Month: April 2020

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Des consommations excessives de sildénafil (le composé actif du Viagra) peuvent avoir des conséquences sur la vision. Quelques mois après le cas d’un homme dont la perception des couleurs a été irrémédiablement altérée, d’autres chercheurs rapportent un autre cas de lésions de la rétine suite à une surdose de ce médicament.

Sommaire

  1. Des anomalies de la rétine après une surdose de sildénafil
  2. Une altération des couleurs rapportée fin 2018
  3. Un mécanisme supposé

En matière de médicament, l’adage “The bigger the better” (“Plus c’est grand, mieux c’est”) ne s’applique pas. Plusieurs journaux médicaux se sont récemment fait l’écho d’altération de la vision après la prise excessive de sildénatif. Le dernier cas a été rapporté par la revue 

JAMA Ophthalmology.Des anomalies de la rétine après une surdose de sildénafilUn homme du Massachusetts a développé une perte de vision après avoir bu une bouteille entière de sildénafil liquide (il ne s’agit pas du Viagra ® qui n’est pas vendu sous forme liquide). Le cinquantenaire a ainsi consommé 750 milligrammes de sildénafil, soit près de 10 fois la dose recommandée.L’homme s’est plaint de photophobie (intolérance à la lumière), une difficulté à voir la nuit et des tâches sur son champ de vision avec la forme d’un “doughnut”. Les symptômes de photophobie et d’une baisse de la vision nocturne se sont améliorés mais pas les taches. Deux mois plus tard, il finira par consulter un ophtalmologiste. Les tests ont montré une atteinte des cellules de la rétine. Pour ce type de problème, il n’existe pas de traitement. Le patient n’est pas revenu à la clinique et on ne sait donc pas si sa vision s’est finalement améliorée.Une altération des couleurs rapportée fin 2018Ce cas intervient quelques semaines après

celui d’un autre patient de 31 ans qui s’était rendu aux urgences ophtalmiques du New York Eye and Ear Infirmary of Mount Sinai (NYEE). Il se plaint d’une vision altérée, avec un filtre rouge depuis deux jours. Il déclare aux médecins que ses symptômes ont débuté peu après avoir pris du citrate de sildénafil liquide acheté sur Internet. Le composé est connu pour provoquer parfois des troubles visuels à une dose normale, mais les symptômes disparaissent généralement en 24 heures. Le jeune homme avoue aux médecins, qu’il a consommé beaucoup plus que la dose recommandée de 50 mg… les chercheurs ont enquêté et ont noté des lésions microscopiques des cônes de la rétine, les cellules responsables de la vision des couleurs. La vision teintée du patient ne s’est pas améliorée plus d’un an après son diagnostic initial, malgré divers traitements.Un mécanisme supposéAgissant sur une enzyme appelée phosphodiestérase 5 (PDE5), le médicament agit sur la régulation du flux sanguin vers le pénis. Mais ce même composé actif inhibe également une autre enzyme : la phosphodiestérase de type 6 (PDE6), que l’on trouve dans les cellules rétiniennes. A trop fortes doses, cette inhibition peut entraîner la formation d’une molécule toxique pour les cellules rétiniennes. A travers ces études, les médecins veulent alerter les patients sur les dangers d’une surdose et de l’achat de ces médicaments sur Internet.Click Here: Cheap Golf Drivers

Les chercheurs de l’Université de San Francisco ont réussi à transformer pour la première fois des cellules souches humaines en cellules productrices d’insuline. Un réel espoir de traitement curatif pour les patients atteints d’un diabète de type1.

Le diabète de type 1 représentent 10% des cas de diabète. Il est néanmoins en constante augmentation au rythme de 3 à 4 % par an depuis une vingtaine d’années.

Sommaire

  1. Diabète de type 1 : une maladie auto-immune
  2. Réussir à créer des cellules productrices d’insuline
  3. Des greffons fonctionnels chez la souris
  4. Vers un traitement curatif ?

Diabète de type 1 : une maladie auto-immuneLe

diabète de type 1 est une maladie auto-immune qui se caractérise par la destruction des cellules bêta du pancréas productrices d’insuline, le plus souvent dès l’enfance. Dépourvu d’insuline pour réguler le taux de glucose dans le sang, des pics de glycémie peuvent provoquer des lésions graves aux organes, voire la mort.


La prise en charge de cette maladie repose sur le recours régulier à des injections d’insuline, mais les personnes atteintes de diabète de type 1 présentent plus de risque d’insuffisance rénale, de maladie cardiovasculaire ou d’accident vasculaire cérébral. L’autre traitement est la greffe de pancréas, mais les greffons sont rares et le temps d’attente reste long. Des greffes non pas du pancréas mais uniquement des îlots de Langerhans (contenant les cellules bêta productrices d’insuline) font actuellement l’objet d’études cliniques.Réussir à créer des cellules productrices d’insulineDe nombreux chercheurs tentent de recourir à des cellules souches et de les “transformer” en cellules bêta saines pouvant être transplantées chez des patients… jusqu’alors sans succès. Les cellules produites restaient bloquées à un stade immature ne leur permettant pas de secréter de l’insuline. L’équipe du Pr Hebrok sont partis de l’hypothèse que le développement en cellules matures requiert de prendre en compte le processus physique par lequel les cellules se séparent du reste du pancréas et forment les îlots de Langerhans. “Un principe clé en biologie est que la forme suit la fonction, nous avons donc décidé que la formation d’îlots pourrait être un processus important pour que les cellules bêta parviennent à maturité correctement“, a déclaré Nair.Des greffons fonctionnels chez la sourisLors de la culture et différenciation de ces cellules dans des boîtes de Petri, les chercheurs ont regroupé artificiellement en grappe des cellules souches pancréatiques partiellement différenciées. Résultat : le développement des cellules a soudainement progressé. Elles ont commencé à réagir au taux de sucre dans le sang, ressemblant davantage à des cellules productrices d’insuline matures, mais l’ensemble des cellules de ces ilots de Langerhans (les cellules alpha et delta moins bien comprises notamment) se développaient également.Une fois transplantées sur ces souris, ces “grappes” de cellules ont commencé à produire les trois hormones régulatrices de la glycémie générées par les îlots pancréatiques normaux : insuline, glucagon et somatostatine.Vers un traitement curatif ?”Nous pouvons maintenant générer des cellules productrices d’insuline qui ressemblent et agissent comme les cellules bêta du pancréas que vous et moi avons dans notre corps. C’est une étape cruciale vers notre objectif : créer des cellules qui pourraient être transplantées chez des patients diabétiques” a déclaré le Pr. Matthias Hebrok de l’Université de San Francisco. Dès mainteant, les chercheurs collaborent avec des bioingénieurs et des généticiens rendre ces cellules transplantables sans nécessiter de médicaments immunosuppresseurs (en les modifiant via CRISPR par exemple), ou en identifiant des médicaments capable de restaurer le bon fonctionnement des îlots de Langerhans chez les patients en protégeant et en développant les cellules bêta restantes pour relancer la production d’insuline pancréatique.”Les thérapies actuelles telles que les injections d’insuline ne traitent que les symptômes de la maladie. Notre travail ouvre d’autres pistes passionnantes pour enfin trouver un traitement curatif” confie le Pr. Gopika Nair, co-auteur de l’étude.Click Here: Cheap QLD Maroons Jersey

Des chercheurs américains ont trouvé qu’une alimentation faible en nutriments pouvait être associée à un risque accru de développer des troubles de la santé mentale.

Une alimentation qui privilégie les aliments frits et les sodas au détriment des fruits et légumes pourrait avoir un effet sur la santé mentale.

Cette étude menée par des scientifiques de la Loma Linda University School of Public Health californienne a analysé des données concernant 245.891 personnes collectées par téléphone entre 2005 et 2015. Les questionnaires comprenaient des informations approfondies sur les données socio-démographiques, sur la santé et les comportements face à la santé de chaque participant.Leurs résultats, repris par l’

International Journal of Food Sciences and Nutrition, ont montré que les adultes qui consommaient moins d’aliments dits “sains”, moins de fruits et légumes, et plus de frites, de malbouffe et de soda, étaient plus susceptibles de rapporter des symptômes de trouble psychologique modéré ou sévère que les personnes qui privilégiaient une alimentation plus équilibrée.Leurs résultats restaient avérés même après avoir pris en compte des facteurs tels que l’âge, le genre, le statut marital et le niveau de revenu.Le principal auteur, Jim E. Banta, a commenté ces résultats en notant qu’ils s’inscrivaient dans la lignée d’études précédentes menées dans d’autres pays, qui avaient déjà trouvé un lien entre une mauvaise alimentation et des maladies mentales. Par exemple, une forte consommation de sucre avait déjà été reliée à certains troubles bipolaires, et les aliments frits avaient été associés à la

dépression.Le professeur Banta a ajouté que leurs nouveaux résultats ne pouvaient cependant pas établir de lien de cause à effet entre une mauvaise alimentation et des

maladies mentales et que de plus amples recherches étaient encore nécessaires. En revanche, l’équipe de chercheurs a tenu à noter que cette étude offrait “des preuves additionnelles que les pratiques cliniques et les pouvoirs publics devraient plus explicitement viser à améliorer la qualité de l’alimentation chez les personnes souffrant de troubles de la santé mentale“.”D’autres études comme celle-ci pourraient avoir de fortes implications sur les traitements de médecine comportementale“, a précisé le professeur Banta. “Le temps est peut-être venu de plus s’intéresser au rôle de l’alimentation par rapport à la santé mentale, parce que des choix d’alimentation saine pourraient contribuer à une bonne santé mentale. De plus amples recherches sont nécessaires avant de pouvoir répondre définitivement, mais les preuves semblent aller dans cette direction“.

L’examen du projet de loi santé a démarré ce lundi 18 mars à l’Assemblée Nationale. Un sondage IPSOS réalisé avec la Fédération Hospitalière de France (FHF) dans le cadre du Grand Débat National dévoile les grandes attentes des Français vis-à-vis de cette réforme du système de santé.

Plus de 4 Français sur 10 avouent avoir déjà eu recours aux urgences pour des raisons inadéquates.

Sommaire

  1. L’accès à de bons établissements de santé pour tous 
  2. Des délais d’obtention de rendez-vous moins longs
  3. Un désengorgement des urgences hospitalières
  4. Une réorganisation du système de santé et plus de transparence 
  5. Plus de moyens financiers pour l’hôpital public

Du 27 février au 1er mars 2019, près de 6.000 Français répartis dans toute la France, en métropole et en outre-mer ont répondu à 25 questions portant sur les réformes à apporter à notre système de santé. Cinq grandes attentes émanent de cette enquête.L’accès à de bons établissements de santé pour tous Pour 84% des Français, l’accès à de bons établissements de santé est le deuxième critère le plus important pour assurer à chaque individu une égalité des chances dans la vie, juste derrière l’accès à de bons établissements scolaires (88%) et loin devant l’assurance de pouvoir bénéficier d’une protection de sa personne et de ses biens (53%).Des délais d’obtention de rendez-vous moins longsLa FHF rappelle les délais moyens d’obtention de rendez-vous avec les médecins spécialistes, qu’elle qualifie de “préoccupants” : presque 2 mois pour un cardiologue (1 mois et 3 semaines), 2 mois et 2 jours pour un dermatologue et plus de 3 mois pour un ophtalmologiste.Un désengorgement des urgences hospitalièresPlus de 4 Français sur 10 avouent avoir déjà eu recours aux urgences pour des raisons inadéquates : difficulté d’obtention de rendez-vous, refus de prise en charge, facilité et praticité, réalisation de l’ensemble des examens, etc.Une réorganisation du système de santé et plus de transparence La grande majorité des Français (70%) perçoivent le fonctionnement et le mode de financement du système de santé comme “opaque” et “complexe”. Près de 9 Français sur 10 avouent ne pas savoir à quoi servent les différentes cotisations (sociales, CSG, mutuelle…)Plus de moyens financiers pour l’hôpital public
Face à la situation du système de santé, les Français estiment que l’hôpital public rencontre plus des problèmes de moyens que de qualité des soins. Pour améliorer le fonctionnement de l’hôpital public, ils estiment qu’il faut en priorité plus de personnels (87%) et de budget (77%).
Parmi l’ensemble des réformes souhaitées par les Français, beaucoup concernent le maillage territorial (18%) et notamment la lutte contre les déserts médicaux (14%).Click Here: gws giants guernsey 2019

Les jeunes Américains en mal de sexe

April 9, 2020 | News | No Comments

Les jeunes Américains ont-ils perdu le goût du sexe ? La proportion d’adultes n’ayant aucune relation sexuelle a atteint un record en 2018, avec une pointe notoire chez les hommes de 18-29 ans, selon des données publiées vendredi par le Washington Post.

Selon le quotidien, qui a analysé de nouveaux chiffres de l’institut General Social Survey, le nombre de jeunes de 18 à 29 ans ayant indiqué avoir traversé un désert sexuel l’an passé atteint 23% – presque un sur quatre – soit plus du double des 8% enregistrés en 2008 (ils étaient 14% en 1989).Les jeunes hommes étaient particulièrement chastes: le taux parmi eux atteint 28%, presque trois fois plus qu’en 2008. Les femmes du même âge étaient plus actives, avec 18% déclarant ne pas avoir eu de relation l’an passé.


En comparaison, leurs aînés sont sensiblement plus actifs sexuellement : 7% des 30-39 ans et 13% des 50-59 ans déclaraient ne pas avoir fait l’amour pendant l’année écoulée.Explication ? Un nombre croissant de jeunes de cet âge ne vivent pas encore en couple, a indiqué au Post la chercheuse Jean Twenge, psychologue à l’université d’Etat de San Diego (Californie). La chute de l’activité sexuelle globale tient aussi au vieillissement de la population.Les Américains de 60 ans et plus représentent désormais 26% de la population, contre 18% en 1996. Or, passé 60 ans, le taux d’inactivité sexuelle avoisine les 50% : plus ils sont nombreux, plus le taux global augmente, selon l’analyse du journal.Même parmi l’ensemble des adultes sexuellement actifs, la proportion de ceux qui font l’amour au moins une fois par semaine a baissé, à 39% en 2018 contre 51% en 1996, une baisse que Mme Twenge attribue notamment à l’hyper-connexion et aux écrans.”Il y a beaucoup plus de choses à faire à 10 heures du soir aujourd’hui qu’il y a 20 ans“, a-t-elle souligné.Click Here: essendon bombers guernsey 2019

La peur laisse des traces sur notre mémoire

April 9, 2020 | News | No Comments

Les traces laissées dans le cerveau par la peur sont susceptibles de se former dans l’hypothalamus, selon une étude publiée par la revue Neuron, qui pourrait ouvrir des perspectives pour soigner certaines peurs pathologiques.

Cette étude publiée le 16 mai dans la revue américaine Neuron est le fruit du travail d’une équipe internationale coordonnée par Alexandre Charlet de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives de Strasbourg et Valery Grinevich de l’université d’Heidelberg (Allemagne).Ses auteurs démontrent que des engrammes, ensembles de cellules formant la base de la trace mémorielle enregistrée par le cerveau, peuvent se former dans l’hypothalamus, mettant en évidence son rôle dans la régulation de la mémoire de la peur.“Les engrammes sont bien connus mais uniquement dans les structures corticales supérieures. Là, l’originalité c’est de montrer que cela peut aussi exister dans des structures évolutivement anciennes, comme l’hypothalamus”, explique Alexandre Charlet à l’AFP.“A ce jour, le dogme prédominant veut que la mémoire soit encodée dans l’hippocampe pour être ensuite stockée dans le cortex. Cette vision limitée ne prend que peu en considération les autres structures cérébrales”, selon un communiqué diffusé par l’université de Strasbourg.Grâce à une nouvelle méthode de ciblage génétique, permettant de toucher spécifiquement les neurones activés lors d’une réaction de peur, les chercheurs ont découvert “la formation d’engrammes hypothalamiques dont la manipulation altère drastiquement l’expression et le souvenir d’une peur”, poursuit le communiqué.Ils sont parvenus à gommer ou au contraire à faire persister l’expression de la peur en intervenant sur les neurones produisant l’ocytocine, l’hormone dite “de l’amour”, fortement impliquée dans la régulation des émotions.“On montre une communication entre l’hypothalamus, les neurones qui produisent de l’ocytocine et l’amygdale (une partie du cerveau qui gère les émotions comme la peur et le stress, NDLR)”, résume Alexandre Charlet.“(Ces recherches) nous permettent de mettre le doigt sur des circuits spécifiques et maintenant qu’ils sont identifiés, on peut très bien chercher des agents pharmacologiques qui vont pouvoir les inhiber ou les activer de manière précise”, conclut-il.Ces découvertes pourraient “permettre l’émergence de nouvelles stratégies thérapeutiques, notamment quand la peur devient pathologique, comme dans le cas des troubles de stress post-traumatiques”, précise le communiqué de l’université.Click Here: collingwood magpies 2019 training guernsey

Un premier cas de fièvre hémorragique Ebola a été enregistré dimanche à Goma (environ un million d’habitants), la plus grande ville touchée depuis le début de l’épidémie le 1er août dernier en République démocratique du Congo, a annoncé le ministère de la Santé, qui demande que "la population garde son calme".

Un premier cas de fièvre hémorragique Ebola a été enregistré dimanche à Goma (environ un million d'habitants).

Le malade est un homme arrivé dimanche matin par bus, avec 18 autres passagers et le chauffeur, en provenance de Butembo, l’un des principaux foyers de la maladie dans la province du Nord-Kivu (est).Son voyage a commencé vendredi après que “ses premiers symptômes sont apparus le 9 juillet“, précise le communiqué du ministère.”Vers 15h, les résultats du test laboratoire ont confirmé qu’il était positif à Ebola“, ajoute le ministère.”En raison de la rapidité avec laquelle le patient a été identifié, ainsi que l’identification de tous les passagers du bus en provenance de Butembo, le risque de propagation dans le reste de la ville de Goma reste faible“, estime le ministère.”Le chauffeur du bus ainsi que les 18 autres passagers ont été identifiés et leur vaccination commencera dès ce lundi 15 juillet 2019“, insiste-t-il.Le malade est présenté comme un pasteur qui a effectué un court séjour à Butembo, une ville à 200-300 km au nord de Goma, mais séparée du chef-lieu provincial par de très mauvaises routes, sous la menace des groupes armés.A Butembo, il prêchait dans une église chrétienne où il aurait touché des mains les fidèles “y compris les malades”, d’après le communiqué du ministère.”Ses premiers symptômes sont apparus le 9 juillet alors qu’il était toujours à Butembo. Il a été suivi par un infirmier à domicile jusqu’à son départ pour Goma le 12 juillet“, poursuit le ministère.”Dès son arrivée à Goma ce dimanche matin, il s’est rendu dans un centre de santé pour continuer son traitement“, et les personnels soignants “ont immédiatement alerté les équipes de la riposte Ebola, qui l’ont transféré au centre de traitement“.A son arrivée à Goma, ce pasteur qui officierait dans une église dite du réveil, aurait emprunté une moto pour se rendre au domicile d’un proche, d’après une source qui préfère garder l’anonymat.Des personnels de santé avaient été vaccinés dès le mois de décembre à Goma, alors que l’épidémie a surtout frappé la zone de Beni-Butembo plus au nord.”Depuis novembre 2018, le ministère de la Santé et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont mis en place un système de préparation et de riposte contre Ebola dans la ville de Goma, en raison du flux important de voyageurs venant des zones touchées par l’épidémie“, souligne le ministère.L’actuelle épidémie dans l’est de la RDC est la deuxième plus importante dans l’histoire de la maladie après celle qui a tué près de 11.000 personnes en Afrique de l’Ouest (Guinée, Liberia, Sierra Leone) en 2013-2014.”Il y a eu 1.655 décès (1.561 confirmés et 94 probables) et 694 personnes guéries“, lit-on dans le bulletin quotidien du ministère de la Santé daté de samedi.Et 160.239 personnes ont été vaccinées, ajoute le ministère.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Chaque année, en France, environ 30 millions d’oiseaux sont élevés pour être chassés. Particulièrement concernés : les faisans et les perdrix qui représentent respectivement 14 et 5 millions de ces volatiles. Dans l’Hexagone, la majorité des individus abattus par les chasseurs sont des animaux nés en captivité. L’association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS) est allée filmer neuf élevages français pour témoigner des conditions de vie des animaux.500 000 survivantsLes animaux reproducteurs sont enfermés dans de petites cages et leurs œufs sont placés en incubateurs. Ils grandissent ensuite dans des hangars dont la promiscuité entraîne l’agressivité. Pour empêcher les blessures, des anneaux ou des ustensiles en plastique leur sont parfois insérés dans la cloison nasale afin de couvrir leur bec. Une fois adultes, ils sont placés dans des volières où les collisions sont fréquentes. Ils sont ensuite relâchés pour être chassés. L’ASPAS estime que sur les 14 millions de faisans remis en liberté, 3 millions sont tués par les chasseurs. À long terme, seuls 500 000 survivent dans la nature.Click Here: Maori All Blacks Store

Alors que Dreamworks prépare un remake de “Rebecca”, Alfred Hitchcock intéresse également Paramount, qui s’apprête à produire un remake de “Soupçons”.

Qu’Alfred Hitchcock ait marqué le cinéma au point que beaucoup de cinéastes se soient inspirés de lui (Brian De Palma ou le Paul Verhoeven de Basic Instinct, par exemple), ça n’est un secret pour personne. Que des studios aient aujourd’hui envie de produire des remakes de ses films, c’est en revanche plus surprenant, surtout depuis l’échec de Psycho. Toujours est-il que, pendant que DreamWorks fera revivre Rebecca (1940), Soupçons (1941) aura également droit à sa relecture sous la houlette de Paramount et Veena Sud, showrunner de la série The Killing, mais sans Will Smith, un temps évoqué comme acteur et producteur. On ne sait donc pas qui reprendra le rôle tenu par Cary Grant à l’époque (ni les remplaçants de Joan Fontaine et Laurence Olivier dans Rebecca), ni si ces nouvelles versions seront plus fidèles aux films où aux romans dont ils sont tirés. Et d’ici leurs sorties respectives, attendons-nous à ce que d’autres aient l’idée de refaire Sueurs froides.

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Maximilien Pierrette avec Showblitz et Variety

ATLANTA — After Equifax offered victims of its data breach the option of up to $125 in cash or free credit-monitoring as part of a settlement, the company experienced what authorities called an “overwhelming response.” Millions visited the data breach settlement site online to file claims in the week since the page went live, the Federal Trade Commission reported.

More than 147 million were impacted by the Equifax data breach, officials said. A multi-state investigation into what is one of the largest breaches ever of consumer data showed that the sensitive information of an estimated 56 percent of adults was compromised after the company failed to patch a vulnerability in its security monitoring system.

As the breach went undetected for more than two months in 2017, Social Security numbers, names, dates of birth, addresses, credit card numbers and in some cases, driver’s license numbers, were left exposed.

Equifax agreed to pay a total of $425 million to individuals and $175 million to states impacted by the breach, in the settlement that was announced July 22.

Within the $425 million to individuals, federal officials say there is a $31 million cap on how much the Atlanta-based company can pay out to those seeking reimbursement for credit monitoring.

“A large number of claims for cash instead of credit monitoring means only one thing: each person who takes the money option will wind up only getting a small amount of money, nowhere near the $125 they could have gotten if there hadn’t been such an enormous number of claims filed,” according to the FTC.

According to the settlement, the $31 million will be divided equally among those who are eligible, so as more people ask for the payout, the amount will decrease for each person.

Theoretically, if 147 million people affected asked for the $125 payout and qualified, they would each receive $0.21.

“So, if you haven’t submitted your claim yet, think about opting for the free credit monitoring instead,” the FTC advised. “Frankly, the free credit monitoring is worth a lot more – the market value would be hundreds of dollars a year. And this monitoring service is probably stronger and more helpful than any you may have already, because it monitors your credit report at all three nationwide credit reporting agencies, and it comes with up to $1 million in identity theft insurance and individualized identity restoration services.”

A separate pot of money is available for those who have paid out-of-pocket for services like hiring someone to help with identity theft or credit freezes, according to the FTC, which advised those people to use documents to submit their claims.

“There is still money available under the settlement to reimburse people for what they paid out of their pocket to recover from the breach,”the FTC said.

Benefits will not be distributed until at the earliest Jan. 23, 2020, a date set by the court.

What To Do If You Submitted A Claim Already

Those who want to change their preferred benefit to credit monitoring as opposed to the cash payment option can email the settlement administrator at [email protected].

People who have submitted claims already for the $125 payment will receive an email from the settlement administrator asking for the name of the credit monitoring service they are using. They should also anticipate not receiving the full $125 amount.

“Because of high interest in the alternative cash payment under the settlement, consumers who choose this option might end up getting far less than $125,” the FTC advised.

What To Do If Impacted By The Equifax Breach

Equifax has a tool so people can check whether they were impacted by the Equifax breach and are eligible for part of the settlement.

Those impacted can file a claim with Equifax on the settlement page.

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There is also a portal through the Federal Trade Commission dedicated to the Equifax data breach settlement, where the claims page became active Wednesday, July 24.

People must file claims by Jan. 22, 2020.

How To Protect Your Personal Information

For those who have been affected by this breach, there are steps that can help protect your information, according to the Federal Trade Commission and Georgia’s Office of the Attorney General:

RELATED: Millions In Georgia Exposed In Equifax Breach: How To File Claims