

K. M.: J’ai toujours rêvé de devenir invisible, comme mon personnage, ou de pouvoir voler, car je déteste rester bloquée et perdre mon temps dans les embouteillages.

Gala: Vous êtes à présent une star du grand écran. Avez-vous tourné définitivement le dos au petit?

K. M.: Ce qui m’a toujours effrayée à la télévision, c’est de m’engager dans un seul et même registre plusieurs années durant. J’ai constamment refusé d’avoir un rôle récurrent dans une série, à l’exception de House of Cards, où mon personnage intervenait d’une manière bien particulière.

Gala: Vous êtes la sœur de l’actrice Rooney Mara, existe-t-il une rivalité entre vous?

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K. M.: Non. Nous sommes très proches, nous n’avons que deux ans d’écart (Kate a trente-deux ans et Rooney trente). Notre famille a toujours été soudée. C’est merveilleux de pouvoir partager le même métier, la même passion. C’est une vraie chance. Pendant longtemps, j’étais la seule comédienne de la famille. Personne ne comprenait vraiment ce que je faisais. Aujourd’hui, je peux enfin partager mes craintes, mes angoisses, mes espoirs avec elle.

Gala: Vous ne vous disputez jamais?

K. M.: Parfois, à cause des fringues! Il existe une sorte de lien télépathique entre nous. Nous achetons souvent le même modèle sans le savoir. Je me mets alors à hurler lorsque je découvre qu’elle porte la même veste que moi! (Elle rit.)

Propos recueillis par Hervé Tropéa

Crédits photos : Getty Images

Présenté Hors-Compétition, “Blood Ties” de Guillaume Canet est l’un des événements de la Quinzaine. Et la bande-annonce vient de tout juste de tomber ! Au menu : ambiance 70’s et casting de folie (Clive Owen, Mila Kunis, Marion Cotillard, Billy Crudup, Zoe Saldana, James Caan…).

Longtemps attendue, la bande-annonce de Blood Ties vient de tomber ! La première expérience américaine de Guillaume Canet joue à fond la carte 70’s et réunit un casting à faire pâlir d’envie la concurrence. Le Frenchie a réuni Clive Owen, Mila Kunis, Marion Cotillard, Billy Crudup, Zoe Saldana, James Caan…

Toutes les news de Cannes 2013

Blood Ties

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Le président de la République, un séducteur invétéré ? Il est tentant de voir François Hollande comme un virtuose de la drague, tant ses conquêtes peuvent faire rêver. Libération lève le voile sur ses secrets, et explique comment il a su conquérir Ségolène Royal, Valérie Trierweiler et Julie Gayet.

On ne naît pas séducteur : on le devient. Si François Hollande n’a pas encore écrit d’essai décrivant comment il a séduit tour à tour Ségolène Royal, Valérie Trierweiler et Julie Gayet, le journal Libération s’est chargé de dévoiler les petits secrets de séduction du président de la République. Vous saviez où il passait ses vacances : vous saurez désormais comment il drague – à la plage ou ailleurs.

« Hollande a un comportement qui rend les nanas folles les unes après les autres, peut-on lire dans le quotidien. Il les chouchoute puis les délaisse, ce tourniquet les insécurise. » Une description qui correspond à celle qu’avait pu faire Valérie Trierweiler dans son livre Merci pour ce moment, succès littéraire de l’année dernière dont l’adaptation au cinéma est en route.

Ce portrait rentre toutefois en conflit avec certaines déclarations récentes d’autres personnalités – comme Geneviève de Fontenay, qui décrivait la semaine dernière François Hollande comme proche « d’une limace ». Alors, le président de la République est-il plutôt tombeur ou gastéropode ? Nul doute qu’il pourrait lui-même apporter une réponse, avec toute l’auto-dérision dont il est capable. À moins qu’il ne préfère tenter de trouver un moyen de transposer son sens de la séduction au monde de la politique – histoire de remonter, rien qu’un peu, dans les sondages.

Crédits photos : Lionel Guericolas / VISUAL Press Agency

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Découvrez le palmarès du 66ème Festival de Cannes.

Le jury du Festival de Cannes 2013 vient de rendre son palmarès. Et les vainqueurs sont…

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Palme d’Or : La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche

Depuis la présentation du film d’Abdellatif Kechiche la croisette pensait avoir trouvé sa palme. Le Jury de la 66ème édition du Festival de Cannes, présidé par Steven Spielberg, a donné raison aux rumeurs. Avant d’annoncer le titre du film Spielberg précise “Nous avons choisi de récompenser 3 artistes pour la Palme d’or : Léa, Adèle et Abdellatif”.

Grand Prix : Inside Llewyn Davis de Ethan Coen & Joel Coen

Palme d’or en 1991 pour Barton Fink, les frères Coen décrochent cette année le Grand Prix avec Inside Llewyn Davis qui raconte une semaine de la vie d’un jeune chanteur de folk dans l’univers musical de Greenwich Village en 1961.

Prix d’interprétation masculine : Bruce Dern pour Nebraska d’Alexander Payne

Dans Nebraska, le long métrage d’Alexander Payne, Bruce Dern incarne un vieil homme acariâtre qui pense avoir gagné le gros lot et décide de traverser le Nebraska avec son fils pour aller chercher son chèque.

Prix d’interprétation féminine : Bérénice Bejo pour Le Passé d’Asghar Farhadi

Après le César de la meilleure actrice en 2012 pour The Artist, Bérénice Bejo décroche le prix d’interprétation féminine pour son rôle de femme divisée et passionnée dans Le Passé d’Asghar Farhadi.

Prix du Jury : Tel père, tel fils de Hirokazu Koreeda

Troisième présence en compétition pour le metteur en scène japonais Hirokazu Koreeda. Tel père, tel fils raconte l’histoire de deux bébés échangés à la naissance et suit le parcours psychologique d’un père découvrant, 6 ans après, que son enfant n’est pas vraiment le sien.

Prix de la mise en scène : Heli de Amat Escalante

Découvert en 2005 dans la section Un Certain regard, le jeune metteur en scène Amat Escalante, décroche cette année le prix de la mise en scène avec Heli. Soulignons que le jeune metteur en scène mexicain est le disciple de Carlos Reygadas, vainqueur du Prix de la mise en scène l’an derneir pour Post Tenebras Lux. Carlos Reygadas est par ailleurs crédité au générique d’Heli.

Prix du scénario : Jia Zhang Ke pour A Touch of Sin

A travers 4 histoires inspirées de faits divers sanglants, le film de Jia Zhang Ke dresse une fresque très pessimiste et violente de la Chine contemporaine.

Caméra d’Or : Ilo Ilo de Anthony Chen

Parmi les 26 longs métrages concourant pour la Caméra d’or (récompensant un 1er long métrage), le Jury de la Caméra d’or – présidé par Agnès Varda – a remis le prix, à Ilo Ilo de Anthony Chen présenté à la Quinzaine des Réalisateurs 2013. Le film raconte les relations entre trois jeunes frères de 10, 8 et 6 ans et leur domestique dans le Singapour du milieu des années 1970.

Palme d’or du Court Métrage : Safe de Moon Byounggon

La réalisatrice Jane Campion, a remis la Palme d’or du court métrage à Safe de Moon Byounggon. Le film de 13 minutes évoque une vendeuse de billets de loterie, dont les arnaques sont découvertes et qui cherche à échapper à ceux qu’elle à spoliés.

Les réactions à chaud de la twittosphère sur la Palme d’Or !

Laëtitia Forhan

AFP

Government-run Punjab National Bank said on Wednesday it had detected some “fraudulent and unauthorised” transactions worth about $1.8 billion (more than Rs 11,500 crore) at one of its branches in Mumbai. Read more

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Here’s more top news of the day:

1) Thousands Of Emotional Locals Gather At Funeral Of Sunjuwan Attack Martyrs In Kashmir Valley

Free Press Journal

Daniel Craig a confié au magazine DuJour son agacement. Ce qui le taraude? Ses fans qui le prennent sans arrêt en photo à son insu.

Pour Daniel Craig, il n’est plus question de sortir comme bon lui semble. « J’en fais le deuil. J’aime bien prendre un verre, j’adore les pubs et j’aime en trouver de nouveaux et rencontrer des gens. Mais c’est difficile maintenant » explique-t-il au magazine DuJour. Car la notoriété, c’est connu, n’a pas que de bons côtés.

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Ce n’est pas le fait d’être photographié qui dérange le plus Daniel Craig, mais plutôt celui d’être immortalisé à son insu. “Si vous demandez, je peux dire oui, mais venez plutôt vers moi et dites: ‘Est-ce que je peux prendre une photo avec vous?’ Si vous prenez une photo de moi dans mon dos… C’est la nature humaine, mais vous me cachez quelque chose! Je me fais avoir! Les gens ne voient pas ça comme un problème. Peut-être que je délire.”

Peut-être en effet s’énerve-t-il un peu trop, mais l’acteur, connu pour son désir de rester en dehors du star-system, explique que la difficulté vient aussi de l’arrivée soudaine des smartphones, qui ont tout changé. « Il y avait des téléphones à l’époque, mais personne n’utilisait les appareils photo. Ou il y avait une règle, si quelqu’un le faisait, vous étiez là ‘Qu’est-ce que tu fais ?’ »

Mais l’acteur qui bientôt laissera au placard son costume de James Bond a sa botte secrète. Non pas un revolver, ni un gadget ultra sophistiqué, mais plutôt son épouse depuis 2011, Rachel Weisz. “Ma femme est la meilleure du monde pour tout ça, elle va tout simplement se tourner vers eux et dire, ‘Non, merci beaucoup’ et ils lui répondent simplement ‘OK’.” Diablement pratique.

Crédits photos : ullstein bild