Ils sont déjà beaucoup d’artistes à avoir rejoint le collectif The Sound Strike pour marquer leur désaccord avec une loi sur l’immigration votée en avril en Arizona. Parmi eux, le rappeur , qui refuse de se produire dans cet Etat tant que la loi n’y sera pas amendée.
Il s’agit bel et bien d’un boycott au sens le plus strict du terme: une multitude d’artistes a décidé de ne plus se rendre en Arizona, ou du moins de ne plus s’y produire, tant que la loi SB 1070 sévira.
Cette loi, votée en avril et effective à compter de juillet, permet, et même encourage vivement, aux policiers de contrôler quiconque leur semblera «suspect», «alien», en anglais dans l’article de loi. Le problème vient donc de la subjectivité avec laquelle on jugera quelqu’un sur lequel on portera «un soupçon». Grosso modo, si une personne n’est pas blanche, elle sera susceptible d’être contrôlée par les autorités et devra être en mesure de justifier de sa présence sur le sol d’Arizona. Du délit de faciès, ni plus ni moins.
Par conséquent, beaucoup d’artistes ont tenu à exprimer leur indignation par rapport à cette loi, en créant le collectif The Sound Strike. Parmi eux, le rappeur Kanye West, mais aussi Sonic Youth, Rage Against The Machine, le réalisateur
, Massive Attack, le groupe de rap Cypress Hill et bien d’autres. Ensemble, ils ont lancé une pétition afin de sensibiliser l’opinion publique mais aussi le Président
, qui se montrait déjà critique envers cette nouvelle loi.
«On ne jouera plus en Arizona, on va boycotter cet Etat», annonce le groupe, qui craint que cette mesure ne s’étende sur d’autre Etats d’Amérique. «Si c’est le cas, on se dirigera vers une réalité proche de celle qui existait avant le mouvement des droits civiques», justifient les artistes, qui craignent une recrudescence des crimes en Arizona, en rébellion à cette décision de justice raciste et liberticide.
Pour soutenir le collectif et l’amendement de la loi, rendez-vous sur Thesoundstrike.net.
et reviendront à la rentrée chez , sur France 2. Non seulement ils échappent au couperet, mais ils seront augmentés. Légèrement, dit-on.
Le duo Eric et Eric revient. N’en déplaise à leurs détracteurs et à leurs victimes (qui sont souvent les deux à la fois), Zemmour et Naulleau reviendront à la rentrée dans le talk-show de Laurent Ruquier sur France 2. Les snipers du samedi soir viennent en effet de faire savoir que leurs contrats avaient été reconduits. Ça va refaire mal.
Non seulement On N’Est Pas Couché mais on n’a pas fini de parler des clashs qu’ils provoquent régulièrement. Eric Naulleau et Eric Zemmour remettent ça. Eric Naulleau, invité, de Jean-Marc Morandini sur Direct 8, a confirmé officiellement qu’il va mordre encore sur France 2 la saison prochaine. Selon el site de jean-Marc Morandini, Eric Naulleau a expliqué: « Nous nous sommes réunis à quatre, Zemmour, Ruquier, Barma (la productrice) et moi. Nous avons décidé de poursuivre pour une année de plus l’aventure de On N’Est Pas Couché. Cette saison a été exceptionnelle du côté des audiences et j’ai toujours autant de bonheur à faire cette émission. Nous serons donc là, la saison prochaine avec Eric Zemmour. »
Un renouvellement de contrats dont les deux compères ont profité pour faire part de leurs revendications salariales. Ainsi, leurs piges ont été légèrement revues à la hausse, avec, selon les informations qui circulent sur cet aspect de leur réengagement, une pige de 1 500 euros par émission. De bonnes nouvelles pour le duo de killers dont on n’aurait pas donné cher il y a quelques semaines, notamment après cette déclaration de Laurent Ruquier à france Soir: Si Naulleau et Zemmour quittent On n’est pas couché ce ne sera pas gênant parce que je n’ai fait que ça: changer des gens. Avant Naulleau, il y avait Polac, Jonathan Lambert a remplacé Florence Foresti et Jean-Luc Lemoine, qui a contribué au succès de l’émission, est parti.”
Monsieur le Président, je vous écris une lettre… signée: Initiales BB. Déçue, vexée par le comportement méprisant de , n’y va pas de main morte. Elle houspille et fusille le Premier de Français.
Nicolas Sarkozy est (médiatiquement) accusé d’avoir financé illégalement sa campagne électorale. Climat de scandale, fragilité de l’ordre établi, c’est dans ce contexte sulfureux que Brigitte Bardot fait une irruption tonitruante dans le débat politique.
Fantasme sixties, icône de la Nouvelle Vague et sex-symbol des Yéyés, Brigitte Bardot, 75 ans, est plus militante que jamais. Après avoir rédigé une complainte à Obama pour sauver les phoques en Alaska, sommé Borloo d’arrêter son cirque, invectivé le maire de Saint-Tropez, «un incapable, sans couille qui laisse tuer des sangliers», B.B a appelé au boycott des érables et mis le sirop à l’index. Dernier coup d’éclat de la pétulante retraitée: une missive incendiaire expédiée rue du Faubourg-Saint-Honoré.
?Brigitte Bardot a quitté hier sa réserve, pour pousser un méchant «coup de gueule». Sortie en règle, mordante, son secrétariat a confirmé que l’ex-déesse aux robes vichy avait souhaité par ce texte «exprimer un ras le bol sur la politique générale de M. Sarkozy».
D’ordinaire peu encline à incarner les valeurs et porter le discours de la Gauche, l’héroïne du Mépris écrit à Sarko que «son passage au pouvoir est d’une négativité et d’une médiocrité inquiétantes».
«Vous, et vos ministres aussi inutiles que lâches à la limite de la malhonnêteté et du ridicule,n’arrivez pas et n’arriverez plus à satisfaire la population française qui vous a élu en 2007», vocifère la créature mythique de Et Dieu… Créa La Femme.
Particulièrement en verve, Brigitte Bardot lui demande d’apporter «une aide urgente et sérieuse aux animaux qui sont traités dans cette France du XXIe siècle de manière barbare, inhumaine, scandaleuse et indigne».
«Chaque Président laisse une trace, la vôtre (…) pourrait être la première à donner aux plus faibles des plus faibles, à ceux qui sont exterminés dans l’indifférence générale, une amélioration définitive et sans appel qui serait un exemple mondial inoubliable», suggère la baby-doll devenue sauvageonne.
«Je vous laisse y réfléchir en votre âme et conscience espérant néanmoins que vous en êtes pourvus», conclut notre harpie, toutes griffes dehors.
Alerte à l’Elysée: la vedette de Babette s’en va-t-en guerre…
Dans les seventies, La Bardot se roulait sur la banquise avec ses mammifères préférés, posait aux cotés d’otaries décharnées, de cadavres dépecés gisant dans des marres de sang. Elle préfère aujourd’hui prendre la plume. Mais, jusque-là, elle ne s’attaquait pas au sommet de l’Etat.
Eblouie par la prestance de l’hôtesse de l’Elysée, l’actrice repentie félicitait «la si belle première dame de France» qui «s’opposait» férocement au port de la fourrure. Elle la remerciait dans des courriers mielleux de son combat en faveur des ours des Pyrénées… Déployant des trésors de flatterie, cultivant la complicité féminine et caressant la First Lady dans le sens du poil, la pasionaria de la Madrague implorait Madame Sarkozy d’œuvrer auprès de son amoureux pour interdire les corridas.
Mais, voilà…
Il y a un mois, Brigitte amadouait la douce Méditerranéenne en lui offrant un cadeau siglé Lancel. Avec le présent en alcantara, une notice manuscrite: «Heureuse et fière de vous offrir le premier sac écologique créé à mon image, je profite de cette occasion pour vous demander de rappeler à votre mari qu’il m’a fait à plusieurs reprises des promesses non tenues». «Il peut le faire. Il en a la possibilité et l’autorité, le culot aussi», ajoutait-elle, en référence à l’abattage rituel.
Carla aurait-elle profité de son it-bag, mais oublié d’influencer son époux? Apparemment, Nicolas n’a pas pris le taureau par les cornes et imposé, comme B.B le souhaitait, «l’étourdissement préalable à tous les animaux d’abattoir sans aucune distinction religieuse pour les juifs et les musulmans». Furieuse et dépitée, notre Pétroleuse tire à bout portant sur le chef de l’exécutif. Privilège de l’âge, et de la notoriété…
Désormais habituée aux looks rétro, après La Môme et Nine, notre star d’Hollywood n’a plus peur de rien. A la voir porter cette petite robe charleston et cette coiffure crantée, on se dit que oui, Marion Cotillard aurait parfaitement pu vivre dans les années 30.
La jeune Bechet est venue assister son père sur le tournage. Elle partage avec lui –et sa maman, Soon-Yi- une passion pour Paris. Et pour le 7e art?
Après une période difficile et des déboires sentimentaux, Owen Wilson renoue avec sa vraie passion, le cinéma.
Le ministre de la Culture profite de son statut pour se glisser dans les coulisses du tournage. A-t-il glissé un mot à son patron sur les péripéties de l’actuel gouvernement?
Carla Bruni-Sarkozy… actrice! C’est le cliché le plus attendu de l’été: dans le rôle d’une directrice de musée, l’épouse du Président fait ses premiers pas de comédienne sous la direction du plus français des réalisateurs américains. La classe.
Marion partage la vedette avec des comédiens de renom… et un bel étalon.
Paris, capitale européenne des stars? Cet été, la ville-lumière réunit tout le gratin du showbiz mondial: il y a ceux qui se la coulent douce –éventuellement dans les boutiques de l’avenue Montaigne- et ceux qui bossent. C’est le cas de toute l’équipe de Midnight in Paris, réunie autour de Woody Allen jusqu’à la fin du mois d’août.
Marion Cotillard, qui a décroché le premier rôle, semble très à l’aise dans les rues de la capitale. A ses côtés, Owen Wilson, Rachel McAdams, Gad Elmaleh, Adrian Brody et Carla Bruni, guest star de ce casting déjà ultra VIP.
Cette nuit, la première dame tournait pour la première fois, sous le regard protecteur de Nicolas Sarkozy. Lui qui l’avait emmené aux aurores à Rungis, al’an dernier, s’est offert une escapade discrète en pleine nuit pour rejoindre Sa Femme, actrice.
Découvrez les images de ce tournage-événement.
The number of counterfeit goods being seized in the EU is growing at an alarming rate
Customs officers in the European Union are seizing an increasing quantity of goods that they suspect violate intellectual property rights. While a great deal of discussion on intellectual property focuses on digital rights, the trade in counterfeit tangible goods remains big business.
The European Commission, which published its latest figures on counterfeit goods last summer, reported that in 2011, the last year for which figures are available, more than 91,000 shipments were stopped by customs officers, a 15% increase on 2010. Those shipments contained an estimated 114 million articles worth more that €1.2 billion at genuine market prices. More fake medicines are detained by customs officers than any other product – they account for a quarter of all goods seized. Sizeable quantities of cigarettes, toys, electrical goods, shoes and clothing are also impounded. More counterfeit goods are seized from China than any other country.
In May 2011, the Commission proposed a revised regulation of the customs enforcement of intellectual property rights, as part of a wider IPR strategy. Once formally adopted by the European Parliament and the Council, it will replace the current regulation, which dates from 2003.
The purpose of the revised legislation is to widen the list of possible infringements that can be dealt with by customs officials. The Commission’s proposal would extend the list to include trade names and devices designed to circumvent anti-copying measures. Parallel imports and ‘overruns’ (goods produced in excess of those permitted under a licencing agreement) would still be excluded from the scope of the regulation.
The new law is also designed to tackle the increasing number of counterfeit and pirated goods bought over the internet and delivered in small parcels to customers’ homes rather than as part of large consignments.
But there is concern that the legislation will not close a loophole that has, since 2011, allowed a significant quantity of fake goods to slip through the net.
Before then, EU customs officials would routinely stop counterfeit goods in transit through the EU bound for other destinations. That changed after a European Court of Justice decision in 2011 on a case related to the seizure of counterfeit Nokia and Philips products bound for non-EU countries. The ECJ ruled that fake goods in transit could not be seized because there was no act of infringement taking place in the EU. As a result, customs officials who had for years been seizing counterfeit goods in transit through the EU were no longer able to do so.
The ‘goods in transit’ loophole will not be closed by the new regulation, although it could be covered by a review of the substantive law on trademarks (the community trademark regulation and the trademark directive), which is to be proposed by the Commission this spring.
Stuart Adams, a member of the International Trademark Association’s anti-counterfeiting committee and a lawyer at London-based firm Rouse, said it was disappointing that the transit issue was not included in the revision of the customs enforcement regulation. “It is important because many countries look to the EU’s trademark rules and procedures and use them as best practice,” he said. “Dealing with the problem in the customs regulation was always going to be difficult, as it deals with procedures rather than the underlying law.”
He said he had hoped that legislators would have come up with ways to solve the problem. “We suggested trying to reverse the burden of proof, so that adequate evidence of the final destination would have to be provided by the people dealing in the goods, which is easy to do if it’s a consignment which really is going somewhere beyond the EU,” he said. “Unfortunately we could not convince the legislators.”
Impounded medicines
There is another concern: that any changes to the rules could affect life-saving medicines destined for the developing world. In 2008, after customs officers in the EU seized several shipments of legitimate generic medicines in transit to South America and Africa because they were believed to have infringed European patents, India complained to the World Trade Organization. MEPs and campaign groups have warned of the consequences for the developing world of detaining generic medicines.
The revision of the customs regulation does not change or add to the rules defining what an IPR infringement is, but it does try to offer “further clarification” of the procedures that customs officials will need to apply. However, there is a balance to be struck between being able to stop counterfeit goods in transit and allowing life-saving medicines to get through.
“The EU is trying to steer a path through these two competing ideas,” said Adams, who suggests that counterfeit goods in transit should be considered as infringing EU rules only if they are to be marketed in the Union and in either the country of origin or country of destination.
“That would capture a lot of counterfeit goods, but would not have any effect on the trade in generic medicines – these may infringe patent rights but are not counterfeit – unless, of course, they bear infringing trademarks,” Adams said.
Fighting global counterfeiting and protecting intellectual property is one of the EU’s biggest challenges. Getting it right at the EU’s borders remains as important as ever.
Other European leaders have faded from view, yet Margaret Thatcher’s legacy still shapes the thinking of British and European politicians.
Little Englander who promoted a larger Europe
‘She believed in knocking down walls’
It is more than 22 years since Margaret Thatcher attended a meeting of the European Council. The names of other national leaders attending that Council meeting are redolent of a bygone era: François Mitterrand and Charles Haughey are dead. Helmut Kohl is still alive, though in very poor health. Giulio Andreotti faded from the scene, tainted by more than one trial over links with the Mafia. Felipe González, Ruud Lubbers, Jacques Santer and Wilfried Martens can no longer be counted active players on their domestic political scenes. The one exception is Aníbal Cavaco Silva, who was then Portugal’s prime minister and is now its president.
So for the European Union, the passing of Margaret Thatcher, whose death was announced on Monday (8 April), is in some ways irrelevant. She stopped being an actor in the EU’s proceedings at that Council in Rome, with what was a solo performance. The dry presidency conclusions bear silent witness to her isolation. The opening paragraphs on closer political union are littered with cross-references to a repeated footnote: “On these points the United Kingdom delegation prefers not to pre-empt the debate in the Intergovernmental Conference.” After three pages on “the final phase of economic and monetary union”, the conclusions record: “The United Kingdom is unable to accept the approach set out above.”
But what makes Thatcher unique among those attending the Council meeting – with the possible exception of Jacques Delors, who was president of the European Commission – is that people ascribe to her a vision of Europe that is still the subject of fierce political debate today. People still, in British politics, define themselves as Thatcherite and they include in that a view of the UK’s role in Europe. John Major, Thatcher’s successor as prime minister and as leader of the British Conservative Party, could not contain the tensions that broke out over ratification of the Maastricht treaty, which turned into a proxy battle over Thatcher’s political legacy.
The battle allowed the Labour Party to keep the Conservatives out of government from 1997 to 2010 (albeit while appropriating much of Thatcher’s free market thinking), but David Cameron, the current UK prime minister and leader of the Conservative Party, is still struggling to resolve, or at least manage, those tensions within his own party.
That continues to have an impact on the EU. Cameron’s promise to end the affiliation of the Conservatives with the European People’s Party, his refusal to participate in the 2011 fiscal compact treaty, and his promise of a referendum on UK membership of the EU, can all be attributed to difficulties with Thatcher’s legacy.
A greater degree of historical perspective would complicate this simplistic take on Thatcher’s relations with the EU. It would, for a start, suggest that she was not even the most unreasonable and badly behaved member of a European Council – Charles de Gaulle must still be ahead. It would recall that in the earlier years of her premiership she supported a good deal of European economic integration. (The appointment of Arthur Cockfield as a European commissioner may have been her greatest contribution to the single market, but it was not the only one.) It would recognise that her vision – before the fall of the Berlin Wall – of a European future for countries under the grip of communism was prescient.
Yet those contributions are the ones that the European Union has already banked and assimilated. The contribution that is still very much alive is her bitter opposition in 1989-90 to greater political and economic union. She became prime minister six years after the UK had joined the Common Market and four years after a referendum had endorsed membership. When she left office, the UK had been part of the Common Market for almost 18 years. A further 22 years have elapsed since. Yet the issue of the UK’s membership of the EU is still in doubt. Her death this week does not change that.
Commission has received complaints about 20 hospitals.
The European Commission has warned that it may launch infringement action against Spain unless the country’s hospitals stop refusing emergency treatment to European Union citizens on holiday. The Commission is receiving reports, concerning 20 different hospitals, of treatment being refused to foreign EU nationals unless they pay on the spot.
Under EU law, member states must offer foreign EU citizens who present a valid European Health Insurance Card (EHIC) the same treatment as nationals for emergency medical care. The bill should then be submitted to the health authorities of the patient’s home country.
“In some cases people were apparently left in pain in the corridor until they paid up, or gave details of their private travel health insurance,” said Jonathan Todd, spokesperson for European commissioner for social affairs László Andor.
It is the private travel insurance companies that have lodged the complaints with the Commission, saying they should not be liable for the charges. One complaint was filed by an individual EU citizen. There have also been media reports that the same thing is happening in Portugal, Italy and Greece. However, for the moment, the Commission is considering action against only Spain.
“The Spanish authorities say they’ve made clear to the regional authorities the practices have to cease, but we’ve continued to receive complaints,” said Todd.
Private insurers are warning that the increasingly pervasive nature of the problem is threatening the EHIC system. It comes at a time when the member states are supposed to be increasing the ease of cross-border care through the cross-border healthcare directive.
The directive requires that patients should be able to receive treatment in another member state as long as it is cleared in advance with their national health authority.
Monika Kosinska of the European Public Health Alliance said the refusal to recognise the EHIC is a worrying sign for EU healthcare during the economic crisis. “It is extraordinary that not only citizens’ legal rights but also European solidarity is being undermined in this way,” she said.
The forward mocked the Jewish faith after being sent off in Atlanta’s 2-0 win and could now face further punishment
Nueva Chicago’s Arnaldo Gonzalez cast a shadow over his side’s Primera Nacional clash against Atlanta by making anti-semitic gestures to the home crowd.
Atlanta, from the Buenos Aires neighbourhood of Villa Crespo, went back to the top of Argentina’s second tier with a 2-0 win over their city rivals on Sunday.
No less than three players were sent off in a fractious clash, with Nicolas Previtali seeing red for the hosts and Gonzalez and Facundo Mater both walking for Chicago.
More teams
Mater was sanctioned for elbowing Luis Lopez, while Gonzalez earned his marching orders seconds later for attacking Axel Ochoa as tempers boiled over in the second half.
Gonzalez, however, then risked further punishment with a series of offensive gestures to the Atlanta crowd, who jeered his exit from the field.
The player first touched his head to imitate the Jewish kippah before signalling to his crotch in a mockery of the circumcision ritual.
Villa Crespo has a traditionally strong presence from Buenos Aires’ Jewish community, making Atlanta a regular target for such anti-semitic abuse from rivals.
Chicago responded to Gonzalez’s gestures with a statement in which the club offered its apologies to the Bohemio and strongly condemned his actions.
Chicago responded to Gonzalez’s gestures with a statement in which the club offered its apologies to the Bohemio and strongly condemned his actions.
“We at Club Atletico Nueva Chicago reject the gestures made by the player Arnaldo Gonzalez and we will analyse what disciplinary measures to take,” the club wrote on its official Twitter account.
“We offer our apologies to all fans of Atlanta and the entire Jewish community.”
It is not the first time in 2020 that Chicago have found themselves in the headlines for the wrong reasons.
At the start of February the club’s Mataderos stadium was the stage for a bloody intra-fan pitched battle that saw clubs and knives being brandished in the stands and several supporters requiring hospital treatment for stab wounds.
Chicago were subsequently docked one point by the Argentine FA, who may also act to punish Gonzalez for Sunday’s abuse.
Atlanta too were caught up in fan violence at the start of their visit to Independiente Rivadavia, a match that lasted just five minutes before fights and stampedes in the home end caused postponement.
Il a longtemps hésité avant d’embrasser la carrière d’artiste. Mais la tentation était trop forte: en mémoire de son père, Lulu a enfin joué… Et en tête d’affiche!
Lulu, le fils que
a eu avec sa dernière compagne,
, n’avait que 5 ans quand son père s’est éteint en mars 1991.
Installé à Boston, aux Etats-Unis, où il suit, en toute confidentialité, des études de musique, le jeune homme discret s’est retrouvé propulsé en vedette d’un concert, lors d’une soirée dédiée à son père à l’opéra de Tel Aviv.
Lucien Gainsbourg s’est présenté sur scène mercredi soir, à l’occasion du 20e anniversaire de la disparition de «l’homme à la tête de chou». «C’est un grand moment pour moi de pouvoir rendre hommage à mon père et plus particulièrement en Israël», a confié le jeune virtuose à l’AFP.
Pianiste de formation classique, Lulu Gainsbourg, 24 ans, effectue sa première visite au Proche-Orient. Il a décidé d’ouvrir sa performance sur Le Sable et le Soldat, une chanson sioniste que son père avait écrite lors de la Guerre des Six-Jours (juin 1967). Redécouverte en 2002, cette composition n’avait jamais été interprétée en public par Gainsbarre qui l’avait offerte à l’Etat hébreu.
Aux côtés du brillant débutant, Dani,
, Daniel Levi, Rose, Catherine Falgayrac et Shirel, la fille de Jane Manson, sont quelques unes des stars qui ont assuré des prestations en l’honneur de «Serge».
«L’accord de Lulu, c’est le déclencheur de ce spectacle», a expliqué le producteur israélien David Stern, avant de regretter l’absence de Charlotte Gainsbourg. Electrisée par le succès de son album IRM, la fille de Jane Birkin écume actuellement les festivals d’Europe…
Pour Lulu Gainsbourg, qui «a toujours voulu venir en Israël», cet événement est aussi une occasion de se préparer à sa première tournée solo, qui est prévue l’été 2011, à travers l’Amériques.
Il y a quelques semaines, Gala rencontrait le jeune prodige qui se définissait «comme le contraire d’un fils à papa». Extraits:
Gala: Quand on appartient au clan Gainsbourg, il y a une obligation de devenir célèbre?
?Lulu Gainsbourg: La pression est forte. Mais ma mère m’a toujours laissé libre de mes choix. Elle m’a appris que l’important est d’aimer ce qu’on fait et d’être bon. Peu importe dans quel domaine. «Si tu veux être un truand, soit le meilleur des truands» plaisantait-elle.
?Gala: En ayant hérité d’une partie de la fortune de Gainsbourg, vous ne manquez pourtant de rien??
L.G: Non. Mais mon but n’est pas de vivre sur ce qu’il m’a laissé. Il y a un an, je me suis payé mes vacances au Vietnam en travaillant comme serveur à l’hôtel Costes. Là encore, je remercie maman : elle m’a inculqué la valeur de l’argent et le respect. Je sais être raisonnable. En avion, je voyage souvent en classe économique. Et, pour aller de Boston à New York, je prends le bus.
?Gala: Vous êtes très fusionnels tous les deux…
?L.G: Oui. Nous avons toujours été là l’un pour l’autre quand ça n’allait pas très fort dans nos vies. Elle m’a raconté son parcours difficile. Elle m’a appris à ne jamais me plaindre et à toujours être content de ce qu’on a. Elle est simple, facile à vivre, très lucide. Quand je suis loin d’elle, j’ai besoin d’entendre sa voix au téléphone. « Mouchka » est ma confidente. Je ne lui cache que mes secrets intimes.
?Gala: Vous en voulez à votre père de s’être auto détruit?
L.G: Non. Mais c’est vrai que j’ai eu du mal à accepter son comportement. J’avais besoin de lui. Quand j’étais petit, je l’empêchais toujours de boire. « Qu’elle est ce p’tit bonhomme que tu m’a fait ? » disait-il à ma mère. Peut-être puisait-il son inspiration dans l’alcool. Je n’en sais rien. Je ne bois pas, je ne me drogue pas : les films et les jeux vidéos sont ma seule addiction.
?Gala: Aujourd’hui, vous aimeriez qu’il vous dise quoi?
?L. : La même chose que quand j’étais petit. Germano-chinoise, maman est la descendante de Von Paulus, un maréchal du troisième Reich. Papa, lui, a porté l’étoile jaune durant la guerre. « Ce gamin, c’est un vrai cocktail molotov », plaisantait-il.
?La passion de Lulu pour Natalie Portman, son admiration pour Johnny Depp, mais aussi ses relations compliquées avec sa fratrie,découvrez la suite de l’interview, ici.
La plaignante reproche à notre grande brune longiligne de lui avoir fait miroiter un poste de vice-présidente au sein de sa boîte de prod’… Avant de lui confier les tâches les plus ingrates possibles! Pire, alors que cette dame avait quitté un job en or dans les relations publiques pour se mettre au service de la nébuleuse compagnie, elle n’aurait jamais touché le moindre centime des bénéfices , et se serait faite virer avec pertes et fracas de la petite entreprise!
Contrat douteux, basse besogne, escroquerie… La manageuse traitée comme une soubrette demande réparations pour cette tromperie et pour le stress provoqué par la situation.
De son côté, l’avocat de l’ex-James Bond Girl plaide la bonne foi : «Il est dommageable de voir que les opportunités offertes par ma cliente à son ancienne employée sont aujourd’hui retournées contre elle», s’est-il défendu dur TMZ. ?
Voilà une affaire qui n’offre pas une publicité d’enfer aux élans sociaux de notre gaffeuse impénitente.
Depuis quelques semaines, Teri Hatcher, 45 ans, se la joue branchée et vient en aide (virtuelle) aux femmes désespérées. Sur GetHatched.com, un blog hébergé par Disney, la vedette de Desperate Housewives, deux fois divorcée et mère d’une ado rebelle, prodigue ses bons conseils.?
Ce site Internet, qui se veut un «guide de survie à destination des femmes modernes», constitue la version en ligne, de son livre Le Syndrome du Toast Brûlé et Autres Petites Philosophies. Dans son bouquin sorti en 2008, Cette Madame Catastrophe -à la ville comme à l’écran- nous faisait partager son expérience hilarante de quadra délurée, qui tentait de conjuguer carrière professionnelle, aspirations amoureuses et vie de famille épanouie…
Mais apparemment, Teri Hatcher n’est pas toujours pétrie de bons sentiments.
Longoria, qui s’entend à merveille avec
et Marcia Cross, ne vous dira pas que du bien de sa collègue de plateau.
En 2007, la furie de Wisteria Lane avait tenté de lui piquer la vedette lors de ses noces. Tandis que les invités entraient par des portes dérobées dans l’église Saint Germain l’Auxerrois, Teri avait déambulé sur le parvis, posant en star et attirant tous les paparazzi.
Une jolie fleur dans une peau de vache. Une jolie vache déguisée en fleur. Qui fait la belle et qui vous attache. Puis, qui vous mène par le bout du coeur…