Elle est pétillante, élancée et ses atouts semblent plutôt naturels… La très caliente Jimena Navarrete a été élue 59e Miss Univers, grâce à sa silhouette parfaite et son esprit très en ligne…

La grand-messe entre chic et kitsch, organisée par la société du milliardaire américain Donald Trump s’est tenue la nuit dernière au Mandalay Bay Resort & Casino, à Las Vegas. Parmi les 84 déesses qui rivalisaient de beauté, Miss Mexique, a été sacrée reine.

Jimena Navarrete, bombe latine et callipyge s’est octroyée le titre suprême de plus belle femme de l’Univers. Son sourire ultra-bright, sa taille fine et sa démarche chaloupée ont tapé dans l’œil du jury.

Ravie, la lauréate a souligné que le concours avait exigé «beaucoup d’efforts et beaucoup de sacrifices». Polie, bien élevée, cette jolie pépée a remercié ses parents et s’est déclaré sincèrement surprise par cette victoire. «J’étais comme en état de choc», a-t-elle confié.

Hanches généreuses, regard de braise et longue chevelure brune, la piquante Jimena, ravissante en bikini, a aussi séduit par son discours très à la page. Si les froufrous n’ont pas de secrets pour cette top-model, la Toile, non plus. Au cours la fameuse épreuve du questions-réponses, l’apprentie diététicienne, 22 printemps, a estimé qu’Internet était «indispensable» en ce XXIe siècle tout en observant que les parents devaient être attentifs à l’utilisation de cet outil par leurs enfants. «Nous devons nous assurer de transmettre aux générations futures, les valeurs familiales», a-t-elle ajouté.

A l’issue de la prestigieuse cérémonie, notre sublime créature s’est vue offrir un salaire d’un montant indéterminé, un luxueux appartement de New York, et une bourse d’un an pour la New York Film Academy avec logement après son règne, en plus de bijoux, vêtements, chaussures et cosmétiques adaptés à la panoplie de poupée.

Très fiers de ce canon de Guadalajara, la capitale de l’Etat Jalisco, le président Felipe Calderon et son épouse Margarita Zavala ont salué sur Twitter le victoire de cette «perle de l’Ouest».«Félicitations à Jimena pour sa victoire méritée, qui servira l’image du Mexique», ont-ils posté.

Mam’zelle Navarrete est la deuxième représentante du pays à revêtir l’écharpe ultraconvoitée. Lupita Jones de Mexico l’avait précédée sur la plus haute marche en 1991.

Mardi 24 août 2010

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Vous aimez tout savoir des stars et de l’actu people? Vous avez manqué un événement? Vous n’avez pas pu surfer sur Gala.fr la semaine dernière ou vous avez un dîner en ville? Vite, branchez-vous le week-end sur Gala.fr! Vous y découvrirez non seulement les informations liées au monde des beautiful people en temps réel, mais vous pourrez y découvrir notre rubrique du week-end: le résumé people de la semaine. Gala.fr, c’est aussi le samedi, le dimanche ou même les jours de fêtes!

L’actu people est à l’image de l’existence. Avec ses peines, aussi. Une semaine qui a débuté avec de biens sombres actus comme le décès d’Alain Corneau, qui a succombé à 67 ans des suites d’un cancer dans la nuit de dimanche à lundi. Un réalisateur salué du président Nicolas Sarkozy, jusqu’au cinéaste Bertrand Tavernier.

Le cancer, encore : c’est encore ce mal qui nous a enlevé Laurent Fignon ce mardi midi. Une souffrance que le sportif avait balayée de son visage pour commenter avec foi son dernier Tour. Son épouse Valérie lui a rendu un bel hommage auquel on ne peut que s’associer.

Le combat contre « la longue maladie » c’est aussi celui de Michael Douglas qui, avec force lui aussi, a confié cette semaine qu’il restait optimiste sur un ton faussement désinvolte. Une forme d’élégance…

Qualité dont chacun a sa conception. Ainsi, alors que Zsa Zsa Gabor est encore entre la vie et la mort, son compagnon Frederic von Anhalt veut faire «plastiner» le corps de l’actrice aux neuf mariages, ruinée par l’escroc Bernard Madoff.

Mais la vie est ainsi faite. De drames, on l’a vu, mais aussi de légèreté, comme le psychodrame vécu par Axl Rose, chanteur des Guns N Roses, face à une foule en colère, les spéculations sur le divorce professionnel entre

(dont la statue a été évincée d’un village de l’Eure et Jean-Claude Camus ou les démêlés de Rihanna avec son fer à friser. Regarder en coulisses, rire et rêver, aussi, notamment en compagnie des créateurs du défilé Gala . Parce que c’est aussi ça, la vie.

J.-F.T.

Vendredi 3 septembre 2010

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nous a habitués à apparaître dans plus belles robes de soirées, maquillée par les plus grands professionnels. Alors une fois n’est pas coutume, la petite Frenchie a bouleversé ses principes pour poser en Une du Vanity Fair italien. Sans fard, ni paillettes, Marion Cotillard n’en est pas moins admirable.

Devenue la petite chérie de l’Amérique, Marion Cotillard contrôle désormais son image comme une pro. Mais être une star internationale signifie aussi savoir surprendre ses fans. Avec cette Une du Vanity Fair italien, la comédienne relève le défi haut la main. Marion Cotillard y apparaît sans aucun maquillage, les cheveux en batyaille. Dans une pose -un peu -lascive et peu vêtue, on croirait Marion surprise au saut du lit. Mais pas de

à ses côtés.

Vanity Fair n’est pas le premier magazine à tenter l’expérience de la star sans fard. L’année dernière, Elle faisait également poser des comédiennes au naturel. Avec cette couv’, Marion Cotillard redonne de l’espoir aux victimes des tignasses indomptables et des peaux fatiguées. Même si la comédienne peut, elle, confier presque tous les matins ses cheveux et son maquillage à de vrais petits magiciens.

À ceux qui pensent que l’interprète de Nine ou de Inception est devenue intouchable et que la célébrité lui est montée à la tête, elle montre qu’elle est capable de tout. En mars dernier, elle interprétait son meilleur rôle comique dans une fausse publicité, affublée d’une paire de faux seins collés sur le front. De ses débuts dans le film Taxi à son Oscar à Hollywood, Marion Cotillard n’a donc rien perdu de son sens de l’humour et du naturel.

Laure Costey

Lundi 27 septembre 2010

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Alexandre Aja (“Haute tension”, “La Colline a des yeux”) dirigera le Britannique Daniel Radcliffe dans le thriller surnaturel “Horns”.

Le réalisateur français Alexandre Aja (Haute tension, La Colline a des yeux) dirigera le Britannique Daniel Radcliffe dans le thriller surnaturel Horns. C’est Shia LaBeouf qui devait initialement tenir le rôle. Dans Horns, le héros de la saga Harry Potter et du récent La Dame en noir incarnera un homme se réveillant avec une gueule de bois et qui découvre… que des cornes ont poussé sur sa tête pendant la nuit ! Celui-ci pense alors que la pousse soudaine de ces cornes a quelque chose à voir avec la mort de sa petite amie un an auparavant…

Clément Cuyer

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sort Il, le deuxième titre de son album Nuits blanches. Pour le clip, très sulfureux, la chanteuse effectue un strip tease à l’envers et se montre toujours à l’aise avec son corps. Il est vrai qu’elle n’a que 30 ans. Et ce mardi: bon anniversaire Clara!

Même si d’habitude les cadeaux d’anniversaire on les reçoit, Clara Morgane a décidé pour ses 30 ans (qu’elle célèbre ce mardi 25 janvier) d’en faire un à son public. Pour le clip de la chanson Il, elle se dévoile dans un très stylisé strip tease à l’envers. Complètement nue dès les premières images, elle finit dans un très sexy et suggestif costume noir.

Même s’il ne peut pas être diffusé aux heures de grande écoute, le clip devrait un peu doper les ventes de l’album Nuits blanches, qui pour l’instant ne décolleNT pas vraiment. Pour Clara Morgane, réaliser un clip sulfureux, dans lequel elle se dénude, est cohérent avec sa démarche. Et elle continuera. C’est ce qu’elle déclarait à Charts in France en affirmant «je ne lâcherai pas, même si on refuse de me diffuser en télé. (…) Peu importe les difficultés que je rencontre, je ne peux pas sortir quelque chose qui ne me ressemble pas». La chanteuse ne vise pas les premières places des hit parades, en tout cas pas à n’importe quel prix: «s’il faut chanter des reprises bretonnes comme

pour vendre beaucoup d’albums, je n’en vendrai pas car je ne le ferai jamais».

Fière de son travail, de ses textes, souvent faits de jeux de mots à double sens, de sa musique électro dance, Clara Morgane a bien l’intention d’imposer son style en continuant à sortir des singles et des clips. L’ancienne actrice X continue donc son petit bonhomme de chemin dans la chanson, peu importe les remarques et les critiques. Pour Clara Morgane, la trentaine pourrait bien être l’âge de la maturité.

Jean-Christian Hay

Mardi 25 janvier 2011

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Ils n’ont pas su trancher, c’est le cas de le dire: il y a aura donc deux gâteaux au mariage de Kate et William, le 29 avril prochain. Le premier, une pièce montée décorée de fruits frais et de fleurs: le choix de Kate. L’autre, plus alternatif, aura le goût de la petite madeleine de Proust pour le prince William: un biscuit au chocolat dont il raffole depuis son plus jeune âge!

Chaque année, c’est elle qui cuisine le gâteau de Noël de

: la pâtissière Fiona Cairns est l’heureuse élue du jeune couple princier. Depuis vendredi, la presse britannique murmurait le nom de Dawn Blunden, qui a déjà réalisé pas mal de super puddings pour les Windsor et notamment, en 2005, le «wedding cake» de Charles et Camilla. St James Palace a donc décidé de «lâcher le morceau», si l’on ose dire, et de révéler le nom de celle que les amoureux ont choisi pour fabriquer la pièce montée, cerise sur le banquet qui sera offert à leurs invités, le 29 avril aux alentours de midi, à Buckingham Palace. Une oeuvre à la fois « moderne et traditionnelle » a précisé une Fiona Cairns évidemment flattée et ravie de l’honneur qui lui est fait.

Crème et glaçage blanc, décorations en 3D sur une pièce montée à trois niveaux, fruits frais et fleurs en ornements: ce petit bijou promet d’avoir fière allure. Kate a notamment insisté pour qu’y soient représentées les quatre fleurs «nationales»: la

anglaise, le chardon écossais, la jonquille galloise et le trèfle irlandais. Preuve que la future princesse connaît les rudiments de la diplomatie…

Pour autant, le couple a décidé de ne pas s’en tenir à un seul dessert. Le prince William s’est également offert un petit caprice en commandant un gâteau qu’il adore depuis tout gosse: un biscuit au chocolat dont la réalisation a été confiée à McVitie’s, pâtissier pour la famille royale depuis des générations. Beaucoup moins sophistiqué que la commande de Kate, il offrira une savoureuse -et rassurante- alternative aux accros au chocolat.

J.S.

Lundi 28 mars 2011

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Juifs, chrétiens, musulmans de tous pays, unissez-vous par la grâce d’un chat, d’un rabbin et d’une jeune fille au prénom comme une douceur au miel: les héros dessinés de Joann Sfar débarquent sur grand écran ce mercredi. Une leçon de vie.

Alger, années 1920. Le rabbin Sfar vit avec sa fille Zlabya, un perroquet bruyant et un chat espiègle qui dévore le perroquet et se met à parler pour ne dire que des mensonges. Le rabbin veut l’éloigner. Mais le chat, fou amoureux de sa petite maîtresse, est prêt à tout pour rester auprès d’elle… même à faire sa Bar-Mitsva! Le rabbin devra enseigner à son chat les rudiments de loi mosaïque…

Une lettre apprend au rabbin que pour garder son poste, il doit se soumettre à une dictée en français. Pour l’aider, son chat commet le sacrilège d’invoquer l’Eternel. Le rabbin réussit mais le chat ne parle plus. On le traite de nouveau comme un animal ordinaire. Son seul ami sera bientôt un peintre russe en quête d’une Jérusalem imaginaire où vivraient des Juifs noirs. Il parvient à convaincre le rabbin, un ancien soldat du Tsar, un chanteur et le chat de faire avec lui la route coloniale…

Dans Le Chat du rabbin, déjà un énorme succès en librairie (700 000 exemplaires vendus en France), c’est toute une vision du monde que livre Joann Sfar: « L’enjeu était de critiquer la religion mais de l’intérieur. Comme un enfant qui a suivi des cours de Talmud-Torah, de Coran ou de catéchisme, qui adore ses parents, ses profs, mais trouve que certaines choses là-dedans méritent d’être révisées », explique-t-il à l’AFP. Et aussi: «La religion est un sujet beaucoup trop important pour qu’on le laisse aux seuls croyants!»

Selon l’adage très sérieux «Qui aime bien châtie bien», Sfar, fils d’une famille de la petite-bourgeoisie niçoise, sépharade par son père et ashkénaze par sa mère, avait «envie de faire aimer les Juifs». Un défi de nos jours, «parce qu’aujourd’hui tout ce qu’on nous montre des juifs, c’est le ‘méchant soldat israélien’ ou ‘la Vérité si je mens’: des gens très riches qui se serrent les coudes et gagnent beaucoup d’argent».

Plus qu’un dessin animé, le réalisateur césarisé de Gainsbourg, vie héroïque a voulu un vrai « film destiné à tous, même aux grandes personnes, avec de vrais acteurs dont on tombe amoureux ». Ces acteurs, qui ont prêté leurs voix mais aussi leurs attitudes aux personnages -ils ont joué en costumes au milieu des dessinateurs- ce sont

, François Damiens,

, Fellag ou encore

, dans le rôle du chat. Laissons donc la conclusion au matou: « la connerie est le bien le mieux partagé par les êtres humains ».

J.S

Mercredi 1er juin 2011

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The UK government has appointed Ivan Rogers, Prime Minister David Cameron’s adviser on Europe and on global issues, as Britain’s next permanent representative to the European Union.

Rogers is to replace Sir Jon Cunliffe, who at the end of July was appointed deputy governor of the Bank of England. He is expected to take up his new post in November.     

Rogers has worked in several government departments and in 2006-11 worked as a banker, first with Citigroup and then with Barclays Capital. He was Prime Minister Tony Blair’s principal private secretary in 2003-06.

In 1996-99, he was head of the private office of Leon Brittan, vice-president of the European Commission. (Nick Clegg, the UK’s deputy prime minister, was an adviser to Brittan during that time.)

His appointment has caused some grumblings from the Conservative Party’s eurosceptic wing. In 1994-95, Rogers served as private secretary to the UK’s finance minister at the time, Kenneth Clarke, one of the party’s most outspoken pro-Europeans.

As the prime minister’s adviser on the EU and global issues, Rogers currently deals not only with EU matters but also with wider issues of trade, energy, climate change, financial markets and international development.

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The leaders of the European Union and the United States today celebrated the launch of talks on what could become the “biggest bilateral trade deal in history”, saying that a transatlantic trade deal would reinforce the two blocs’ status as the “backbone of the world economy”.

The comments – made by US President Barack Obama, the leaders of the EU’s institutions and national leaders on the first day of a summit of leaders of the G8 group of leading economies – underlined the enormity and the ambition of the pending talks, which should begin in July in Washington.

EU trade ministers agreed a mandate for EU negotiators on Friday. The US mandate is due to be settled within days.

In a sign of the difficulties that await, the EU’s mandate was hammered out only after nearly 13 hours of talks devoted principally to the issue of including or excluding the audiovisual sector, a sector that includes the film and television industries. France feared that an exception granted to cultural industries, enabling states to apply quotas to culturall imports and enjoy subsidies for domestic production, could be undermined by the talks, though the European Commission says that the exception is protected by EU law. The dispute was resolved only when the EU’s 27 member states agreed to exclude audiovisual services from initial phases of talks, but to consider adding the sector to the agenda at a later stage.

Karel De Gucht, the European commissioner for trade, said on Friday that he was “delighted” to have a mandate. De Gucht had been anxious to prevent audiovisual services from being excluded from the mandate, in part to deter the US from ringfencing sectors itself.

However, the sour legacy of the protracted talks was evident in an interview given to the International Herald Tribune by José Manuel Barroso, the president of the European Commission. Attacking he depicted as an opposition based on antipathy to globalisation, he said that opponents of a freer trade in films and music had “no understanding of the benefits that globalisation brings also from a cultural point of view”. He continued: “Some say they belong to the left, but in fact they are culturally extremely reactionary.”

While Europe’s ‘cultural exception’ has dominated the preparatory phases of the negotiations, the fundamental challenges are expected to relate to the harmonisation of regulations. In a public statement today, Barroso described the “core challenge” as being to move “regulatory regimes closer and [to address] the harmful effect of behind-the-border trade barriers” and highlighted the “huge economic benefits…expected from reducing red tape and avoiding divergent regulations”.

Obama said politicians should “look beyond narrow concerns and focus on the big picture” – the big picture being that this single deal will cover half the world’s economy.

In a study released in recent days, the Ifo institute, a German economic think-tank, calculated that a deal could increase US income per head by 13.4% in real terms over the long term but only by an average of 5% among the EU’s 27 member states.

But the direct economic boost is just one potential benefit attributed to the deal.

Herman Van Rompuy, the president of the European Council, said that “Europe and the United States are the backbone of the world economy” and that the transatlantic free-trade area could “enshrine Europe and America’s role as the world’s standard setters”, describing this as of being “of key strategic significance”. EU officials have indicated that even in the contentious area of competition rules, a model could emerge that would help set standards globally.

Barroso said that the two sides were determined “to shape an open and rules-based world”.

In geopolitical terms, the deal could, some argue, amount to the equivalent of an ‘economic NATO’. It would also reinforce the transatlantic alliance at a time when there is concern in Europe that the US is preoccupied by the rise of Asia.

The stated goal of the European Commission, which will negotiate on the EU’s behalf, is to complete talks by the end of 2014, when the term of the current European commissioners ends. However, some believe that a natural – and more realistic – timetable would see a deal settled by the end of Obama’s second term, in early 2017.

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The adoption of broad negotiating mandates by both sides is itself a major advance. Diplomats on the EU side have said that initially the US’s interest in a deal did not extend beyond lowering tariffs and addressing long-standing points of difference on food issues.

“A year and a half ago, we were not even sure the place had a door, and now we are entering the negotiating room together,” Van Rompuy said today.

The comments on the free-trade talks vied at the beginning of a two-day summit that is likely to be dominated by talks on tax evasion – a theme driven by the host country, the United Kingdom – and the crisis in Syria.

Few would disagree that in order for Europe to move towards a sustainable, low-carbon energy system, Europe needs to invest in its energy infrastructure. This makes it all the more worrying that a list of projects considered to be contributing to this objective is being rushed through by the European Commission, disregarding principles of transparency, public consultation and participation, and existing environmental legislation. As a result, highly controversial projects have made it on a draft list that is currently being prepared for adoption by the Commission.

This could have easily been avoided. The regulation on guidelines for trans-European energy infrastructure (TEN-E regulation), adopted earlier this year, sets out an improved and streamlined policy and legal framework to optimise energy network development at the European level by 2020 and beyond. It aims to ensure open and transparent dialogue to enhance public trust in and acceptance of the installations as well as support full compliance with EU environmental legislation.

It foresees the identification of ‘projects of common interest’ (PCIs), which will be considered as essential for the EU and as such entitled to preferential treatment in member states, including faster and more efficient permitting procedures, and under certain conditions being eligible for European subsidies. The European Commission, having recently received the political support of most member states, is now finalising the first list of PCIs. This represents a crucial first step in developing the energy network.

The Commission has, however, taken a rushed and non-transparent approach to selecting these projects. This is highly problematic for a number of reasons, but could also prove counter-productive in terms of improving public acceptability and accelerating delivery of essential infrastructure. It seems that at least some member states have taken advantage of the situation to put forward environmentally questionable projects, which face fierce local opposition and might not stand up to the scrutiny required under environmental law. Examples of such projects, some of which have already been challenged before different courts of law, are hydro-pumped storage in the Austrian Kaunertal and liquid natural gas terminals located near Paldiski in Estonia, between Tarbert and Ballylongford in Ireland, and in the Italian part of the northern Adriatic (Zaule). The Commission has a duty to ensure that regard is given to the need to protect the environment when developing and implementing the EU’s energy policy, which includes the preparation of the PCI list.

As well as such controversial projects being on the list, several other proposed projects are at such an immature stage that no details on their development can be given. It is impossible to ascertain whether such projects are necessary from an energy policy perspective. Awarding the PCI status to such projects, and thus labelling them as being in the public interest and eligible for EU funding, and later on, when it is established that they are not feasible nor necessary, take away their status, not only seems to run counter to the TEN-E regulation, but also does not appear to be an efficient use of EU money.

Lack of transparency in the selection process aggravates the situation. Environmental stakeholders were invited to participate only very late in the process, when it was no longer possible to substantively inform and contribute to the process. In addition, the little information that was provided about candidate projects was not sufficient to explain whether the criteria for the PCIs were indeed fulfilled.

The Commission is planning to adopt the first PCI list in early October, and still has time to uphold the TEN-E and Aarhus Convention legal requirements and restore the legitimacy of and public confidence in the process. It is only by doing this that the Commission can avoid the controversy over a few listed projects to taint the projects that truly deserve to be labelled as being in the interest of European citizens as well as a black-out of the sustainability objective of the EU’s energy policy.

Martina Mlinaric is senior policy officer – biodiversity, water and soil at the European Environmental Bureau.