Month: May 2020

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Depuis presque 8 semaines, les Français sont confinés chez eux ce qui a réduit les possibilités pour la pratique d’une activité physique. Alors que l’heure du déconfinement approche, comment pratiquer un sport de loisir en toute sécurité ? L’Académie nationale de Médecine donne ses recommandations.

Comment reprendre le sport en extérieur après le confinement ?

Sommaire

  1. Faire attention à sa santé 
  2. Protéger les autres 
  3. Un déconfinement progressif  

Depuis le début du confinement, les possibilités de pratiquer une activité physique ont été réduites. Après la fermeture des salles de sport, la possibilité de pratiquer un sport en extérieur a été limité à une heure par jour et aux activités individuelles. Dans certaines villes comme à Paris, il est également impossible de le faire entre 10h et 19h, afin de limiter les périodes d’affluence dans les rues. Pour de nombreux Français, cela a été l’occasion de

s’entraîner différemment, notamment grâce à de nombreux programmes sportifs proposés sur

les applis ou

les réseaux sociaux, pour d’autres, le confinement a été le signe d’un arrêt du sport. Or, l’Académie rappelle que le sport est bénéfique à la santé, notamment en diminuant “le risque de survenue de la plupart des maladies chroniques et améliore l’état de santé des patients affectés par ces maladies“. “Avec la sortie prochaine du confinement, il est nécessaire d’envisager la reprise des activités physiques et sportives de loisir afin d’améliorer la santé physique et mentale tout en corrigeant les effets délétères de l’isolement social”, énonce l’Académie nationale de Médecine dans un communiqué publié le 1er mai. “Cette reprise doit être très progressive, accompagnée, et respecter les mesures visant à prévenir la transmission interhumaine du SRAS-CoV-2“. L’Académie a donc fait part de ses recommandations pour une reprise en toute sécurité, autant pour soi que pour les autres. 

Faire attention à sa santé Le premier point souligné par l’Académie de Médecine est de faire attention à sa condition physique. D’abord pour les personnes qui ont été atteintes du Covid-19 ou en contact avec des malades confirmés, elle recommande avant de reprendre le sport de “s’assurer de l’absence de contre-indication à reprendre la pratique sportive lors d’une consultation médicale pour vérifier l’intégrité de l’appareil cardiovasculaire et de la fonction respiratoire“. Quant à ceux qui sont restés inactifs pendant le confinement, il s’agit de reprendre le sport de façon progressiveafin de limiter les risques d’accident, notamment musculaires ou articulaires, car une longue période d’inactivité est associée à une perte musculaire et à une altération de la sensibilité profonde qui majorent le risque de chute lors des déplacements rapides ou sur terrain accidenté“. Protéger les autres Autre élément primordial, protéger les autres en pratiquant son activité physique favorite. Le point clé reste le respect des mesures de distanciation. L’Académie rappelle que le sport augmente le débit ventilatoire, majorant ainsi le risque de transmission par voie respiratoire.Elle rappelle alors que : 

  • “Seules les activités sportives individuelles pratiquées en extérieur peuvent être autorisées en l’état actuel de l’épidémie ;
  • Les distances de sécurité entre personnes doivent être adaptées selon l’activité sportive pratiquée (au moins 5 à 7 mètres dans le sillage d’un coureur à pied ou d’un cycliste et 1,5 mètre en latéral) ;
  • Le port d’

    un masque grand public est recommandé pendant les exercices d’intensité faible à modérée ; incompatible avec les exercices intenses, il doit être porté avant et juste après l’arrêt de leur pratique“. 

Il est également préférable d’utiliser son matériel personnel pour la pratique. Pour ceux qui n’en disposent pas l’Académie rappelle que les matériels communs doivent impérativement être “nettoyés et désinfectés avant et après leur utilisation“.  Un déconfinement progressif  La sortie du confinement ne doit pas pour autant être synonyme d’un retour à la normale. L’Académie de Médecine insiste notamment sur trois points concernant le sport :

  • Le maintien de la fermeture des installations collectives (vestiaires, lieux de réunion…) ;
  • La limitation du déconfinement progressif aux activités de sport de loisir et d’entraînement, à l’exclusion des compétitions (même d’amateurs) et des activités sportives de haut niveau ou professionnelles ;
  • La mise en œuvre des mesures de prévention spécifiques à la discipline et l’information des adhérents par chaque fédération sportive“.

8 activités pour défouler vos enfants pendant le confinement

Une étude réalisée par la Fédération Française d’Education Physique et Gymnastique Volontaire (FFEPGV) et l’institut IPSOS, montre que les Français sont assidus dans leur pratique sportive depuis le début du confinement.

Alors que la France entre dans son deuxième mois de confinement, cette étude réalisée par la FFEPGV et l’institut IPSOS révèle que 2/3 des Français pratiquent une activité physique au moins une fois par semaine. 13% d’entre eux affirment avoir commencé le sport depuis la crise sanitaire. Parmi eux, plus de la moitié se sont mis à suivre des cours en ligne ou un coach pour pratiquer leur activité sportive.Les résultats indiquent que 76% des Français ont changé leurs habitudes sportives et réadaptent leurs manières de pratiquer du sport. Ils pratiquent essentiellement leur sport chez eux en intérieur ou en extérieur et plus de la moitié optent pour les promenades.D’après ce baromètre, les personnes interrogées qui courent ou qui pratiquent une activité physique en intérieur cherchent à se faire du bien physiquement (93%) et psychologiquement (88%). La présidente de la FFEPGV, Patricia Morel affirme que : “Travailler sa condition physique en période de confinement est d’une importance capitale pour le bien-être physique et psychologique ainsi que le maintien du lien social de chacun d’entre nous”.Click Here: State of Origin Jerseys

Les Français sont plus que jamais appelés à respecter le confinement avec l’entrée en vigueur mercredi de nouvelles restrictions, alors que le bilan humain de l’épidémie de coronavirus continue d’augmenter, dépassant les 10.000 morts dans le pays.

Les Français sont plus que jamais appelés à respecter le confinement avec l'entrée en vigueur mercredi de nouvelles restrictions, alors que le bilan humain de l'épidémie de coronavirus continue d'augmenter.

Autorités et soignants craignent un relâchement avec le retour des beaux jours en pleines vacances de Pâques (en zone C pour le moment, Île-de-France et Occitanie), comme l’ont montré de nombreuses images de promeneurs dans différentes parties du pays.Par conséquent, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a autorisé les préfets, en lien avec les maires, à durcir les mesures en cas de relâchement du confinement général, instauré jusqu’au 15 avril.

Les choses n’ont pas traîné dans la capitale et dans quatre autres départements franciliens, où toute activité sportive individuelle est interdite à compter de mercredi, de 10h00 à 19h00, face au nombre inhabituel de “joggeurs” multipliant les sorties. “Pas encore au pic”Mardi, la France a enregistré un nouveau très lourd bilan quotidien dans les hôpitaux, avec 597 décès supplémentaires en 24 heures, soit un total de 7.091 depuis début mars. S’y ajoutent 3.237 morts recensés dans les Ehpad et établissements médico-sociaux, soit un total de 10.328 morts.Au total, 7.131 patients nécessitent des soins lourds en réanimation. Ce nombre continue de progresser, “un indicateur que l’épidémie continue sa progression”, a relevé le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon.Toutefois, avec les sorties, l’augmentation nette du nombre de patients en réanimation – indicateur très suivi par les professionnels car mesurant la pression sur le système de santé – est de moins en moins forte, avec un solde de +59 mardi (contre +94 lundi et +140 dimanche).”Nous ne sommes pas encore au pic“, a répété le N°2 du ministère de la Santé. “Nous ne sommes qu’à la phase ascendante même si elle ralentit un peu, donc aborder le déconfinement aujourd’hui n’a aucun sens“.”Le pire n’est pas derrière nous, pas du tout, on est au contraire dans une phase extrêmement périlleuse où il ne faudrait pas qu’on se trompe et qu’on commence à déconfiner et à faire n’importe quoi“, a mis en garde de son côté sur CNews le Pr Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital parisien Georges-Pompidou.”L’heure du confinement va durer“, a martelé pour sa part le Premier ministre, Edouard Philippe, lors de la séance des questions au gouvernement mardi. “C’est tout à fait difficile à supporter pour beaucoup de Français, j’en ai parfaitement conscience, mais c’est indispensable si nous ne voulons pas nous retrouver dans une situation qui serait pire encore que celle que nous connaissons aujourd’hui“.Pour sa part, le secrétaire d’Etat aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a conseillé aux Français “d’attendre” avant de réserver des voyages pour les vacances d’été, la situation liée à l’épidémie étant “encore trop incertaine”.Dépistage dans les EhpadLa pression sur les hôpitaux et les établissements d’hébergement pour personnes âgés dépendantes (Ehpad) reste pour l’heure très forte.Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé le lancement d’une vaste opération de dépistage dans ces maisons de retraites médicalisées, dont certaines ont été décimées par la maladie. Et “une mobilisation de grande ampleur de réservistes” sera effective dès mercredi au profit de 50 Ehpad de la région parisienne, selon le directeur général de la Santé.Par ailleurs, la France poursuit ses efforts pour s’approvisionner en masques, désormais convoités par l’ensemble de la planète, et ses “commandes sûres” atteignent désormais 1,6 milliard d’unités, M. Véran.Un port généralisé du masque reste une “question ouverte” mais le gouvernement maintient pour l’heure sa recommandation d’en réserver l’usage aux soignants et personnes infectées, a-t-il également dit.L’épidémie, qui a fait plus de 75.000 morts dans le monde, n’en finit plus de noircir les perspectives économiques.Le recours au chômage partiel a été demandé pour 5,8 millions de salariés en France, soit un sur quatre dans le secteur privé. C’est un record, et cela pourrait coûter 19,6 milliards d’euros en trois mois. “A peu près la moitié de l’économie est à l’arrêt“, a fait remarquer la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.Click Here: Cheap Golf Drivers

Curcuma, noix de muscade, coriandre, curry… Osez donner du relief à votre cuisine durant ces jours de confinement pour vous réchauffer les papilles. Les avions sont bouclés au sol ? Qu’à cela ne tienne, voici trois épices et aromates qui vous enverront sans escale vers des contrées lointaines (et que vous trouverez facilement dans les épiceries en ligne).

Le poivre de Kampot est l'un des meilleurs du monde.

Sommaire

  1. Direction le Cambodge avec le poivre de Kampot 
  2. Direction le Liban avec le zhaatar et le sumac
  3. Direction le Mexique avec l’achiote

Direction le Cambodge avec le poivre de Kampot Anne-Sophie Pic en utilise dans sa délicieuse collection de poivres associés à divers alcools. La cheffe triplement étoilée a composé une recette avec du gin. Pour sublimer un foie gras maison, relever la saveur grillée d’un simple steak de boeuf ou “pimper” une sauce au poivre, la petite baie verte cambodgienne constitue l’une des Rolls-Royce du poivre. L’épice dispose de sa propre indication géographique protégée. En rouge, noir ou blanc, ce qui est l’un des meilleurs poivres au monde emprunte son nom à une province située au sud du Cambodge. On en cultive depuis le XIIe siècle et sa production a été mise en danger durant la période des Khmers rouges à la fin des années 70. Côté dégustation, ses saveurs sont complexes, équilibrées entre le fruité de la pomme et de la poire et quelques nuances mentholées. Le poivre noir est le plus puissant. On en trouve facilement via les épiceries en ligne, ou même à la Grande Epicerie de Paris. 

Direction le Liban avec le zhaatar et le sumacPrésent à profusion dans le célèbre grand bazar d’Istanbul, ce mélange d’épices – écrit za’atar aussi, relève de nombreux plats de la cuisine levantine, c’est-à-dire l’Egypte, l’Arménie ou encore la Syrie. Incontournable au Liban, le zhaatar se saupoudre sur le labneh ou permet d’aromatiser le man’ouché, le pain libanais. Cette poudre se compose en fait de thym, de sarriette, de sésame grillé, de sel. Et l’élément indispensable : le sumac, une épice de couleur rouge qui colore souvent les brochettes de viandes au Moyen-Orient. Il n’est pas rare de retrouver le sumac dans la cuisine grecque, dans tzatziki notamment. Le sumac provient d’une baie cueillie sur un arbre méditerranéen qui a le même nom. En bouche, le sumac est légèrement acide et aigre, et rappelle le vinaigre balsamique. On peut oser remplacer le sel par une pointe de sumac. Une petite cuillère à café suffit pour terminer un wok de légumes ou revisiter les tomates farcies. Direction le Mexique avec l’achioteDu vinaigre, de l’ail, de l’origan et.. du roucou, un arbre d’Amérique du sud dont on utilise le fruit pour préparer de l’huile ou extraire un colorant alimentaire. En bouche, il révèle des notes de poivre, avec une légère amertume et quelques saveurs de noix de muscade. C’est donc l’ingrédient incontournable pour la pâte d’achiote, qui est utilisée dans nombre de plats mexicains. D’ailleurs, on la retrouve sous de multiples formes dans les grandes surfaces de l’autre côté de l’Atlantique. Sa couleur rouge teinte joyeusement les marinades de viandes. On l’utilise pour la préparation de plats typiques, comme la cochinita pibil, une recette de porc mariné, emblématique dans la péninsule du Yucatan. On peut tout à fait s’inspirer de cette tradition en aromatisant un poulet rôti du dimanche, en le faisant mariné au préalable (sous une forme prédécoupée). Sinon, encore plus simplement, on l’utilise pour préparer une sauce en mélangeant l’achiote avec du jus de boeuf, ou un bouillon de viande, que l’on agrémentera d’un peu de piment. 

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Rania de Jordanie, reine de Twitter?

May 22, 2020 | News | No Comments

Au XXIe siècle, nos têtes couronnées sont plus que jamais en phase avec leur époque. Après Charles d’Angleterre, la reine Rania de Jordanie vient d’ouvrir un profil sur le réseau Internet de socialisation Twitter.

À l’occasion de la visite du pape Benoît XVI en Jordanie, la reine Rania de Jordanie a décidé de créer un profil sur le site très prisé des people: Twitter. Un profil on ne peut plus royal, dont la création a été officialisé par un communiqué du bureau de la reine. «Nous vous informons que la reine Rania est sur Twitter, http://twitter.com/QueenRania, pour vous tenir informés à l’occasion de la visite du pape en Jordanie».
Ainsi, il est possible pour les internautes qui se sont ajoutés au profil Twitter de Sa Majesté Rania, de suivre la visite du pape en Jordanie arrivé vendredi 8 mai. On y découvre une reine ravie de la visite du pape: «Viens juste d’entendre le discours du pape. Notre région a tellement besoin d’un message de paix», dit-elle en langage Twitter.

La reine, maman modèle de 4 magnifiques bambins (les princes Hussein, 15 ans et Hashem, 4 ans, et les princesses Iman, 13 ans et Salma, 9 ans) confie sur Twitter ses difficultés à convaincre ses enfants de respecter le protocole: «Prends les enfants pour rencontrer le pape, viens de convaincre le plus âgé de porter un costume. Négociations maintenant avec celui de 4 ans!».

Mais pour la reine, dont la beauté lui aurait permis sans aucun doute de faire une carrière de mannequin, cette visite est un moment unique dans l’histoire de la monarchie Hachémite. «Journée spéciale ici à Amman: pas tous les jours que le pape est en visite». Même en langage html, sa majesté Rania reste la reine de la toile.

Lundi 11 mai 2009

L’OMS a relevé vendredi à son degré maximum le niveau de la menace liée au nouveau coronavirus, dont un premier cas en Afrique subsaharienne a été annoncé au Nigeria, alors que la crainte d’une pandémie fait sombrer les Bourses, déstabilise l’économie mondiale et entraîne l’adoption de mesures draconiennes.

L’Organisation mondiale de la Santé, qui a porté à “très élevé” le niveau de la menace, a appelé tous les pays encore épargnés à se préparer à l’arrivée du Covid-19, et averti : se croire à l’abri de la maladie serait une “erreur fatale”.Au Nigeria, un Italien revenu de Milan le 25 février a été hospitalisé après avoir été testé positif au coronavirus à Lagos, une mégalopole de 20 millions d’habitants, devenant le premier malade en Afrique subsaharienne. Le patient “ne présente pas de symptômes inquiétants“, a précisé le ministère de la Santé.Deux autres cas de contamination ont été recensés ces derniers jours en Afrique, en Egypte et en Algérie. Ce très faible nombre de malades détectés dans les pays africains, aux systèmes de santé fragiles, intrigue les épidémiologistes, alors que plus de 84.000 cas ont été signalés dans près de 60 pays.Après le Brésil, un deuxième pays d’Amérique latine a été touché vendredi: le Mexique avec deux premiers cas de coronavirus, deux hommes ayant voyagé récemment à Bergame, dans le Nord de l’ItalieEn Chine, où le virus est apparu en décembre, le nombre de nouveaux décès et contaminations continue de diminuer grâce aux mesures de quarantaine visant plus de 50 millions de personnes.Mais d’autres pays deviennent des sources de propagation du Covid-19, au premier rang desquels la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie.Virus sans frontières”Aucun pays ne doit penser qu’il n’aura aucun cas chez lui. Ce serait une erreur fatale, littéralement. Le virus ne respecte pas les frontières“, avait averti jeudi le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.Dans ce contexte d’incertitude, les Bourses asiatiques et européennes ont dégringolé vendredi, enregistrant des pertes oscillant entre 3% et 5% tandis que Wall Street a cédé 3% à son ouverture.Les marchés financiers connaissent une de leurs pires semaines depuis la crise financière de 2008-2009, qui avait plongé l’économie mondiale dans la récession. Les cours du pétrole continuaient eux aussi de chuter.Avions cloués au sol, centres commerciaux déserts en Chine, écoles fermées pour un mois au Japon, événements ou salons internationaux annulés, le monde s’immobilise à mesure que le nouveau coronavirus se propage et l’économie mondiale est déstabilisée.Au Japon, où 9 personnes ont été tuées par le coronavirus, le complexe de parcs à thème Tokyo DisneyLand et Tokyo DisneySea a annoncé vendredi qu’il serait fermé du 29 février au 15 mars.Et à Genève, c’est le Salon de l’automobile, un rendez-vous majeur du secteur prévu du 5 au 15 mars, qui a été annulé.Enfin, en Corée du Sud, les mégastars de la K-pop BTS ont renoncé à plusieurs concerts géants prévus en avril, laissant plus de 200.000 groupies déçus.Devant la crise sanitaire, des plans d’urgence sont prêts à être déployés, notamment par le Fonds monétaire international (FMI), pour venir en aide aux différents pays.Amélioration en ChineTous les regards se tournent depuis une semaine vers l’Italie, où le coronavirus a déjà contaminé 888 personnes, dont 21 mortellement. Le pays est devenu une plateforme de diffusion du Covid-19, les premiers cas enregistrés en Amérique du Sud et en Afrique subsaharienne étant des personnes arrivées de la péninsule italienne. Rome a pris des mesures drastiques pour enrayer l’épidémie sur son territoire, comme la fermeture des écoles, l’annulation d’événements sportifs ou culturels et la mise en quarantaine de 11 communes du Nord, poumon économique du pays. De nombreux Etats européens se préparent à une hausse des contaminations sur leur sol et une réunion des ministres de la Santé de l’Union européenne sur le coronavirus est annoncée pour le 6 mars.Vendredi, la Corée du Sud, principal foyer d’infection en dehors de Chine, a enregistré 571 contaminations supplémentaires, portant le total à 2.337 (dont 13 morts).L’Iran a fait état vendredi de la mort de huit personnes infectées parmi 143 nouveaux cas détectés ces dernières 24 heures, portant le bilan à 34 morts et le nombre de cas à 388. C’est le plus lourd bilan en termes de décès hors de Chine, où la situation s’améliore.Les autorités chinoises ont publié vendredi un bilan de 327 nouveaux cas, le nombre le plus faible dans le pays depuis le 24 janvier, et de 44 morts. Au total, 78.824 cas et 2.788 morts ont été recensés en Chine continentale (hors Hong Kong et Macao) depuis le début de l’épidémie.Dans le reste du monde, le coronavirus a contaminé plus de 5.000 personnes et fait plus de 80 morts. Chiffre encourageant toutefois: sur les 84.000 personnes à avoir été contaminées dans le monde, 36.500 sont déjà guéries, selon un décompte effectué par l’université Johns Hopkins aux Etats-Unis, qui compile des données de l’OMS et des autorités sanitaires de chaque pays.Click Here: racing club camiseta

Une étude italienne confirme les effets bénéfiques d’une consommation régulière et conséquente de pommes sur le taux de cholestérol et ainsi la santé cardiovasculaire.

Sommaire

  1. Une baisse du taux de mauvais cholestérol d’environ 4%

“Une pomme par jour éloigne le médecin”, dit le proverbe britannique. Mangez-en une de plus et vous ferez baisser votre

taux de cholestérol, affirment des chercheurs italiens. Dans une nouvelle étude parue le 16 décembre dans The American Journal of Clinical Nutrition, un groupe de scientifiques a en effet montré que consommer deux pommes par jour suffit à diminuer le cholestérol.

L’étude a porté sur 40 personnes, 23 femmes et 17 hommes, atteints d’une légère

hypercholestérolémie. Pendant huit semaines, les scientifiques ont demandé à un groupe de manger deux pommes par jour (des Reinettes du Canada, particulièrement riches en proanthocyanidines, une forme de

polyphénols), et à l’autre de boire du jus de pomme quotidiennement. Les participants se sont soumis à un bilan sanguin avant et après l’expérience afin de comparer notamment leur glycémie et leur

taux de lipides dans le sang (cholestérol et triglycérides).Une baisse du taux de mauvais cholestérol d’environ 4%Au final, les chercheurs ont pu constater que les personnes qui avaient mangé le fruit entier deux fois par jour avaient diminué leur taux de “mauvais” cholestérol (

cholestérol LDL) d’environ 4%. Des effets qui n’ont pas été retrouvés chez le groupe ayant consommé du jus de pomme, et pour cause : lorsqu’un fruit est pressé, la teneur de certains de ses composés peut être diminuée. Or, les pommes sont riches en polyphénols et en fibres : des études antérieures ont déjà montré que la consommation régulière du fruit avait un impact bénéfique sur le métabolisme des lipides et d’autres marqueurs de maladies cardiovasculaires grâce à ces composés.Mais les chercheurs italiens se vantent d’avoir réalisé un essai randomisé contrôlé qui a permis de confirmer ces données et d’explorer les mécanismes. “Cette étude souligne les effets hypocholestérolémiants et vasculaires bénéfiques d’une consommation quotidienne de pommes riches en proanthocyanidines par des individus atteints d’une légère hypercholestérolémie”, concluent-ils. Si ces travaux portent sur une variété de pommes en particulier, nul doute que les autres aient elles aussi des bienfaits.

Les aliments pauvres en cholestérol

Warner Bros. vient d’acquérir les droits d’adaptation du livre de Don Winslow, «Satori». Leonardo Dicaprio devrait tenir le rôle principal du long métrage.

Le studio Warner bros. a annoncé qu’il venait d’acquérir les droits du roman de Don Winslow, Satori et qu’il souhaitait voir Leonardo DiCaprio tenir le rôle principal : celui de Nicholai Hel, un assassin élevé au Japon à la fin de la seconde guerre mondiale, et devenu expert en arts martiaux. Celui-ci voyage à travers le monde pour exercer ses talents d’assassin et est engagé par la CIA pour tuer le Commissaire soviétique en Chine. Nicholai Hel va alors devenir l’ennemi public numéro 1. Satori serait un prequel au roman culte Shibumi de Trévanian. Warner bros. projette de développer une franchise à partir de ce roman à la manière de la saga Jason Bourne. Aucun réalisateur n’est attaché au projet pour le moment mais le scénariste Shane Salerno travaille à l’écriture de ce long métrage avec Don Winslow. Soulignons que le duo a également adapté Savages, autre roman de Don Winslow, mis en scène par Oliver Stone et qui devrait sortir sur nos écrans en août 2012. Seul bémol, l’agenda de Leonardo DiCaprio est déjà bien chargé, puisque le comédien sera à l’affiche de J. Edgar de Clint Eastwood le 11 janvier prochain, puis de Django Unchained de Quentin Tarantino en décembre 2012 et devrait rejoindre le tournage de Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann.

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Laëtitia Forhan avec Deadline

Red Bull Racing team boss Christian Horner has once again dismissed a return of Sebastian Vettel to Milton Keynes, insisting an alpha male combination would not be useful for his team.

Vettel’s departure from Ferrari at the end of the year currently leaves the German with very few opportunities to continue his career in F1 in 2021.

Filling McLaren bound Daniel Ricciardo’s seat at Renault would entail racing in the midfield for Vettel, a prospect that is unlikely to appeal to the four-time world champion.

While Mercedes has taken note of Vettel’s availability, team boss Toto Wolff is giving alternative options – like keeping the Silver Arrows squad’s current line-up intact – a priority.

    Todt: Whoever will take Vettel will be very lucky

As for Red Bull, the team for which Vettel won all four of his F1 titles, Horner admits he can’t see a home coming of sorts for the 32-year-old as long as Max Verstappen is onboard and given the outfit’s current positive “dynamic”.

“I think it’s enormously unlikely,” Horner told Sky Sports News.

“We have a long-term agreement with Max [Verstappen]. Alex [Albon] is doing a good job. We’ve got a good dynamic within the team.

“Experience shows that two alpha males, it doesn’t tend to pan out well. Sebastian is still a very competitive grand prix driver. I don’t think it would be conducive for our team to have two alphas.

“We’re happy with the driver line-up we have. I’m sure he’s not short of options moving forward, but he’s chosen that it hasn’t worked out for him at Ferrari.”

Horner has no doubts about Vettel’s ability to continue to race with the best in F1, but the Briton also believes his former driver’s decision to part ways with Ferrari was not the result a capricious inclination.

“He’s still relatively young, he’s in his early 30s,” Horner added. “If he chose to stay, he’s obviously still very competitive.

“That’s entirely down to him, and nobody will know that apart from Sebastian what his choices are.

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“He’s got strong values, he’s got strong integrity, and I’m sure he will have thought long and hard about this.

“Whether he chooses to continue or not, he’s achieved a huge amount during his time in F1. Four world championships, he’s one of the most successful drivers of all-time.”

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NEW YORK CITY — In an almost unbelievable twist of irony, the most cases of the new coronavirus in New York City have been found in the Queens neighborhood of Corona.

No New York City region has reported more positive COVID-19 tests than the zip code 11368 — which covers Corona, North Corona and Willets Point — with 947 cases reported as of March 31, city data show.

More than 77 percent of the 1,227 Corona residents tested received confirmation they had the deadly virus, New York City Health Department data show.

The neighborhood’s population is the most badly affected in New York City, which in turn has become the epicenter of the COVID-19 outbreak in the U.S. with 47,439 confirmed cases reported and 1,096 lives claimed since the disease was first spotted in the city just one month ago.

All figures were as of April 1.

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New York is the only city among the top ten of Johns Hopkins University’s list of places with the most reported deaths. The other nine are nations.

The Johns Hopkins University tracker reported Wednesday the U.S. has more cases than any other nation in the world with more than 206,000.

Queens has seen its numbers skyrocket, pushing the vast Elmhurst Hospital far past capacity just weeks into outbreak, with 13,869 COVID-19 cases as of March 31, data show.

Mayor Bill de Blasio has been loathe to release hyperlocal data on the outbreak, but after reporters pleaded last week for more information, the Health Department began publishing localized maps.

Health Department data show nearby Elmhurst has the second highest rate of positive cases with 831 confirmed COVID-19 patients and Borough Park in Brooklyn the third with 771.

Coronavirus In NYC: What’s Happened And What You Need To Know