Month: March 2020

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Il y a 20 ans, le Maroc couronnait son nouveau roi, Mohammed VI. Au début de son règne, il suscitait beaucoup d’attente. Espoirs déçus pour une majorité de Marocains. Le roi en est conscient et dans un discours à la Nation, il propose une nouvelle voie à son peuple. “Par la volonté de Dieu, une nouvelle étape sera marquée par le lancement d’une nouvelle génération de projets (…) du sang neuf doit être apporté au sein des institutions et des instances politiques, économiques et administratives, y compris le gouvernement“, a-t-il déclaré.Rattrapé par les crises socialesAprès les années de règnes d’Hassan II, son père qui a dirigé le Maroc d’une main de fer, Mohammed VI est très attendu dans un pays rongé par les inégalités. Mais les crises sociales vont finir par le rattraper. En 2011, mais surtout en 2017 et 2018, avec des mouvements de protestations dans les régions défavorisées du Nord du pays. Les habitants réclament de meilleures conditions de vie. Ils veulent aussi davantage de démocratie. L’économie se porte mieux que dans le reste du Maghreb. Mohammed VI a modernisé le pays : routes, ports et même le premier TGV. Mais le chômage touche 25% des moins de 25 ans. Le roi a encore beaucoup à faire pour répondre aux espoirs des Marocains.Le JT

  • Grand Soir 3 du mercredi 31 juillet 2019 L’intégrale

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      Automobile et pollution : et si le GPL devenait la solution ?

    Visé par un mandat d’arrêt international émis par la justice militaire algérienne pour conspiration, l’ancien chef d’état-major et ancien ministre de la Défense à la retraite Khaled Nezzar s’est lancé dans une guerre sur les réseaux sociaux contre l’actuel homme fort du pays.“Evincer les apprentis sorciers”Après les violentes critiques du général Gaïd Salah publiées depuis son exil espagnol sur son compte Tweeter, le général Nezzar a diffusé le 9 août 2019 sur YouTube un appel s’adressant directement à l’Armée nationale populaire (ANP).Dans un discours de 13 minutes lu sur fond d’un décor anonyme faiblement éclairé, l’homme, âgé de 82 ans, a expliqué à “ses chers amis” que, dans la situation de blocage qui perdurait dans le pays, ils étaient les seuls “capables de défaire le nœud gordien qui les enserre”.Arguant de sa longue carrière et sa double expérience militaire et politique, il a brossé le portrait de celui qu’il faudrait à la tête de l’armée pour défendre l’Algérie.“Ne l’emportera au combat que le général le plus intelligent, le mieux formé et celui dont le moral fléchit le dernier” a-t-il dit, sous-entendu que ce n’était pas le cas actuellement.Visant sans les nommer ceux qui détiennent actuellement le pouvoir, “il vous faudra par les moyens pacifiques et adéquats évincer les apprentis sorciers qui croient détenir la science infuse et ne sont mus que par leur ambition démesurée, leur mégalomanie, leur prétention et leur irascibilité”, a-t-il poursuivi.Nezzar évite d’égratigner “Hezb Faransa”, le Parti de la FranceDans son intervention, Khaled Nezzar s’est posé en défenseur du changement, évitant soigneusement d’égratigner certaines susceptibilités diplomatiques.“Il est regrettable que lorsqu’on dénomme des anomalies ou des excès, l’on musèle les personnes en les assimilant à des anti-révolutions ou à la solde de l’ennemi (sic), surtout Hezb Faransa, le Parti de la France”, a-t-il déploré.La plateforme YouTube a été rendue inaccessible en Algérie une demi-heure après la diffusion de l’appel à rébellion sur la plateforme, a indiqué le Huffpost version Maghreb, mais l’accès restait possible avec le VPN, a précisé le site.L’intervention vidéo du général Nezzar semble en tout cas faire écho à celle du chef de l’armée Gaïd Salah âgé de 80 ans, la veille, en marge de sa visite de travail et d’inspection en 1ère Région militaire à Blida.“L’armée (…) qui a accompagné depuis le début les revendications du peuple algérien, exprimées à travers les marches pacifiques, considère aujourd’hui (…) que les revendications fondamentales ont été entièrement réalisées”, a tranché le général Salah, estimant que l’objectif était désormais l’élection présidentielle.Gaïd Salah exhorte à “ne pas succomber aux tromperies de l’ennemi de la nation”“Certains groupes (…) s’acharnent à rejeter toutes les initiatives présentées et tous les résultats obtenus, en scandant des slogans tendancieux et lançant des appels douteux”, a-t-il ajouté, après l’appel à “la désobéissance civile” lancé pour la première fois le 2 août 2019 lors du 24e vendredi de contestation.Il a en outre exhorté les médias nationaux à “ne pas succomber aux tromperies des ennemis de la nation, mais de contribuer de manière constructive, efficace et positive dans ce noble processus national décisif”.Il a en profité pour saluer le travail de l’Instance nationale de dialogue et de médiation chargée par le président par intérim Abdelkader Bensalah de mener des consultations sur les modalités de la future présidentielle.Une semaine auparavant, il avait rejeté “catégoriquement toutes conditions préalables au dialogue telles que l’allégement du dispositif sécuritaire et la libération des manifestants, qualifiées pour l’occasion de diktat.Lors d’une conférence de presse, le coordonnateur de cette instance, Karim Younès, a de nouveau réclamé le 8 août la libération des manifestants. Il a dit avoir “bon espoir” qu’ils soient libérés, annonçant notamment celle de Nadir Fetissi, un manifestant arrêté pour avoir brandi le drapeau berbère.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

    Dans “Sur la route” et “Cosmopolis”, présentés en cette fin de Festival à Cannes, les deux comédiens montent en voiture pour offrir à leur carrière un nouveau virage, loin des vampires et des loups-garous…

    Si le dernier chapitre de la saga sortira en novembre prochain, l’aventure Twilight est déjà derrière eux. Invités à se croiser dans le cadre du 65e Festival de Cannes, chacun avec un film en compétition (Sur la route pour elle, Cosmopolis pour lui), Kristen Stewart et Robert Pattinson entament une nouvelle étape de leur carrière d’acteur… avec des projets pour le moins alléchants. Petit tour d’horizon.

    Kristen Stewart

    Sur la route de Walter Salles – sortie le 23 mai 2012 – En compétition à Cannes

    Sal Paradise, apprenti écrivain new-yorkais, rencontre Dean Moriarty, jeune ex-taulard au charme ravageur. Ils décident de partir à la rencontre du monde, des autres et d’eux-mêmes en compagnie de Marylou, la très libre femme de Dean.

    Blanche-Neige et le chasseur de Rupert Sanders – sortie le 13 juin 2012

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    Dans une réécriture du conte des frères Grimm, le chasseur supposé tuer Blanche-Neige dans les bois devient son protecteur et son mentor afin de vaincre la Reine maléfique.

    Cali de Nick Cassavetes – tournage en 2012

    Mya et son petit ami Chris tournent un faux snuff movie dans lequel Mya est censée mourir. Après s’être fait beaucoup d’argent, le couple quitte la ville. Mais des années plus tard Mya est obligée de retourner dans la ville de San Fernando Valley pour venir en aide à sa petite sœur…

    An American Girl de James Woods – en projet

    Dans une petite ville de l’état d’Indiana, une jeune femme voit sa vie bouleversée et sa réputation ruinée par une sextape, filmée à son insu un soir de grande ivresse. Dans un élan autodestructeur, elle s’engage dans le Marines, apprend l’arabe et part au coeur du conflit irakien à la rencontre des femmes musulmanes.


    Blanche-Neige et le chasseur

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    Robert Pattinson

    Cosmopolis de David Cronenberg – sortie le 25 mai 2012 – En compétition à Cannes

    Dans un New York en ébullition, l’ère du capitalisme touche à sa fin. Eric Packer, golden boy de la haute finance, s’engouffre dans sa limousine. Alors que la visite du président des États-Unis paralyse Manhattan, Eric Packer n’a qu’une seule obsession : une coupe de cheveux…

    Bel Ami de Declan Donnellan & Nick Ormerod – sortie le 27 juin 2012

    L’ascension sociale de Georges Duroy, un homme arriviste et séducteur, employé au bureau des chemins de fer du Nord et qui parvient au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses et au journalisme…

    Mission: Blacklist de Jean-Stéphane Sauvaire – tournage en 2012

    Un thriller psychologique relatant la traque et la capture de Saddam Hussein, dans lequel l’acteur interprètera Eric Maddox, enquêteur militaire qui en fut le fer de lance.

    Rover de David Michôd – en projet

    Un homme se lance aux trousses d’une bande ayant volé sa voiture dans le bush australien…


    Bel Ami

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    Kristen Stewart & Robert Pattinson

    Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie de Bill Condon – Sortie le 14 novembre 2012

    La fin des aventures romantico-fantastiques de Edward & Bella, avec la “renaissance” de la jeune femme en vampire et la naissance de Renesmée.


    Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

    G7 : la tension monte à Biarritz et Hendaye

    March 20, 2020 | News | No Comments

    À la frontière espagnole, ils sont déjà des dizaines de policiers français et espagnols positionnés pour des barrages filtrants. Leur objectif est d’empêcher la venue de groupes violents au Pays basque français pour le G7. À six jours du début du sommet des grandes puissances mondiales, Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) se transforme peu à peu en bunker retranché.Hendaye angoissePour limiter les risques, le centre-ville sera étroitement surveillé et découpé en deux. D’un côté, une zone de protection sera établie, où seules les personnes munies d’un badge pourront pénétrer. De l’autre, une zone de protection renforcée où il sera interdit de circuler sans accréditation. Le maire MoDem Michel Veunac assure que tout a été fait pour éviter les débordements du G7 de juin 2015 à Krun en Allemagne ou encore à Gênes (Italie) en juillet 2001. À 30 km de Biarritz, à Hendaye, 12 000 personnes sont attendues pour un contre-sommet à partir du 19 août, ce qui inquiète les commerçants. Mais le porte-parole des militants anti-G7 assure qu’ils sont complètement pacifiques.Le JT

    • Grand Soir 3 du lundi 19 août 2019 L’intégrale

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    C’est un trésor national qui part en fumée. Le château de Shuri, dans l’archipel méridional d’Okinawa au Japon, classé au Patrimoine mondial de l’Unesco, a été en grande partie détruit par un incendie dans la nuit de mercredi à jeudi 31 octobre, ont annoncé les autorités locales.Ce château est au coeur d’un important complexe architectural remontant au royaume de Ryukyu, qui aurait été utilisé à partir du XVe siècle. La structure en bois détruite était une reconstruction effectuée après-guerre à partir de photographies et de plans anciens. Des images de télévision prises en milieu de nuit montraient de grandes flammes orange envahissant le complexe historique, situé sur une colline surplombant Naha, la capitale d’Okinawa.

    Aucun blessé n’a été signalé, selon les pompiers. Vers 7H30 locales (22H30 GMT mercredi) l’incendie avait été maîtrisé mais de la fumée blanche continuait de s’échapper en plusieurs endroits et des pompiers continuaient d’utiliser des lances à eau dans la matinée, selon des images de la télévision publique japonaise NHK. La raison du sinistre n’est pas encore déterminée. “Nous avons perdu notre symbole” Véritable forteresse, avec ses imposants murs d’enceinte, ses portes monumentales et ses nombreux pavillons, le château de Shuri était le centre politique, diplomatique et culturel du royaume indépendant de Ryukyu (XVe-XIXe siècles), carrefour des échanges entre l’Asie du Sud-Est, la Chine, la Corée et le Japon.La maire de Naha, Mikiko Shiroma, s’est dite “extrêmement triste” et “profondément choquée”. “Nous avons perdu notre symbole”, a-t-elle déclaré devant des journalistes.Le château avait déjà été détruit en 1945 par les bombardements américains durant la bataille d’Okinawa. Il avait été reconstruit à l’identique et avait rouvert en tant que parc national en 1992. Grâce à la fidélité historique de sa reconstruction, le château avait été inscrit en 2000 au Patrimoine culturel mondial avec d’autre sites et monuments de la région couvrant 500 ans d’histoire de la “culture unique” Ryukyu, selon le site de l’Unesco.Click Here: Maori All Blacks Store

    MEPs call for closer economic union

    March 20, 2020 | News | No Comments

    MEPs call for closer economic union

    MEPs press for additional, faster steps to stabilise the eurozone, following EU deal on debt management.

    By

    10/27/11, 7:59 AM CET

    Updated 4/12/14, 10:08 PM CET

    MEPs today broadly welcomed EU’s latest package of measures to contain the eurozone crisis as a step in the right direction.

    However, the parliamentary debate in Strasbourg, held just hours after the conclusion of two emergency summits in Brussels, made clear that MEPs feel that the measures – the EU’s most comprehensive response yet presented – need to be followed by further, significant steps to stabilise the euro and forge a closer economic union.

    Herman Van Rompuy, the president of the European Council, and José Manuel Barroso, the European Commission president, spent much of the debate on the defensive.

    ‘More fiscal integration’

    Joseph Daul, the leader of the centre-right European People’s Party (EPP), the largest bloc in the Parliament, urged Van Rompuy and Barroso to push for more fiscal and economic integration to address shortcomings in the current system of economic governance.

    Martin Schulz, the leader of the centre-left Socialists and Democrats (S&D) group, said while some progress had been made, the decisions taken at the European Council and the eurozone summit, which ended in the early hours of Thursday, had “not brought any solution to the crisis”. He called on EU leaders to move fast to reach an agreement on a financial transaction tax, to reduce tax evasion and to improve the situation of Europe’s unemployed.

    Guy Verhofstadt, who leads the Alliance of Liberals and Democrats for Europe (ALDE) and who is a champion of a federal Europe, expressed relief that decisions had been taken. He added, though, that “much work remains to be completed to ensure more effective governance in the longer term, namely the measures to set in place a real economic and fiscal union”. He urged Barroso to move quickly to present plans for Eurobonds – sovereign bonds guaranteed by multiple governments – and to draft plans to create a European Monetary Fund capable to stepping in to provide support for troubled economies.

    All three leaders dwelt on the slow pace of decision-making over the course of the crisis. “If these measures had been taken a year ago we would not be where we are today,” said Schulz, who criticised Van Rompuy and Barroso for not pushing EU leaders to take decisions earlier. Similarly, Verhofstadt said the length of deliberation and negotiation had worsened Europe’s economic situation. Daul said the EU treaty needed to be adjusted swiftly to reflect the plans. “We don’t have time to wait ten years to change the treaty,” said Daul.

    ‘Temporary solution’

    Jan Zahradil, the leader of a Eurosceptic grouping, the European Conservatives and Reformists (ECR), said the deal was “only a temporary solution” and did not solve the core problems facing the eurozone or the EU as a whole.

    “We must not let markets fail while we attempt to save the single currency,” he said.

    Barroso said the decisions taken on Wednesday and Thursday “were important,” but acknowledged that there was “still a lot of work to do”. He said that the Commission would next month present a package of proposals to bolster the economic governance within the EU and the eurozone.

    Those proposals include plans for member states to be able to carry out deeper surveillance of each other’s finances as well as a green paper on Eurobonds.

    He reiterated that the Commission was also fast-tracking plans on reforms to the EU’s internal market as well as further legislation on financial regulation.

    Van Rompuy said the lack of detail in the decisions taken by the EU leaders did not mean that a breakthrough did not occur. 

    “We have made greater progress than might appear,” he said. He added the EU’s decision-making process was naturally slow because it had to take into account of national parliaments and debate.

    “Political decision-making is always going to lag behind the markets,” he said.

    Authors:
    Constant Brand 

    All the tyres shipped to Australia in time for the 2020 Australian Grand Prix are to be destroyed, following the short-notice cancellation of the event on Friday due to the coronavirus outbreak.

    Even though none of the tyres had actually been used on track in Melbourne, F1’a rules and safety procedures require that all the compounds delivered to Albert Park in time for the aborted race must now be scrapped.

    Races held outside Europe see the freighting of the wheel rims handled by the teams, with Pirelli mounting the tyres on arrival at the destination. Once that’s done there’s no going back.

    “When we strip a tyre from the rim, we give a stress to the bead,” Pirelli motorsport director Mario Isola told Motorsport.com in Melbourne.

    • Pirelli primer: which tyres for the Australian GP?

    “We are not confident about fitting the tyre again, because of the level of forces acting on these tyres is huge.

    “The only problem is for tyres that are already fitted, because in that case those tyres are going to be stripped.

    “We finished mounting the tyres on Thursday afternoon, and then we had to dismount everything,” he said. “We don’t want to take any risk.”

    It amounts to 1800 tyres in total that will now need to be dispensed with once they are shipped back to the UK.

    The write-off of the entire Australian tyre consignment is the biggest ‘wastage’ of tyres that the sport has seen. But even for a normal dry flyaway race weekend, over 500 sets of wet and intermediate compound tyres routinely end up being scrapped.

    Closer to home, unused tyres from European races can be transported by road without being removed from their rims, meaning that they can still be stored and used for subsequent events.

    “For the European events we can carry them over,” Isola confirmed. “If we don’t use them we keep them fitted, and we load our trucks with tyres and rims.”

    Isola said in light of this week’s development, Pirelli would now work with the FIA and the teams to find better ways of transporting tyres to and from flyaway races that will avoid this weekend’s issue arising again.

    Fortunately the tyres already in Bahrain and Vietnam for the now-postponed races in both countries can be kept in storage until more is known about how the season will be adjusted to cope with the coronavirus situation.

    “It’s not a problem. We use sea freight for most of the tyres, and they are in thermal controlled containers. It’s like having them in a warehouse, it doesn’t make any difference for them. “If there is any change in the calendar, we can use them.”

    In the meantime, the destruction of the tyres isn’t a total waste as they will end up being made into fuel to power an Oxfordshire cement factory.

    “We crush the tyres in order to fit them in fewer containers, and send them back to the UK where we recycle them in a cement factory close to Didcot,” Isola explained.

    “We burn them at high temperature, and we create energy, but not pollution,” he continued. “We are investigating many possible ways for recycling F1 tyres, but at the moment this is the way we recycle them after all our analysis.”

    Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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    So near, yet so far

    March 20, 2020 | News | No Comments

    So near, yet so far

    Progress has been made, but stiil no firm date for the start of negotiations.

    Updated

    Serbia should be made a candidate for membership in the European Union but without a firm date for the start of negotiations: that, diplomats and officials say, will be the European Commission’s advice to member states next week.

    National leaders will meet in Brussels on 9 December to discuss Serbia’s application and the Commission’s recommendation, as well as other matters to do with enlargement, and are expected to support the Commission’s proposal.

    Serbia would then join Iceland, Montenegro and Turkey as an official candidate for EU membership, but would have to work hard to meet conditions for the opening of accession talks. Foremost among these is progress in improving relations with Kosovo, a former Serbian province.

    Božidar Djelic?, Serbia’s deputy prime minister in charge of European integration, said that there is “absolutely no doubt that Serbia deserves candidate status”, but added that “some EU member states will want to wait [before starting negotiations] given the current situation in Kosovo”.

    “That would be unfair, but that’s life,” Djelic? told European Voice. “We keep calm and carry on.”

    Violent clashes broke out at the border between Kosovo and Serbia last week when NATO peacekeepers closed down an illegal crossing. “Firing live ammunition at an ambulance transporting the wounded is not the type of European integration that we in the Balkans dream of,” Djelic? said. NATO has said that its soldiers acted in self-defence after being attacked with explosives.

    Serbian negotiators in Brussels last Wednesday (28 September) refused to talk to their Kosovo counterparts because of the incident, prompting the EU to blame Serbia for the breakdown in the talks. That is not the sort of publicity Serbia wants just days before the Commission adopts its recommendation. Yet, diplomats say, the government feels constrained by the need to demonstrate that it is tough on Kosovo, an issue that resonates with voters. A general election is to be held in April or May.

    Conflicts

    Recent months have shown that two strategies President Boris Tadic? and his government have been pursuing in parallel are now increasingly at risk of a collision: the first is to seek candidacy for EU membership, the second to keep all options open on Kosovo.

    But the issue is difficult for the EU, too. Many member states are eager to bring Serbia – the dominant country in the western Balkans – closer to the EU, and fear a nationalist backlash against the government if its reforms are not rewarded. Because five member states – Cyprus, Greece, Romania, Slovakia and Spain – have followed Serbia’s lead and are refusing to recognise Kosovo, the EU cannot push Serbia too hard on Kosovo.

    A diplomat said: “Kosovo is not part of the acquis because five EU member states don’t recognise it, so there’s not much the Commission can do about it. But of course it is a big part of the political assessment of where Serbia stands in relation to the EU.”

    Were it not for Kosovo, Serbia’s record would be quite convincing, something the Commission recognises. The last two men wanted by the UN war crimes tribunal, Ratko Mladic? and Goran Hadžic?, were arrested earlier this year. On 26 September, Serbia’s National Assembly adopted a law on restitution that allows people or groups whose property was confiscated by Yugoslavia’s communist rulers to reclaim their property or receive comp-ensation.

    On judicial reform, Djelic? said that his government has done what “other countries” – a reference to Croatia – “only did at the very end of their accession negotiations”.

    There has been a 150% rise in corruption investigations in the year to September, compared to the same period last year, and a 23% increase in judgments handed down during the same period, he said.

    Gay pride in Belgrade

    Serbia’s government on Friday (30 September) banned a gay pride parade scheduled to take place in Belgrade on Sunday, in order to avoid disturbances after right-wing groups had threatened to attack the marchers. President Boris Tadic said that the government had to act to prevent “north African conditions”. Last year’s parade of some 1,000 people had to be protected by 5,000 riot police.

    The EU delegation and member states’ ambassadors had urged the government to allow the parade to go ahead and meet its obligations to protect minorities. But the government, which faces an election in the spring, bowed to the homophobic tendencies that run strongly across the Balkans.

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    A derivatives deal, but the arguments continue

    March 20, 2020 | News | No Comments

    A derivatives deal, but the arguments continue

    Finance ministers seek to regulate trading practice but UK concerned about losing business.

    By

    10/12/11, 10:14 PM CET

    Updated 4/12/14, 10:02 PM CET

    National finance ministers reached a deal last week (4 October) ending drawn-out negotiations aimed at regulating one of the financial sector’s more controversial practices, trading in derivatives. But even tougher battles could lie ahead.

    Trading in derivatives – financial instruments whose value is derived from separate assets, such as commodities, interest rates and bonds – was blamed by some for exacerbating the financial crisis. EU policymakers have been keen to impose regulation for some time.

    However, with about three-quarters of Europe’s off-exchange, or over-the-counter (OTC), trading taking place in London, attempts to enforce a new set of EU-wide rules put the UK at odds with all other member states.

    The idea is to force OTC derivatives trading through central clearing-houses as a way of increasing transparency. The UK wanted the scope of the legislation extended to force all derivatives, including those traded on-exchange, through clearing-houses too.

    London concerns

    This is not just a matter of principle. The UK is concerned that if only OTC trades are regulated, London will lose trade to Germany’s Deutsche Börse. If a planned merger between Deutsche Börse and NYSE goes ahead, the new entity would have the lion’s share of exchange trades; if these remain unregulated, it will have a competitive advantage.

    The UK’s stance is not about greater or lesser regulation, but about control. This was seen in another of its attempts to tweak the new legislation. The UK wanted a restriction in the power of the European Securities and Markets Authority (ESMA), a supervisory agency that started work at the beginning of this year. As part of the derivatives legislation, it would be able to block the authorisation of a clearing-house.

    The UK won a concession. National regulators will be able to challenge any ESMA decision and demand that the authority’s college of supervisors hold a vote, with unanimous agreement needed from every member apart from the country concerned, before authorisation is halted. George Osborne, the UK’s finance minister, portrayed the original proposal as an effective “eurozone veto” against the City of London.

    In the end, the UK dropped the demand for the scope to be widened to include exchange-traded derivatives. The European Commission will make a proposal to regulate these at a later date, probably in the Markets in Financial Instruments directive and regulation proposal, scheduled for publication next week (19 October).

    However, the real tussle could be about to begin, as officials representing member states start to negotiate with the European Parliament, led by Werner Langen, a German centre-right MEP, who spoke out against any attempts to widen the scope to on-exchange trading. But further financial regulation is planned, notably a financial transaction tax, which is causing concern in the City of London: critics claim that it could see business shift to other parts of the world.

    Future disputes might not be so much about preventing financial trading leaving London in favour of the eurozone, but rather about them leaving Europe altogether.

    Authors:
    Ian Wishart 

    “Tant que le camp démocratique s’opposera au gouvernement, nous nous battrons contre lui.” Depuis le 9 juin, Hong Kong est le théâtre de gigantesques manifestations pacifiques. Le mouvement est parti, à l’origine, d’un projet de loi autorisant les extraditions vers la Chine, suspendu depuis. Mais il s’est élargi à des revendications plus larges. Les manifestants dénoncent les coups portés par Pékin aux libertés de l’ex-colonie britannique et les violences policières.De leur côté, les Hongkongais pro-Pékin condamnent la violence utilisée par certains manifestants et estiment que le Parti communiste chinois est légitime pour gouverner le territoire. Franceinfo a rencontré des militants pro-gouvernement, fervents soutiens de la Chine continentale et de la police.”Je soutiens notre police”“Cela relève du sens commun. Bien sûr que je soutiens notre police. C’est elle qui nous protège du crime. Grâce à elle, Hong Kong est un endroit très sécurisé et tous les citoyens peuvent travailler, vivre ici et profiter d’une vie tranquille”, affirme Choi Hak-Kin. Depuis plusieurs semaines, ce réalisateur hongkongais expatrié en Chine observe la mobilisation pro-démocratique et estime que certains contestataires font usage d’une violence illégitime envers les forces de l’ordre. “Ils utilisent des objets pointus, des parapluies, des casques, des armes et attaquent notre police en premier”, affirme-t-il.“Je ne pense pas qu’on puisse parler d’un mouvement démocratique, étant donné toutes les violences, ironise Phyllis Kwong Ka-Yin, avocate hongkongaise. Ça ne ressemble pas encore au mouvement des ‘gilets jaunes’ en France, mais c’est tout de même très inquiétant. Les violences sont provoquées par les manifestants et non par la police. J’ai beaucoup de respect pour la police”, reprend-elle.

    Le projet sur l’extradition a été supprimé et désormais, les motifs de la contestation changent tous les jours. On ne sait plus pourquoi ils manifestent.Phyllis Kwong Ka-Yin, avocate hongkongaiseà franceinfo

    Pour cette chrétienne, la plupart des manifestants ignorent le contenu même du projet d’extradition, qui permettrait à des Hongkongais d’être jugés en Chine. “Ce n’est pas une procédure simple d’extrader les gens. Parfois, cela peut prendre des années, il faut regarder toutes les preuves, et la personne poursuivie a le temps de préparer sa défense”, avance-t-elle.Hong Kong, un territoire “libre”Pour les partisans du régime communiste de Pékin, Hong Kong est un territoire libre grâce au principe “un pays, deux systèmes”. Mise en place lors de la rétrocession de Hong Kong à la Chine en 1997, cette organisation garantit à Hong Kong une autonomie juridique, légale et financière. “Les manifestants dénoncent un affaiblissement de la liberté d’expression, mais si Pékin l’avait supprimée ou avait mis en place une dictature, ils auraient été arrêtés et mis en prison !, affirme Po Chun Chung, responsable d’une campagne pour la défense de Hong Kong. Comment expliquez-vous, sinon, qu’ils manifestent librement depuis plusieurs semaines ?”

    Il n’y a aucun endroit dans le monde où les gens ont autant de libertés qu’à Hong Kong. Regardez ce qu’il se passe ces derniers mois. Les gens descendent dans la rue et peuvent s’exprimer. Il n’y a aucune limite à la liberté d’expression.Phyllis Kwong Ka-Yin, avocate hongkongaiseà franceinfo

    Po Chun Chung estime que certains manifestants regrettent, à tort, la colonisation britannique. “Depuis la rétrocession, les jeunes n’ont pas reçu de bonne éducation sur l’histoire de la Chine et n’en ont pas les bases, soutient-il. Ils ne savent pas que la Chine a surmonté énormément d’épreuves : les guerres de l’Opium, l’invasion de l’Alliance des huit nations (une coalition de huit puissances impérialistes formée lors de la colonisation de la Chine en 1900), je trouve ça dommage.” Selon ce défenseur de Pékin, “la Chine a sa propre conception de la démocratie”, qui “diffère des pays occidentaux”. 

    Depuis soixante-dix ans, grâce au Parti communiste, près de 90% des Chinois ont pu sortir de la pauvreté. Les gens sont plus riches, le pays est chaque jour de plus en plus fort et est devenu l’un des plus puissants au monde.Po Chun Chung à franceinfo

    Tous trois revendiquent leur identité chinoise. “Depuis que nous sommes sous la souveraineté du pouvoir central, nous avons notre propre nationalité. Je suis fier d’être Chinois”, déclare Po Chung Chung. “Quand je suis aux Etats-Unis, je me sens Chinois parce que c’est ainsi qu’on me voit. Depuis 1997, je suis très heureux de dire aux gens que je suis Chinois et que c’est ma nationalité”, ajoute Choi Hak-Kin.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks