Month: May 2020

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Après les radars, les limitations de vitesse, le permisprobatoire… le gouvernement poursuit ses mesures concernant lasécurité routière avec la remise d’un rapportsur les contre-indications médicales à la conduite.Le 12 février, le ministère de la santérecevait les premières conclusions du groupe de travail,présidé par le Pr. Henry Hamard de l’Académiede Médecine. La mission de ces experts consiste àévaluer les incapacités physiques à laconduite et à proposer un guide destiné auxmédecins.
Seules douze affections ou altérations fonctionnelles ontété identifiées comme formellementincompatibles avec l’obtention ou le maintien du permis de conduirepour un véhicule léger (permis B). Cescontre-indications médicales ont étéproposées par le groupe d’experts nationaux car ellespeuvent affecter la qualité de la vision ou l’état devigilance, entraver la rapidité et la précision desmouvements complexes qu’implique la conduite d’un véhicule,ou gêner le maniement des commandes du véhicule. Ellesconcernent des affections lourdes et durables qui peuvent serencontrer à tous les âges de la vie. L’interdictiontotale de conduire ne s’effectuera que dans les cas les plusextrêmes.
Ces contre-indications s’appliqueraient aux candidats au permis deconduire, ainsi qu’à toutes les personnes déjàdétentrices d’un permis quel que soit leur âge. Leministère de la santé continue à travailleravec le ministère en charge des transports dans laperspective d’une visite médicale d’évaluationà la conduite pour l’ensemble de la population. Le ministredes transport a récemment démenti les rumeurs selonlesquels les plus de 70 ans allaient devoir subir descontrôles médicaux.
Le dispositif définitif n’a pas étéarrêté à ce jour par le ministre de lasanté. Il sera présenté à l’occasiond’un prochain CISR (Comité Interministériel deSécurité routière).
Source : Communiqués de presse duMinistère de la santéClick Here: st kilda saints guernsey 2019

Le dentiste expliqué aux enfants

May 18, 2020 | News | No Comments

Petits (et grands) vont encore souvent chez le dentiste “àreculons“. Pourtant se brosser les dents ne suffit pas : il fautaussi prendre l’habitude d’aller régulièrement chezce professionnel de santé. Pour lever l’appréhensiondes enfants, un petit livret a vu le jour grâce àl’association Sparadrap et le Centre de soins dentaires du CHU deNantes : “Je vais chez le dentiste… Pourquoi ?“. Cette brochureexplique qui est le chirurgien dentiste, quand et pourquoi il fautaller le voir, comment il examine les dents… De trèsnombreuses informations sont passées en revue : commentsoigner les dents malades, ce qui est désagréable etce qui ne l’est pas, quels sont les instruments utilisés…Enfin, l’enfant pourra également découvrir quelquesindications sur l’arrivée des différentes dents. Uneinitiative qui devrait aider de nombreux parents.Le livret est diffusé par l’association SPARADRAP au prix de2,30 euros l’unité (frais d’envoi inclus dans les tarifsuniquement pour la France )Source : Communiqué de l’association Sparadrap
Association Sparadrap
48, rue de la Plaine
75020 Paris
Tél : 01 43 48 11 80
Fax : 01 43 48 11 50
Site : http://www.sparadrap.org/
Mél : [email protected] Here: Geelong Cats Guernsey

D’origine infectieuse, le cancer du col de l’utérus est évitable grâce à un suivi gynécologique régulier. Mais cette surveillance reste largement insuffisante en France, où la moitié des femmes passent au travers. Un problème que devra résoudre la prochaine campagne de dépistage.

Selon les estimations effectuées en l’an 2000, on compte 3387 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus et 1 000décès par an en France. Des chiffres qui incitent lesautorités de santé à se pencher surl’intérêt du dépistage.Un cancer 100 % évitableEn France, le cancer du col de l’utérus se situe au 7e rangdes cancers féminins (en terme de nouveaux cas) etreprésente la 12e cause de mortalité par cancer chezla femme. Des caractéristiques qui en font donc unepriorité de santé publique retenue dans les objectifsdu plan cancer.Cette maladie est précédée pendant 10 à15 ans par des lésions précancéreuses,identifiables par frottis. La détection précoce deces lésions et leur traitement permettent d’éviter oude réduire le risque d’évolution vers un cancer. Del’autre côté de la Manche, le programme national dedépistage britannique sauverait ainsi chaque année 5000 vies selon des estimations publiées en juillet 2004.Mais en France, le dépistage est laissé àl’initiative de chacune. Certes, il est recommandéd’effectuer un frottis tous les 3 ans après 2 frottisannuels normaux chez les femmes de 25 à 65 ans. Mais onestime que 40 à 45 % des femmes continuent à ne passe faire dépister. Et plus de 70 % des cancers surviennentchez ces femmes…Mais une campagne nationale de dépistage devraitprochainement débuter. Elle a pour objectif d’atteindre 80 %des femmes âgées de 25 à 69 ans.Un dépistage à initier dès 25 ansMais avant de lancer une telle opération, encore faut-ildisposer d’un tableau plus précis de la situation actuelle.C’est l’objet d’une étude conduite en Ile-de-France. Cesdonnées permettront également de juger de l’impact dela prochaine campagne.Entre le 20 septembre et le 20 décembre 2004, lesgynécologues, les médecins généralisteset les anatomo-cyto-pathologistes (spécialistes en charge del’interprétation des frottis) ont été misà contribution. Parmi les frottis étudiés(plus de 250 000), 3 % environ comportaient des anomalies. Leschercheurs ont noté des taux de frottis anormauxlégèrement plus importants dans lesdépartements du 77, 93 et 95. Une tendance qu’ils expliquentpar le lien entre l’état de santé, l’accès ausoin et le niveau socioéconomique des patientes.Même si le pourcentage des différentes anomalies variesignificativement selon la classe d’âge, le taux de certaineslésions précancéreuses augmentant chez lesfemmes à partir de 25 ans. Ce qui justifierait la mise enplace du dépistage dès cet âge.Assurer un suivi gynécologique au-delà de 65ans62 % des cancers du col sont diagnostiqués après 55ans. C’est à partir de cet âge, et mêmeau-delà, que le risque est maximal. 11 % des frottisanormaux après 65 ans révèlent un cancer.Ces chiffres confirment qu’il faut poursuivre le dépistageaprès 65 ans chez les femmes n’ayant pasbénéficié de frottis avant cet âge.Pourtant, ces femmes n’ont pour la plupart pas de suivigynécologique. La solution pourrait passer par lesmédecins généralistes qui restent dans laplupart des cas les seuls interlocuteurs santé capables deréaliser les frottis chez ces personnes. “L’implicationparticulière des médecins généralistesest donc primordiale car elle constitue une opportunité debénéficier d’un examen de dépistage dans cetteclasse d’âge“.Mais actuellement, ces professionnels de santé sontactuellement peu impliqués dans le dépistage ducancer du col de l’utérus, comme le confirme cetteétude. En effet, seuls 4 % des frottis avaientété prélevés par desgénéralistes…L’expérience alsacienne unique en FranceMais dès 1990, une action de santé publique originalea été initiée en Alsace afin d’assurer lapromotion du dépistage du cancer du col de l’utérus.Unique programme régional de dépistage, la campagneEve a enregistré 1 258 000 frottis ; 445 000 femmes y ontparticipé. 2 536 dysplasies sévères (anomaliedont le risque d’évolution vers le cancer est de l’ordre de30 %) ont été dépistées et 240 cancersont été découverts.Médecin coordinateur de cette action, le Dr Muriel Fender necache pas sa satisfaction : “Aujourd’hui, nous estimons toucher 73% des femmes de 25 à 65 ans. Grâce à descampagnes de sensibilisation, des courriers personnels, mais aussien partie grâce à quelques particularitésrégionales qui permettent un meilleur remboursement de cesactes“. Comme le suggère l’étude de l’InVS, elleavoue également que certaines populationsdéfavorisées (femmes titulaires de la CouvertureMaladie Universelle notamment) présentent un taux de frottisanormaux plus important quelle que soit la tranche d’âge,essentiellement parce qu’elles n’avaient pasbénéficié de dépistage auparavant.Pour s’attaquer à ce problème, des campagnes desensibilisation spécifiques ont étéinitiées : travail avec des associations deproximité, informations en langue étrangère,etc.La mobilisation du généraliste est égalementun cheval de bataille de l’initiative alsacienne. Selon le DrFender, “Après la ménopause, certaines femmes peuventnégliger leur suivi gynécologique. C’est doncdès 50 ans que les généralistes doivents’impliquer. Mais outre quelques carences dans la formationinitiales des médecins et la plus grande complexitédu geste clinique à ces âges, nos études ontpermis de souligner la réticence de certaines femmes. Uneproportion non négligeable d’entre-ellespréfère dissocier leur santégynécologique de leur santé générale,et ne voit pas le généraliste réaliser un telexamen. Dans ce cas, le médecin a toujours lapossibilité d’orienter la patiente vers unspécialiste“. Encore faut-il qu’il ose aborder lesujet…L’enquête effectuée en Ile-de-France seraréitérée après la mise en place dudépistage, afin de mesurer l’effet de cette campagne sur lenombre de nouveaux cas et le type de lésionsprécancéreuses diagnostiquées. Maisaujourd’hui, les autorités de santé publique doiventdéfinir les termes de cette action nationale : faudra-t-ilsensibiliser toutes les femmes ou se focaliser sur celles n’ayantpas de suivi gynécologique suffisant ? Faudra-t-ilprévoir des dispositifs pour certaines catégories depopulation ? Comment mobiliser les généralistes ?…Autant de points qui devront être prochainementprécisés.David Bême

Cannabis au volant, crash au tournant !

May 18, 2020 | News | No Comments

Moins dangereuse que la consommation d’alcool, la fumette doublerait tout de même les risques d’accidents mortels. Et l’association alcool et joint multiplierait ce danger par 14 ! Près de deux ans après la loi pénalisant les conducteurs-fumeurs, découvrez le réel impact du cannabis au volant.

Deux ans fermes et 4 500 € d’amende : telle est la peine maximale encourue par un conducteur qui provoquerait un accident sous l’emprise du cannabis. La loi de janvier 2003 avait durci les peines pour les drogues douces, les transformant en délit au même titre que l’alcool. Mais quel est le réel impact de ce stupéfiant sur les conducteurs ?
40 % des jeunes tués sur la route positifs au cannabis
Sous la direction du Pr. Mura, président de la société française de toxicologie analytique et président de la commission “Drogue et conduite automobile“, les résultats d’analyses sanguines effectués par 12 laboratoires sur des conducteurs de moins de 30 ans décédés lors d’accidents de la route ont été compilés entre 2003 et 20041. Sur les 2003 analyses, le cannabis est de loin la drogue la plus souvent retrouvée : 793 échantillons étaient positifs aux cannabinoïdes (soit près de 40 %), et plus d’un tiers (28,9 %) contenaient encore des traces de THC, le principal composé actif de cette drogue. Dans quatre cas sur cinq (80,2 %), le cannabis était le seul stupéfiant révélé parmi ceux recherchés (héroïne, cocaïne, amphétamines). Comparés aux chiffres de 2001, ces résultats témoignent d’un doublement de la consommation de cannabis (28,9 % contre 16,9 %).
Selon les auteurs, la prévention routière doit rapidement s’appuyer sur des contrôles de consommation des drogues pour le cannabis, mais également la cocaïne ou l’ecstasy, dont les consommations sont également en augmentation (respectivement 3 % en 2004 contre 0,2 % en 2001 et 3,1 % contre 1,4 %).
Sur la route, le cannabis tue dix fois moins que l’alcool
L’Observatoire français des drogues et toxicomanie (OFDT) a coordonné de son côté l’enquête Sécurité routière et accidents mortels (SAM)2, durant laquelle la présence d’alcool et de cannabis avait été recherché chez plus de 11 000 conducteurs impliqués dans des accidents mortels entre octobre 2001 et septembre 2003. Résultat : la consommation des deux produits est sensiblement identique. Les accidents mortels sont attribués dans 2,5 % des cas à la fumette et dans 28,6 % des cas à l’alcool. Si la consommation d’alcool multiplie le risque d’accident mortel par 8,5, l’abus de joints doublerait le risque d’avoir un accident mortel (avec une relation dose-effet : plus on fume, plus on risque le carton). L’association des deux s’avèrerait particulièrement nocive, puisqu’elle multiplierait le risque d’accident mortel par 14 ! Les jeunes hommes de moins de 25 ans seraient les plus nombreux à conduire sous l’influence du cannabis (1 sur 10) et/ou de l’alcool. Selon cette étude, bien que nocif, le cannabis est donc quatre fois moins dangereux que l’alcool et occasionne 10 fois moins de morts.
Nouvelle campagne de prévention en 2006
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Combien de jeunes conduisent réellement sous l’influence du cannabis ? En terme de priorité de la sécurité routière, l’intérêt porté au cannabis est-il disproportionné au regard des méfaits de l’alcool ?…. Au-delà des critiques faites aux différentes études (absence de recherche de l’alcool ou d’autres paramètres pour l’étude du Pr. Mura, résultats datant de 2003 pour l’étude de l’OFDT…), les apôtres du catastrophisme ou du laisser-faire en sont pour leurs frais. Ces études confirment bien un lien entre cannabis et accident de la route, même s’il est moins important que celui de l’alcool.
A la lumière de ces études, l’Académie nationale de Pharmacie encourage les pouvoirs publics à appliquer et même renforcer la réglementation “en tenant compte des acquis les plus récents de la recherche scientifique“ : ce qui veut dire l’abaissement du seuil minimum de THC sanguin de 1 ng/ml à 0,5 ng/ml, l’analyse du cannabis dans les cheveux comme marqueur d’une exposition chronique avant la restitution du permis de conduire et la généralisation des tests salivaires. Délégué interministériel à la sécurité routière, Rémy Heitz a indiqué qu’après la campagne de prévention engagée en 2005, une nouvelle action de communication contre le cannabis au volant serait engagée en 2006. Le Ministre des transports, Dominique Perben a insisté sur le fait que le nombre de contrôles est passé de 3 000 en 2003 à 16 000 en 2005, des chiffres qui selon lui, traduisent une mobilisation indéniable malgré la difficulté de pouvoir bénéficier aujourd’hui de tests salivaires efficaces. De son côté, le ministre de l’intérieur aurait toujours dans ses cartons une révision de la loi de 1970 sur les stupéfiants. Une volonté qu’il avait affirmée lors de son premier passage Place Beauvau et lors de son audition par la commission d’enquête sénatoriale sur les drogues (dont le rapport “Drogues : l’autre cancer“ avait été particulièrement alarmiste vis-à-vis du cannabis). Mais ses propositions (confiscation temporaire du scooter, obligation d’accomplir un travail d’intérêt général, recul de l’âge pour passer le permis de conduire…) avaient suscité des réticences, au point de voir Jean-Pierre Raffarin enterrer toute révision de la loi de 1970.
Luc Blanchot
1 – Forensic Sci Int. 2005 Oct 13; Epub ahead of print2 – BMJ 2005;331:1371
3 – Communiqué de l’Académie nationale de pharmacie du 9 novembre 2005
Des sites pour aller plus loin :
Le collectif d’information et de recherche cannabique (CIRC) qui milite pour une légalisation du cannabis :
http://www.circ-asso.net/
L’association Marilou qui milite pour la répression du cannabis au volant :http://www.marilou.org/

Albert Nobbs : la bande-annonce ! [VIDEO]

May 18, 2020 | News | No Comments

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La bande-annonce d’Albert Nobbs de Rodrigo Garcia avec Glenn Close a été dévoilée !

La bande-annonce d’Albert Nobbs de Rodrigo Garcia (Mother & Child) a été dévoilée! Emmené par Glenn Close, Mia Wasikowska, Aaron Johnson et Jonathan Rhys Meyers le long métrage se déroule à Dublin au XIXème siècle. Glenn Close y joue le rôle d’une femme seule et sans le sou, qui se déguise en homme pour échapper à la misère, et qui est engagée comme majordome. Inspiré d’une nouvelle de George Moore, Albert Nobbs a été coécrit par l’écrivain réputé John Banville ainsi que par Glenn Close, très impliquée dans le projet puisqu’elle en est également coproductrice. Le long métrage sortira sur nos écrans le 22 février prochain.

Laëtitia Forhan avec ComingSoon

MIAMI, FL — If you’re not sure whether the proverbial apple doesn’t fall far from the tree, take a look at Nic Collins, who at 18 just wrapped up the 97-stop “Not Dead Yet” world tour with his famous dad, global pop superstar Phil Collins.

“The best moment was probably either playing Hyde Park in London — that was 75,000 people which was really great — or sharing on this leg, we did the Garden — Madison Square Garden.

“It was for me a dream come true, and to share that with my dad was something really special for me,” confided Nic Collins, whose powerful drumming style is reminiscent of his dad’s — though Peter Gabriel famously referred to Phil Collins’ “wonderful, one-handed drum solo” because Collins was reportedly uncomfortable doing traditional drum solos when the two superstars played together in Genesis.

Over the weekend, father and son appeared together again, this time to help other young phenoms get their start, not only in the music business, but also in the world of sports and art — a 19-year passion of Phil and Orianne Collins. Together, they founded the Little Dreams Foundation in 2000 to help young people find their dreams in Switzerland, the United Kingdom and more recently in the Miami area where the family calls home.

They were joined by Richard Marx, Tim Howar, Evander “The Real Deal” Holyfield and famed artist Romero Britto, to raise money for the charity, which is dedicated to finding the next generation of phenoms and nurturing their talent.

Lots Of Letters

“We picked Miami because that’s where we live,” Phil Collins told Patch. “We started it in Switzerland and started it because there was a period in time, 15 years ago, maybe, where I was getting a lot of letters from kids that wanted to break into the business and wanted my help as to tell them where to go, what to do.”

For a global superstar, you might think such advice would flow naturally, but not so, says Collins, who is still as much the showman as he was during the 1980s, though he now walks with a cane.

His foundation helps talented young people by providing the tools and contacts they need to succeed.

“I only have certain contacts because I’ve been pretty much with the same people all my career,” acknowledged Collins, who was reportedly comfortable enough on stage to stop an orchestra during a performance of “Davy Crockett” at age 5 because the orchestra played the wrong key.

Little Dreams

He and Orianne created the foundation in a single night.

“We gave it some thought, and thought it would be nice to create a foundation that we can do in that one night,” Collins told Patch. “I can picture it. It became Little Dreams. I did the logo and suddenly it was born.”

As a professional jewelry designer, Orianne Collins has taken on many of the day-to-day responsibilities of running the foundation.

“Tonight we’re going to showcase some of our kids from Switzerland, from United Kingdom and from the United States,” she said ahead of the weekend gala.

Phil Collins said his foundation conducts auditions once a year to find the most deserving young people who are also disadvantaged and between the ages of 6-17. All of the candidates must have a passion for music, art or sports.

“You are constantly surprised about how much talent there is,” he said. “It goes beyond singing in the shower. There’s a lot of kids with talent, but on the family budget it’s way down low — things people can afford, and things they can’t afford, which is vocal tuition and stuff like that.”

‘Magical’ Genesis Reunion?

Tim Howar, a member of the English super group Mike & The Mechanics, which was created by Genesis alum Mike Rutherford, told Patch not to be surprised to see a Genesis reunion now that the “Not Dead Yet” tour has wrapped up.

“If I had to put my money on it, I would put a tenner somewhere on that it’s going to happen,” predicted Howar, who is coming off a London run in the starring role of “The Phantom Of The Opera.”

Genesis last got together in 2014 for a BBC documentary, but next time might be a tour with Nic Collins taking over the drums.

Phil Collins, whose recent tour was named after his 2016 book by the same name, remains close to his Genesis band mates.

“I just think that they’re fantastic friends. When we were opening for Phil in the summer, Mike got on stage and did a couple of numbers with them,” Howar said of Mike Rutherford and his Mike & The Mechanics performances with Collins.

Over the years, Howar said, Genesis band members have been successful in many different projects, which left little free time.

“They’ve all had the fame, the success, but the thing that really matters is their family,” he said. “That includes that little band that started it all.”

He said Rutherford and Collins still have an undeniable chemistry that was apparent in the “Not Dead Yet” tour.

“They both light up when they play. I’ve been playing with Mike for the last 10 years. He’s a great friend,” Howar explained. “It’s always been about a family thing. But when you get that original family together it’s magical.”

Howar’s weekend appearance at the historic Moore Building in Miami’s Design District comes as he transitions from Phantom to a concert series with European orchestras.

“I finish that in December and then I go to the studio to record two albums — one, kind of a Broadway-themed album that I’m writing part of, and doing that with two other gentlemen from the West End — big actors there — and then a solo project.”

He’s not sure what’s next for Mike & The Mechanics.

“We’ll see what happens with the Mechanics based on whether Mike Rutherford wants to get back in the studio,” he confided. “It’s always a surprise to us.”

Richard Marx Back On Top

Richard Marx, who performed at Collins’ gala, recently marked a new chapter in his own decades-long music career with yet another hit. He plans an early 2020 release of his first new album of original songs in six years.

“I just had a top-15 single, believe it or not — an old man like me,” he told Patch. “The new album comes out Feb. 7. It’s called ‘Limitless’ on BMG. I’m really psyched about it. I’m touring all next year.”

This weekend also marked his second performance at the Little Dreams gala. The first was five years ago, which coincidentally was the foundation’s first Miami gala.

“I was also excited because Phil was planning to perform that night but then he really wasn’t feeling well,” recalled Marx of his first performance at the gala. “I ended up performing ‘In the Air Tonight’ with his son, Nic, playing drums which was really a pretty special night.

“Even though we were all bummed that Phil didn’t perform, there was something about Nic playing drums that was so in the spirit of the foundation itself.’

Former boxing heavyweight and cruiserweight champion of the world Evander “The Real Deal” Holifield said he supports the work of the foundation because of his own experience as a young boy who wanted to pursue a dream in sports.

“I was that kid,” he asserted. “I was told at 8 years old I could be the heavyweight champion of the world if I listened, follow regs and don’t quit.”

Nic Collins, who also has his own band, Fifty Eight Hundred, said he is mostly a self-taught drummer. His dad never pushed him to take up the instrument.

“Obviously, he’s the reason I played drums, but it was never forced upon me,” the younger Collins recalled in the Patch interview.

“I think … as I’ve gotten older, I have gravitated towards wanting his opinion a bit more just as a drummer and not so much as a father-son thing.”

Watch Nic Collins performing in London’s Hyde Park with his father:

Nic Collins said touring with his father gave him a different perspective.

“It just became a really cool thing where it was work and then afterwards it was like, look what we just kind of got to share as father and son.”

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DENVER, CO – Denver tractor fugitive Thomas Busch, 37, led police on a 10-20 mph chase the wrong way down a one-way downtown Denver street July 21– captured on cell phones and posted to Twitter –until he was finally stopped when a squad car rammed into the stolen John Deere.

Busch was charged Friday with 23 counts, including auto theft, hit and run, leaving the scene of an accident, eluding police and cruelty to a police dog, the Denver County District Attorney’s Office said.

Busch allegedly bit a police K9 dog while resisting arrest. In the confusion, the dog also bit a cop, police said in an arrest affidavit. Police released a timeline Friday, showing that incident, along with various carjackings, hit-and-runs and trespassing.

The DPD timeline follows:

Busch was taken to a hospital to be treated for dog bites and other injuries, police said.

Click Here: Putters

Busch has a background of criminal arrests. Denver7 reported he had a past criminal record that included arrests for burglary, domestic violence, robbery, assault and multiple traffic offenses. He is being held at the Denver jail with no bond.

Busch is next scheduled to appear in Denver court on July 30, the District Attorney’s Office said.

Image via Denver Police Dept.


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Farrah Fawcett, ce n’est pas qu’une belle femme atteinte d’un cancer incurable. Farrah Fawcett, c’est aussi l’une des actrices mythiques de la série Charlie’s Angels, et une femme qui mérite simplement de vivre en paix. Car si son personnage est public, sa vie est privée.

Comme si la maladie qui la ronge ne suffisait pas, Farrah Fawcett se voit contrainte de supporter les propos des média qui relatent dans le moindre détail les souffrances qu’elle endure.

Une frénésie médiatique à la limite du manque de respect, que l’actrice ne supporte plus.
Épuisée, à bout de forces, la comédienne trouve néanmoins l’énergie de demander qu’on arrête de déballer à longueur de papiers les effets de son combat perdu contre la maladie.

«Je suis une personne privée. Cela me met mal à l’aise que des gens connaissent certains détails de ma maladie. Je supporte mal qu’on explique aux gens les traitements que je suis. L’idéal serait que je puisse sortir en paix, mais il semble que certains pensent que mon état de santé les regarde», confiait la star.

À 62 ans, l’actrice a vu sa vie basculer en 2006, lorsqu’elle a appris qu’elle était malade. Mais après avoir vaincu une première fois le cancer, celui-ci est revenu de plus belle, et cette fois pour de bon. Une situation que l’actrice vit suffisamment mal pour qu’elle soit en plus relayée dans la presse.

«J’étais stressée. La chimiothérapie me terrifiait. Ce n’est vraiment pas agréable», expliquait-elle.

Mais le pire réside sans doute dans la curiosité parfois malsaine qui habite les gens. «La maladie prend toute la place dans ma vie. Les gens appellent et demandent ‘Comment vas-tu? Nous prions pour toi. Tu as toujours tes cheveux?’. Mes conversations téléphoniques se concentrent autour de ça. C’est fatigant. Mais je sais que je n’aurai plus jamais la même vie», admettait-elle.

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Toujours optimiste et manifestement très forte et lucide, Farrah Fawcett tente cependant de trouver une explication à sa maladie. Sûrement pour se rassurer, la jolie blonde se dit qu’il y a forcément une raison pour qu’elle soit malade, imaginant que cette épreuve servira d’une façon ou d’une autre.

Vendredi, la chaîne américaine NBC diffusera une documentaire sur le combat de Farrah contre son cancer.

Pour l’heure, son état est critique, et ses proches se pressent à son chevet, bien loin de la frénésie médiatique dont elle est l’objet.

Mardi 12 mai 2009

Plan canicule : première alerte en PACA

May 17, 2020 | News | No Comments

Le 28 juin, le niveau 3 « Intervention » du Plancanicule était déclenché en région PACAsuite aux prévisions de fortes chaleurs. Le ministre donnaitalors instruction aux différentes agences (Drass-dass,Agences régionales de l’hospitalisation) de mettre en oeuvreles mesures de prévention prévues et de faire unbilan quotidien de la situation locale. Deux jours plus tard, leniveau 3 du Plan était levé.
A l’occasion de cette brève alerte, le ministère arappelé les mesures de prévention utiles auxpersonnes les plus sensibles (personnes de plus de 70 ans,atteintes d’un handicap ou d’une maladie chronique,dépendantes, sportifs, nourrissons, travailleurs manuelsexposés à la chaleur) : rafraîchissement del’habitat, apport hydrique (au moins 1,5 à 2 litres parjour), humidification régulière des personnes, aidedes parents et des voisins.
Par ailleurs, les sites internet de l’Inpes et du Ministèrede la santé et de la protection Canicule mettent à ladisposition de tous des recommandations destinées au grandpublic et aux professionnels de santé. Autre initiative, lelaboratoire de santé publique de la Faculté demédecine de Marseille vient de lancer le site d’informationhttp://www.canicule.info. Lors des 15 000 victimes de la canicule2003, la région de Marseille s’était d’ailleursdistinguée par une moins importante mortalité pour cedépartement.
Suite aux conclusions de la commission d’enquête del’Assemblée nationale qui avait relevé « unegestion déficiente » de la crise, les autoritéssanitaires semblent aujourd’hui privilégier la prudence.Source : Communiqués du ministère de la santédu 28 et du 30 juin 2004Click Here: Golf special

Du cannabis naturel contre la schizophrénie

May 17, 2020 | News | No Comments

Le cerveau peut produire dans certains cas de grandesquantités de « cannabis naturel » ! C’est laconclusion de chercheurs allemands et américains. Selon eux,il ne s’agit pas pour nos neurones de s’envoyer en l’air, mais delimiter les ravages des psychoses telle que laschizophrénie. En effet, ils ont comparé les tauxd’anandamide, c’est-à-dire une substance proche du cannabisproduit naturellement par l’organisme, chez personnes saines etchez des schizophrènes. Et ils ont observé que cettesubstance était en quantité 6 à 8 fois plusimportantes chez les personnes souffrant de psychose. La questionest alors de savoir si cette molécule est la cause ou laconséquence du mal ! Les scientifiques penchent pour ladernière solution. En effet, ils ont observé que lesmalades qui avaient les symptômes les plus importantsétaient ceux qui avaient les taux d’anandamide les moinsélevés. Cela signifierait qu’en cas de psychose, lecerveau secrète un « antidote » pour combattrela maladie. Et lorsqu’il n’est pas capable d’en produiresuffisamment, les symptômes sont plus importants. Uneétude qui pourrait ainsi relancer le débat sur lecannabis thérapeutique : pourrait-il aider au traitement desschizophrénies ? Les auteurs pensent que ce serait unegrosse boulette pour le moment.Source : New scientist 30 août 2004