La chanteuse Rihanna continue de faire parler d’elle. À peine quelques jours après avoir présenté sa première ligne de vêtements pendant la fashion week de Londres, la jeune femme originaire de la Barbade a été propulsée “partenaire créative“ par MAC, pour une série de produits à sortir cette année.

Rihanna collabore avec M.A.C

La collection RiRi Hearts MAC est une “évidence“ pour Rihanna, qui a expliqué à WWD son attachement pour la marque : “J’utilise les produits MAC en tournée depuis tellement longtemps que c’était naturel pour moi. J’ai toujours adoré le maquillage, et j’ai toujours dit que si je m’y mettais, je voulais le faire avec une marque crédible“.Le premier produit sera un rouge à lèvres inspiré du coloris préféré de la chanteuse, Ruby Woo de MAC. La nouvelle nuance, dénommée RiRi Woo, sera dévoilée dans le magasin MAC éphémère du Barclays Center de Brooklyn, le 4 mai, lorsque la tournée de Rihanna fera étape à New York. C’est la première fois que MAC signe pour un partenariat de plusieurs produits avec une célébrité ou une entreprise : “On a tendance à dire que MAC aime avoir des rendez-vous galants, mais pas une relation sérieuse“, a lancé John Demsey d’Estée Lauder Cosmetics, propriétaire de MAC. Et d’ajouter, “cette relation avec Rihanna est sur le long terme avec le développement de quatre initiatives de couleurs distinctes“.Après la présentation de RiRi Woo lors des concerts de la star, ce rouge sera commercialisé sur internet, et une collection estivale lui emboîtera le pas (avec deux autres rouges à lèvres, un fond de teint et un blush) Elle sera uniquement vendue sur internet.Des collections automne et de fin d’année seront vendues dans les magasins de la marque un peu plus tard dans l’année, avec de nouvelles teintes de rouge à lèvres, des faux cils et un vernis à ongles. La campagne publicitaire pour les deux dernières collections de l’année a été shootée par le célèbre duo de photographes Mert Alas et Marcus Piggot.Rétrospectivement, on comprend mieux son message posté sur Twitter en janvier à propos de sa “nouvelle campagne top secrète!!!“. Certains pensaient à une campagne Chanel, mais c’était en fait MAC.MAC a précédemment travaillé avec les chanteuses Nicky Minaj et Lady Gaga, ainsi qu’avec la marque de mode Rodarte.Source : Relaxnews

Touchant principalement des jeunes filles, l’anorexie est un trouble du comportement alimentaire difficile à soigner sur le long terme. Alors une équipe de chercheurs canadiens à chercher à tester l’efficacité d’un traitement utilisé pour d’autres pathologies (Parkinson et dépression sévère): la stimulation cérébrale profonde par électrodes. Au final, cette méthode a montré des résultats prometteurs chez la moitié des patientes testées. Leurs résultats ont été publié dans la revue The Lancet.

Une équipe de chercheurs a testé une technique de stimulation cérébrale profonde par électrodes pour traiter des patientes atteintes d'autisme sévère.

La stimulation cérébrale profonde, qui consiste à implanter des électrodes dans le cerveau lors d’une petite intervention chirurgicale, est déjà utilisée pour traiter des malades atteints de

Parkinson, de douleurs chroniques, ou de

troubles obsessionnels compulsifs (TOC), mais cette technique n’avait encore jamais été utilisée pour l’anorexie, un trouble grave du

comportement alimentaire, notent les auteurs.La technique a été utilisée à titre expérimental par des chercheurs américains et canadiens sur six patientes souffrant d’

anorexie mentale sévère, âgées de 24 à 57 ans chez qui tous les traitements conventionnels avaient échoué. Les patientes ont été suivies durant 9 mois. Au final, la moitié d’entre elles, soit 3 patientes, ont réussi à maintenir un indice de masse corporelle supérieur à leurs moyennes. Au-delà de la prise de poids, la moitié des patientes traitées ont également enregistré une amélioration de l’humeur ainsi qu’une réduction des TOC.“Cette amélioration de l’humeur et de l’anxiété chez des patientes affichant un poids insuffisant est particulièrement frappante, alors que ces malades répondent généralement mal aux thérapies médicamenteuses ou aux psychothérapies“, relève le Dr Andres Lozano, un neurochirurgien canadien qui a coordonné l’étude.Par contre, deux semaines après l’intervention, l’une des patientes a présenté des convulsions en lien avec un trouble du métabolisme ; tandis que deux autres ont souffert de crises d’attaques panique durant l’intervention, puis de nausées et de douleurs.L’anorexie mentale est une pathologie qui touche principalement les adolescents et plus particulièrement les jeunes filles de 15 à 19 ans. Mais plus de 20% répondent mal aux traitements existants et courent le risque de décéder prématurément.“Il est impératif de trouver de nouveaux traitements efficaces pour ces malades“, écrivent les Pr Janet Treasure et Ulrike Schmidt du King London’s College dans un commentaire joint à l’article. Tous deux se félicitent également de ce que le traitement améliore les symptômes psychologiques et ne soit “pas juste un autre traitement destiné à faire grossir les patients sans qu’ils se sentent mieux“.Avec AFP-RelaxnewsSource : “

Subcallosal cingulate deep brain stimulation for treatment-refractory anorexia nervosa: a phase 1 pilot trial“, The Lancet, 7 mars 2013

En tapant “IVG“ ou “avortement“ dans un moteur de recherche, des sites a priori neutres et bien informés apparaissent en haut de page. Mais certains de ces sites véhiculent en fait des idées anti-avortement.

Gare aux pratiques insidieuses de certains sites anti-IVG !

Des sites comme “ecouteivg.org“ et “ivg.net“, parmi d’autres sont de mieux en mieux référencés dans les moteurs de recherche. Adoptant un ton sérieux, proposant en apparence de nombreuses informations et parfois même un numéro vert, ces sites proposent desmessages loin d’être neutres. Accumulation de témoignages négatifs sur l’avortement, discours culpabilisant pour les femmes qui ont pratiqué une interruption volontaire de la grossesse (IVG), informations médicales tendancieuses abordant “les dangers multiples de l’IVG“… Si la légalité de l’avortement n’est jamais remise en cause, l’ensemble vise à décourager les femmes de recourir à un avortement.Bien sûr, ce n’est pas le cas de tous les sites apparaissant dans le moteur de recherche mais certains sont en fait soutenus et alimentés par des mouvements comme pro-vie, SOS détresse ou Alliance Vita, farouchement opposés à l’avortement. Ces sites créent via leurs webmasters militant dans ces associations, des vitrines en apparence objectives mais qui, après des conseils, des numéros verts et autres services, aboutissent à des messages conçus pour dissuader les femmes de se faire avorter.Invitée

du Lab en janvier 2013, la ministre des droits de la femme; Najat Vallaud-Belkacem, avait incité les associations à se déployer sur Internet pour contrer cette offensive de ces sites qui “font du prosélytisme anti-IVG“. Le 9 janvier, elle avait annoncé qu’elle envisageait

la création d’un site internet et un numéro de téléphone officiels sur l’avortement pour pallier le manque d’informations fiables disponibles sur le sujet. En attendant, avant d’aller plus loin dans la visite d’un site, renseignez-vous sur sa véritable neutralité et son objectivité.Face à ces cas de détresse, les meilleurs contacts restent le Mouvement pour le planning Familial (Tél. : 01 48 07 29 10/Site Web :

www.planning-familial.org) ou pour l’Ile-de-France :

http://www.ivglesadresses.org/, Info IVG Ile de France : 01 47 00 18 66 (du Lundi au Vendredi de 12h à 19h), Numéro vert de la ville de Paris Sexualité contraception : 0800 803 803 (du lundi au vendredi de 9h30 à 19h30, samedi de 9h30 à 12h30)Jesus Cardenas et David BêmeSource :Le Lab Europe 1 – janvier 2013Plongée dans les nouvelles méthodes des anti-avortement – Décryptages – Blog AFP (

accessible en ligne)Click Here: camiseta seleccion argentina

À Paris, tout le gratin du tennis mondial se retrouve pour disputer le grand chelem français, qui ponctue la saison de terre battue. Les Internationaux de France de tennis se dérouleront au stade Roland Garros du 26 mai au 9 juin. Pour autant, le spectacle ne se réserve pas qu’aux stars actuelles de la balle jaune. Il est possible de vivre la compétition autrement. Voici comment.

Roland Garros 2013 : vivre le tournoi autrement

À l’extérieur de la Porte d’AuteuilLa Mairie de Paris consacrera une nouvelle fois l’espace de son parvis, dans le centre de Paris, à son opération “La Terrasse“ (anciennement “Roland Garros dans la ville“). Touristes et passants pourront suivre gratuitement sur un écran géant les matches en cours à la Porte d’Auteuil.Les visiteurs vivront aussi le tennis de plus près lors du Longines Future Tennis Aces, le tournoi réservé aux moins de 13 ans, créé par Steffi Graf et André Agassi. Un terrain en terre battue sera tracé sur le parvis de l’Hôtel de Ville. La France sera représentée par Arthur Hugounenq.Du jeudi 30 mai au dimanche 9 juin, de 12h à 19h30Le Trophée des Légendes – Perrier
Un incontournable pour qui aime le tennis. Les plus grands joueurs du passé se retrouvent sur les terrains de Roland Garros, pour s’affronter dans un tournoi, qui ne manque pas de laisser place à l’humour et la convivialité. L’année dernière, les spectateurs ont ainsi pu retrouver le jeu de Carlos Moya et renouer avec les célèbres coups de sang de John McEnroe. Le tournoi se vit aussi désormais au féminin. Et les spectateurs ont pu assister au “retour“ de Martina Hingis, Lindsay Davenport ou encore Martina Navratilova.
Les places coûtent 20 euros et sont gratuites pour les moins de 6 ans.
Messieurs : du mardi 4 au dimanche 9 juin
Dames : du mercredi 5 au samedi 8 juinLes qualificationsPeu médiatisées, les qualifications sont pourtant un bon moyen de vivre le tennis autrement, en découvrant les nouveaux talents. Il se peut même qu’un joueur ou une joueuse victorieux marque les esprits lors des premiers tours. Un bon plan aussi pour les étudiants et les autres fans de tennis qui n’ont pas le budget pour assister aux tours habituels.Les places coûtent 20 euros, 10 euros pour les moins de 15 ans et sont gratuites pour les moins de 6 ans.
Messieurs : du mardi 21 au vendredi 24 mai
Dames : du mercredi 22 au vendredi 24 maiTennis en fauteuilRoland Garros propose une autre vision du tennis en permettant aux sportifs en fauteuil de jouer le tournoi. Les participants débuteront la compétition mercredi 5 juin, sur les courts annexes. Les matches se dérouleront à partir de 11h, et ce jusqu’au vendredi 7 juin, jour des finales.Une exposition consacrée à Roland GarrosEntré dans le jargon des fans de tennis, le nom du stade de la Porte d’Auteuil est pourtant bel et bien celui d’un aviateur, parvenu à traverser la Méditerranée en avion, sans escale en 1913. Le musée du stade lui rend hommage dans une exposition, à l’occasion des cent ans de cet exploit. Lors du grand chelem, les visiteurs découvriront le modèle de l’avion, à bord duquel Roland Garros a marqué l’histoire de l’aviation.Source : Relaxnews

Portée par son succès en Espagne, en Allemagne et surtout en Angleterre, l’enseigne irlandaise devrait ouvrir en France six à sept magasins courant 2013 et 2014. Une chose est sûre – bonne nouvelle pour les fashionistas – Primark ouvrira deux premiers magasins dans l’Hexagone à l’automne, a annoncé Le Figaro.fr, dimanche 2 juin.

Primark s'installera en France à l'automne

Ces deux premières implantations s’effectueront dans des centres commerciaux : le premier dans l’enceinte de O’Parinor (Aulnay-sous-Bois) et le second à Marseille Grand Littoral (Bouches-du-Rhône).Entre Zara, Promod et autres H&M, Primark devra parvenir à se différencier. Points forts et originalités : décryptage de l’enseigne mode à bas prix.Des collections inspirées des défilés Haute CoutureOutre son grand choix de basics disséminés dans 5.000m² de magasin, la marque irlandaise prétend se rapprocher au plus près des collections vues sur les podiums. Elle propose aux modeuses des versions prêt-à-porter des robes des créateurs les plus en vogue, sans vider définitivement leur compte en banque.Des pièces fashions à prix riquiquiSi H&M et Zara sont des pionniers en matière de pièces fashion à petit prix, Primark les bat à plate couture. 20% à 30% moins chère que les chaînes espagnoles et suédoises, l’Irlandaise propose, entre autres, des jupes crayons à 8,80€, des chemisiers fleuris à 15€ ou encore des escarpins à 12€.Renouvellement régulier de ses collectionsLe succès de la marque est notamment dû à son système “fast fashion“. À l’instar de H&M ou Zara, Primark réalise un réassort plusieurs fois par saison, pour coller au maximum aux toutes dernières tendances.Fidèle à sa charte éthique de productionFière de son engagement auprès du commerce équitable, la marque affiche son adhésion en grosses lettres sur son site internet. Elle déclare apporter son soutien aux organisations caritatives locales et aux projets de la communauté au Royaume-Uni et en Irlande. Également impliquée dans la protection de l’environnement, Primark met en place des directives pour réduire les déchets d’emballage. La marque applique plusieurs stratégies de réduction des coûts pour être en mesure de proposer des prix très bas sans biaiser la qualité de ses produits.Primark se veut authentiqueLa marque réalise des économies de dépenses notamment par son refus de la publicité. Comptant uniquement sur le système de bouche-à-oreille, elle n’entre pas dans la spirale marketing. Les créations Primark ne sont d’ailleurs pas en vente sur internet, les boutiques sont les seuls lieux de distribution.Source : Relaxnews

Si elle progresse, la greffe de rein à partir de donneurs vivants reste largement insuffisante en France, et surtout proposée de manière très inégale selon les régions et les centres de soins. Une hétérogénéité de pratiques qui s’applique également à la greffe sur donneurs décédés et à la dialyse. Une situation qu’ont dénoncée les patients lors des États Généraux du Rein, qui se sont tenus le 19 juin en présence de la ministre de la Santé Marisol Touraine.

Insuffisance rénale chronique : d'importantes inégalités d'accès aux soins persistent.

Les priorités définies lors des États Généraux du ReinIl aura fallu 18 mois de travaux, de tables rondes, d’enquêtes… pour que les acteurs intervenant dans le domaine des maladies rénales en dressent un état des lieux et formulent des propositions aux pouvoirs publics pour améliorer les soins et la qualité de vie des patients. Lancés à l’initiative des patients, les Etats Généraux du Rein (EGR) ont permis de dresser surtout plusieurs constats :

• La grande méconnaissance des Français à l’égard des maladies rénales,
• L’hétérogénéité des pratiques sur l’ensemble du territoire,
• La suprématie de la dialyse par rapport à la greffe, malgré les recommandations.

De ces constats, les EGR ont dégagé 5 axes prioritaires:

• Améliorer l’orientation, l’information et l’accompagnement des malades,
• Donner la priorité à la greffe qui doit représenter 55 % des traitements (contre 45 % aujourd’hui),
• Améliorer la fluidité du parcours de soins en organisant une coordination étroite entre ses différents acteurs,
• Favoriser l’autonomie et le libre choix des patients,
• Améliorer la vie des patients par une meilleure qualité de la relation soignants/soignés.

Insuffisance rénale : un tiers des patients dialysés en urgence
En France, on estime qu’entre 2 et 3 millions de personnes souffrent d’une

maladie rénale. Le

diabète,

l’hypertension artérielle et les autres facteurs de risque d’athérome (

tabagisme,

obésité,

hypercholestérolémie) représentent à eux seuls plus de la moitié des causes des formes chroniques, dont la conséquence la plus redoutée est l’insuffisance rénale. Plus de 70 000 Français sont au stade terminal de la maladie, et ont besoin d’un traitement de suppléance pour pallier le dysfonctionnement des reins : il s’agit soit de la

dialyse, soit de la

greffe rénale. Actuellement, 32 000 patients bénéficient d’une transplantation, et 38 000 sont traités par dialyse. Parmi ces derniers, 30 % sont prises en charge en urgence, “un taux qui n’évolue pas depuis des années“, et qui traduit la grande méconnaissance des Français à l’égard des maladies rénales.
Par ailleurs, cette répartition masque de fortes disparités géographiques des pratiques, a souligné Yvanie Caillé, secrétaire générale des EGR, également présidente de l’association

Renaloo. Ces inégalités démarrent dès l’inscription des patients sur la liste nationale d’attente (LNA) pour une greffe. “Seuls 32 % des malades dialysés sont inscrits sur la LNA“, indique Yvanie Caillé. Et parmi eux, l’inscription s’est, faite la plupart du temps, dans un délai beaucoup trop long. “Les recommandations sont peu appliquées : normalement, l’inscription doit avoir lieu avant la dialyse, mais en France, elle a lieu dans la moitié des cas 16 mois après“. En cause : des critères médicaux (présence d’autres maladies, notamment un diabète, ou d’une obésité), mais également non médicaux (type de structure de dialyse, centre de greffe, etc.). C’est ainsi que l’on observe un taux d’inscription de 87 % parmi les dialysés de moins de 60 ans en Ile-de-France, contre 37 % dans le Nord et 36 % en région PACA.Un accès à la greffe très hétérogène en France
Une fois inscrits, le chemin de croix des patients ne s’arrête pas là. L’accès à la greffe est lui-même très hétérogène d’une région à l’autre. L’Île-de-France et les départements d’Outre-Mer se démarquent ainsi nettement des autres régions par un délai d’attente médian nettement plus long : jusqu’à 52 mois à l’hôpital Tenon de Paris, contre 7,4 mois à Poitiers ! Une différence qui s’explique en partie par le système d’attribution des greffons, qui dépend d’un score, lequel peut différer selon les régions. Le nombre d’inscrits sur la liste d’attente de chaque centre et la capacité de prélèvement au niveau local et régional, mais aussi le groupe sanguin (les “B“ sont les plus malchanceux) interviennent également.
Quant à la

greffe sur donneur vivant, même si elle progresse régulièrement depuis plusieurs années, elle n’atteint que 13 % des greffes réalisées, contre 38 % au Royaume-Uni ou 45 % en Suède.
Pour Alain Coulomb, rapporteur général des EGR, l’évolution ne se fera pas sans volonté politique. Et ce dernier de citer la Norvège, “un pays qui a pris conscience de la problématique il y une quinzaine d’années et qui a beaucoup œuvré dans le domaine de la prévention, et donné la priorité à la greffe par rapport à la dialyse“. Résultat : 70 % des patients en insuffisance rénale terminale sont greffés. S’il existe des recommandations de bonnes pratiques en France, celles-ci sont émises par les sociétés savantes et non par la Haute Autorité de Santé. En outre, “elles sont probablement insuffisantes et surtout mal appliquées“, dénonce Alain Coulomb. Parmi les propositions émises, celle de fixer rapidement à 55 % le taux de greffe (versus 45 % de dialyse) est un objectif qui “ne paraît pas audacieux“, estime-t-il.

Le coût d’une greffe nettement inférieur à celui d’une dialyse Outre la meilleure qualité de vie pour les patients, la greffe de rein rallonge leur espérance de vie et s’avère moins coûteuse pour le système de santé. En effet, si le coût est sensiblement le même pour ces deux approches lors de la première année (90 000 € par an pour une hémodialyse, 64 000 € pour une dialyse péritonéale et 90 000 € pour une greffe), celui de la greffe tombe à 20 000 € les années qui suivent, quand celui de la dialyse reste toujours aussi élevé.
Pour Yvanie Caillé, le calcul est simple : “900 greffes supplémentaires chaque année permettrait d’économiser 250 milliards d’euros par an sur 10 ans cumulés. Si la France appliquait la politique de la Norvège, elle ferait 1,3 milliard d’économies par an“. Actuellement, la prise en charge de l’insuffisance rénale terminale coûte 4 milliards d’euros par an à l’Assurance maladie (dont 82 % consacrés à la dialyse).

Amélie PelletierSource : États Généraux du Rein, le 17 juin 2013Click Here: camiseta rosario central

Luigi Di Maio, le ministre italien du Développement économique du Travail et des Politiques sociales, a reçu, de la part de ses partisans, une ovation à 15 milliards d’euros. C’est le montant des investissements promis pour 2019 par le nouveau gouvernement populiste pour “éliminer la pauvreté”.Un pari risquéLa contrepartie, c’est que le déficit de l’Italie atteindra 2,4% du PIB en 2021, de quoi inquiéter le président italien du Parlement européen. “Cela ne fera pas diminuer le chômage et cela mettra encore plus notre pays entre les mains des créanciers étrangers”, a déclaré Antonio Tajani, le président du Parlement européen. Tout sourire, Giovanni Tria, le ministre italien des Finances est allé jusqu’à Bruxelles pour défendre son budget. Selon lui, il n’entraînera ni la fin de l’euro ni la disparition de l’Union européenne. Les mauvais augures n’ont qu’à bien se tenir.Le JT

• Grand Soir 3 du mercredi 3 octobre 2018 L’intégrale

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Sans surprise, la Suisse arrive premier du classement des pays qui consomment les plus de chocolat. La France en revanche n’arrive que dixième, avec 6,3kg consommés par an et par habitant.

La Suisse est le premier consommateur de chocolat au monde. La France n'arrive que dixième.

La Suisse prend la première place des pays les plus friands de

chocolat,

selon les chiffres compilés par le groupe Leatherhead Food Research. Dans la nation qui abrite les sièges de géants de l’agroalimentaire comme Nestlé et Lindt, les habitants ont consommé en moyenne 12 kg de chocolat par tête en 2012.La Suisse devance l’Irlande, le Royaume-Uni, l’Autriche et la Belgique, autre grand producteur de chocolat. La France ne se classe que 10^e et les États-Unis 15^e.Cette denrée étant considérée comme un luxe dans certains pays, la majorité des 20 pays les plus amateurs de chocolat figurent aussi parmi les plus riches de la planète.A noter que même si l’Inde n’apparaît pas dans le top 20, elle s’impose comme la nation qui enregistre la plus forte progression de consommation de chocolat. Ses ventes ont doublé en trois ans, pour passer de 418 millions de dollars en 2008 à 857 millions en 2011.Par contre, le chocolat ne semble pas percer en Chine, les Chinois étant plus portés sur les produits salés que sucrés. Selon

Euromonitor, un Chinois consomme en moyenne 100 g de chocolat par an, ce qui est très peu, mais cette tendance devrait tout de même progresser de 10 % d’ici 2015.Voici la liste des dix pays qui ont le plus consommé de chocolat en 2012, par habitant :
1. Suisse 11,9 kg
2. Irlande 9,9 kg
3. Royaume-Uni 9,5 kg
4. Autriche 8,8 kg
5. Belgique 8,3 kg
6. Allemagne 8,2 kg
7. Norvège 8 kg
8. Danemark 7,5 kg
9. Canada 6,4 kg
10. France 6,3 kgRelaxnewsSource : confectionerynews.com : “Interactive map : Top twenty chocolate consuming nations of 2012“, 30 juillet 2013 (

carte consultable en ligne)

Les femmes qui affichent la cinquantaine sont bien dans leur peau et dans leurs baskets. D’après un sondage Ipsos, la majorité d’entre elles sont même “totalement épanouies“.

Les femmes s'estiment plus épanouies à 50 ans qu'à 20.

Les quinquagénaires 2.0 sont envahies par un sentiment de

bien-être absolu, affirmant haut et fort qu’elles ne se sont jamais senties aussi jeunes, dans leur tête comme dans leur corps. D’après un sondage réalisé par Ipsos pour la nouvelle marque de mode Balsamik, la majorité des 45-60 ans se disent totalement épanouies.Plus de huit femmes quinquas sur dix (83 %) affirment se sentir bien dans leur vie, contre 79 % des 25-44 ans et 77 % des 61-70 ans. La cinquantaine offre également un sentiment d’

épanouissement personnel (76 %), contre 73 % des 25-44 ans et 67 % des 61-70 ans. D’ailleurs, plus des deux tiers des femmes concernées (68 %) se déclarent plus épanouies aujourd’hui que lorsqu’elles avaient 20 ans.Ce sentiment général s’adapte à tous les domaines de leur vie. Elles se sentent épanouies dans leur rôle de

mères (93 %), dans leur rôle d’

amies (88 %), dans leur

vie amoureuse (73 %) ou dans leur

vie sexuelle (67 %).Une confiance inébranlableAutre constat : la cinquantaine permet d’avoir une meilleure

estime de soi, que ce soit mentalement ou physiquement. Près de la moitié des quinquas (46 %) affirment aimer leur corps (contre 41 % des 25-44 ans), et 48 % déclarent se sentir belles.Près des trois quarts des femmes quinquagénaires (72 %) indiquent en outre avoir confiance en elles, et 92 % se sentent jeunes dans leur tête. Pas étonnant donc d’apprendre que la moitié des sondées (47 %) pense que dans leur vie, le meilleur est à venir.Cette étude a été réalisée en ligne par Ipsos, entre le 10 et le 17 octobre 2013, auprès d’un échantillon de 1 150 Françaises âgées de 25 à 70 ans – dont 532 âgées de 45 à 60 ans – nationalement représentatives.AFP/RelaxnewsClick Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Benoit Brisefer rejoindra bientôt “L’Eleve Ducobu”, “Les Schtroumpfs” et “Marsupilami” parmi les BD adaptées en prise de vue réelle au cinéma. C’est le réalisateur britannique Stefan Schwartz qui devrait diriger les aventures du héros de Peyo sur grand écran.

Les adaptations de BD en prise de vue réelle ont la cote ! Après L’ Elève Ducobu, Les Schtroumpfs (et bientôt Sur la piste du Marsupilami), c’est au tour du héros de Peyo, Benoit Brisefer, d’avoir droit à sa transposition sur grand écran, en prise de vue réelle et en 3D. Selon le Film Français, c’est le réalisateur de Shooting fish, le britannique Stefan Schwartz, qui s’emparera de la BD, et le scénario sera signé Michel Delgado.  Le film devrait être adapté du premier tome, Les Taxis rouges, édité en 1962.

BB avec Le Film Français