Month: April 2020

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Consommer du jambon, du saucisson ou de la viande fumée au moins quatre fois par semaine pourrait aggraver les symptômes de l’asthme au cours du temps, selon une étude menée par des chercheurs de l’Inserm, l’Institut français de la santé et de la recherche médicale.

Consommer des quantités importantes de charcuterie pourrait aggraver les symptômes des asthmatiques, selon une étude de l'Inserm. ©nschatzi / Istock.com

Une consommation élevée de charcuterie a été associée de façon directe à une aggravation des symptômes de l’

asthme, avec un risque accru de 76 % pour ceux en mangent le plus“, a précisé à l’AFP Zhen Li, la chercheuse qui a dirigé l’étude publiée le mois dernier dans la revue médicale Thorax.Des additifs inflammatoiresLa charcuterie contient des nitrites qui facilitent sa conservation tout en lui donnant sa couleur rose. Mais l’additif est suspecté de favoriser certains cancers digestifs et de jouer un rôle dans l’inflammation des voies respiratoires.Pour étudier l’impact de la charcuterie sur l’asthme, les chercheurs de l’Inserm ont suivi pendant 7 ans près d’un millier de personnes dont environ 400 étaient asthmatiques.Ces personnes ont été classées en trois groupes en fonction de leur consommation de charcuterie : faible (moins d’une portion par semaine), moyenne (2,5), forte (plus de 4 fois par semaine).Les personnes étudiées ont été interrogées entre 2011 et 2013 pour savoir si elles avaient présenté des symptômes d’asthme  (difficultés à respirer, des oppressions thoraciques et des essoufflements) depuis leur recrutement dans l’étude, entre 2003 et 2007.Plus la consommation est importante, plus le risque augmenteParmi ces patients, 20 % ont fait état d’une aggravation de leurs symptômes, la proportion allant de 14 % pour celles ayant une faible consommation de charcuterie à 22 % pour celles en consommant au moins 4 fois par semaine.Un risque accru de jusqu’à 76 %En tenant compte de 9 facteurs possibles de confusion (âge,

tabagisme, activité physique, sexe…), les chercheurs ont abouti à la conclusion que ceux qui ingurgitaient le plus de jambon et de saucisson avaient un risque accru de 76 % de présenter des symptômes d’asthme par rapport à ceux qui en mangeaient le moins.Le rôle joué par l’

obésité, qui passe également pour intervenir dans l’exacerbation de l’asthme, a été évalué pour sa part à 14 %.Des symptômes parfois même chez les non asthmatiquesPlus surprenant, une forte consommation de charcuterie a été associée à l’apparition de symptômes de type asthmatique chez des personnes officiellement non asthmatiques, selon l’étude.”Ces résultats élargissent l’effet délétère de la charcuterie sur la santé“, souligne Mme Li, qui insiste sur la nécessité de “mettre en place rapidement des messages de santé visant à limiter la consommation de charcuterie“.En octobre 2015,

le centre cancer de l’Organisation mondiale de la santé (Circ/Iarc) avait classé la viande transformée, essentiellement la charcuterie, dans la catégorie des agents “cancérogènes pour l’homme” , ce qui avait suscité une levée de boucliers chez les professionnels de la viande.

Aubry/Royal: duo au sommet

April 14, 2020 | News | No Comments

La ville de Rezé doit être dans tous ses états à quelques heures de l’unique meeting commun entre Martine Aubry et Ségolène Royal. Les deux femmes espèrent relever les scores catastrophiques du PS dans les sondages, à quinze jours des élections européennes.

Elle entreront ensemble dans la Halle de la Trocardière à Rezé. Elles disposeront d’une demi-heure de discours chacune. Tout a été minutieusement préparé par les équipes de Martine Aubry et Ségolène Royal pour cet unique meeting commun avant les élections européennes. Si les deux rivales sont conscientes de la nécessité de sauver le PS, elles ne veulent pas pour autant y laisser des plumes.

Il faut dire que les deux femmes sont sous pression à quinze jours des élections européennes :

Martine Aubry subira son premier test électoral et doit bien se résoudre à accueillir la Royal dans son giron, même si la madone représente davantage une épine dans le pied de la première secrétaire. Quant à Ségolène Royal, elle joue son image. Peut-elle conserver son indépendance, et sa réputation de belle et rebelle au PS ?

Les adversaires politiques ont déjà largement commenté la tenue de ce meeting de la dernière chance et la réunion de deux femmes qui ne se sont pas vues depuis le 29 novembre dernier: «un mariage forcé» pour le porte-parole de l’UMPFrédéric Lefèbvre qui «va regarder ce qu’il y a dans la dot», un «beau moment d’honnêteté politique», pour l’ironique Olivier Besancenot.

Las, il fallait bien faire quelque chose pour enrayer la chute du Parti Socialiste dans les sondages. A quinze jours des élections européennes, le PS n’est crédité que de 20% des intentions de vote, contre 26% pour l’UMP. Alors que le scrutin européen est traditionnellement à l’avantage de l’opposition. Il y a donc urgence !!

Le programme des réjouissances ?

Martine Aubry devrait partir de Paris à midi, en train, et aller jusqu’à une exploitation agricole à Vertou où il sera question de la crise du lait.

L’ouverture des portes de la Halle de la Trocardière, qui peut contenir plus de 1500 personnes, aura lieu aux alentours de 18h30. Les deux dames du PS se retrouveront juste avant leur entrée commune prévue à 19h30. Leur discours est prévu aux alentours de 20h15. C’est à Martine Aubry que revient le privilège de clore la soirée, une place qui a dû être âprement négociée…

C.C.

Mercredi 27 mai 2009

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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié lundi une liste de 12 familles de bactéries contre lesquelles elle juge urgent de développer de nouveaux antibiotiques, en raison des risques que font peser leurs résistances aux traitements actuels.

L'OMS classe six familles d'agents pathogènes en "priorité élevée", dont le staphylocoque doré.

Une liste pour promouvoir la recherche de nouveaux antibiotiques”Cette liste a été établie pour essayer d’orienter et de promouvoir la recherche-développement de nouveaux antibiotiques“, explique l’institution des Nations unies, qui veut empêcher la résurgence de maladies infectieuses incurables.La liste de l’OMS comporte trois catégories selon l’urgence du besoin de nouveaux antibiotiques: critique, élevée ou moyenne.

  • Le groupe le plus critique comporte des bactéries multirésistantes qui représentent une menace particulière dans les hôpitaux, les maisons de retraite ou pour les patients dont les soins imposent d’utiliser des dispositifs comme des respirateurs ou des cathéters sanguins. Il comporte Acinetobacter, Pseudomonas et diverses entérobactéries (dont Klebsiella, E. coli, Serratia, et Proteus). Elles peuvent provoquer des infections sévères, souvent mortelles, telles que des infections sanguines et des pneumonies. Ces bactéries sont devenues résistantes à un grand nombre d’antibiotiques, y compris les plus récents comme les carbapénèmes et les céphalosporines de troisième génération, les meilleurs produits disponibles pour traiter les bactéries multirésistantes.
  • Le deuxième et le troisième groupe de la liste – les catégories de priorité élevée et moyenne – comportent d’autres bactéries de plus en plus résistantes provoquant des maladies plus courantes telles que la gonorrhée ou les intoxications alimentaires par les salmonelles.

 “La résistance aux antibiotiques augmente et nous épuisons rapidement nos options thérapeutiques. Si on laisse faire le marché, les nouveaux antibiotiques dont nous avons le besoin le plus urgent ne seront pas mis au point à temps“, a alerté Marie-Paule Kieny, sous-directrice générale à l’OMS pour les systèmes de santé et l’innovation.Liste OMS des agents pathogènes prioritaires pour la recherche-développement de nouveaux antibiotiquesPriorité 1: CRITIQUE

  • Acinetobacter baumannii, résistance aux carbapénèmes
  • Pseudomonas aeruginosa, résistance aux carbapénèmes
  • Enterobacteriaceae, résistance aux carbapénèmes, production de BLSE

Priorité 2: ÉLEVÉE

  • Enterococcus faecium, résistance à la vancomycine
  • Staphylococcus aureus, résistance à la méthicylline, résistance intermédiaire ou complète à la vancomycine
  • Helicobacter pylori, résistance à la clarithromycine
  • Campylobacter spp., résistance aux fluoroquinolones
  • Salmonellae, résistance aux fluoroquinolones
  • Neisseria gonorrhoeae, résistance aux céphalosporines, résistance aux fluoroquinolones

Priorité 3: MOYENNE

  • Streptococcus pneumoniae, insensible à la pénicilline
  • Haemophilus influenzae, résistance à l’ampicilline
  • Shigella spp., résistance aux fluoroquinolones

Un risque de santé publique à l’échelle mondialeL’OMS classe six familles d’agents pathogènes en “priorité élevée”, dont le staphylocoque doré, les salmonelles et l’Helicobacter pylori (la bactérie responsable notamment des ulcères de l’estomac), du fait de leur résistance à plusieurs types d’antibiotiques.Trois autres familles de bactéries sont elles placées en “priorité moyenne”: le pneumocoque, qui peut conduire à des pneumonies et des méningites, l’Haemophilus influenzae, responsable d’infections comme les otites, et les Shigella spp., cause d’infections intestinales telles que la dysenterie.En septembre, une étude britannique affirmait que les bactéries résistantes pourraient “tuer jusqu’à 10 millions de personnes par an d’ici 2050, soit autant que le cancer”.L’OMS rappelle que s’il est crucial d’intensifier la recherche-développement, elle ne résoudra pas à elle seule le problème. Pour combattre la résistance, il faut améliorer la prévention des infections et l’usage approprié des antibiotiques chez l’homme comme chez l’animal, de même que l’usage rationnel des nouveaux antibiotiques qui seront mis au point à l’avenir.

Six Français sur dix (61%) sont favorables à l’ouverture de la Procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes, une hausse de six points par rapport à 2014, selon un baromètre d’opinion réalisé par BVA pour la Drees, publié vendredi.

50% des Français se disent favorables à la Gestation pour autrui (GPA), 7 points de plus qu'en 2014.

Selon le volet “famille” de ce baromètre (3.038 personnes interrogées en face à face entre le 17 octobre et le 28 novembre 2016, méthode des quotas), 37% sont opposés à la PMA pour les couples de femmes (-6 points) et 2% ne se prononcent pas.Par ailleurs, 50% des Français se disent favorables à la

Gestation pour autrui (GPA), 7 points de plus qu’en 2014, selon ce baromètre réalisé pour la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques des ministères sociaux.Plus de six Français sur dix (64%) sont en désaccord avec l’idée que le mariage est le cadre idéal pour vivre une relation de couple. Le soutien porté à cette affirmation (36%) a connu un recul quasi continu depuis l’année 2000 (-16 points), année où il était encore majoritaire (52%).65% des personnes interrogées adhèrent à l’idée que “les hommes doivent bénéficier d’aménagement du temps de travail au même titre que les femmes” pour garder les enfants.En cas de

séparation des parents, 73% jugent préférable que la garde des enfants soit partagée entre les deux parents, 15% privilégiant la garde par l’un des parents, peu importe lequel, et 11% par la mère.63% sont favorables à l’accès aux allocations familiales dès le premier enfant (+6 points par rapport à 2014), “quitte à diminuer le montant que reçoivent les familles de deux enfants et plus“.Interrogés sur ce que devrait être l’objectif prioritaire de la politique familiale, 35% citent la conciliation vie privée/vie professionnelle, 32% estiment qu’elle doit permettre aux familles de mieux se loger. Le soutien à la natalité, objectif historique, n’est cité comme une priorité que par 5% des Français (-7 points par rapport à 2000).Click Here: NRL Telstra Premiership

Le dialogue politique initié pour trouver une issue à la crise qui dure depuis plus d’un an entre le régime du président Faure Gnassingbé et l’opposition, n’a pas permis d’apaiser les tensions, alors que des élections législatives et locales sont prévues en décembre. L’opposition réclame la démission de Gnassingbé.

La coalition de 14 partis politiques, à l’origine des manifestations qui secouent le pays, dénonce des irrégularités dans l’organisation du scrutin et au sein de la Commission électorale. Elle dit craindre des fraudes.

Le 23 octobre, ses députés ont quitté l’Assemblée pour protester contre la désignation des représentants de l’opposition parlementaire qui doivent siéger à la Commission électorale nationale. Seuls quatre ont été nommés sur les cinq prévus par le dialogue. «Au lieu de soumettre la liste de la coalition (…), le président de l’Assemblée nationale a, dans un tohu-bohu général, proclamé quelques noms et clôturé la séance», a dénoncé l’opposition lors d’une conférence de presse.

L’opposition appelle à boycotter le recensement électoral
Ses responsables ont accusé le régime du président Faure Gnassingbé de «violer les décisions du comité de suivi telles que préconisées par la feuille de route de la CEDEAO».

La coalition condamne «vigoureusement ce comportement irresponsable du régime togolais qui éloigne les perspectives de sortie de crise et voit la reprise des manifestations publiques s’imposer à elle comme seul recours constitutionnel».

Refusant de siéger à la Commission si tous ses représentants n’étaient pas nommés, la coalition avait déjà appelé la population à boycotter le recensement électoral qui a démarré le 1er octobre en vue des élections.

En septembre 2017, une marée humaine s’était emparée des rues de Lomé et de plusieurs grandes villes du nord du pays, à l’appel de l’opposition, pour demander la démission du président Faure Gnassingbé.

Ce dernier est au pouvoir depuis 2005, après la mort de son père. Lequel avait dirigé ce petit pays d’Afrique de l’Ouest pendant 38 ans.

A 49 ans, l’actrice américaine Julia Roberts a été sacréeplus belle femme du monde par le magazine People.

C'est la cinquième fois en 26 ans que Julia Roberts arrive en tête du prestigieux classement.

L’égérie Lancôme succède à Jennifer Aniston.C’est la cinquième fois en 26 ans que la comédienne arrive en tête du prestigieux classement.”Je suis très flattée”, a confié Julia Roberts au magazine. “C’est flatteur, mais ça va devenir embarrassant”.Lauréate du prix en 1991, l’actrice révélée par la comédie romantique “Pretty Woman”, a ensuite été élue en 2000, 2005 et 2010.  Discrète au cinéma, Julia Roberts, que l’on a pu voir l’an dernier dans “Money Monster”, sera prochainement à l’affiche de “Wonder” de Stephen Chbosky, avec Owen Wilson, Mandy Patinkin et Jacob Tremblay.

Le fenouil, un légume à la saveur anisée, est connu pour ses vertus pour la santé, en particulier pour la digestion et les symptômes prémenstruels.Une nouvelle étude confirme qu’il serait également efficace dans la prise en charge des symptômes post-ménopause comme les bouffées de chaleur, l’insomnie, la sécheresse vaginale et l’anxiété, en plus d’être dénué d’effets secondaires graves.

Selon une étude iranienne, le fenouil permettrait de réduire les troubles liés à la ménopause sans effets secondaires.

Les effets indésirables les plus courants de la ménopause sont les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, les problèmes de sommeil, les inconvénients articulaires et musculaires, l’épuisement, l’irritabilité, l’anxiété et la dépression. Face à ces troubles, l’utilisation de compléments alimentaires ou de solutions alternatives a augmenté ces dernières années, suite à la mise à jour des effets secondaires potentiels des traitements hormonaux substitutifs. Le fenouil contient des phytoestrogènes, qui sont des produits ayant des propriétés proches des œstrogène, et qui ont été utilisés pour traiter efficacement ces troubles du climatère.L’étude a été réalisée à Téhéran, en Iran, où l’âge moyen de la ménopause est plus jeune qu’aux États-Unis (48,2 ans contre 51 ans). Dans une petite étude portant sur 79 femmes iraniennes de 45 à 60 ans, des gélules contenant 100 mg de fenouil ont été administrées deux fois par jour pendant 8 semaines. Comparé à un groupe recevant un placebo (comprimé sans substance active), les femmes traitées ont connu des améliorations à 4, 8 et 10 semaines, avec une différence statistique significative. Selon lles auteurs, le fenouil s’avère être un traitement efficace et sûr pour réduire les symptômes de la ménopause sans effets secondaires graves.”Cette petite étude pilote a révélé que, sur la base d’une échelle de notation de ménopause, la consommation deux fois par jour de fenouil en tant que phytoestrogène améliorait les symptômes de la ménopause par rapport à un effet minimal inhabituel du placebo. Une étude plus longue portant sur un plus grand nombre de femmes reste cependant nécessaire pour déterminer ses avantages à long terme et son profil d’effets secondaires” a conclu le Dr JoAnn Pinkerton, directeur exécutif de la North American Menopause Society (NAMS).Click Here: cheap Cowboys jersey

Un allaitement maternel prolongé réduirait les risques de cancer du sein et des ovaires chez les mères, selon un rapport de l’American Institute for Cancer Research (AICR), s’appuyant sur 18 études, qui préconise, à l’instar de l’OMS, un allaitement de 6 mois minimum pour tirer les meilleurs bénéfices santé pour les mères et leur enfant.

Le risque de cancer du sein chez les mères allaitantes chute de 2% pour chaque période de cinq mois d’allaitement, selon 13 études sur les 18 analysées au total par l’American Institute for Cancer Research (AICR).Selon le 

rapport, l’allaitement a des effets protecteurs, car il peut retarder le retour des règles, réduisant ainsi l’exposition de la femme aux hormones comme les œstrogènes, qui sont liées au risque de cancer du sein. De plus, la perte de tissu mammaire après la lactation peut aider à se débarrasser de cellules d’ADN potentiellement endommagées.Le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme, avec environ 50.000 nouveaux cas invasifs par an en France. La maladie, qu’on guérit dans 9 cas sur 10 lorsqu’elle est dépistée à un stade précoce, cause malgré tout près de 12.000 décès par an en France.Selon la revue britannique Lancet, l’allaitement maternel pourrait prévenir chaque année le décès de 20.000 mères consécutif à un cancer du sein dans le monde.Selon l’American Institute for Cancer Research (AICR), qui estime le nombre de cancers du sein à 252.000 cette année aux États-Unis, un cas sur trois pourrait être évité si les femmes ne buvaient pas ou peu d’alcool, faisaient plus d’exercice et plus intensément et veillaient à stabiliser leur poids.Par ailleurs, l’allaitement maternel réduit aussi le risque de cancer chez l’enfant, de manière indirecte, selon l’étude. Les enfants allaités ont tendance à prendre moins de poids en grandissant et ont donc moins de risque de devenir en surpoids ou obèse.Or selon un compte-rendu du Centre international de la recherche sur le cancer (CIRC/IARC), basé à Lyon, en France, paru dans la revue The New England Journal of Medicine, le surpoids est associé à 11 types de cancer différents dont le cancer de l’estomac, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, des ovaires et de la thyroïde.Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Les pleurs des bébés activent des régions spécifiques, liées aux mouvements et à la parole, du cerveau de leur mère, relève lundi une vaste étude qui conforte la réalité biologique de l’instinct maternel.

Même si les rôles parentaux ont évolué ces dernières décennies, ce sont toujours et le plus souvent les mères qui prennent en charge la plupart des tâches domestiques au quotidien et surtout celles liées aux tout-petits.

Selon cette étude menée dans onze pays et publiée dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS), une mère entendant son enfant pleurer aura tendance à toujours avoir le même comportement : le prendre dans les bras et lui parler pour le rassurer.Comprendre ces réactions et les activités correspondantes dans le cerveau des femmes pourrait aider à identifier les risques de maltraitance encourus par les enfants, selon les chercheurs des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) à l’origine de cette étude.Ces derniers ont étudié le comportement maternel et le cerveau –via des imageries par résonance magnétique (IRM)– d’un groupe de 684 femmes récemment devenues mères pour la première fois en Argentine, Belgique, Brésil, Cameroun, France, Israël, Italie, Japon, Kenya, Corée du Sud et Etats-Unis.Les interactions que celles-ci ont eu avec leur bébé de cinq mois ont été observées et enregistrées, afin de voir si elles répondaient aux pleurs de leur enfant en montrant de l’affection, en le distrayant, le nourrissant, lui changeant la couche, le prenant dans les bras ou en lui parlant.En analysant des IRM d’autres groupes de femmes, ces chercheurs ont constaté en outre que les jeunes mères et celles qui avaient eu plusieurs enfants activaient des régions similaires de leur cerveau lorsque leur bébé pleurait.

L’étude constate que ces pleurs activent chez la plupart des femmes une région cérébrale liée à l’intention de se déplacer et de parler, ainsi que des zones frontales du cerveau impliquées dans le langage et la capacité de parler et d’interpréter des sons.”Ces résultats laissent penser que les réponses des mères aux pleurs de leur bébé sont bien programmées dans le cerveau et communes à l’ensemble des cultures“, concluent les auteurs de l’étude.Celle-ci complète d’autres travaux montrant que le cerveau des femmes et celui des hommes répondent différemment aux pleurs d’un bébé, précise l’étude. Ainsi la nuit, les hommes semblent moins entendre les cris des bébés que les femmes plus enclines à se lever pour aller les réconforter.Même si les rôles parentaux ont évolué ces dernières décennies, ce sont toujours et le plus souvent les mères qui prennent en charge la plupart des tâches domestiques au quotidien et surtout celles liées aux tout-petits, selon d’autres études.

Les femmes victimes d’un AVC mineur sont moins susceptibles de recevoir un diagnostic approprié que les hommes lorsqu’elles se rendent aux urgences, même si elles présentent des symptômes semblables, pointe une étude canadienne.

Les femmes étaient 10 % plus susceptibles de recevoir un diagnostic sans AVC.

Sommaire

  1. Des risques similaires 90 jours après le diagnostic

Dirigés par des chercheuses et des chercheurs de l’université de Toronto et de l’université de Calgary (Canada), ces nouveaux travaux publiés dans 

JAMA Neurology et présentés le 22 mai lors de la conférence de l’Organisation européenne de l’AVC (Milan, Italie) dénotent une différence significative de diagnostic dans les symptômes annonçant un AVC mineur (également appelé

accident ischémique transitoire) entre les hommes et les femmes.

L’équipe de scientifiques a analysé les données de 1.648 patientes et patients reçus dans des services d’urgence universitaires dans les villes canadiennes de Victoria et de Calgary entre décembre 2013 et mars 2017 et suivis pendant 90 jours.
Dans notre étude, les hommes étaient plus susceptibles de recevoir un diagnostic d’AVC mineur, et les femmes étaient 10% plus susceptibles de recevoir un diagnostic sans AVC, par exemple une migraine ou un vertige, même si les hommes et les femmes étaient aussi susceptibles de déclarer des symptômes atypiques d’AVC“, explique la Dre Amy Yu, MD, co-autrice de l’étude et neurologue spécialisée dans les AVC au Sunnybrook Health Sciences Centre de l’université de Toronto.”Notre étude a également révélé que le risque d’avoir un autre AVC ou une autre crise cardiaque dans les 90 jours suivant le diagnostic était le même pour les femmes et les hommes“, ajoute la Dre Shelagh Coutts, neurologue spécialisée en AVC et professeure agrégée au Cumming School of Medicine (CSM) de l’université de Calagary et également co-autrice de l’étude.

Des risques similaires 90 jours après le diagnosticComment expliquer un tel écart ? Selon les médecins à l’origine de l’étude, cela pourrait être dû à un manque de précision dans la déclaration des symptômes par les patients, à une interprétation approximative de ces symptômes par les cliniciens ou bien à une combinaison de ces deux facteurs, même s’ils précisent que d’autres recherches sont nécessaires pour étayer cette théorie.Les symptômes les plus courants d’un AVC sont une fatigue soudaine, un affaissement du visage ou des difficultés d’élocution. Mais d’autres troubles plus rares peuvent annoncer l’arrivée d’un AVC, comme des étourdissements, des picotements ou une confusion mentale. Cette étude montre que les hommes et les femmes sont tous deux concernés par ces symptômes atypiques de l’AVC. “Ce qu’il est important de reconnaître dans l’AVC, c’est que le cerveau a de multiples fonctions et que lorsqu’un AVC survient, les gens peuvent ressentir des choses différentes au-delà des symptômes typiques de l’AVC. Un diagnostic précis d’AIT et d’AVC changerait le plan de traitement d’un patient et pourrait aider à prévenir un autre AVC“, estime la Dre Yu.”Nos conclusions attirent l’attention sur les occasions manquées potentielles de prévention des accidents vasculaires cérébraux chez les femmes, ainsi que d’autres événements vasculaires indésirables, comme les

crises cardiaques“, ajoute la Dre Coutts.