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Britney Spears: Trois Bercy sinon rien!

May 16, 2020 | News | No Comments

Après cinq ans d’absence, Britney Spears revient sur scène avec son Circus Tour. Ravie de son retour, la lolitrash a même ajouté une troisième date lors de son passage en France.

Fans de Britney, à vos agendas! Brit Brit vient de rajouter une nouvelle date à son Circus Tour. Alors que Miss Spears devait initialement se produire les 5 et 6 juillet 2009 au Palais Omnisports de Paris Bercy, l’organisateur de ces spectacles a indiqué qu’une soirée supplémentaire se tiendra le 4 juillet.

D’après la société Nous Productions, cette nouvelle date a du être rajoutée car les fans qui souhaitent voir sur scène le come back de l’interprête de Womanizer sont trop nombreux.

Pour autant, les concerts des 5 et 6 n’affichent pas encore complet et les prix des places vont de 67,50 à 99,95 euros.

De retour après trois années noires pendant lesquelles Britney Spears s’est surtout illustrée pour ses problèmes personnels et son hospitalisation dans une unité psychiatrique qui lui a valu une mise sous curatelle en février 2008, la pop star semble désormais avoir chassé ses vieux démons et retrouvé son premier amour de jeunesse: la scène.

Mardi 12 mai 2009

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Mp3 : protégez vos oreilles !

May 16, 2020 | News | No Comments

Après les walkmans, ce sont les lecteurs mp3 qui déclenchent les foudres des spécialistes de l’audition. Selon eux, les forts volumes sonores associés à de longues durées d’écoute pourraient entraîner des pertes auditives. Quelques conseils vous permettront d’éviter le pire… à condition de ne pas faire la sourde oreille !

Finalement vous avez craqué : le Père Noël a ramené un joli lecteur mp3 fourni avec ces petits écouteurs si discrets. Et bien selon certains spécialistes de l’audition, ces cadeaux high tech pourraient être un cadeau empoisonné pour vos oreilles.
Plus fort, plus longtemps… plus dangereux !
Déjà dans les années 1980, l’arrivée des walkmans puis des lecteurs de CD portables avaient fait réagir les médecins. Mais aujourd’hui, c’est l’extraordinaire succès des lecteurs mp3 qui pourrait poser problème. Directeur du département des sciences de la communication et de ses maladies de l’université de Northwestern (Louisiane), Dan Garstecki juge même le danger plus grand car ces produits combinent de forts volumes sonores et de longues durées d’écoute. Peu soucieux de leur capacité auditive, les jeunes gens “aiment la musique forte, plus le rap et le rock que la musique classique ou le jazz“. Les volumes sonores atteindraient ainsi souvent 110 à 120 décibels, des niveaux correspondant aux maximums lors de concerts de rock ou dans des boîtes de nuit. Ce qui est assez pour entraîner une perte auditive après seulement une heure et quart !
De plus, les petits écouteurs intra-auriculaires (qui se glissent dans l’oreille) seraient capables d’amplifier de 6 à 9 décibels le signal sonore. “C’est la différence entre le son émis par un aspirateur et une motocyclette ! Une différence loin d’être négligeable !“ précise le Pr. Garstecki.
La combinaison de fortes intensités sonores et d’une longe durée d’écoute amène le spécialiste à réagir, alors qu’il affirme avoir observé chez des jeunes gens des pertes d’audition qui normalement ne surviennent que chez des seniors.
A noter qu’en France, l’article L5232-1 du code de la santé publique prévoit de brider les lecteur mp3 (et tous les baladeurs) à 100 décibels. En 2002, Apple avait d’ailleurs retiré du marché des Ipod qui n’étaient pas en conformité. Mais la loi est facile à contourner : sur les forums de discussions circulent les explications pour “débrider“ son lecteur mp3, en chargeant tout simplement les versions américaines des logiciels faisant fonctionner ces appareils…
Un mélomane averti en vaut deux !
Selon le Pr. Garstecki, deux principaux conseils sont à promouvoir auprès des utilisateurs de lecteurs mp3 :
La règle des 60 % – 60 minutes, qui consiste à ne pas utiliser les lecteurs mp3 plus d’une heure à un volume supérieure à 60 % du maximum (juste au-dessus du volume moyen, soit 6 pour un maximum de 10) ;
L’adoption de casque recouvrant les oreilles. Mais là, le phénomène de mode risque de constituer un obstacle important, ces casques plus encombrants et plus chers comportent le plus souvent des cerceaux autour de la tête. Une particularité qui les rend moins esthétiques… Mais certains fabricants proposent actuellement des compromis avec des casques avec des cerceaux autour du cou ou des casques clip-oreilles.
En respectant ces conseils, vous devriez pouvoir sans mal continuer à écouter votre musique préférée d’Alanis Morisette à Zazie en passant par Nirvana ou 50cent.
David Bême

Fan de Pamela Anderson ou de la série Nip/Tuck, vous êtes sur le point d’opter pour une nouvelle poitrine. Mais certaines rumeurs ont refroidi vos ardeurs : ces implants sont-ils vraiment sûrs ? N’augmentent-ils pas le risque de cancer, notamment celui du sein ?…

Comme les stars hollywoodiennes, vous avez envie de troquer votre bonnet A contre un bonnet C mais vous hésitez face à la mauvaise réputation des implants en silicone… Sachez à quel sein vous vouer.
La mauvaise réputation
Pour augmenter le volume de la poitrine, les chirurgiens esthétiques ont recours à des implants mammaires. Ces prothèses sont le plus souvent en gel de silicone, parce qu’il offre une grande diversité de forme et offre une texture très naturelle. Pendant de nombreuses années, le gel de silicone a été accusé de causer différents troubles : des maladies auto-immunes, rhumatologiques notamment (polyarthrite rhumatoïde notamment). Plusieurs études l’ont finalement lavé de tout soupçon (1,2). Le risque d’éclatement de la poche de gel de silicone a également été jugé minime.
Ces produits ont ainsi pu faire leur réapparition en France dès le début de l’année 2002. Malgré cette approbation de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), une peur subsistait encore : ces implants favorisent-ils sur le long terme la survenue d’un cancer du sein ?
Pas plus de risque de cancer du sein !
Plusieurs études (3,4,5) avaient déjà donné des résultats rassurants, certifiant que les femmes porteuses d’une prothèse mammaire ne présentaient pas plus de risque de cancer du sein. Mais ces données restaient limitées tant en nombre qu’en durée de suivi, jamais plus de 10 à 15 ans. Pour en avoir le coeur net, des chercheurs danois (6) ont suivi près de 3 000 femmes ayant opté pour une augmentation mammaire entre 1973 et 1995. Avec un recul maximum de 30 ans, cette étude bénéficie du plus long suivi jamais réalisé sur le sujet.
Les résultats sont sans appel : aucun risque de cancer du sein supplémentaire n’a été enregistré chez les porteuses de prothèses mammaires. Les chercheurs ont même noté une baisse à peine significative de ce risque. Aucune autre augmentation du risque de cancer n’a été décelée chez ces femmes, en dehors de cancers de la peau superficiels (donc pas de mélanomes) qui pourraient être liés à des expositions solaires plus importantes. Les femmes opérées passeraient-elles plus de temps au soleil, arborant leur nouvelle poitrine ?
Des complications sont possibles
Les implants mammaires en silicone n’augmentent donc pas le risque de cancer. Pas plus qu’il ne gêne l’allaitement, pour en finir avec certaines idées reçues. Notons cependant que la présence d’une telle prothèse a une influence sur les mammographies, les femmes opérés devront donc préciser au radiologue cette particularité pour que la technique soit adaptée.
En janvier 2004, l’Afssaps (7) estimait qu’une “prothèse remplie de gel de silicone a une durée de vie que l’on ne peut estimer précisément à priori puisqu’elle dépend de l’éventuelle survenue de complication“, parmi lesquelles :
– La principale complication de ces implants est la “contracture capsulaire“. La formation d’une capsule autour d’un implant relève d’une réaction normale de l’organisme qui forme une sorte de membrane, autour de tout tissu étranger afin de l’isoler et de se protéger. Mais dans certains cas, cette membrane s’épaissit pour former une coque fibreuse : c’est la contracture capsulaire. En fonction de sa gravité, la constitution de cette coque peut être douloureuse et entraîner des complications d’ordre esthétique nécessitant une nouvelle intervention.
– Autre complication, la rupture est favorisée par un choc violent ou l’ancienneté de l’implant. Le gel peut alors rester dans l’enveloppe fibreuse qui entoure l’implant (il n’y a alors aucun symptôme) ou passer à travers, ce qui peut provoquer une réaction de l’organisme face à ce corps étranger et donc la formation de nodules (siliconomes) et parfois de ganglions inflammatoires. En cas de rupture symptomatique, l’implant sera extrait et remplacé chirurgicalement.
– La formation de plis ou de vagues peuvent également apparaître avec des prothèses pré-remplies de gel plus souple. Cette complication esthétique peut entraîner une usure prématurée de l’implant et donc sa rupture.
De plus, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé rappelait qu’une “femme qui a un implant peut s’attendre à avoir d’autres interventions dans sa vie pour que l’effet bénéfique de l’implant soit maintenu“. Mais toutes les femmes opérées doivent faire l’objet d’un suivi pendant la première quinzaine suivant l’opération, 3 mois et 1 an plus tard. En cas de complication, de suspicion de complication ou de traumatisme, un contrôle sera nécessaire tous les 5 ans.
David Bême
1 – Plast Reconstr Surg. 2003 Feb;111(2):723-32; discussion 733-4.2 – Arch Intern Med. 2001 Apr 9;161(7):973-93 – Int J Cancer. 2000 Oct 15;88(2):301-6. 4 – Cancer Causes Control. 2000 Oct;11(9):819-27. 5 – J Long Term Eff Med Implants. 2002;12(4):271-9. 6 – Int J Cancer. 2006 Feb 15;118(4):998-1003. 7 – Informations relatives aux implants mammaires – Afssaps – 9 janvier 2004Click Here: camisetas de futbol baratas

Alcool et grossesse : Le Havre s'engage !

May 16, 2020 | News | No Comments

Le message est clair : zéro alcool pendant la grossesse. Mais les pouvoirs publics tardent à prendre les mesures nécessaires pour que cette consigne soit entendue. Certaines agglomérations ont décidé de prendre les devants, à l’image du Havre.
La ville lance une grande campagne d’information sur les risques liés à la consommation d’alcool durant la grossesse, qui s’étendra de juin à décembre 2006. De nombreuses femmes ignorent encore les dangers, dont la manifestation la plus grave est le syndrome d’alcoolisation foetale : retard mental, troubles moteurs… Affiches et dépliants pour le grand public et les professionnels de santé seront ainsi diffusés, dans le cadre d’une campagne d’information “non culpabilisante pour les femmes enceintes“. Il faut noter que cette campagne est soutenue également par des producteurs de boissons alcoolisées regroupés dans une association baptisée “Entreprise et Prévention“. On y trouve notamment Kronenbourg, Baccardi-Martini, Moet Hennessy, Pernod Ricard… Les alcooliers prétendent ainsi lutter contre une « consommation excessive ou inappropriée ».
On ne peut que saluer cette initiative, qui pourrait être reprise par d’autres localités. En attendant bien sûr l’avertissement sur les bouteilles de vin et d’alcool pour déconseiller ces boissons aux femmes enceintes, qui a été repoussé à cet été.Source : communiqué de l’Agglomération havraise et Entreprise et Prévention, juin 2006.Click Here: Golf special

Les hommes face à leur miroir

May 16, 2020 | News | No Comments

Une étude américaine réalisée par l’Université de l’Ohio nous le confirme, si nous ne le savions pas déjà, les hommes sont aussi accros au miroir que nous !
Le Docteur Tracy Tilka, spécialisée dans les études consacrées aux troubles alimentaires, a fait remplir un questionnaire à plusieurs centaines d’étudiants de sexe masculin et les résultats sont surprenants. Si les hommes semblent moins sensibles aux images véhiculés par les médias, c’est tout simplement parce que les canons sont différents.
Plus sujettes aux restrictions alimentaires, les femmes sont largement influencées par les canons esthétiques présentés dans les magazines montrant de très jeunes mannequins à peine formées. En revanche, les hommes, de plus en plus bombardés d’icônes musclées, subissent une pression dans le sens opposé. Pour être mince mais gagner en masse musculaire, ils avouent avoir recours à des régimes fantaisistes, à des compléments alimentaires et même à des stéroïdes !
Les hommes sont donc aussi influençables que les femmes et leurs failles narcissiques tout aussi béantes. Un nouveau problème de société en vue, contre lequel il est encore temps de réagir ! Car la beauté est intérieure, n’est-ce pas Messieurs ? Source : Congrès annuel de l’Association Américaine de Psychologie à la Nouvelle Orléans – 10 au 13 août 2006Click Here: camiseta rosario central

365 jours contre le cancer

May 16, 2020 | News | No Comments

La Ligue contre le cancer vient de lancer son calendrier 2007 « Mangeons mieux et Bougeons plus ». Il s’agit d’un véritable guide pour faire de son alimentation un allié santé. Et cette fois, ce sont les personnalités qui vont vous « coacher » tout au long de l’année.
Stéphane Bern, Laure Manaudou, Patrick Poivre d’Arvor, Michèle Laroque, Charles Villeneuve, Bernard Laporte… Douze « people » se succèdent chaque mois pour vous donner une recette, mais aussi raconter une anecdote ou une histoire à propos de son fruit ou légume préféré. Car mieux manger est un geste essentiel de prévention : cinq fruits et légumes par jour suffisent pour faire baisser de plus de 20 % le risque de cancer. L’activité physique régulière contribue également à préserver son capital santé.
Outre les personnalités, le calendrier propose un autre atout pour vous aider à changer en mieux : chaque mois un « défi » vous encourage à prendre une bonne habitude et adopter un geste simple pour porter vote organisme ou préserver votre environnement. Plus qu’un calendrier, c’est donc un véritable allié santé ! De belles photos, des recettes succulentes, des personnalités, vous n’avez aucune excuse pour ne pas l’acheter !
Le calendrier est vendu 7,5 euros au profit de la Ligue contre le cancer. Vous pouvez vous le procurer auprès de l’un des 102 comités départementaux de la ligue, le commander sur internet (www.ligue-cancer.net) ou par téléphone (0 810 111 101).Source : Communiqué de la Ligue contre le cancer – octobre 2006Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

La brosse à dents qu'il vous faut

May 16, 2020 | News | No Comments

Quand avez-vous acheté votre brosse à dents ? Si vous ne vous en souvenez plus, c’est mauvais signe ! Quelle brosse à dents choisir ? Faut-il se convertir à la brosse électrique ? La brosse à dents qu’il vous faut.

Les Français ne sont pas les champions de la brosse à dents, loin s’en faut.
La brosse à dents en chiffres
90 millions de brosses à dents sont vendues en France chaque année. Pourtant, si l’on suivait les recommandations de l’Association française pour la santé bucco dentaire, c’est-à-dire changer de brosse tous les trois mois, ce sont 240 millions de brosses à dent qui devraient être utilisées. Nous sommes loin du compte…
Pour prendre soin de ses dents, le brossage a toute son importance. Et qui dit bon brossage, dit bonne brosse à dents ! Alors que nous devrions acheter quatre brosses à dent par personne et par an, nous en « consommons » 1,5. Résultat : la brosse s’use et le brossage est moins efficace. Bref une brosse à dents doit être renouvelée fréquemment pour lui conserver un maximum de souplesse, d’hygiène et d’utilité contre la plaque dentaire.
A chacun sa brosse à dents
S’il faut changer souvent de brosse, il faut aussi savoir la choisir soigneusement. Chaque personne a ses petits problèmes de bouche, et une brosse à dents, c’est très personnel. Pour les enfants, elle doit être de taille et de forme adaptée à leur bouche plus petite que la nôtre. Et pour agrémenter le changement il ne faut pas hésiter à varier les couleurs et les thèmes ludiques associés à ces brosses à dents. Pour les adultes, elle doit respecter les gencives (les brosses à dent dures ne sont pas recommandées), éliminer la plaque dentaire… s’adapter à la morphologie pour savoir se glisser partout où cela est nécessaire.
L’embarras du choix est tel qu’on est souvent tenté de prendre la première brosse à dents venue. Ce serait dommage, il en existe de nombreuses formes, chacune plus adaptée à une pathologie ou à une susceptibilité dentaire. Là encore, il vaut mieux éviter le premier prix car la qualité risque d’en pâtir et la brosse s’usera plus vite, il faudra donc en changer plus tôt. Et pour reconnaître une brosse à dentss usée n’attendez pas qu’elle ne ressemble plus à rien, et profitez de chaque changement de saison pour en acheter une neuve à toute la famille.
Le choix d’une brosse à dents électrique
Une brosse à dents électrique a de nombreux atouts. Et les utilisateurs disent ne plus pouvoir s’en passer. Et pour cause, elle fait le travail toute seule… Idéal le matin, lorsqu’on est mal réveillé, idéal le soir lorsqu’on est pris d’une grosse flemme avant d’aller se coucher. Sa petite tête se glisse partout, et les mouvements que nous conseillent les dentistes se font tout seul. Il faut souligner que leur efficacité sur la plaque dentaire est supérieur à un brossage manuel. De même, elle diminue le risque des saignements. Attention cependant à ne pas vous brosser les dents moins longtemps.
Là non plus pas question de conserver sa brosse à dents indéfiniment, on se contentera cependant de changer la “tête“ de la brosse à dents et non la partie qui contient le mécanisme électrique.
Dans tous les cas, qu’elle soit manuelle ou électrique, une brosse à dents usée n’est pas d’une grande efficacité ! Alors ayez le bon réflexe changez votre brosse régulièrement.
Juliette Lauzanne

Si c'est pas du McDo, j'en veux pas !

May 16, 2020 | News | No Comments

Vos enfants tordent le nez devant leur assiette ? Servez leur plutôt leur repas dans une boite de McDo et comme par magie, ils adoreront. C’est ce que viennent de démontrer des chercheurs de l’Université de Yale aux Etats-Unis qui ont fait l’expérience avec 63 enfants de 3 à 5 ans.

Concrètement, les chercheurs ont servi des nuggets, des hamburgers, des frites, ainsi que des carottes et du lait à nos gastronomes en herbes. Ces différents aliments étaient proposés dans des boites McDo ou dans des boites sans logo. Et, surprise, les aliments prétendument cuisinés par le clown Ronald sont bien meilleurs que les autres… Pour les chercheurs, “Il semble que les enfants jugent l’intérêt d’une nourriture essentiellement par son contenant. Et ils préfèrent les emballages qu’ils connaissent bien. Nous avons mis en évidence que plus un enfant possède de télés chez lui et mange fréquemment chez McDonald’s, plus il a de chance de trouver meilleure une nourriture servie dans un emballage portant le logo du restaurant“. Bref il faut y voir une marque de confiance.
Alors faites l’expérience chez vous, en leur cuisinant de bonnes frites maison, et vous verrez s’ils préfèrent la cuisine de Maman, ou la marque au M jaune… Ce qui est loin d’être gagné !Source : Arch Pediatr Adolesc Med, août 2007Click Here: Cheap France Rugby Jersey

DALTON, GA – Lucas Warren, this year’s Gerber Spokesbaby, from Dalton, enjoyed his second birthday Sunday. Lucas’ photo was chosen from among more than 140,000 entries to win the Spokesbaby contest in February. As the Grand Prize winner, Lucas’ family received $50,000, he was given the coveted title of 2018 Gerber Spokesbaby and took a front seat on Gerber’s social media channels throughout the year.

Lucas flashed a big, giggly smile during his farm-themed birthday party this week and Gerber, the historic baby food company, shared his picture on their Facebook page. The birthday bash was thrown by Gerber.

The Georgia baby was the first Gerber baby chosen with Down syndrome.

“Lucas’ winning smile and joyful expression won our hearts this year, and we are all thrilled to name him our 2018 Spokesbaby,” said Bill Partyka, President and CEO, Gerber. “Every year, we choose the baby who best exemplifies Gerber’s longstanding heritage of recognizing that every baby is a Gerber baby, and this year, Lucas is the perfect fit.”

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Gerber has received countless photos over the past 90 years from parents who think of their little ones when they see Gerber’s iconic baby logo. In 2017, the logo was refreshed to pay homage to the original black-and-white sketch of the first Gerber baby, Ann Turner Cook, who just celebrated her 91st birthday. Inspired by the adorable baby photos received from proud parents, Gerber launched its first official Photo Search in 2010 and has continued celebrating babies and toddlers every year since, not only through Photo Search but through its real, delicious and nutritious food for babies and expert tools and services for parents.

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“This is such a proud moment for us as parents knowing that Lucas has a platform to spread joy, not only to those he interacts with every day, but to people all over the country,” said Lucas’ mom, Cortney Warren in February when Lucas received the honor. “We hope this opportunity sheds light on the special needs community and educates people that with acceptance and support, individuals with special needs have the potential to change the world – just like our Lucas!”

RELATED: Gerber Baby For 2018 Is First With Down Syndrome

Photo courtesy of Gerber

PHOENIX, AZ — For decades, Steve Dennis found the story of his birth a little too bizarre to get into too deeply. He was Lancaster, Ohio’s, “Little Boy Blue-eyes,” the infant two bread delivery men discovered tucked in a box inside a phone booth on a cold January morning in 1954. That established what he was — the central character in a mystery that would go unsolved for decades — but not who he was.

There were no clues about his name or the name of the person who had abandoned him about three or four hours before the bread delivery men, fortunately, saw something stirring in a box. It wasn’t even clear how long he’d been in the phone booth when the delivery guys found him, but it was long enough that he was cold to the touch, like a bottle of milk left with him, according to reports in the Lancaster Eagle-Gazette at the time.

Had he been kidnapped? Had he been left in Lancaster by a passing motorist? What had been his life in the two months before his “official” birth date, the day he was found in the phone booth?

He was adopted in 1955 by Stanley and Vivian Dennis, who then moved to Arizona. A retired chiropractor living in Phoenix, he has been married to the same woman, Maria, for 22 years and they are the parents of two children. He was in the Peace Corps and traveled extensively. He told the Arizona Republic newspaper he’s had a good life.

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Dennis had known since he was 3 that he was adopted, but didn’t learn until he was a teenager that he had been abandoned in a phone booth — a story he found too outlandish to be true. Still, he was curious and went to Lancaster to find out what he could, returning with the same questions that were his traveling companion on the journey east.

The search for his birth parents lay dormant for decades until Dennis’ two children, ages 18 and 14, began asking questions about his heritage and others he couldn’t answer. The kids were curious and persistent, and they agreed as a family he would take a DNA test through Ancestry.com.

Such websites take a lot of the sleuthing out of genealogy searches. When Dennis got the results of his test back in January, he also received a message from a man who was a genetic match — a first cousin. Sure enough, he had heard family lore throughout his life about a baby who had been left at a phone booth.

“He said ‘I think I know who your mother is. We’ve heard throughout our lives that there’s a baby that we’re related to that was left in a telephone booth,’ ” Dennis told the Lancaster Eagle-Gazette. “It was this like this hidden secret.”

The newly discovered cousin connected Dennis with a half-sister living in Baltimore, Maryland, who had also heard the story of the baby in the phone booth. After her DNA test confirmed the sibling relationship, she connected him with their mother, who also lives in Baltimore. They’re planning to meet later this month.

Dennis is getting bits and pieces of the time before he was left in the phone booth. His mother was 18 and traveling with Dennis’ father when she went into labor and gave birth at an Ohio hospital. He agreed to marry her, but only if they left the baby behind when they returned to Maryland. After forcibly taking Little Boy Blue-eyes from his mother, he left the infant phone booth and ran out on his mother.

“After the baby was gotten rid of — myself — he disappeared,” Dennis said in the video. “Nobody knows where he went. So these sisters are half sisters. But to me that’s a lot, because considering growing up an only child, it’s better than nothing.”

Dennis said he would like to know his actual birthday, but understands his mother doesn’t recall it.

“I’m not going to make a real big deal about this. I’ll just take whatever she gives me and leave it at that,” he told the Lancaster newspaper. “I mean you can’t hassle an 85-year-old woman . So whatever she feels comfortable saying to me, I’ll take. It’s more than I had before.”

You can watch the video below:

Photo via Shutterstock / media_digital

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