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Une expérience utilisant la réalité augmentée et des jeux vidéo a permis de soulager les douleurs du membre fantôme de 14 patients amputés d’un bras, montre une étude publiée vendredi.

La thérapie "par le miroir" consiste à bouger le membre restant tout en regardant dans une glace, de façon à faire croire au cerveau qu'il s'agit d'un mouvement du membre amputé.

Les patients, suédois et slovènes, ont notamment été invités à “utiliser” leur membre amputé pour conduire une voiture dans un jeu vidéo de course automobile.  A la fin des douze séances de l’expérience, l’intensité de leur douleur avait diminué de 32% et la fréquence de ces douleurs avait baissé de 61% pendant le sommeil et de 43% pendant la veille, selon l’étude, parue dans la revue médicale britannique The Lancet. 

Sur les quatre patients traités par antidouleurs, deux ont par ailleurs nettement réduit les doses de leur traitement. Les améliorations persistaient six mois après la fin de l’expérience, ajoute l’article. “Les résultats de notre étude suggèrent qu’il pourrait être efficace d’+entraîner+ le membre fantôme“, a expliqué l’auteur principal de l’article, Max Ortiz-Catalan, ingénieur en électronique spécialiste des prothèses et enseignant à l’université de technologie de Chalmers à Göteborg en Suède.La douleur du membre fantôme qualifie les douleurs ressenties comme provenant qu’un membre pourtant amputé. Elles se produisent lorsque les neurones de la zone d’amputation continuent à envoyer des messages de

douleur au cerveau. Elles sont fréquentes après l’amputation mais, dans un tiers des cas, elles persistent et affectent la qualité de vie des patients (handicap accru, moins bonne santé mentale, difficulté plus grande à utiliser une prothèse…). Il existe peu de traitements, la chirurgie et les anti-douleurs n’apportant qu’un soulagement limité et présentant des effets secondaires.La thérapie “par le miroir”, née dans les années 1990, a montré une certaine efficacité. Elle consiste à bouger le membre restant tout en regardant dans une glace, de façon à faire croire au cerveau qu’il s’agit d’un mouvement du membre amputé. Elle ne marche toutefois pas dans tous les cas, en particulier pour les personnes doublement amputées.L’expérience décrite dans The Lancet utilise le même principe. Les patients choisis, sur qui les traitements existants avaient échoué, se voient placer des électrodes sur leur moignon pour enregistrer les signaux d’activité musculaire. Ceux-ci sont ensuite envoyés vers un ordinateur, qui crée un bras virtuel à l’écran, où le patient se voit comme s’il disposait de son membre manquant.On leur a ensuite demandé de “bouger” leur bras amputé pour effectuer plusieurs exercices: reproduire une série de mouvements imposés (ouvrir la main, faire une rotation du bras…) ou piloter une voiture. Cette méthode permet “de réactiver des zones du cerveau” utilisées pour bouger le bras avant l’amputation, ont constaté les auteurs.Ces résultats doivent être confirmés par un essai clinique où les patients sont répartis dans deux groupes recevant par tirage au sort, l’un le traitement, l’autre le placebo.Click Here: cheap Cowboys jersey

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !30 % de la population mondiale n’a pas accès à l’eau potable à domicile dans le monde. Voici l’affolant constat qu’ont dressé l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’UNICEF dans un rapport commun. Un bilan alarmant pour le mannequin Constance Jablonski, engagée pour la fondation One Drop, qui explique que les femmes sont les plus touchées par ce fléau : “Les femmes subissent ce problème encore plus que les hommes. En fait, elles ne peuvent pas évoluer socialement et dans leur vie et se concentrer sur elles-mêmes, parce que le seul problème, au quotidien, 24/24h, c’est d’aller chercher de l’eau sur des kilomètres, tous les matins, en fait.“En effet, quelques 263 millions de personnes vivent à plus de 30 minutes du premier point d’eau. Par conséquent, 159 millions de personnes captent leur eau de boisson dans une rivière, un lac ou un canal d’irrigation, au risque d’une contamination par les produits chimiques et les matières fécales. Chaque année, l’ingestion de ces eaux usées provoque la mort de 361 000 enfants. La mauvaise qualité des installations sanitaires favorise aussi en grande partie la transmission de maladies comme le choléra ou la typhoïde.Afin de réduire les inégalités au niveau mondial, les nouveaux objectifs de développement durable appellent à mettre un terme aux défécations à l’air libre et à garantir l’accès universel aux services élémentaires d’ici à 2030. Mais dans 90 pays, les progrès en matière d’assainissement de base sont trop lents et ne permettront pas d’atteindre la couverture universelle fixée à l’horizon 2030.

Une vaste campagne de vaccination contre la méningite va débuter mercredi sur le campus de Dijon, où trois cas dont deux mortels sont survenus entre octobre et décembre.Environ 30.000 personnes sont potentiellement concernées par cette campagne de vaccination gratuite, basée sur le volontariat, a précisé mardi l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Bourgogne-Franche-Comté.

Les premières filières concernées sont celles que fréquentaient les deux étudiants décédés d'une méningite à méningocoque de type W135 ces derniers mois.

Sommaire

  1. Un plan de vaccination en trois phases
  2. La crainte d’une circulation de la bactérie via des porteurs sains
  3. Méningite bactérienne : une infection rare mais très grave

Un plan de vaccination en trois phasesLe plan va se dérouler en trois phases :

  • La première de mercredi à vendredi concernera le pôle économie-gestion (environ 1.000 personnes) ;
  • La deuxième touchera, entre le 9 et le 20 janvier, les quelque 10.000 étudiants et personnels de la faculté de droit et lettres ;
  • La troisième sera élargie à l’ensemble du campus jusqu’à la fin du premier trimestre.

Les premières filières concernées sont celles que fréquentaient les deux étudiants décédés d’une méningite à méningocoque de type W135 ces derniers mois. Fin décembre, l’ARS avait également révélé que l’état de santé d’un troisième étudiant, infecté également, évoluait “favorablement“.La crainte d’une circulation de la bactérie via des porteurs sains”Nous ne sommes plus dans l’urgence mais dans des mesures préventives, cette campagne vise à ramener le risque au niveau de celui rencontré sur n’importe quel campus“, a déclaré à l’AFP le médecin inspecteur de la santé publique de l’ARS, Carole Boiret. En décembre, les personnes ayant eu des “contacts proches et répétés” avec les étudiants malades avaient été identifiées par l’ARS pour “leur recommander une prophylaxie antibiotique et les inviter à se faire vacciner“.Le risque de transmission de la méningite à méningocoque ne concerne en effet que les sujets ayant été en contact direct avec un malade dans les 10 jours précédant l’apparition des symptômes. Un traitement antibiotique préventif leur est alors proposé. Il n’y a pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture des locaux. Dans le cas de méningites à méningocoques du sérogroupe A, B, C, Y ou W, la prévention par la vaccination permet de compléter l’antibioprophylaxie.En l’absence de contact direct avéré entre les étudiants touchés par la méningite, les autorités sanitaires craignent que la bactérie circule dans le milieu étudiant via des porteurs sains. Car le “réservoir” de cette bactérie est constitué par les porteurs sains (les personnes qui portent la bactérie sans présenter de symptômes). lls représentent 10 à 20 % de la population (sans doute davantage en période d’épidémie). Cette bactérie est fragile et ne se transmet pas facilement en dehors de contact étroit et de promiscuité avec une personne infectée, par l’intermédiaire de gouttelettes de salive ou de sécrétions naso-pharyngées (toux, éternuements, baiser…). Ces infections ne se transmettent donc pas aussi facilement qu’un rhume ou la grippe.Le

vaccin contre la méningite utilisé, en dose unique, protège contre quatre souches de méningocoque (A, C, Y et W).Méningite bactérienne : une infection rare mais très graveLa méningite se traduit par :

  • Une fièvre élevée ;
  • Frissons ;
  • Des maux de tête ;
  • Somnolence ;
  • Une photophobie (le patient veut rester dans l’obscurité) ;
  • Une raideur de la nuque (qui peut être absente chez le nourrisson) ;
  • Des vomissements ;
  • Des convulsions.

La suspicion d’une méningite doit inciter à une prise en charge urgente. Aujourd’hui, ces infections restent rares en France et leurs symptômes peuvent être confondus avec d’autres maladies moins graves, ce qui peut malheureusement retarder le diagnostic. Les infections invasives à méningocoque sont relativement rares en France, avec 469 cas notifiés en 2015 ayant entraîné 53 décès, selon des chiffres de l’Institut national de veille sanitaire (InVs).Un numéro vert d’information (0805 200 550) a également été mis en place par l’ARS.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

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Face à la mode des produits sans gluten, la Fédération américaine de cardiologie publie ce jeudi une étude faisant le lien entre ce régime d’exclusion et un risque plus élevé de diabète de type 2, après avoir suivi 200.000 personnes pendant 30 ans.

Ceux qui privilégient des produits sans gluten consomment moins de fibres complètes, connues pour abaisser le risque de diabète.

Si l’on ne souffre ni de

maladie coeliaque (1% de la population en France et aux États-Unis) ni d’une véritable allergie au gluten, il n’y a pas de raison de s’en passer, car, pour l’heure, aucune étude scientifique n’a prouvé un réel bénéfice pour la santé.Le “sans gluten” favoriserait le diabèteDes chercheurs de l’université de Harvard ont étudié, via trois études rassemblant 200.000 personnes sur 30 ans, l’effet sur la santé de ce type de régime “sans” chez des personnes qui n’avaient pas de recommandations médicales leur interdisant le gluten. Les résultats, publiés par la Fédération américaine de cardiologie, sont sans appel. Les personnes qui ont consommé régulièrement du gluten (en moyenne 5,8 à 7,1 grammes par jour) avaient un risque inférieur de développer un

diabète de type 2. Pain, pizzas, pâtes, céréales bretzels ou encore muffins comptent parmi les ingrédients consommés les plus listés. Moins de fibres, de vitamines et de minérauxÀ l’inverse, les chercheurs ont constaté que ceux qui privilégiaient des produits sans gluten consommaient moins de

fibres complètes, connues pour abaisser le risque de diabète. Ces travaux viennent appuyer les avis de nutritionnistes qui alertent sur l’index glycémique très élevé des produits sans gluten transformés qui manquent par ailleurs de fibres et de nutriments (

vitamines et

minéraux) bons pour la santé et peuvent contenir des additifs toxiques. Sans parler du risque de prise de poids causé par l’effet “healthy” de ce type de produits. Attention à la mode des régimes “sans”En France, les estimations portent à 10% le nombre de consommateurs considérés comme intolérants au gluten ou à d’autres éléments.Quant aux nouveaux régimes alimentaires “sans”, 4% à 6% des Français suivent des régimes de type végétarien, sans gluten, vegan. Aussi, près de trois quart des Américains tenteraient d’évincer systématiquement le gluten de leur assiette, selon un sondage du Consumer Reports National Research Centre survey datant de 2014.Ces travaux ont été présentés aux sessions scientifiques annuelles de la Fédération américaine de cardiologie à Portland aux États-Unis.

Plus de 30 millions d’Américains souffrent de diabète et 84,1 millions sont pré-diabétiques, selon des estimations fédérales publiées mardi, qui confirment un taux constant de nouveaux cas diagnostiqués.

Une personne est diabétique quand sa glycémie est supérieure à 126 milligrammes/décilitre de sang, et pré-diabétique entre 105 et 126 mg/dl.

Sommaire

  1. Le diabète est la 7e cause de mortalité aux Etats-Unis
  2. Diabète : des risques de complications graves
  3. 7,2 millions d’Américains ont un diabète mais l’ignorent

Le diabète est la 7e cause de mortalité aux Etats-UnisCette maladie – 7e cause de mortalité aux Etats-Unis -représente un problème grandissant de santé publique, soulignent les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC), dans un rapport s’appuyant sur des statistiques de 2015.”Notre étude montre que le nombre de cas de diabète continue d’augmenter mais pas aussi rapidement que les années précédentes“, pointe Ann Albright, docteur responsable de la division chargée du diabète aux CDC. “Bien que ces statistiques révèlent certains progrès dans la gestion du diabète et sa prévention, il y a encore beaucoup trop d’Américains diabétiques et pré-diabétiques“, note Brenda Fitzgerald, directrice des CDC.”Plus d’un tiers des adultes ont un pré-diabète et la majorité ne le sait pas“, déplore-t-elle. “Désormais plus que jamais, nous devons intensifier nos efforts pour réduire le fardeau de cette maladie grave“.Selon les auteurs du rapport, un pré-diabète non traité conduit le plus souvent au diabète dans les cinq ans.Une personne est diabétique quand sa

glycémie est supérieure à 126 milligrammes/décilitre de sang, et pré-diabétique entre 105 et 126 mg/dl.

Diabète : des risques de complications gravesLe diabète peut souvent être contrôlé par l’activité physique, le régime alimentaire, de l’insuline et d’autres médicaments contrôlant le taux de sucre dans le sang. Il touche 9,4% de la population américaine.Les diabétiques courent un risque supérieur de

complications graves (décès prématuré,

cécité,

maladie cardiaque, accident vasculaire cérébral, défaillance rénale,

amputation de membres).”Le diabète est un facteur contribuant à tellement d’autres maladies graves qu’en luttant contre cette pathologie, on peut limiter nombre d’autres problèmes de santé“, pointe Mme Albright.Quelque 1,5 million de nouveaux cas de diabète ont été diagnostiqués en 2015 aux Etats-Unis chez les plus de 18 ans, précise le rapport.

7,2 millions d’Américains ont un diabète mais l’ignorentMais près d’un adulte sur quatre souffrant de diabète – soit 7,2 million d’Américains – ne le sait pas et seulement 11,6% des pré-diabétiques en ont conscience.Le taux de diabète augmente avec l’âge: 4% des 18-44 ans et 17% des 45-64 ans. A partir de 65 ans, cette maladie touche 25% des personnes aux Etats-Unis.Les Amérindiens et les autochtones d’Alaska sont les plus affectés par cette pathologie avec une prévalence de 15,1%, suivi par les Noirs (12,7%) et les Hispaniques (12,1%).Les Américains d’origine asiatique et les Blancs sont les moins touchés avec 8% et 7,4% respectivement.

Les femmes victimes d’un AVC mineur sont moins susceptibles de recevoir un diagnostic approprié que les hommes lorsqu’elles se rendent aux urgences, même si elles présentent des symptômes semblables, pointe une étude canadienne.

Les femmes étaient 10 % plus susceptibles de recevoir un diagnostic sans AVC.

Sommaire

  1. Des risques similaires 90 jours après le diagnostic

Dirigés par des chercheuses et des chercheurs de l’université de Toronto et de l’université de Calgary (Canada), ces nouveaux travaux publiés dans 

JAMA Neurology et présentés le 22 mai lors de la conférence de l’Organisation européenne de l’AVC (Milan, Italie) dénotent une différence significative de diagnostic dans les symptômes annonçant un AVC mineur (également appelé

accident ischémique transitoire) entre les hommes et les femmes.

L’équipe de scientifiques a analysé les données de 1.648 patientes et patients reçus dans des services d’urgence universitaires dans les villes canadiennes de Victoria et de Calgary entre décembre 2013 et mars 2017 et suivis pendant 90 jours.
Dans notre étude, les hommes étaient plus susceptibles de recevoir un diagnostic d’AVC mineur, et les femmes étaient 10% plus susceptibles de recevoir un diagnostic sans AVC, par exemple une migraine ou un vertige, même si les hommes et les femmes étaient aussi susceptibles de déclarer des symptômes atypiques d’AVC“, explique la Dre Amy Yu, MD, co-autrice de l’étude et neurologue spécialisée dans les AVC au Sunnybrook Health Sciences Centre de l’université de Toronto.”Notre étude a également révélé que le risque d’avoir un autre AVC ou une autre crise cardiaque dans les 90 jours suivant le diagnostic était le même pour les femmes et les hommes“, ajoute la Dre Shelagh Coutts, neurologue spécialisée en AVC et professeure agrégée au Cumming School of Medicine (CSM) de l’université de Calagary et également co-autrice de l’étude.


Des risques similaires 90 jours après le diagnosticComment expliquer un tel écart ? Selon les médecins à l’origine de l’étude, cela pourrait être dû à un manque de précision dans la déclaration des symptômes par les patients, à une interprétation approximative de ces symptômes par les cliniciens ou bien à une combinaison de ces deux facteurs, même s’ils précisent que d’autres recherches sont nécessaires pour étayer cette théorie.Les symptômes les plus courants d’un AVC sont une fatigue soudaine, un affaissement du visage ou des difficultés d’élocution. Mais d’autres troubles plus rares peuvent annoncer l’arrivée d’un AVC, comme des étourdissements, des picotements ou une confusion mentale. Cette étude montre que les hommes et les femmes sont tous deux concernés par ces symptômes atypiques de l’AVC. “Ce qu’il est important de reconnaître dans l’AVC, c’est que le cerveau a de multiples fonctions et que lorsqu’un AVC survient, les gens peuvent ressentir des choses différentes au-delà des symptômes typiques de l’AVC. Un diagnostic précis d’AIT et d’AVC changerait le plan de traitement d’un patient et pourrait aider à prévenir un autre AVC“, estime la Dre Yu.”Nos conclusions attirent l’attention sur les occasions manquées potentielles de prévention des accidents vasculaires cérébraux chez les femmes, ainsi que d’autres événements vasculaires indésirables, comme les

crises cardiaques“, ajoute la Dre Coutts.Click Here: gws giants guernsey 2019

Bande-annonce : “Friends With kids” [VIDEO]

April 15, 2020 | News | No Comments

Quand deux amis dans la trentaine décident d’avoir un enfant mais de continuer à sortir avec d’autres personnes, ca donne “Friends With kids”. Une comédie notamment emmenée par Jon Hamm (“Mad Men”), Edward Burns, Kristen Wiig (“Mes meilleures amies”) et Megan Fox. Découvrez la bande-annonce !

Synopsis : Deux amis dans la trentaine observent les effets de la parentalité sur les couples qu’ils connaissent. Pour éviter d’en arriver là, les deux amis décident d’avoir un enfant … mais de continuer à sortir avec d’autres personnes !

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Measles, a highly contagious but preventable disease, is seeing its highest resurgence in the United States since the disease was eliminated in the country and federal health officials expect to see more cases this year.

So far, 704 cases have been reported in the United States in 22 states, according to the latest numbers provided by the Centers for Disease Control and Prevention on Monday. Since Monday, new cases have been reported in states across the country, including in Pennsylvania, Alabama, and California.

According to the CDC, the high number of cases in 2019 are due to a few large outbreaks, one in Washington and two in New York. The recent outbreak started due to travelers being infected overseas and then bringing the disease back to the United States. The CDC said that 90 percent of those cases were in people who were old enough to have been vaccinated but had either not been vaccinated or their vaccination status was unknown. The second reason for the spread of the outbreak, particularly in New York, is due to the spread of misinformation about vaccines in communities that have been hit hard by measles, the CDC said.

The Centers for Disease Control and Prevention says that two doses of the Measles, Mumps and Rubella (MMR) vaccine are 97 percent effective in preventing the disease while a single dose is 93 percent effective. Most of this year’s cases have been in those who have not been vaccinated.

Here’s what you need to know about the CDC’s vaccine recommendations for different groups:

Children and Infants:

The CDC’s typical recommendation is two doses of the vaccine for children, with the first dose at 12-15 months and the second dose between the ages of 4 and 6. The second dose of the vaccine can be given earlier as well provided that it is given at least 28 days after the first dose, the CDC says.

However, earlier this week the CDC said it strongly recommends that infants between 6-11 months old get a single dose of the vaccine before traveling.

Adolescents and Adults Who Have Not Been Vaccinated:

Adolescents and adults who have not had measles or have not been vaccinated should get two doses of the vaccine separated by at least 28 days. The CDC also said that people traveling internationally should try to be vaccinated at least two full weeks before traveling.

Adults Born Before 1957

Adults who were born before 1957 do not need to be vaccinated as nearly everyone in this age group is likely to have been infected and is presumed to be protected against measles, mumps and rubella, the CDC says. Healthcare workers in this age group who do not have evidence of immunity should get two doses of the vaccine.

Adults Vaccinated in the 1960s

Adults who received the vaccine in the 1960s and have documentation of receiving the live measles vaccine do not need to be revaccinated. Anyone vaccinated before 1968 with either the inactivated measles vaccine or a measles vaccine of an unknown type should get at least one dose of the MMR vaccine, the CDC said.

Adults Born Before 1989

Before 1989, the CDC only recommended a single dose of the vaccine. In a telephone briefing with reporters, CDC Vaccine Director Dr. Nancy Messonnier said that the agency is focused on making sure adults who are in high risk settings are up to date with their vaccinations.

Asked specifically about adults born before 1989, Messonnier said that the science shows most adults — including those who received a single dose of the vaccine — are protected against measles.

In its guidelines, the CDC says that adults who have written documentation of getting a single dose of the MMR vaccine and are not at high risk for exposure and transmission do not need to get another dose. Adults at high risk for exposure who have written documentation of two doses of the MMR vaccine do not need a vaccine, according to the CDC.

Adults who don’t have evidence of immunity should get at least one dose of the vaccine.

The agency says that anyone who does not have written documentation that they received the MMR vaccine should get vaccinated. The CDC says there is no harm in getting another dose of the vaccine if someone is already immune to measles, mumps or rubella.

“Vaccination is a simple, safe and effective way to protect our loved ones and neighbors from the scourge of measles, and the suffering we are seeing today is completely avoidable,” Alex Azar, Health and Human Services Secretary, said in the telephone briefing.

Azar also reiterated that vaccines are safe “because they are among the most studied medical products we have.”

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911 Calls Released In Jussie Smollett Case

April 15, 2020 | News | No Comments

CHICAGO — The city of Chicago has released two 911 calls made after “Empire” actor Jussie Smollett claimed he was the victim of a racist, homophobic attack.

Recordings of the calls following the January 29 incident were obtained by The Associated Press and other outlets Wednesday evening. Both calls were made by an unidentified man who said he worked for “an artist” who he didn’t want to name.

During the first call, the man said the person went to a Subway restaurant and “some guys … they jumped him.” The caller said the person was initially reluctant to make the report but that he would speak to police.

The man expressed concern about a perceived delay in police response during the second call.
Smollett was later charged with lying to police. Prosecutors dropped the charges on March 26.

Des chercheurs américains ont découvert 26 types de marqueurs qui peuvent prévoir la manière dont nous allons vieillir. Ils sont notamment capables de signer l’absence de maladies, les pathologies futures, le risque de mortalité et l’évolution des capacités physiques.

Des chercheurs américains ont découvert 26 types de marqueurs qui peuvent prévoir la manière dont nous allons vieillir.

Des chercheurs de l’université de Boston aux Etats-Unis veinent de publier les résultats d’une recherche portant sur des marqueurs sanguins pouvant prédire la

longévité chez l’humain. Ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Aging Cell.Prédire les risques de maladie avant les premiers symptômesSavoir qui peut tomber malade ou vieillir en forme avant même de voir apparaître les premiers symptômes. Ce scénario ne relève pas de la science-fiction, mais d’une étude très sérieuse, baptisée “Long Life Family”, menée par une équipe de chercheurs américains de l’Université de Boston auprès de 5 000 personnes, âgés de 30 à 110 ans. La moitié de personnes porteuses de biomarqueursPar une simple prise de sang, les chercheurs ont constaté qu’un grand nombre de personnes, en l’occurrence, environ la moitié des participants à l’étude, avait “une signature” moyenne de 19 biomarqueurs.Une valeur prédictive à 8 ansPour certains d’entre eux, ces marqueurs ont dévié de la norme, ce qui a été associé à des risques plus importants de maladies, de mortalité ou de modifications des capacités physiques et ce, huit ans plus tard. Au total, 26 marqueurs retrouvésCes différents modèles – 26 au total – concernent notamment la démence

démence, l’absence de maladie en prenant de l’âge ou encore l’absence d’invalidité en cas de

maladie cardiovasculaire. “Ces signatures montrent comment les gens vieillissent et pourront prédire la bonne santé comme les changements des fonctions physiques et cognitives, la survie et des maladies liées à l’âge comme les infarctus

infarctus, le

diabète de type 2 et

le cancer“, soulignent les auteurs de l’étude. Des signatures de morbi-mortalitéDe manière très prometteuse, ces tests pourraient à l’avenir renseigner sur l’efficacité des médicaments ou d’interventions chirurgicales, visant à empêcher ou retarder les pathologies liées à l’âge. A partir de ces travaux, les scientifiques ambitionnent d’élaborer une “définition moléculaire” du vieillissement qui pourrait démultiplier les informations fournies par les biomarqueurs. L’objectif : produire des signatures associées à la mortalité et au risque de morbidité.