FORT CAMPBELL, KY — A soldier from Georgia died earlier this week in a training exercise at Fort Campbell, the U.S. Army’s 101st Airborne Division (Air Assault) said on its Facebook page.

Pvt. 2nd Class Jeremy J. Wells, 19, of Adairsville, Ga., died Wednesday “as a result of a training incident,” the Division said in a statement. The Army said Wells was taking part in weapons training at a small arms range around 2 p.m. Aug 1. at the base when the incident took place.

He treated at the scene “immediately,” and was transported to Blanchfield Army Community Hospital on Fort Campbell where he was pronounced dead from injuries sustained in the incident. No other soldiers were injured.

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“101st Combat Aviation Brigade has lost an incredible member of the Destiny family. Our thoughts and prayers are with the family members of this soldier,” said Lt. Col. Cayton Johnson, commander, 101st Combat Aviation Brigade (Rear), 101st Airborne Division (Air Assault). “We ask that everyone respect the privacy of his family as they grieve this tragic loss.”

Wells was an aircraft electrician in the 101st Combat Aviation Brigade. He joined the Army in 2017, and completed training at Fort Jackson, South Carolina, and Fort Eustis, Virginia, before arriving to Fort Campbell in 2018. He has been awarded the National Defense Service Medal, Global War on Terrorism Medal, Army Service Ribbon and Basic Aviation Badge. The soldier was also posthumously awarded the Army Commendation Medal and the Army Good Conduct Medal.

The cause of the incident is under investigation.

Image via 101st Airborne Division (Air Assault)

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All of Pennsylvania’s state prisons have been locked down indefinitely on Wednesday afternoon due to a sudden and mysterious rash of illnesses among employees, officials announced.

At least 30 prison staff members have been taken ill due to “unknown substances” in recent weeks, the Department of Corrections said. In a statement announcing the lock down, officials suggested the illnesses were related to opioid poisoning or other illegal substances. The Pennsylvania Opioid Command Center is working with the Department of Corrections to investigate the illnesses.

“The safety and security of our employees is my number one concern,” Department of Corrections Secretary John Wetzel said in a statement. “Our state prisons, especially those in the western part of the state, have experienced recent incidents in which employees have been sickened and we need to get to the bottom of this issue now.”

The lock down has several immediate consequences, the most notable and obvious of which is that all visits to state prisons are suspended.

In addition, all employees are required to use personal protective equipment – especially gloves – at all times.

All Department of Corrections mailrooms have also been closed to non-legal mail until further notice.

Opioids like the lethal carfentanil – an elephant tranquilizer than began appearing on the streets in Pennsylvania last year – can be lethal even upon touch. Symptoms of exposure to carfentanil include respiratory depression or arrest, drowsiness, disorientation, sedation, pinpoint pupils and clammy skin, according to health officials. Symptoms typically occur just minutes after exposure.

The situation is not contained to Pennsylvania. Wetzel added that the Ross Correctional Institution in Ohio has also had 20 staff members and inmates who were recently taken ill with similar symptoms.

This is a breaking story. More information will be provided as it becomes available.

Image via Shutterstock

La sublime Bar Refaeli, petite-amie en titre du beau Leonardo DiCaprio, sait à merveille concilier travail et plaisir. Poser tout en faisant de l’exercice, pas de problème, miss Refaeli sait faire. Et quand la nouvelle activité créée par Reebok se révèle être innovante et ludique, la top s’en réjouit.

Pour parer aux éternels cours de gym, abdos fessiers, et footing, Reebok a mis au point un nouveau moyen de prendre soin de son corps. La marque a travaillé en étroite collaboration avec le Cirque du Soleil pour concevoir Jukari Fit To Fly. Accrochée à son trapèze Flyset, Bar Refaeli a été l’une des premières à tester cette toute nouvelle pratique conjuguant exercices de cardio ou stretching tout en offrant une grande liberté due à la sensation de voler.

Leslie Calvagne, la directrice du programme Jukari Fit To Fly, avait un objectif : «faire sourire pendant l’effort». Alors que cette dernière coachait Bar Refaeli pendant le shooting à Madrid visant à promouvoir la ligne de prêt-à-porter On The Moove de Reebok, elle a pu se rendre compte que sa mission avait été accomplie. «Jukari Fit To Fly est une activité vraiment cool! mais aussi physique. On s’amuse en se dépensant, c’est vrai, je n’ai pas arrêté de rire!» raconte le modèle. Laissons le hula hoop à Liv Tyler, et filons, vite fait bien fait, s’essayer à un sport qui risque bien d’être aussi tendance que les Pilates.

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Marion Buiatti

Mercredi 13 mai 2009

Si vos proches se mettent à prendre du poids, vous avez toutes les chances d’en faire autant ! Des chercheurs américains ont étudié 12 000 personnes sur plus de 30 ans et ont montré que si vos amis et votre famille grossissent, vous avez toutes les chances vous-aussi de faire grimper l’aiguille de la balance.
Dans le détail, si un de vos amis prend du poids, vous avez 67 % de chances de faire de même, si c’est un frère ou une soeur, vous avez 40 % de risques en plus, et 37 % s’il s’agit de votre conjoint. Le sexe a une forte influence : s’il s’agit d’un ami du même sexe qui grossit, le risque de le suivre est de 71 %. Et entre deux frères, les chances de prendre du poids sont de 44 %, mais elles grimpent à 67 % entre deux soeurs.
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Les scientifiques ont même montré que la distance ne changeait rien à l’affaire : même si votre ami vit à plusieurs centaines de kilomètres et se met à prendre du poids, vous avez plus de chances de grossir. Ainsi, cela va au-delà du fait de simplement partager les mêmes restaurants ou de pratiquer le même type d’activités physiques.
Mais pas question pour autant d’abandonner vos proches s’ils se mettent à grossir ! L’étude montre que plus vous êtes entouré, moins vous avez de chance de prendre du poids. Il vaut mieux avoir des amis qui grossissent que pas d’amis du tout !Source : New England Journal of Medicine, juillet 2007; vol. 357 : p. 370-379.

C’est une des voix les plus célèbres du monde qui s’est tue le 6 septembre. Luciano Pavarotti, célèbre ténor italien est mort dans sa ville natale de Modène. Il aurait eu 72 ans le mois prochain. Depuis, les hommages se succèdent et saluent l’un des plus grands ténors de tous les temps.
Luciano Pavarotti avait été opéré d’un cancer du pancréas en juillet 2006 et hospitalisé début août. S’observant surtout après 40 ans, cette maladie touche principalement les hommes. Situé sous l’estomac, le pancréas est à l’origine de la production d’hormones nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme comme l’insuline. Le cancer peut toucher la tête du pancréas dans 80 % des cas, ou le corps et la queue de cet organe. On connaît certains facteurs favorisants : le tabac et un régime riche en graisses et en protéines animales…
Ce cancer est l’un des plus redoutables et malgré les récents progrès thérapeutiques, le taux de survie à 5 ans est de moins de 10 %.

Le glaucome est une maladie grave de la vision qui peut conduire à la cécité. Evoluant insidieusement, elle doit être détectée tôt avant de causer d’irréversibles dommages. Facteurs de risque, dépistage et traitements… le point complet sur ce fléau.
 
 Le glaucome est une maladie visuelle assez fréquente puisqu’elle touche plus d’un million de Français. Dans le monde, on estime que 70 patients glaucomateux. Il existe plusieurs types de glaucomes, mais nous parlerons ici du glaucome à angle ouvert qui représente en France 90 % des cas.
 
Glaucome : une maladie insidieuse
 

Ce sont principalement les personnes de plus de 40 ans qui sont touchées, mais dans de plus rares cas les enfants et les adultes jeunes peuvent être concernés. Cette maladie est liée à une élévation anormale de la pression du liquide qui se trouve à l’intérieur du globe oculaire. Cette hypertonie intra-oculaire conduit de manière progressive à une destruction lente du nerf optique. “Attention, tous les patients qui présentent une pression intra-oculaire trop importante ne vont pas souffrir de glaucome. Seule une personne sur dix en souffrira“ précise le Pr. Renard, ophtalmologue à l’hôpital du Val de Grâce (Paris). On suspecte ainsi la combinaison de plusieurs facteurs : hypertonie intra-oculaire et l’âge, mais également des facteurs génétiques, l’ethnie, myopie forte, maladies cardiovasculaires ou la prise de certains médicaments.
 
 La maladie évolue sans douleur et conduit à une détérioration insidieuse du champ visuel, qui peut aller jusqu’à la cécité en l’absence de traitement. Il est ainsi impossible de savoir seul que l’on est atteint d’un glaucome débutant. Seul un examen réalisé par un ophtalmologiste peut le révéler.
 
La nécessité d’un dépistage précoce
 
 Parce que cette atteinte du nerf optique est dénuée de symptômes (pas de douleur, réduction du champs visuel très progressive et non ressentie…), les premiers stades de la maladie passent souvent inaperçus. “Le glaucome peut être découvert fortuitement à l’occasion d’une visite chez l’ophtalmologue sur un autre sujet (lunettes, oeil sec, allergies…), ou lors d’une visite motivée par la présence d’antécédents familiaux de glaucome dans la famille (dans ce cas, le risque de souffrir de la maladie est doublé) ou lorsque des signes de réduction du champ visuel sont apparus dans le cas d’une maladie avancée“ précise le Pr. Renard.
 
 Comment diagnostiquer le glaucome ? “Pour le détecter, l’ophtalmologue dispose d’examens indolores, non invasifs et ne causant pas de traumatisme“ précise le Dr Yves Lachkar, ophtalmologue à l’hôpital Saint Joseph (Paris) et directeur de l’institut du glaucome. Ces tests sont :
 
 – La prise de la tension oculaire mesurée par un petit appareil (le tonomètre) ou grâce à des appareils qui qui projètent de l’air pulsé sur la cornée. La pression intra-oculaire normale doit être comprise entre 10 et 21mmHg ;
 – Le fond d’oeil : grâce à un ophtalmologue, l’ophtalmologiste peut observer le départ du nerf optique au fond d’oeil (ou papille) ;
 – Examen du champs visuel : En cas de suspicion de glaucome, un examen du champ visuel permet de voir s’il existe des lacunes. Chaque oeil est alors testé séparément par ordinateur et permettront d’évaluer votre vision centrale et périphérique.
 
 En cas de diagnostic ou de forte suspicion de glaucome, ces mêmes examens seront répétés périodiquement afin de s’assurer que la maladie est bien maîtrisée et que votre vision est sauvegardée.
 
Glaucome : des traitements éprouvés
 
 Une fois que les dégâts du champs visuels sont installés, on ne peut revenir en arrière, d’où l’intérêt de détecter au plus tôt la maladie pour stopper ou limiter l’évolution de la maladie avant qu’elle ne soit trop handicapante. Aujourd’hui, il existe trois grands types de traitements que nous présente le Dr Yves Lachkar :
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 – Les collyres permettent d’abaisser la pression intra-oculaire en augmentant la quantité de liquide drainée hors de l’oeil ou en diminuant la quantité de liquide produite ;
 – Le laser (Laser Argon, Laser YAG, Laser Diode) va faire un petit trou (iridotomie) dans l’iris grâce au laser afin d’éviter le blocage brutal de l’évacuation d’humeur aqueuse en dehors de l’œil ;
 – La chirurgie peut s’avérer nécessaire pour faire baisser la pression intra-oculaire si la maladie continue à progresser.
 
 
 David Bême
 Source : Conférence plénière – Salon Forme et santé – Jeudi 18 octobre 2007

Pendant la grossesse, l’alimentation est primordiale : les besoins sont accrus et il est indispensable d’éviter les carences. Le point sur les bonnes pratiques alimentaires pour aider bébé à se construire…

Le choix des aliments pendant la grossesse est essentiel. Les besoins de la mère sont variés, à la fois pour un bon déroulement de la grossesse et un développement sans problème de bébé. La devise qui doit vous accompagner pendant la grossesse est : ne pas manger pour deux mais manger deux fois mieux !
Quelques habitudes à prendre…
La première habitude à prendre est d’adopter un rythme alimentaire très régulier : l’idéal est de faire chaque jour trois repas égaux sur le plan énergétique, plus deux collations légères. Il est également important de toujours respecter l’équilibre alimentaire en insistant sur les apports en glucides, en fer et en calcium. Prenez régulièrement les suppléments nutritionnels qui vous sont prescrits (vitamine D, fer…) mais ne prenez pas n’importe quelles polyvitamines sans consulter votre médecin.
De l’énergie avant tout !
Le “coût énergétique“ d’une grossesse correspond à un supplément de 150 kcal par jour pendant le 1er trimestre et de 350 kcal lors des 2eme et 3eme trimestres. Bien sûr, cela dépend de votre corpulence, de votre niveau d’activité pendant la grossesse et d’autres facteurs individuels. Attention, si votre ration énergétique est inférieure à 1500 kcal par jour pendant la seconde moitié de la grossesse, il peut y avoir des répercussions sur la croissance du foetus. Heureusement, en France, la plupart des femmes ont une alimentation convenable pendant leur grossesse et il n’est pas nécessaire d’envisager des suppléments énergétiques.
De la viande pour fabriquer du muscle !
Les apports conseillés en protéines sont de 70 g par jour chez la femme enceinte. Les apports alimentaires les dépassent largement, sauf chez des femmes appartenant à des groupes “à risque“ : milieux défavorisés, régimes particuliers (végétalisme)… Il faut alors combiner protéines animales et végétales.
Envie de sucré ?
Le métabolisme des glucides est profondément modifié pendant la grossesse, et le glucose est très important pour les tissus foetaux. Il faut privilégier les sucres lents (féculents par exemple) et bien répartir les glucides au cours des repas de la journée. Le petit déjeuner notamment doit comporter des glucides lents : les risques d’hypoglycémie sont très importants après le jeûne nocturne. Un petit déjeûner glucidique doit apporter 40 à 50 g de glucides lents, ce qui représente l’équivalent de 80 g de pain ou 6 biscottes ou encore 60 g de céréales.
Des lipides pour les nerfs…
Les lipides sont importants : ils contribuent aux apports énergétiques. Il faut veiller à leur contenu en acides gras essentiels, indispensables au nouveau-né de manière générale, et à un bon développement des tissus nerveux en particulier.
Calcium : bon aussi pour maman
Les besoins en calcium sont d’environ 1 000 mg par jour. En plus de la minéralisation osseuse chez le bébé, la consommation de calcium protège la femme enceinte du risque d’hypertension artérielle et de ses graves complications, les crises d’éclampsie. Il enrichit en calcium le lait maternel à venir. Il aurait même un rôle dans la prévention du risque de dépression du post-partum.
Vitamines indispensables
Les besoins en vitamines sont tous accrus pendant la grossesse. Les besoins en vitamines A, C et B sont facilement couverts par une alimentation suffisamment diversifiée. En revanche, la couverture des besoins en acide folique (vitamine B9) pose un problème, beaucoup de femmes montrant un taux bas dès le début de grossesse. La carence en acide folique augmente le risque de prématurité et de retard de croissance foetale. Elle peut entraîner de graves malformations affectant le système nerveux chez certaines femmes prédisposées. On conseille à toutes les femmes d’augmenter les apports alimentaires en acide folique, et de prendre des compléments alimentaires dès le projet de grossesse (au moins deux mois avant la conception) et durant tout le premier trimestre.
La carence en vitamine D, fréquente en fin de grossesse, favorise les hypocalcémies néonatales. C’est pourquoi en France on recommande de supplémenter en vitamine D systématiquement les femmes enceintes, au moins pendant le 3eme trimestre.
Du fer pour bébé
Les besoins en fer sont augmentés surtout au cours des 6 derniers mois de grossesse, et demandent des apports de 30 à 50 mg par jour minimum (les besoins en fer lors de la grossesse sont si élevés qu’il est généralement nécessaire de prendre une supplémentation). L’anémie ferriprive, conséquence de la carence en fer, augmente les risques de prématurité et d’hypotrophie foetale. Compte tenu de réserves faibles avant la grossesse, beaucoup de femmes présentent une anémie et doivent recevoir des suppléments en fer. Les femmes les plus à risque sont les adolescentes, les femmes ayant des grossesses rapprochées ou multiples, les végétariennes, les femmes issues de milieux défavorisés.
Les besoins en autres micronutriments (magnésium, zinc, iode) sont bien couverts par l’alimentation. Il n’existe pas de preuve qu’une supplémentation en fluor ait un effet sur la future dentition du foetus.
Enfin, le sel peut être consommé normalement pendant la grossesse, soit 10 à 12 g par jour, sauf contre-indication médicale.Click Here: New Zealand rugby store

Chaque année le premier janvier, on assiste à une petite compétition internationale : qui sera le premier bébé de l’année ? En 2008, il y a deux prétendants au titre : un Autrichien et un Français !
La guerre est déclarée sur cette paternité entre l’Autriche et la France, ou plus exactement entre l’Autriche et l’Ile de la Réunion (qui fait partie des régions ultrapériphériques de l’Europe). En effet, la maternité Rudolfsstift de Vienne a la première annoncé la naissance du petit Brian, à minuit et 8 secondes, qui était donc le premier bébé d’Europe et certainement du monde.
Titre aussitôt contesté par l’Ile de la Réunion avec la petit Valérie née à minuit pile heure locale, soit 8 secondes plus tôt. Difficile de faire mieux ! Il faut dire que la petite Valérie était en avance : née à 29 semaines, elle pèse 1,2 kg.
De plus, si l’on fait entrer en ligne de compte le décalage horaire, la petite Réunionnaise à même plusieurs heures d’avance sur son concurrent Autrichien. Il reste que 8 secondes, cela n’est vraiment rien, surtout sans savoir si les horloges des maternités sont exactement à l’heure.
En attendant sur Doctissimo, le concours du bébé de la semaine, c’est toute l’année ! Source : Clicanoo, le journal de l’Ile de la Réunion, 2 janvier 2008.Click Here: cheap Cowboys jersey

De plus en plus de couples font appel à la médecine pour faire un bébé. Combien y a-t-il de fécondation in vitro en France ? Quelles sont les chances de grossesse selon les techniques employées ? Tour d’horizon de la procréation médicalement assistée dans l’Hexagone.

Un couple sur 10 suit un traitement pour booster sa fertilité.
Environ un couple sur sept consulte son médecin parce qu’il éprouve des difficultés à procréer. Mais au final, c’est un sur 10 qui devra effectivement avoir recours à des techniques de procréation médicalement assistée.
123 000 tentatives de procréation médicalement assistée réalisées chaque année.
Dans le détail, 57 777 inséminations artificielles ont été pratiquées en 2005 et 65 223 cycles de fécondation in vitro ont été réalisés.
2,4 % des naissances grâce à la procréation médicalement assistée.
Aujourd’hui, sur plus de 800 000 naissances en France, 19 026 sont nés avec l’aide des techniques de procréation médicalement assistée. Ce qui représente un enfant sur 40 environ.
23 % de chances de grossesse après une fécondation in vitro.
La fameuse fécondation in vitro consiste à prélever des ovules directement chez la femme (après une stimulation ovarienne) et des spermatozoïdes chez l’homme, de réaliser la fécondation dans un milieu adapté puis de placer le ou les embryons obtenus dans l’utérus de la future mère. Plus de 11 000 bébés-éprouvette sont nés en 2005. Cette technique a ainsi un taux de grossesse proche de la méthode naturelle. En effet, chez un couple de 25 ans, on estime à 25 % les probabilités mensuelles de grossesse (cette probabilité diminue ensuite avec l’âge).
11 % de chances de grossesse après une insémination artificielle intraconjugale.
Cette procréation médicalement assistée consiste à introduire directement le sperme de l’homme dans l’utérus de la femme, avec éventuellement une stimulation ovarienne pour favoriser l’ovulation. Plus de 5 000 enfants sont nés grâce à cette technique en 2005.
6,7 % des procréations médicalement assistées avec des gamètes de donneur.
Dans le détail, 11 % des inséminations artificielles et 3 % des fécondations in vitro sont réalisées avec du sperme de donneurs. Ces PMA ont permis la naissance de 1 293 enfants en 2005. Mais il manque toujours un nombre important de donneur de sperme et encore plus de donneuses d’ovocytes.
Curieusement, les chances de grossesse par une fécondation in vitro avec sperme de donneur sont de 27 %, donc plus élevées qu’une FIV au sein du couple (23 %).
58 % des fécondations in vitro sont des ICSI.
L’Intra-Cytoplasmic Sperm Injection (ICSI) est la technique dérivée de la FIV qui consiste à introduire directement un spermatozoïde dans l’ovule, pour être sûr de le féconder. Elle est notamment indiquée lors de problèmes d’infertilité masculine. L’ICSI est donc aujourd’hui la technique la plus employée.
1 768 enfants nés après transfert d’embryons congelés.
En 2005, 13 000 embryons congelés issus d’une FIV ou d’une ICSI ont été transférés, donnant naissance à 1 768 enfants. Fin 2005, il y avait 141 460 embryons congelés en attente, appartenant à 38 274 couples. Près de 60 % sont conservés dans le cadre d’un projet parental.
Alain Sousa
Source : Rapport de l’Agence de Biomédecine, janvier 2008, à partir des données de l’année 2005.Click Here: cheap all stars rugby jersey