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What's New On Netflix: December 2018

May 8, 2020 | News | No Comments

The holiday season has finally arrived — and you can bet that Netflix is ready to bring some holiday cheer! With a dazzling new selection of movies, TV series and Netflix originals, the popular streaming service will help make those long, wintery nights a little warmer and cozier for all.

Netflix films lighting up your screens this month include Sandra Bullock’s dystopian thriller “Bird Box,” Jennifer Aniston’s drama-musical “Dumplin,'” Alfonso Cuaron’s Oscar contender “Roma,” and “Mowgli: Legend of the Jungle,” which is Andy Serkis’ new take on “The Jungle Book.”

In the mood for a festive flick? Keep your holiday spirits merry and bright with Netflix-originals like “5 Star Christmas,” “Nailed It! Holiday!” “Free Rein: The Twelve Neighs of Christmas” and “Chilling Adventures of Sabrina: A Midwinter’s Tale.”

Last but not least, Netflix will be ringing in Christmas day with the streaming release of the summer blockbuster hit, Robert Downey Jr’s “Avengers: Infinity War.”

Check out the full list of Netflix’s new releases for December 2018, below:


What’s New To Netflix In December 2018



Available December 1



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Other entertainment news:

Universal Pictures s’accapare Mac Guff !

May 8, 2020 | News | No Comments

Distributeur de “Moi, moche et méchant” et “Lorax”, Universal Pictures compte bien poursuivre sa collaboration avec Mac Guff, puisque la boîte vient de prendre possession du studio d’animation français, qui sera rebaptisé Mac Guff Illumination.

Vu le succès de Moi, moche et méchant, il n’est pas étonnant qu’Universal Pictures fasse à nouveau confiance à Mac Guff en distribuant Lorax l’été prochain. Mais le studio ne compte pas s’arrêter là et laisser partir son poulain puisque, via Illumination Entertainment, il vient de mettre la main sur la boîte française, dont le nom deviendra prochainement Mac Guff Illumination. Ce faisant, Universal Pictures s’oriente vers une collaboration à durée indéterminée avec les créateurs des Minions, et donne un peu plus d’importance à son département animation, qui nous livrera donc Lorax, puis la suite de Moi, moche et méchant, en 2013.

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Maximilien Pierrette avec Universal Pictures

L’actrice indienne qui vient chaque année au Festival de Cannes ne joue pas que les égéries L’Oréal. Elle défend aussi les bonnes causes. Après s’être investie en début de festival dans l’action Cinéma Vérité, Aishwarya Rai s’est prêtée à la traditionnelle signature du Nabuchodonosor Moët & Chandon dont les recettes des ventes des bouteilles seront reversées au profit d’œuvres de bienfaisance.

Cette initiative de Moët & Chandon, qui a lieu lors de nombreux événements internationaux tels les Golden Globes, le Festival du cinéma américain de Deauville, le Festival de Film de San Sebastian et pour la première fois cette année le champagne exclusif des Oscars. De nombreux acteurs se prêtent au jeu à chaque fois. Il n’y a pas que le glamour sur la Croisette.

Dans la même lignée, Moët & Chandon est le champagne officiel de l’événement « Le Cinéma Contre le SIDA » dont les bénéfices seront reversés à l’amfAR. Cette année, la présidence de la soirée sera assurée comme chaque année par Sharon Stone, avec en invités d’honneur Harvey Weinstein et surtout Bill Clinton, très attendu.

« La Maison a vu des générations d’acteurs, d’actrices légendaires, de producteurs et de directeurs célébrer leur consécration cinématographique, nous sommes enchantés de soutenir cette année encore, à Cannes, des chefs-d’œuvre du cinéma », a affirmé Frédéric Cumenal, le Président-directeur général de Moët & Chandon.

Et toute l’actualité du festival: tapis rouge et conférences de presse en vidéo, diaporamas, indiscrétions de la Croisette et blogs cannois…

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Les tumeurs gastro-intestinales (GIST) sont des tumeurs rares du tube digestif de la famille des sarcomes des tissus mous, dont les plus fréquentes touchent l’estomac et l’intestin grêle. On compte 800 à 1 000 nouveaux cas par an en France. Cette maladie est traitée par chirurgie et par une thérapie ciblée, le Glivec ®. Utilisé lorsque la chirurgie n’est pas possible, ce médicament est aussi utile après la chirurgie pour réduire le risque de récidive. Une étude présentée lors du congrès américain d’oncologie (ASCO 2011) plaide aujourd’hui en faveur d’un traitement post-chirurgie (adjuvant) de longue durée : trois ans au lieu d’un seul.Une prise en charge révolutionnée par le Glivec ©

Agissant spécifiquement sur une protéine oncogène impliquée dans la maladie, la molécule appelée “imatinib mésylate“, et initialement conçue pour traiter les cas de Leucémie Myéloïde Chronique (L.M.C.) a bouleversé la prise en charge de ces cancers. Le

Glivec ® ne s’attaque qu’aux cellules malignes, et ne tue pas les cellules saines. Son action vise à bloquer le processus de croissance et de prolifération des cellules cancéreuses dans l’organisme. Avec ce traitement, 90 % des GIST en rechute ont pu être traités efficacement1.Grâce à ce médicament, la maladie même au stade inopérable peut être contrôlée et l’espérance de vie de ces mêmes patients a augmenté de façon considérable puisque plus de 90 % d’entre eux sont encore en vie au bout d’un an de traitement. Ce médicament est également utilisé en adjuvant après chirurgie chez les patients présentant des risques de rechutes2.Vers un traitement adjuvant de longue durée ?

C’est dans cette indication de traitement adjuvant après chirurgie qu’une étude présentée à l’ASCO 2011 pourrait bien changer la prise en charge3. L’étude a porté sur 400 patients atteints de GIST. La moitié des patients ont reçu le Glivec ® en adjuvant après chirurgie pendant 12 mois, les autres pendant 36 mois. Au terme du suivi, l’étude a montré que les patients traités durant une longue durée avec Glivec après une intervention chirurgicale ont vu leur survie prolongée sans réapparition de la tumeur. Dans le cas de Glivec (Imatinib) les plus récentes données d’une étude de 5 ans montrent que 66 % des patients qui ont été traités durant 3 ans avec le médicament n’ont pas souffert de réapparition de la tumeur. 48 % des patients seulement des patients traités durant un an avec Glivec n’ont pas eu de nouvelle tumeur. Par ailleurs, 92 % des patients traités durant trois ans ont survécu, contre 82 % pour ceux qui n’avaient été traités que durant un an. Le médicament a globalement été bien toléré même si 7,7 % des patients traités un an et 13,7 % de ceux traités 3 ans ont arrêté la prise en charge à cause des effets secondaires. Les chercheurs ont recensé peu de cas de résistance au Glivec (2 % et 6,1 % pour les patients respectivement traités un an et trois ans).Selon Heikki Joensuu, professeur d’oncologie à l’Université d’Helsinki, “Cela pourrait constituer le premier exemple d’un traitement adjuvant de longue durée avec une thérapie ciblée inhibiteur de tyrosine kinase, et cela pourrait devenir le traitement standard“. Pour autant, il n’est pas question aujourd’hui de laisser indéfiniment les patients sous traitement (d’autant plus que chez certains, la chirurgie suffit à éliminer le cancer, mais il n’est pas possible de déterminer ceux qui auront besoin du médicament). Enfin, ce traitement efficace reste très coûteux. Le chercheur insiste également sur la nécessité de poursuivre les recherches pour pouvoir identifier plus finement les patients pour qui le bénéfice d’un traitement adjuvant de longue durée est utile (identification de facteurs de risque spécifiques de récidive…). L’étude se poursuit actuellement avec un groupe qui continue le traitement pendant 5 ans.David Bême1 – Effect of the tyrosine kinase inhibitor STI571 in a patient with a metastatic gastrointestinal stromal tumor. – Joensuu H, Roberts PJ, Sarlomo-Rikala M, Andersson LC, Tervahartiala P, Tuveson D, Silberman S, Capdeville R, Dimitrijevic S, Druker B, Demetri GD – N Engl J Med. 2001 Apr 5;344(14):1052-6. –

(accessible en ligne)2 – RCP du Glivec

(accessible sur notre guide des médicaments)3 – Twelve versus 36 months of adjuvant imatinib (IM) as treatment of operable GIST with a high risk of recurrence: Final results of a randomized trial (SSGXVIII/AIO) – Abstract LBA1 –

(accessible en ligne)

La plus célèbre des new-yorkaises est apparue en couverture du Vogue US du mois d’aout, vêtue d’un manteau Burberry de la collection Automne-Hiver 2011-2012.Icône de mode confirmée, la star de 46 ans a opté pour un modèle “officier“ noir et blanc, une pièce inspirée de la tendance militaire.

On devrait retrouver cette tendance cet hiver dans les rayons de nos boutiques préférées. Un look à suivre !Stéphanie MoyalSource : Twitter Burberry – juillet 2011

Les collégiens manquent de sommeil

May 7, 2020 | News | No Comments

Entre 11 et 15 ans, les adolescents perdent en moyenne 20 à 30 minutes de sommeil quotidien, les veilles de journées de classe. De ce fait, les jeunes de 15 ans dorment en moyenne 1h31 de moins que ceux de 11 ans. C’est ce que révèlent les premiers résultats sur le sommeil de l’enquête HBSC menée par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), le Service médical du rectorat de Toulouse et l’Institut national du sommeil et de la vigilance (Insv).

Cette différence de

sommeil des adolescents les veilles de jours de classe est cependant compensé par des nuits plus longues lorsqu’il n’y a pas classe le lendemain. Ce phénomène de compensation concerne 16 % des jeunes de 11 ans et plus de 40 % à 15 ans. Plus l’âge augmente, plus l’écart entre le temps moyen de sommeil avec ou sans classe le lendemain suit la même évolution. “Il passe de 51 minutes à 11 ans à 1h49 à 15 ans. A 15 ans, cet écart est de 2h02 en moyenne pour les filles et de 1h35 pour les garçons“ précise le communiqué. 
Les auteurs soulignent que si un manque ponctuel de sommeil se rattrape aisément, un manque chronique est susceptible de favoriser, entre autres des troubles de l’humeur ou du comportement,

l’hypertension artérielle, ainsi que

l’obésité et peut constituer un risque supérieur de morbidité. “Les jeunes de 11 à 15 ans ont besoin d’un temps de sommeil plus long que les adultes. Ainsi, chez les adolescents, le seuil de privation chronique de sommeil est considéré, comme sévère à partir de 7 heures. Si une telle privation est très rare avant 13 ans, elle concerne un quart des jeunes de 15 ans, qui peuvent dès lors être considérés, comme à risque supérieur de morbidité“.
Alors pour prendre soin de la santé de votre enfant, rappelez lui les bienfaits d’une bonne nuit de sommeil…David BêmeCette étude a été réalisée auprès de 9 251 collégiens âgés de 11 à 15 ans.
Sources :
– Communiqué conjoint de l’Inpes, du Service médical du rectorat de Toulouse et de l’Institut national du sommeil et de la vigilance (Insv), 6 septembre 2011
– Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) 2010, Beck François, Richard Jean-Baptiste, Godeau Emmanuelle, Léger DamienClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Environ 861 cas graves de grippe, nécessitant une admission en réanimation, sont survenus au cours de l’hiver 2010-2011, un nombre deux fois moins élevé que l’année d’avant, apprend-on dans le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) consacré au bilan de la grippe, 1 an après la pandémie.

Au total, ce sont 2,78 millions de personnes qui ont consulté un médecin généraliste pour syndromes grippaux au cours des neuf semaines d’épidémie, contre 3,14 millions de Français en 2009.
Autre enseignement de l’étude, plus de 17 000 passages aux urgences pour

grippe clinique ont été enregistrés tout au long de la saison 2010-2011, dont 919 hospitalisations. Les seniors âgés de 65 ans et plus apparaissent comme la population la plus touchée par ces hospitalisations (29 %), devant les enfants de moins de 5 ans (6 %), les 15-65 ans (4 %) et les 5-14 ans (3 %). La réduction la plus forte du nombre de cas graves de grippe admis en réanimation en 2010-2011 concerne les 5-14 ans, soulignent les auteurs, qui l’expliquent par “une immunisation acquise l’an passé“, lors de la pandémie de

grippe A(H1N1). Le premier cas signalé a été hospitalisé le 26 novembre 2010, et le dernier le 6 avril 2011. Le pic a été observé au cours de la dernière semaine de l’année 2010, soit 5 semaines avant le pic des consultations. Le virus grippal A, et plus particulièrement le A(H1N1), était largement majoritaire, comparé au virus B  (54 % contre 11 %), soulignent les auteurs. Le syndrome de

détresse respiratoire aiguë était de loin la complication la plus fréquente  (65 %), devant l’oxygénation extracorporelle (ECMO), d’autant plus que l’infection était due au virus A(H1N1), par rapport au virus A(H3N2) ou B. Ce type de complication était en outre nettement plus fréquent chez les adultes et les seniors, que chez les enfants et adolescents. Parmi les cas admis à l’hôpital, 64 % présentaient un facteur de risque de grippe compliquée : 5 % étaient obèses et 20 % étaient des femmes enceintes. Les auteurs concluent à la bonne efficacité du vaccin, évaluée à 72 %, et même à 80 % chez les adultes porteurs d’une maladie chronique, et encouragent donc son utilisation chez les personnes à risque. Parmi les cas graves pour lesquels l’information était disponible, on note tout de même que 12 % avaient reçu l’injection antigrippale. Les auteurs n’établissent en revanche pas de lien entre la prise précoce d’antiviraux et la gravité de la grippe, mais préconisent toutefois leur utilisation chez les personnes à risque. Amélie PelletierSourceCas graves de grippe admis en réanimation en France, saison 2010-2011 – BEH 37-38/11 octobre 2011 (téléchargeable sur le

site de l’Institut de veille sanitaire).Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Les implants mammaires de la marque Poly Implant Prothèse ne sont plus posés en France depuis début 2010, en raison de leur fragilité particulière et de la nocivité du gel contenu à l’intérieur. Mais 30000 Françaises en portent encore. La survenue du décès récent d’Edwige Ligoneche, porteuse de tels implants, suite à une forme rare de cancer est-il lié à une fuite du gel? D’une manière générale les prothèses mammaires contenant du silicone sont-elles cancérigènes? Faut-il retirer préventivement tous ces implants? Retour sur les éléments d’une polémique.

Un risque important de fuites de gel

Les 

implants mammaires fabriqués par la société Poly Implant Prothèse (PIP) sont anormalement fragiles: l’enveloppe remplie du gel de silicone utilisé par PIP se romprait dans 10 % des cas (risque présent dès les premières années), contre 1 % avec les autres implants. De plus le suintement (qui précède la rupture), serait très fréquent (11 % des cas), exposant à une suffusion de silicone au niveau du sein et des structures anatomiques adjacentes : ganglions des aisselles, cage thoracique, etc. Enfin, cette silicone n’était pas conforme (prévue pour un usage industriel et non médical). Or l’accumulation de silicone suite à une fuite, en particulier au niveau des ganglions axillaires, “peut provoquer des douleurs et/ou des inflammations“, 

a constaté l’Afssaps, l’agence française du médicament.L’Afssaps a également souligné que ce gel de silicone non conforme présentait “un pouvoir irritant“ absents des autres gels. Enfin, les prothèses PIP sont très hétérogènes (certaines sont très fragiles, d’autres moins). Par contre, elles ne présenteraient pas de risque de “génotoxicité“ (évolution à risque cancéreux), selon les expériences réalisées par l’agence sur des souris.Un retrait sous surveillance qui inquiète les femmes porteuses

Devant ces risques, l’Afssaps a suspendu en mars 2010 la mise sur le marché et l’utilisation de ces implants. Elle recommande un examen clinique et une échographie tous les 6 mois des seins et zones ganglionnaires axillaires. Devant tout signe de rupture ou suintement, l’Afssaps recommande l’ablation des deux prothèses. Les frais médicaux et chirurgicaux 

sont totalement pris en charge par l’Assurance Maladie.Mais les 30 000 Françaises qui portent ce type d’implants ne sont évidemment pas rassurées depuis la révélation de ces risques. De plus, si leurs prothèses sont enlevées, elles ne sont remplacées gratuitement que si la pose initiale était liée à un cancer du sein, et non pour raisons esthétiques.Un certain nombre de ces femmes, affectées par ces doutes et risques, font partie de l’

association des Porteuses de Prothèses PIP (PPP), qui coordonne désormais 1 400 plaintes sur ce sujet (rappel : les actions de groupe, ou “class actions“, ne sont toujours pas possibles en France ; il faut donc déposer des plaintes individuelles, ce qui ralentit l’action de la justice et donc les indemnisations). Une inquiétude qui grandit malheureusement depuis quelques jours, suite au décès d’une femme porteuse de tels implants.Décès lié à l’ALCL, une forme rare de lymphome

L’association PPP a donc annoncé 

dans un communiqué qu’Edwige Ligoneche, “ancienne porteuse de prothèses mammaires défectueuses PIP rompues, avait contracté au contact des implants un lymphome“ et était décédée le 21 novembre. Ce lymphome est dit “anaplasique à grandes cellules“ (ALCL). Très rare -3/100 millions de femmes par an aux Etats-Unis-, il se caractérise par une multiplication anormale de certains globules blancs (

lymphocytes T).Par contre, le lien affirmé par l’association (ce seraient les prothèses PIP qui auraient causé l’ALCL) n’est pour le moment pas prouvé. Outre le fait que l’Afssaps n’a pas retrouvé de signe de génotoxicité, il s’agit du premier cas en France chez une femme porteuse de prothèses mammaires. Un tel risque n’est cependant pas totalement à écarter.Un risque d’ALCL légèrement augmenté…. avec toutes les prothèses

Une analyse de la littérature scientifique sur les implants à base de silicone ou remplis de solution saline, 

a été publiée en janvier 2011 par la FDA (Agence du médicament américaine). Cette analyse jette le doute sur un possible risque, minime mais existant. Pour en arriver à cette conclusion, la FDA a analysé les cas d’ALCL survenus parmi les 5 à 10 millions de femmes porteuses de prothèses mammaires dans le monde.Résultat, 17 Américaines et 43 autres femmes ont été identifiées. C’est peu, mais c’est tout de même légèrement supérieur au nombre attendu. Les experts de la FDA en concluent qu’il y a donc un sur-risque, d’autant que l’ALCL est à chaque fois survenu à proximité de la prothèse :

Dans le cas des prothèses PIP, peut-être que les fuites plus fréquentes de silicone, de plus non conforme, majorent ce sur-risque ?Faut-il retirer toutes les prothèses PIP ?Indépendamment de cette augmentation minime d’un risque heureusement très faible de lymphome, le chirurgien esthétique d’Edwige, Denis Boucq, est inquiet. Dans une 

interview au journal Var Matin, il confie avoir retiré la semaine dernière les implants d’une patiente et avoir constaté “un envahissement de la capsule entourant la silicone, avec une infiltration dans les espaces intercostaux“. Auparavant, il avait déjà retiré une cinquantaine de prothèses PIP : “une petite moitié d’entre elles étaient rompues“.Cet épanchement de silicone est compliqué à ôter chirurgicalement, ce qui lui fait dire “qu’il vaut mieux enlever tout implant avant qu’il ne rompe“, comme le demande d’ailleurs l’association PPP. Et ce d’autant qu’un deuxième cas de lymphome est suspecté, 

explique Alexandra Blachère, présidente de l’association des victimes, au journal Le Parisien.De son côté 

l’Afssaps “est en train de recueillir des informations documentées sur le cas dramatique de la patiente porteuse d’implants PIP décédée des suites d’un lymphome. Une évaluation est en cours avec des experts afin de déterminer si les recommandations de suivi sont à modifier“.En attendant une prochaine décision (retrait systématique préventif ?), l’agence “rappelle qu’un contact avec le chirurgien reste l’occasion de discuter de l’éventualité d’une explantation même sans signe clinique de détérioration de la prothèse“. Ce qui est, en filigrane, une invitation à un retrait préventif des prothèses PIP avant même une recommandation officielle…Un numéro vert pour s’informerL’Afssaps 

a réactivé un numéro vert pour répondre aux questions des femmes porteuses d’implants mammaires de la société Poly Implant Prothèse (PIP). Ce numéro vert fonctionne du lundi au samedi de 9h00 à 19h00 : N° 0800 636 636En résumé, il n’est pas prouvé que le décès tragique de cette personne soit directement lié aux prothèses PIP. Par contre ces dernières comportent une malfaçon et se rompent facilement, exposant au risque de fuite dangereuse de silicone non conforme dans l’organisme, ce qui provoque l’inquiétude des 30 000 femmes qui en portent, 

dont certaines de nos forumeuses. Ces femmes vont-elles être rapidement et formellement invitées par les autorités de santé à se faire systématiquement ôter ces implants, sans attendre la survenue de douleurs ou d’autres signes de rupture ?Jean-Philippe RivièreSources :– “Implants mammaires en gel de silicone de la société Poly Implant Prothèse : actualisation des Informations“, Afssaps, avril 2011, communiqué et documents 

accessibles en ligne- “Edwige, première victime des implants mammaires PIP“, association PPP, 24 novembre 2011, communiqué 

accessible sur le blog de l’association- “Anaplastic Large Cell Lymphoma (ALCL) In Women with Breast Implants: Preliminary FDA Findings and Analyses“, FDA, janvier 2011, analyse 

téléchargeable en ligne- “Scandale PIP : « il faut retirer toutes les prothèses »“, Var Matin, 27 novembre 2011, interview de Denis Boucq 

accessible en ligne- “Implants mammaires PIP“, Afssaps, questions-réponses et numéro vert, 25 novembre 2011, 

accessible en ligne- “L’affaire des implants mammaires s’aggrave“, Le Parisien, 27 novembre 2011, article 

accessible en lignePremière photo : Prothèse mammaire remplie de silicone, 2006, © DONNA MCWILLIAM/AP/SIPAClick Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Alors que l’autisme a été déclaré Grande Cause Nationale 2012, de nombreux débats, parfois houleux, ont animé les Premières rencontres parlementaires sur l’autisme. Rassemblant élus, chercheurs, médecins et membres du tissu associatifs, ces rencontres ont été l’occasion d’aborder plusieurs thèmes majeurs : la question du diagnostic précoce, les avancées de la recherche fondamentale en France et dans le monde mais aussi la polémique opposant les pro-psychanalyse et les tenants des méthodes éducatives et comportementales…

Ce jeudi 12 janvier ont eu lieu les premières rencontres parlementaires de l'autisme.

Actuellement, l’

autisme touche 600 000 personnes en France. Et d’après les experts, sa prévalence ne cesse d’augmenter, touchant aujourd’hui “un enfant sur 100 contre 1 sur 150 il y a quelques années“ précise Michel Favre, président de Pro Aid Autisme. Cette évolution a-t-elle une origine environnementale ? certains chercheurs commencent à se pencher sur la question.Face à cette augmentation, les nombreux parents et membres des associations présents lors de cette journée de débat ont largement insisté sur la nécessité de réformer en profondeur le modèle de prise en charge des enfants autistes, pour une meilleure “prise en compte“ comme le soulignait Jean-François Chaussy, ancien député de la Loire en charge d’un rapport sur l’autisme. “En  France, nous manquons cruellement d’établissements spécialisés, et ce, aussi bien pour les enfants que pour les adultes“ a martelé Daniel Fasquelle, député du Pas-de-Calais et président du Groupe parlementaire sur l’autisme. 
De plus, “trop peu de ces établissements pratiquent la

méthode ABA“ a déploré Marie-Anne Montchamp , secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la cohésion sociale. Plébiscitée par de nombreux parents d’enfants autistes et professionnels et largement répandue au Canada par exemple, cette méthode ABA (Applied Behavior Analysis) est une technique  qui repose avant tout sur une observation pointue du comportement de l’enfant autiste par un psychologue afin de mieux définir les comportements délétères et les carences. Pour ensuite favoriser le développement cognitif et social de l’enfant. Avec des résultats très encourageants…
Conséquences de ce manque d’infrastructures spécialisés et/ou avec des méthodes adaptées : de nombreux parents d’enfants autistes mais également des adultes autistes s’en vont de l’autre côté de la frontière, en Belgique.Par ailleurs, les questions de la formation des auxiliaires de vie scolaires, de budgets alloués à la recherche, du bilan du Plan Autisme 2008-2010, de la sur-représentation des psychanalystes dans le système de soins, de la scolarisation des enfants/insertion professionnelle des adultes ou de la culpabilisation des parents ont également été abordées. Bien qu’ils n’aient pas encore tous été solutionnés, loin de là, ces problèmes ont au moins eu le mérite d’avoir été soulevés et soumis à discussion. “Faisons de 2012 l’année où les projets se développent“ conclue Jean-François Chaussy.Yamina SaïdjSource : Premières rencontres parlementaires sur l’autisme, 12 janvier 2012Click Here: ADELAIDE CROWS 2019 MEN’S HOME GUERNSEY

L’annonce d’un diagnostic de cancer est corrélée à un taux immédiatement plus élevé de risque de suicide et de mortalité cardiovasculaire, selon une étude suédoise publiée dans la revue New England Journal of Medicine.

L'annonce d'un cancer multiplie par 12 le risque de suicide immédiat et 6 celui de mortalité cardiovasculaire.

le diagnostic lui-me^me augmente le risque  de suicideOn se doute que se faire diagnostiquer une maladie potentiellement mortelle telle qu’un

cancer provoque un grand stress qui peut, à son tour, engendrer des problèmes de santé venant se surajouter à la maladie initiale. D’ailleurs, plusieurs études ont montré que les patients atteints d’un cancer présentent un risque plus élevé de

suicide et de

maladie cardiovasculaire ; mais jusqu’à présent, ce sur-risque était attribué à la charge émotionnelle engendrée par le fait d’être atteint d’une maladie potentiellement mortelle et à la lourdeur des

traitements anticancéreux.Or, de nouvelles données issues de patients atteints d’un

cancer de la prostate suggèrent que le fait d’être diagnostiqué avec un cancer suffit, à lui seul, à augmenter le risque de maladies liées au stress et de mortalité associée.Dans les travaux

publiés dans le New England Journal of Medicine, les chercheurs du Karolinska Institutet, de l’université d’Örebro et de l’Université d’Islande ont examiné les registres sanitaires de plus de 6 millions de Suédois entre 1991 et 2006, et plus particulièrement les données des 500 000 personnes ayant un diagnostic de cancer au cours de cette période, pour voir si les risques de suicide et de mortalité cardiovasculaire augmentaient immédiatement après un diagnostic de cancer. Au total, une très faible proportion de patients ont mis fin à leurs jours juste après que le médecin leur a annoncé un cancer, indiquent les chercheurs. Pour autant, le risque de suicide au cours de la première semaine suivant l’annonce du diagnostic était 12 fois plus élevé que chez les gens qui n’avaient pas de cancer, soulignent-ils.Une mortalité cardiovasculaire 6 fois plus élevéeDe même, le risque de mortalité cardiovasculaire était 6 fois plus élevé au cours de la 1ère semaine suivant l’annonce et encore 3 fois plus élevé au cours du 1er mois. Ces deux risques (suicide et mortalité cardiovasculaire) diminuaient ensuite rapidement au cours de la 1ère année suivant l’annonce du cancer. De façon peu surprenante, les sur-risques étaient plus élevés lorsque le pronostic associé au cancer était mauvais.Pour les auteurs de l’étude, le fait que l’élévation des risques de suicide et de mortalité cardiovasculaire apparaissait directement après le diagnostic de cancer puis diminuait avec le temps constitue un argument favorable à l’hypothèse selon laquelle c’est l’annonce du diagnostic, et non la souffrance émotionnelle et physique liée à l’évolution du cancer ou à ses traitements, qui en est la cause.Améliorer les conditions de l’annonce du diagnostic“On peut considérer le suicide et la mortalité cardiovasculaire comme des manifestations du stress extrême induit par le diagnostic de cancer. Les résultats de notre étude indiquent que la détresse engendrée par l’annonce du diagnostic de cancer peut provoquer des risques sérieux et immédiats au niveau physique et psychologique“, comment le Dr Fang Fang, qui a dirigé l’étude. Elle souhaite que ce nouvel éclairage soit pris en considération par les proches et les professionnels de santé, et invite ces derniers à améliorer les conditions d’annonce d’une maladie grave.Amélie PelletierSource :Suicide and cardiovascular death after a cancer diagnosis“, New England Journal of Medicine 366; 14, 5 avril 2012 (

résumé accessible sur Internet).