Month: March 2020

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Du 16 au 27 mai, suivez les aventures cinématographiques et cinéphiles de quatre blogueurs au Festival de Cannes 2012. Aujourd’hui, Jean-Victor nous parle de l’ouverture du Festival et des Cinq Légendes. Avec AlloCiné et Carte Noire.

Traumatisé dès son plus jeune âge par le 7ème art, Jean-Victor écrit et parle devant une caméra sur CloneWeb !

Après avoir découvert hier avec effroi que j’allais ramer pour récupérer des places pour les films en compétition (les accréditions d’école de cinéma dévaluées, c’est pas très cool), j’étais sur le pied de guerre ce matin pour vivre cette journée d’ouverture comme il se doit, et célébrer avec les cinéphiles du monde entier notre 7ème art préféré.
Réveil à 8h, et pas le temps de trainer, puisque nous étions invité à la présentation du prochain long métrage Dreamworks. Celui de Noël tout du moins, puisque Madagascar 3 nous sera projeté dans la semaine. Après un petit déjeuner en compagnie de journalistes tout plus réveillés les uns que les autres (ou pas), nous étions donc lunettes 3D vissées sur le nez pour voir les premiers extraits des Cinq légendes.

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Pour faire simple, puisque Dominique a déjà expliqué le concept global, on peut dire que Dreamworks semble continuer sur la lancée ouverte avec Dragons et Megamind, à savoir offrir un spectacle de qualité qui croit enfin à ces personnages et à son univers sans niveler par le bas. La démo technique offrait deux trois scènes assez spectaculaires et malgré un rendu pas finalisé, il y avait déjà de quoi apprécier l’univers assez original, même si le design parfois un peu trop moderne empêchera sûrement le film de devenir un classique (le père noël qui a fait du tuning sur son traineau, c’est peut être pas une bonne idée). Le tout donnait quand même envie, et comme le casting vocal est des plus sympathiques. (Alec Baldwin est aussi drôle en vrai que dans 30 Rock, ce qui suffit pour me convaincre)

A peine sorti, il était temps d’aller se familiariser avec les environs et de partir en quête pour le sésame magique : l’invitation pour la projection du soir.
Avec l’armée de panneaux “Cherche invitations” devant le palais du festival, l’entreprise pouvait sembler désespérée, mais c’était sans compter sur Twitter et ses ressources insoupçonnées. Je l’avais donc, cette première invitation, pour voir Moonrise Kingdom à 23 heures. J’allais enfin les monter, ces fameuses marches mythiques, foulées par des légendes en tout genre. Regardez le ce billet, c’est un bout de papier apriori lambda, mais c’est une espèce extrêmement prisée à Cannes, et il va être ardemment chassé durant les jours qui viennent.


En attendant, j’ai déjà attrapé un spécimen, et grâce à lui, je pourrais vous raconter tout ça… demain.

Alors à demain pour assurément la première montée des marches avec Moonrise Kingdom, et éventuellement du Gondry, du Audiard et du Yousry Nasrallah !

Vingt-trois femmes, dont le profil a été estimé “remarquable” dans le secteur des technologies de l’information, ont été mises en avant en mars 2019 par l’Organisation des Nations unies pour l’Education, la science et la culture (Unesco) à l’occasion de la Journée internationale des femmes. L’Ivoirienne Christelle N’Cho Assirou est l’une d’elles et elle participe à la Journée de la femme digitale (JFD) qui se tient à Dakar, au Sénégal, le 13 juin 2019.A la tête d’Ictina, une entreprise de services numériques qui existe depuis quatre ans, elle est surtout une activiste. Elle essaie depuis plus d’une décennie à travers l’association qu’elle a créée en Côte d’Ivoire, Femmes & TIC, d’œuvrer à ce qu’en Afrique “les femmes puissent se lancer, non seulement dans des usages responsables des technologies, mais aussi afin qu’elles puissent en profiter dans l’ensemble de leurs activités”.franceinfo Afrique : quelle est la place des technologies de l’information en Côte d’Ivoire et permettent-elles une meilleure inclusion des femmes dans la société ?Christelle N’Cho Assirou : elles ont un peu révolutionné la place de la femme en Côte d’Ivoire. Il y a une prise de conscience chez elles de l’étendue de leurs capacités. Les technologies ont créé une ouverture sur le monde qui fait sauter toutes les barrières. Du coup, les femmes peuvent s’informer et se former grâce à Internet. Quel que soit leur domaine d’activité, elles peuvent désormais avoir accès à des modèles de réussite locaux ou à l’étranger.Pour les femmes qui font du commerce ou proposent des services, par exemple, elles ont la possibilité de démultiplier leurs marchés. Il est vrai que nous n’avons pas encore véritablement de plateforme dédiée à l’e-commerce. Néanmoins, l’inclusion financière est boostée par le numérique. Le paiement mobile facilite les échanges. Il y a un gain de temps énorme pour les femmes. Elles peuvent mieux gérer leur temps et mieux s’occuper de leur famille.Il y a également un impact en matière de leadership, parce que les femmes ont de nouveaux canaux d’expression grâce aux réseaux sociaux. Beaucoup ont compris qu’ils ne devaient pas seulement servir à l’usage qu’elles en faisaient au début d’Internet : les jeunes filles cherchaient alors à rentrer en contact avec des Européens pour avoir un mari ou aller vivre à l’étranger. Même s’ils existent encore, ces usages sont de plus en plus dilués. Nous avons une jeunesse plus alerte et ouverte d’esprit qui compte profiter au maximum des nouvelles opportunités qui lui sont offertes par le numérique.Vous êtes sur le terrain avec votre ONG. Comment se manifeste cette appropriation des technologies de l’information par les jeunes filles et les femmes dans votre pays ?L’ONG s’occupe de développer les compétences numériques des femmes et des jeunes filles afin qu’elles deviennent des ressources actives quand on parle, par exemple, de la construction d’Internet. Le blockchain, l’intelligence artificielle sont des nouvelles problématiques et il faut une véritable expertise pour s’y attaquer. Et cette expertise ne peut pas être seulement masculine. Dans le domaine du développement d’applications, nous avons formé beaucoup de jeunes femmes qui, grâce à leurs acquis, proposent des solutions techniques. L’une d’elles, formée en 2017 sur le langage de programmation Java, est en train de concevoir une place de marché pour le vivrier (marché virtuel).Un autre groupe de jeunes filles a élaboré une cartographie de la production vivrière en Côte d’Ivoire afin que l’on sache où elle se trouve, quand elle est disponible et comment rentrer directement en contact avec les producteurs. De même, certaines jeunes femmes se sont davantage affirmées parce qu’elles pouvaient exprimer leur leadership et qu’elles avaient quelque chose à apporter à leur communauté. Elles sont devenues des leaders dans leurs écoles et y ont mis en place de ce qu’on appelle des “Clubs TIC”. Aujourd’hui, elles s’expriment plus facilement en public et communiquent mieux sur les réseaux sociaux. D’autres tiennent des blogs ou se servent d’internet pour proposer leur expertise. Comment l’idée de cette association est-elle née ?Femmes & TIC, qui est née en 2007, est le fruit d’un retour d’expériences partagées avec des amis et mon époux. Nous étions tous membres de l’association ivoirienne pour Linux et les logiciels libres. Dans ce mouvement, devenu panafricain, nous étions 1% de femmes parmi 99% d’hommes. Ce qui me choquait !Au milieu des années 2000, l’Internet était censé être l’avenir, tout comme les logiciels libres… On disait que c’était l’opportunité pour les pays africains de rattraper leur retard technologique, une opportunité pour les jeunes, l’entrepreneuriat et la création d’emplois… et il n’y avait que des hommes impliqués. Les jeunes filles et les femmes n’étaient-elles pas tout aussi intelligentes pour s’intéresser, adhérer et travailler à cette révolution qui s’annonçait ? J’ai donc pensé que la trop forte présence masculine pouvait intimider et qu’il fallait mettre en place un cadre d’expression. A cette époque, on parlait aussi beaucoup de l’Objectif du millénaire pour le développement qui promouvait l’égalité des sexes et l’autonomisation de la femme. Au regard de cette prise de conscience au niveau mondial, nous nous sommes dit qu’il y avait quelque chose à faire. Nous voulions que cet objectif puisse être atteint dans le secteur des technologies ou que ce dernier favorise la démarche. En 2006, nous avons démarré avec des réunions informelles qui nous ont permis de faire plusieurs constats.Soit le sujet passionnait, il y avait ainsi déjà des filles dans les filières, mais elles étaient timides. Soit, les aînées avaient démarré leur carrière comme ingénieurs en informatique, puis bifurqué vers des métiers connexes : il y a donc eu, trop tôt, une dilution de profil de carrière. Aujourd’hui encore, à Abidjan, quand il y a des forums sur les thématiques technologiques, il n’y a que des messieurs en cravate. De même, dans les regroupements professionnels, il n’y a pas d’entreprises tenues par les femmes. Ce n’est pas possible, quand on sait que c’est l’activité la plus pourvoyeuse d’emplois dans le monde aujourd’hui et qu’il y a besoin, à l’horizon 2020-2025, d’environ deux millions de postes ! Pourquoi les femmes que l’on cherche justement à autonomiser ne pourraient pas les occuper ? En outre, les métiers de 2030-2050 ne sont pas encore identifiés, parce que le secteur est tellement dynamique que de nouvelles professions s’inventent chaque jour. Il suffit d’avoir la volonté d’apprendre et les femmes le peuvent. En somme, nous disons juste : les femmes aussi ! Quelles sont les activités que vous menez pour que votre leitmotiv se concrétise ? Nous avons des activités phares qui tournent autour de la célébration de la Journée internationale des jeunes filles dans les technologies de l’information initiée par l’Union internationale des Télécommunications. L’objectif étant d’encourager des carrières. Nous organisons également des formations ouvertes à toutes les femmes et nous soutenons d’autres activités et d’autres associations.Nous apportons aussi notre expertise à l’Etat. Nous avons également développé un tissu associatif composé, par exemple, les “Clubs TIC” dans les écoles de jeunes filles et les établissements mixtes. En outre, nous sommes allées au-delà des frontières de la Côte d’Ivoire.Grâce à l’Organisation internationale de la Francophonie, Femmes & TIC est depuis 2014 un réseau panafricain. Des versions de l’association ivoirienne existent aujourd’hui au Burkina Faso, au Bénin, en Mauritanie, au Niger, à Djibouti, au Mali, en Centrafrique, au Tchad et même en Haïti. Nous avons ainsi créé le réseau Femmes, numérique et développement de l’espace francophone (Fenudef, dont elle est coordinatrice, NDLR).Nous avons également mis en place une conférence, dont la troisième édition se tiendra à Abidjan en septembre 2019. Le Fenudef est un espace de partage d’expériences, d’échanges et de mutualisation. Notre objectif étant de devenir une force de proposition pour nos Etats et un référent sur la question du genre et des technologies. Nous organisons également des formations régionales.Sur quelles ressources humaines fonctionne l’association ivoirienne ?Le milieu associatif repose sur des bénévoles. Cependant, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur une cinquantaine de membres actifs. Leur implication peut varier, d’autant que c’est une association de femmes et que notre quotidien peut être bouleversé par une maternité, l’éducation des enfants, quand ils sont jeunes. Il y a des baisses de régime dans l’activité de la majorité de nos membres, mais il y a toujours un noyau dur qui est très engagé et qui permet à notre organisation d’être dynamique. Vous êtes une activiste. L’Etat ivoirien fait-il ce qu’il faut pour accompagner ce mouvement que vous avez initié, à une échelle moindre, avec votre association ?Oui, je peux être affirmative aujourd’hui ! Je n’aurais pas eu la même réponse, il y a quelques années. Il y a une réelle volonté politique. Elle est perceptible de la présidence au ministère en charge des Technologies, en passant par tous les secteurs concernés.En Côte d’Ivoire, depuis 2011-2012, il y a un compendium des compétences féminines. C’est une base de données qui concentre toutes les compétences féminines dans tous les secteurs d’activité du pays, en local ou appartenant à la diaspora. L’idée étant de proposer aux gouvernants des profils auxquels, ils peuvent faire appel. Que faudrait-il en Côte d’Ivoire et en Afrique pour donner plus d’envergure à votre démarche en faveur du genre dans le numérique ?Nous sommes des associations et nous n’avons pas toujours notre place dans les instances de décision. En tant qu’acteurs de terrain, nous avons pourtant une expertise et nous sommes par conséquent une force de proposition. Si on en tenait compte et que, de notre côté, nous parvenions à mieux capter des fonds pour réaliser nos objectifs, nous pourrions faire mieux et plus.Avec notre réseau panafricain, nous travaillons au lancement du Women and Girl startup challenge, une compétition dont l’objectif est faire émerger des entrepreneures dans les technologies de l’information. 

Commission aims for efficiency on the net

March 23, 2020 | News | No Comments

Commission aims for efficiency on the net

Net neutraility plans should be praised.

Updated

The European Commission has sent a strong and unmistakable signal that it is committed to ensuring that the internet remains open and, to this end, recommended that European and national policymakers implement the EU’s latest telecoms package (“Kroes pledges to get tough if internet firms break rules”, 20-27 April”).

The concept of network neutrality, which originates in the US, appears fairly simple – data must be transmitted by internet service providers (ISPs) regardless of their origin or destination. Its central aim is to avoid any discrimination from the ISP side that would have an anti-competitive impact (“The virtues of internet neutrality”, 28 April-4 May).

In the EU, these potential issues are pre-emptively solved in the telecoms package, which sets higher requirements of transparency than in the past and empowers national regulators to set minimum quality of service requirements.

It encourages national policymakers to let the telecoms package demonstrate its ability to handle net neutrality, freeing them up to devote themselves to tackling other pressing challenges, such as the protection of personal data or intellectual property rights in the digital era.

This is a particularly welcome signal from the Commission in the context of the debate in the German Bundestag on the internet and the digital economy, in which I am involved as an external expert.

Often criticised for constantly imposing changes in national legislation, the Commission has shown with this communication that it does not believe in symbolic regulation: it prefers to aim for consistency and efficiency.

Hubertus Gersdorf

University of Rostock

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Lando Norris is planning to take full advantage of Formula 1’s decision to scrap rules limiting the number of different helmet designs a driver can use during a season.

The rule requiring drivers to stick to one helmet design was introduced for the 2015 season. It was intended to help fans identify drivers in the cockpit more easily.

It stated that “in order for drivers to be easily distinguished from one another whilst they are on the track, the crash helmet of each driver must be presented in substantially the same livery at every event during a championship season.”

Some exceptions were permitted to mark significant events, with McLaren’s Lando Norris using a permitted change to pay tribute to MotoGP star Valentino Rossi at least year’s Italian GP in Monza.

  • A look at the helmet designs of the class of 2020

But the rule has proved unpopular with drivers and proved of little help to spectators especially since the introduction of the Halo protection device. And now the need for consistent identifiable headwear been superseded by new rules on car liveries making car numbers and driver acronyms more visible.

Now the FIA has agreed to redact the helmet rule for 2020 and allow drivers free creative reign over their lids for the forthcoming season – whenever it finally gets underway after the delay due to coronavirus.

Norris is one driver intending to make the most of the artistic opportunity the rule change presents.

“I’m planning to hopefully try and have one new special every race,” he told Autosport magazine, calling the relaxation of the regulations “one of the best things about this year”.

“It is a nice thing they’ve done. I like that,” he continued. “Now we can mix it up a bit more, and I can have some more exaggerated designs and more custom and colourful and stuff like that.

“I have them all on my wall at home, tThey’re one thing I get to remember every race by,” he explained. “There’s something about them.

“I’ll still be keeping with the same concept of what I have, because that’s still me.

“But then how everything is done around that, the colours and schemes of everything, are hopefully going to be a bit more dedicated to each race and the country and things like that.”

Even though the rule change was made quite late, Norris was all set to roll out his first new look in Australia – before the race was cancelled at the last minute.

“I’ve got me as a kangaroo on the top, a bit of a sunset in the background,” he said. “This one I haven’t done that much, but for future races I’m going to try and mix it up a bit more.”

But Norris didn’t seem impressed by the addition Valtteri Bottas had made to his own helmet for the same ultimately-abandoned race. The Finn has been planning to sport a design featuring a ‘dabbing’ koala bear on the grid.

“Dabbing’s old now!”, Norris laughed. “He needs to get with it!”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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Germans out in front

March 23, 2020 | News | No Comments

Germans out in front

Updated

Appointment puts Germany ahead in the director-general race.

Europe’s economic difficulties have created employment opportunities for one very select group: German former directors-general in the European Commission.

Last year, Klaus Regling, sometime director-general for economic and financial affairs, was appointed chief executive of the eurozone’s rescue fund, the European Financial Stability Facility. Now Horst Reichenbach, who was director-general for consumer policy, then for personnel and administration, and then enterprise and industry, is to be retrieved from the European Bank for Reconstruction and Development, where he has worked since 2005.

He has been appointed head of a taskforce that is being set up to help Greece implement its economic reform programmes. Reichenbach will have the rank of director-general.

In the Commission, where they keep an eye on these things, there are five Germans in director-general posts – Dirk Ahner, Walter Deffaa, Karl Falkenberg, Matthias Ruete and Walter Radermacher – which compares with five each for France, the UK and Italy. But Reichenbach’s appointment, which takes effect on 1 September, puts Germany ahead of the pack.

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Un tiers des éléphants d’Afrique se trouvent au Botswana. Depuis cinq ans, les pachydermes vivaient ici libres et protégés grâce à un moratoire décidé par l’ancien président. Problème, le nouveau gouvernement vient de le lever, à cause d’une cohabitation avec l’homme qui serait devenue trop compliquée. Des cultures seraient dévastées, des paysans parfois attaqués : résultat, les 130 000 éléphants du pays vont désormais pouvoir être chassés.400 éléphants prélevés chaque année“Notre responsabilité à protéger l’environnement n’a pas changé, mais nous avons une responsabilité envers les citoyens”, a déclaré Kitso Mokaila, ministre de l’Environnement du Botswana. Le ministère promet une reprise de la chasse ordonnée et éthique. 400 éléphants pourront être prélevés chaque année de manière contrôlée, mais les défenseurs de la cause animale redoutent une reprise du braconnage et du trafic d’ivoire. D’autres experts assurent que les éléphants de ce pays ne sont plus menacés d’extinction.Le JT

  • JT de 13h du samedi 25 mai 2019 L’intégrale

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Un paquebot totalement hors de contrôle. À la dérive, le MSC Opéra, monstre de plusieurs dizaines de milliers de tonnes, racle le quai du port de Venise (Italie). Des passagers d’un bateau voisin évacuent à la hâte leur embarcation, juste avant l’impact. Malgré la violence de la collision, seuls quatre blessés légers sont à déplorer. “Nous avons entendu le bateau qui klaxonnait très fort lorsqu’il était vers les radeaux. Nous nous sommes avancés et nous l’avons vu dévier sa route“, décrit un témoin de la scène. Les riverains en ont marre des gros navires L’impact s’est produit sur le canal de la giudecca. Le lieu, aux portes du centre-ville de Venise, est prisé des paquebots car il offre une vue imprenable sur la ville. Mais de nombreux habitants ne veulent plus de ces navires trop gros, qui menacent les fondations de la ville et la lagune. “Aujourd’hui, c’est la démonstration empirique de ce que nous disons depuis le début“, explique Tommaso Cacciari, membre du comité “No grande navi”. Depuis un an et demi, un nouveau terminal maritime est en construction pour bannir du centre de Venise ces géants des mers. Le JT

  • JT de 20h du dimanche 2 juin 2019 L’intégrale

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    Cinéma : zoom sur les chasseurs de décors

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Laure Manaudou attend un heureux événement

March 22, 2020 | News | No Comments

Laure Manaudou est enceinte. D’après l’AFP, qui cite des «sources concordantes», notre toute jeune retraitée de la natation serait bientôt maman de son premier enfant.

Laure Manaudou a toujours rêvé d’un petit poisson et d’un amour tendre, mais comment s’y prendre, quand on est dans l’eau…

Laure a trouvé. La belle naïade a décidé de s’éloigner des bassins et de mettre un terme définitif à sa carrière. D’autant qu’elle est enceinte. Lors d’un entretien paru dans le quotidien Le Parisien-Aujourd’hui en France, la jeune femme, qui fêtera ses 23 ans le 9 octobre, avait expliqué a demi mots les raisons de cette abandon: «C’est décidé. J’arrête. Cela n’a pas été une décision facile à prendre. Elle s’est imposée à moi petit à petit. Ce n’est pas un coup de tête. Tout cela a mûri doucement», avait déclaré Laure Manaudou, future maman délicate et attentionnée.

C’était donc ça. La meilleure nageuse française de tous les temps est enceinte.

L’ancienne championne olympique et triple championne du monde, qui vit à Marseille avec son compagnon Frédérick Bousquet, n’avait jamais caché son désir de maternité. En novembre 2008, sa silhouette voluptueuse et ses courbes arrogantes suscitaient déjà des rumeurs de grossesse. Mais à l’époque, la starlette se réappropriait les codes de la féminité. Avant de devenir maman, la sirène se muait en femme sexy aux rondeurs assumées et au look glamour à souhait. Plus épanouie que jamais, Laure réalise aujourd’hui son vœu le plus cher.

Heureuse, radieuse, l’égérie aux formes rebondies n’avait pu résister, il y a quelques semaines, à nous faire partager son bonheur à venir. Celle qui déclarait début septembre au micro de Nikos Alliagas sur NRJ, «entreprendre une formation de décoratrice d’intérieur», esquissait un premier clin d’œil en forme de berceau et de table à langer. Loin des eaux chlorées, notre star est en train de meubler la chambre de bébé!

Alors certes, elle va nous manquer. Mais c’est pour la plus jolie des reconversions que Laure Manaudou raccroche le maillot!

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J.B

Vendredi 18 septembre 2009

“C’est un village dogon qui a été quasiment rasé.” Au moins 95 habitants du village dogon de Sobane-Kou, dans le centre du Mali, ont été tués, dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 juin, par des hommes armés, selon un élu local et une source sécuritaire.Les auteurs du massacre ne sont pas identifiés. Cette région du Mali est, depuis 2015, le théâtre d’affrontements entre les Peuls, traditionnellement éleveurs, et les ethnies bambara et dogon, qui pratiquent essentiellement l’agriculture et ont créé leurs “groupes d’autodéfense”. L’apparition du groupe jihadiste du prédicateur Amadou Koufa, qui recrute prioritairement parmi les Peuls, joue aussi un rôle.“Selon les civils, ce sont des hommes armés qui sont venus tirer, piller et brûler. C’est un village de 300 habitants. C’est vraiment la désolation”, a ajouté, sous le couvert de l’anonymat, un élu de la commune de Koundou, où se situe ce village. “Nous avons pour le moment 95 civils tués, les corps sont calcinés, nous continuons de chercher des corps”, a déclaré l’élu. Une information confirmée par une source sécuritaire malienne.Un massacre d’un village peul en marsLe nord du Mali est tombé, en mars-avril 2012, sous la coupe de groupes jihadistes, en grande partie dispersés par une intervention militaire lancée en janvier 2013 à l’initiative de la France, qui se poursuit. Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes, françaises et de l’ONU, malgré la signature en 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.Depuis 2015, ces violences se sont propagées du nord au centre du pays, voire parfois au sud. Elles se concentrent surtout dans le centre, se mêlant très souvent à des conflits intercommunautaires, un phénomène que connaissent également le Burkina Faso et le Niger voisins. Elles ont culminé le 23 mars avec le massacre à Ogossagou, près de la frontière burkinabè, de quelque 160 villageois peuls par des membres présumés de groupes de chasseurs dogons.

Du 16 au 27 mai, suivez les aventures cinématographiques et cinéphiles de trois blogueurs au Festival de Cannes 2012. Aujourd’hui, Hugo a assisté à l’émission “Faites entrer l’invité” d’Europe 1 et a photographié la montée des marches du film d’animation “Madagascar 3”. Avec AlloCiné et Carte Noire.

Hugo TRIGNAC, jeune photographe de 24 ans passionné de cinéma, rédacteur et photographe depuis 7 ans de Mon Festival de Cannes.

“Faites entrer l’invité” !

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10h00 : Emission en direct de Michel Drucker à l’antenne d’Europe 1 pour l’émission “Faites entrer l’invité” spécial Cannes depuis l’hôtel “Majestic Barrière”. Michel Drucker accompagné de ses chroniqueurs Jérome Commandeur, Faustine Bollaert et Willy Rovelli a reçu le réalisateur Claude Lelouch, le coiffeur de star Franck Provost et l’ami des stars, Christian Audigier. Cette émission existe depuis 6 mois: leur présence à Cannes s’explique par la volonté de rencontrer le public de province puisque comme l’a rappelé Michel Drucker, “la France n’est pas que Paris“.

Christian Audigier





Claude Lelouch




Jérome Commandeur, chroniqueur




Willy Rovelli, chroniqueur et humoriste




Franck Provost, le coiffeur des stars





Madagascar 3 : Bons Baisers d’Europe
19h30 Montée des marches de l’équipe du film Madagascar 3, “Bons Baisers d’Europe” en présence des voix du film Ben Stiller, Chris Rock, Jada Pinkett Smith, Jessica Chastain et David Schwimmer. Sur les marches, nous avons pu voir aussi ce soir Robert De Niro et Jennifer Connelly venus pour la projection spéciale de “Once Upon a Time in America” de Sergio Leone de 1984.

Charles Berling





Naomi Watts





Delphine Chanéac



Bob Sinclar




Carole Bouquet




Inès de la Fressange




Victoria Silvstedt





Leïla Bekhti




Jennifer Connelly, pour “Il était une fois en Amérique”




Robert de Niro





Salma Hayek




Chris Rock



David Schwimmer




Ben Stiller




L’équipe de Madagascar 3 : Bons Baisers d’Europe


Au programme ce samedi 19 mai
8h30 : projection du film Lawless de John Hillcoat (Ghost of the Civil Dead, The Proposition et la Route). Rencontre avec le styliste Christophe Guillarmé qui habille les célébrités pour la montée des marches. Montée des marches à 19h30 de Lawless puis soirée à la Villa des Inrocks.