Month: June 2020

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MNUSA Mic’d Up – Matt Njos

June 12, 2020 | News | No Comments

Minnesota/USA Wrestling Marketing Director Jamie Nelson talks with Minnesota/USA Wrestling U16 (Cadet) Director Matt Njos.

Topics discussed include Minnesota/USA Wrestling updates, Heartland Duals, Cadet and Junior Duals, Fargo, modified schedule scenarios, and more.

Check out Minnesota/USA Wrestling at mnusawrestling.org.

Paris Hilton, soeur jumelle de Sharon Stone?

June 11, 2020 | News | No Comments

Lors de la dernière soirée très courue des femmes lesbiennes, Paris Hilton toute de rose vêtue a concurrencé Sharon Stone dans le style et dans l’attitude…

Sharon Stone et Paris Hilton, sœurs jumelles…
Venues séparément à la même soirée organisée en faveur des femmes au centre gay et lesbien de Los Angeles, Sharon et Paris ont déclenché les sourires entendus des commères d’Hollywood. Vous voyez la différence? Et pourtant… 23 ans séparent ces deux femmes au style et à la silhouette si similaires. De quoi créer le buzz autour de Sharon Stone, 51 ans, qui semble avoir absorbé un élixir de jeunesse. Alors, bon capital génétique pour l’égérie des crèmes anti-rides de Dior ou exemple flagrant des bienfaits de la chirurgie esthétique? On vous laisse juge…

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Afin de mieux diagnostiquer ce mystérieux syndrome inflammatoire similaire à la maladie de Kawazaki et d’explorer son lien supposé avec le SARS-CoV-2, des chercheurs anglais ont étudié le cas d’une cinquantaine d’enfants touchés par la maladie.

Depuis le mois de mars, soit l’arrivée de l’épidémie Covid-19 en Europe, près de 200 enfants (179) ont été diagnostiqués d’un syndrome inflammatoire sévère proche de la

maladie de Kawazaki en France. Des scientifiques anglais, dont la recherche est publiée dans le 

Journal of the American Medical Association (JAMA), ont identifié les principaux symptômes et marqueurs cliniques de cette nouvelle maladie, appelée ”

syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique” (PIMS-TS), en analysant le cas de 58 enfants admis dans huit hôpitaux en Angleterre.”Bien qu’extrêmement rare, ce syndrome peut rendre un enfant très malade. Il est donc important de bien caractériser la maladie afin de pouvoir assurer une surveillance étroite et le meilleur traitement“, estime la Dre Elizabeth Whittaker, du département des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres et consultante en maladies infectieuses, qui a dirigé l’étude. “Notre analyse confirme qu’il s’agit effectivement d’une nouvelle affection. Sans traitement, il existe un risque de complications graves chez les enfants très malades, mais avec un dépistage et un traitement précoce, le résultat est excellent, les enfants que nous examinons après leur sortie étant en parfaite santé“, renchérit la spécialiste des maladies infectieuses Julia Kenny, co-autrice de la publication.45 des 58 patients ont été testés positifs au Covid-19Malgré des symptômes communs à la maladie de Kawasaki telle qu’une fièvre persistante, le PIMS-TS se manifesterait le plus souvent par des douleurs abdominales et des diarrhées et affecterait davantage les enfants plus âgés (en moyenne neuf ans contre quatre ans pour la maladie de Kawazaki). Le PIMS-TS semble également toucher une plus grande proportion de patients noirs et asiatiques, notent les chercheurs.

Bien que l’étude ne puisse pas affirmer avec certitude que la PIMS-TS est causée par le Covid-19, 45 des 58 enfants présentaient des anticorps contre le nouveau coronavirus, ce qui suggère que le PIMS-TS survient après l’infection, potentiellement en raison d’une réaction excessive du système immunitaire, supputent les chercheurs.Selon les auteurs de l’étude, une meilleure connaissance du PIMS-TS pourrait aider à une compréhension plus générale du Covid-19 et de ses effets, y compris chez les adultes. Si par exemple la maladie est effectivement causée par une réaction excessive du système immunitaire, cela pourrait avoir des implications pour l’utilisation des vaccins.”Une prochaine étape importante consistera à examiner ces données dans le contexte d’autres études publiées dans le monde entier“, souligne le Dr Alasdair Bamford, consultant et responsable de la spécialité des maladies infectieuses pédiatriques au Great Ormond Street Hospital à Londres et co-auteur de l’étude.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Lewis Hamilton described his return to the cockpit with Mercedes on Wednesday at Silverstone as “a lot of fun”, the six-time world champion feeling like he never “left the water”.

Mercedes ramped up its preparations for next month’s season opening Austrian Grand Prix double-header, drilling its crews during two days of running to work under F1’s new safety constraints and allowing Bottas and Hamilton to get back to the grind.

The Briton’s day started on a wet track but the team still managed to run through its various programs while Hamilton was delighted to put in some good mileage on the Silver Arrows’ 2018 W09.

    Mercedes test at Silverstone: Day 2 in pictures

“Honestly it felt just great to be back in the car, a lot of fun,” he said.

“When you leave the garage the first time, you get this buzz, and it doesn’t matter how many years you do it, it always feels new and fresh.

“Obviously this is an older car, but it still felt fantastic. We got through a solid programme today.

“Valtteri’s day was dry, my day started of wet, so quite a greasy Silverstone track. But obviously I grew up in this kind of weather, so I’m used to it. I was still able to get a good feel of the car.”

©Mercedes

Hamilton is among those F1 drivers who haven’t indulged in any sim racing in the past three months to keep their skills sharp. But the 35-year-old was on it from the outset.

“I didn’t feel like I’ve ever left the water, so that’s a positive,” Hamilton said.

“I think every time you take a big break – I think it’s been 103 days or something – you always wonder whether you can still drive.

“So it’s a good feeling to know of course I can, I’m ready, I feel fit. I hope you guys are all well and excited for what’s coming up.”

In addition to Mercedes, Ferrari planned a test with an older-spec car at Fiorano this week while Racing will conduct a filming day with its current car at Silverstone next week.

The 2020 F1 season will kick at the Red Bull Ring on July 5.

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Marie-Josée Croze, la belle insoumise

June 10, 2020 | News | No Comments

Révélée à Cannes dans Les Invasions Barbares, en 2003, femme mystère de Ne Le Dis à Personne, espionne fatale dans le Munich de Spielberg… A trente-neuf ans, le succès n’a pas altéré la rebelle attitude de Marie-Josée Croze. L’actrice québécoise a beau se dissimuler sous ses rôles, elle ne se fond pas pour autant dans le politiquement correct.

Les paillettes du star-système, la vie de famille? Très peu pour elle. Mathilde, éprise de Daniel Auteuil dans le mélo Je L’Aimais, femme indépendante et passionnée, un jour à Paris, l’autre à Hongkong, est sûrement le personnage qui lui ressemble le plus. Aujourd’hui valeur sûre du cinéma français, Marie-Josée Croze a gardé intact son indépendance d’esprit.

Gala: La cinéaste Zabou Breitman vous a offert un rôle de femme insaisissable. Vous vous définiriez ainsi?

Marie-Josée Croze: Oui, vous mettez le doigt sur la chose la plus caractéristique de ma personnalité. Ma mère disait même plutôt indomptable. «Marie Josée, c’est une petite fille qu’on ne peut pas attacher. Elle est comme un animal sauvage.» Elle a raison, je ne laisse personne décider pour moi. D’ailleurs, j’ai toujours besoin de méditer quelques semaines avant de commencer un tournage. Certains se nourrissent de leurs enfants ou de leur conjoint. Moi, mes proches me divertissent, mais je ne me nourris que dans le recueillement.

Gala: Pas facile d’allier cette «sauvagerie» au métier d’actrice qui, par essence, implique de se laisser diriger.

M-J.C: J’ai besoin de tomber amoureuse des gens avec qui je travaille. Il me faut un partenaire pour qui j’ai du respect et de l’admiration. Alors oui, à ce moment-là, je peux m’abandonner. Dans le cas contraire, rien ni personne ne peut obtenir quoi que ce soit de moi. Je ne suis absolument pas malléable!

Gala: Vous avez dû beaucoup souffrir à vos débuts…

M-J.C: C’est vrai, oui. Je me souviens d’un ami qui me disait: «Tu n’as rien fait et tu te comportes comme une star. Tu ne peux pas avoir ces exigences-là.» En plus, j’ai toujours eu tendance à donner mon avis sur les tournages. Heureusement, aujourd’hui, on m’écoute! J’ai une fibre artistique, je vois, je sais! J’ai fait les Beaux-Arts, des études de coiffure (rires), j’adore la littérature…

Gala: Et lorsque vous avez tourné Munich, sous la direction de Spielberg, vous ne vous laissiez pas faire non plus?

M-J.C: Oh que non, je me mêlais de tout! La maquilleuse voulait me peinturlurer, la coiffeuse me crêper. Ça n’avait plus aucun sens… Je ressemblais à une pâtisserie. J’essayais de m’y opposer, mais personne ne m’écoutait. Lorsque je suis arrivée devant Spielberg, il fulminait: «Qu’est-ce que c’est que ce maquillage! Enlevez-moi tout ça!» Finalement, j’avais raison (énervée). Nous, les acteurs, on connaît notre personnage. Ça suffit laissez-nous tranquille!

Gala: Vous vous dites antistar. Et pourtant, le succès doit forcément vous affecter au quotidien. Comment réagissez-vous quand on vous reconnaît dans la rue?

M-J.C: J’ai décidé qu’on ne me reconnaîtrait pas, et c’est le cas. Par exemple, je trouve génial que personne n’identifie ma couleur de cheveux, j’en change systématiquement. Il m’arrive d’être reconnue, mais les gens restent courtois, discrets, ils me parlent très peu dans la rue. Cette intimité, c’est plutôt le signe d’une vitalité, que je ne les ai pas lassés. Ils retiennent mon personnage plutôt que mon visage d’actrice. Paris Hilton peut signer des autographes à tous les coins de rue, je suis contente pour elle. Mais pour un acteur, c’est handicapant.

Gala: Vous avez un égo comme tout le monde. Ça ne vous arrive jamais de désirer un minimum de reconnaissance?

M-J.C: Mais si. Lors d’un dîner, j’adore le moment où l’on découvre que l’actrice de Munich est la même que celle de Ne le dis à personne… Ce genre de séquence est vraiment génial à vivre.

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Gala: Il y a quelques années, vous considériez la procréation comme un acte quasi criminel. Aujourd’hui, vous êtes toujours sur la même ligne?

M-J.C: Je pense toujours qu’étant donné l’état de la planète, la crise, faire des enfants est un acte complètement (hésite)… inconscient. Tout le monde trouve ce discours complètement punk. Pourtant, ce n’est que du bon sens… Que voulez-vous? Je n’aurais peut-être jamais l’instinct maternel (rires).

Propos recueillis par Guillaume Loison

Article paru dans le magazine Gala, mai 2009

Dimanche 10 mai 2009

Chaque année, des campagnes de sensibilisation aux maladies psychiques et d’appels aux dons sont organisées par le Psychodon. Le fondateur Didier Meillerand a répondu à nos questions concernant l’édition 2020, particulièrement importante dans ce contexte angoissant de pandémie et de confinement.

Sommaire

  1. Doctissimo : Le Psychodon, qu’est-ce que c’est ?
  2. En quoi va consister la campagne de sensibilisation cette année ?
  3. A quoi servent les dons collectés ?

Doctissimo : Le Psychodon, qu’est-ce que c’est ?Didier Meillerand : Le Psychodon a pour vocation de sensibiliser à la

santé mentale parce que c’est un enjeu de santé publique : c’est la première cause de dépenses sociales de notre pays – 113 milliards d’euros -, la première cause d’arrêt maladie, et puis surtout, dans le contexte de crise sanitaire et économique que nous vivons, nous sommes, et c’est notre slogan, tous fragiles, tous concernés par le risque psychique. C’est une actualité prégnante : chacun d’entre nous a vécu de

l’anxiété voire des moments de dépression et de repli sur soi-même pendant le confinement. Et actuellement, le

retour au travail est très compliqué, il faut se confronter aux masques dans les transports, aux autres avec d’autres codes, retrouver des rituels que nous avions perdus… C’est un risque psychosocial majeur. En quoi va consister la campagne de sensibilisation cette année ?Nous considérons quasiment en priorité les jeunes, et c’est pour cela que nous organisons l’

Happy Hour Psychodon sur Facebook le 12 juin en live entre 19h et 20h. Des grands psychiatres répondront à leurs questions en direct, avec le rappeur Gringe qui est notre ambassadeur auprès des jeunes, et aussi avec des jeunes formés pour être ambassadeurs en santé mentale. Ils répondront aux questions des auditeurs sur le

post-confinement, le risque de maladies psychiques, etc., avec leur langage.Psychodon c’est aussi de grands événements, avec la soirée annuelle de l’Olympia qui se déroulera cette année le 6 octobre et qui sera diffusée en direct sur C8. C’est une soirée festive, caritative et d’informations, que je présente avec Yannick Noah, notre parrain, et un ensemble d’artistes et d’experts en santé mentale. Et puis on sensibilise encore plus largement avec les 6 et 7 décembre, lors de la grande exposition Santé mentale et territoires au Grand Palais.A quoi servent les dons collectés ?Cette année, l’objectif pour les dons est le million d’euros pour le grand public. C’est une somme symbolique, qui s’inscrit dans le cadre de notre plan. Il y aura quatre Olympia successifs, il s’agit là du deuxième. Le Psychodon a un collecteur-répartiteur, la Fondation de France. Elle répartit les dons dans trois champs : la recherche, l’accompagnement des malades et des familles, et les actions de prévention sur les territoires. Toutes les associations et les fondations dans les trois champs postulent aux appels à projets de la Fondation de France qui ont lieu deux fois par an dans chacun des champs. Ensuite les comités d’experts, composés de médecins, de sociologues, d’experts scientifiques, etc., se réunissent et distribuent les dons à l’ensemble des associations et fondations postulantes. Les projets sont extrêmement variés. Parmi eux, il y a par exemple une structure de recherche sur un test de diagnostic précoce des maladies psychiques chez les jeunes.Click Here: New Zealand rugby store

Jennifer Aniston a enfin trouvé le bonheur

June 9, 2020 | News | No Comments

A 40 ans, Jennifer Aniston est plus épanouie que jamais. L’actrice confie s’être éclatée sur le tournage de Management avec une vieille connaissance à elle: Steve Zahn.

Depuis bientôt deux mois, Jennifer Aniston est séparée du chanteur John Mayer. Pour autant, la belle ne se laisse pas gagner par la déprime, bien au contraire. Son remède à elle contre le spleen: le travail. Elle confie avoir pris beaucoup de plaisir sur son dernier tournage avec Steve Zahn. Pour Jen, Steve Zahn est «un amour absolu» et «c’est le meilleur, son préféré, je le connais depuis si longtemps». Pourtant le tournage de Management, une scène a amené nos deux comparses à vivre une situation assez étrange.

En effet, une scène du film oblige le personnage joué par Steve a toucher le postérieur de Jennifer Aniston. «On a dû le faire tellement de fois, c’était trop étrange, désagréable et étrange». Toutefois, l’acteur ne manque pas de rajouter que Jennifer est «une pro, une actrice douée, humble». Les deux comparses n’ont cessé de se complimenter.

Mais l’ex de Brad Pitt ne passe pas l’essentiel de son temps à congratuler Steve Zahn. Celle qui a connu la gloire grâce au personnage de Rachel Green qu’elle a joué durant 10 saisons fait tout pour qu’un film issu de la série soit un jour tourné. Elle a d’ailleurs contacté les producteurs de la série à ce sujet. Les fans trépignent déjà d’impatience.

Jeudi 7 mai 2009

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"". Depuis mars, Juliette, 49 ans et Marie*, 33 ans, vivent "" avec des symptômes en "". Comme elles, des milliers de personnes disent souffrir d’un "", laissant les médecins souvent démunis.

Sommaire

  1. “C’est la résultante du Covid”

Le matin, c’est le calendrier de l’Avent: vous vous réveillez, vous lancez les dés, vous ne savez pas ce que vous allez avoir comme symptômes dans la journée“, raconte Marie*, une psychologue clinicienne de 33 ans, sans antécédent médical.

Tachycardie, difficultés respiratoires, brûlures thoraciques, troubles nerveux,

phlébite… Depuis le 10 mars, où les premiers symptômes de type “grippaux” sont apparus, elle oscille entre des “jours meilleurs en ayant l’impression d’être guérie” et des “grosses rechutes inquiétantes“, nécessitant une hospitalisation à deux reprises, mais sans avoir été testée.”Mi-avril, j’allais mieux alors mon cardiologue m’a dit de faire de l’exercice, j’ai fait du vélo d’appartement pendant 10 minutes, je me suis retrouvée clouée au lit pendant 48 heures car mon cœur battait à 150“, raconte-t-elle, avec “l’impression de respirer dans une paille“.Seule et “dans l’inconnu“, sa médecin généraliste lui affirmant qu’elle “somatisait“, elle (

@lapsyrevoltee) décide de créer le hashtag #aprèsJ20, pour “fédérer” les malades dans son cas. Des centaines de personnes, 80% de femmes assez jeunes, la contactent rapidement.C’est le cas d’Aziza, 36 ans, agent RATP en congé parental d’éducation. Très sportive et en bonne santé, elle connaît des symptômes du coronavirus (fièvre, courbatures, fatigue intense, perte d’odorat et de goût) depuis le 21 mars, avec une “rechute totale, comme au premier jour, fin avril“.Elle souffre alors de migraines, puis rapidement de tachycardie avec “le cœur qui s’emballe” et “d’un essoufflement malgré peu d’efforts“.“C’est la résultante du Covid”Comme Marie, cette mère de trois enfants se sent délaissée par le corps médical. “Je suis allée plusieurs fois aux urgences et tous les médecins m’ont répété que c’était l’

anxiété et psychologique“, regrette-t-elle, malgré une “sérologie positive” indiquant qu’elle a été en contact avec le coronavirus SARS-CoV-2.Selon Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine), sollicité par ces patients aux syndromes persistants, “l’hypothèse forte retenue est une réaction de type inflammatoire de la machinerie du système immunitaire“.”Ce n’est plus le Covid, c’est la résultante du Covid, c’est-à-dire que le système immunitaire se met en marche pour nettoyer ce virus et cela entraîne une grande fatigue“, précise l’infectiologue.D’ailleurs, plus de la moitié de ces gens aux symptômes persistants ont des tests Covid négatifs, leurs prises de sang ne montrent aucune trace d’infection et leurs scanners sont normaux, selon Dr Davido.De son côté, Roland Tubiana, infectiologue à la Pitié-Salpétrière (APHP), assure qu’il n’y “pas de conclusions ni même d’interprétation sérieuses à ce stade“, surtout que “beaucoup de patients n’ont pas eu de

diagnostic prouvé virologiquement initialement“.Un manque de diagnostic qui plonge les malades “dans la honte“. “Pour les médecins, si le symptôme n’est pas objectivable et bien c’est psychique“, regrette Marie, qui réclame “un parcours de soin fléché pour qu’on ne soit pas laissé à l’abandon, qu’on nous dise ce qu’on doit faire à J25 ou J40“, précise-t-elle.”Mon médecin prend symptôme par symptôme et ne réfléchit pas de manière globale, je n’avance pas“, explique également Juliette, 49 ans, malade depuis mi-mars avec des symptômes “en montagnes russes” et qui habite à Cherbourg (Manche).Agent de production dans la construction de pales d’éoliennes, Juliette a tenté de reprendre son travail, “très physique“, le 12 mai, pensant être “guérie“.Résultat, “au bout de trois heures ça n’allait plus du tout“, “j’étais très essoufflée, il ne faut pas se réjouir trop vite“. Depuis, Juliette connaît une “grosse rechute“, avec de nouveaux symptômes, en plus de la fièvre et de la tachycardie.”J’ai des inflammations aux tympans et mal à la mâchoire, les médecins ne suivent plus“, énumère-t-elle, avec l’impression “d’être comme ma grand-mère de 95 ans“. Alors, elle vit “au jour le jour“, se faisant à l’idée d’être “handicapée pendant plusieurs mois” car “souvent rappelée à l’ordre“.Selon Dr Davido, ces patients pourraient représenter 5 à 10% des malades du Covid-19, soit plusieurs milliers de personnes en France, affirmant que cela touche principalement des “femmes jeunes sans antécédent médical“, plus sujettes à “l‘anxiété” ou à une “dérégulation du système immunitaire“.* le prénom a été changéClick Here: New Zealand Rugby Shop

Mercedes boss Toto Wolff isn’t dismissing Sebastian Vettel as a candidate for a seat at the championship winning outfit as a “black swan” event could suddenly open up a vacancy at the team.

Mercedes has yet to decide its 2021 line-up, with the contracts of both Lewis Hamilton and Valtteri Bottas expiring at the end of this year.

Speaking to the German media on Wednesday, Wolff said that Mercedes can’t dismiss Vettel’s availability as unforeseen circumstances could promote the four-time world champion from outsider to prime candidate if unforeseen circumstances suddenly materialized.

“Sebastian is of course a great personality and, with four world championship titles, one of the most outstanding drivers of his generation,” said Wolff.

“He is an outsider candidate for a cockpit at Mercedes.

“Our priority lies with the Mercedes drivers, Valtteri and Lewis, and then obviously George [Russell] and the Williams situation we’re looking at with interest. Beyond that you do not discount any driver.

“This is why I said I don’t want to discount Sebastian, because who knows what happens in the next months?

“If I had told you in January that we would not have any racing in the first half of the year nobody would have believed it.

“I’m happy with both our drivers, and George. But you never know. One of them may decide that he doesn’t want to go racing any more, and suddenly you have a vacant spot.

“And this is why I don’t want to come out in June and say, ‘No chance, Sebastian is not racing for us.’

“First of all I wouldn’t do it to him as a driver, to be that blunt, and on the other side I’ve seen black swans appearing when nobody expected.

“Remember Nico Rosberg. In that respect we’re just keeping our options open, but of course concentrating our discussions with our current drivers.”

    Horner: Vettel at Mercedes ‘would be great for all of us to see’

Regarding Hamilton’s future and an extension of the Britain’s deal with Mercedes for 2021 and beyond, Wolff said that no contract talks had yet been held with the six-time world champion.

“We didn’t see each other during the lockdown, but we were in regular contact. But we didn’t work on any agreement. Between us there is a lot of trust.

“We have been together for a long time, and never in these years together we had to take the contract out and actually read what was written in there, because it comes so naturally.

“And therefore, once racing resumes we’re going to spend some time together, pull the contract out of the cupboard, look at the duration, the numbers and the terms and hopefully have something pretty soon.”

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The outbreak of the coronavirus has hit the entire fashion industry hard, with many companies struggling to survive. At the same time, the pandemic has brought the dark side of the fashion industry to light. Brands are cancelling deliveries and not paying garment workers in their outsourced supply chains, while the stock problems of shops that have been closed for weeks illustrate the problem of overproduction. Fashion activist Matteo Ward explains the reasons for this plight and proposes possible solutions.

Despite some of his radical ideas, Ward is no stranger to the industry. After working for six years at Abercrombie & Fitch, he founded his sustainable label Wrad in 2014. He is also a frequent speaker at events, as he understands how to examine the problems of the fashion industry in a wider economic context.

Which shortcomings of the fashion industry has the covid-19 pandemic exposed in your view?

Matteo Ward: The market has completely forgotten the people that make our clothes and the fashion industry was okay with that. […] This is a very old problem. What happened during the coronavirus situation is that a lot of the big brands cancelled their orders and didn’t pay the garment workers for production that had already been put in place.

There are millions of families right now who are suffering because of the situation. Though their wages were so low, to begin with, they depended on them to survive. It is almost like modern-day slavery, which was exacerbated by the coronavirus situation. That’s what is happening from a social standpoint.

The garment manufacturers of Bangladesh alone report cancelled orders worth 3.18 billion US-dollars. It becomes difficult to keep track of the conduct of fashion brands or hold companies accountable in this situation.

Over the past 30 years, it has become clear that the fashion industry has built very complicated supply chains, which involve outsourcing, as well as licensing and unchecking where each and every part of our clothes has been made. Having unchecked, unaccountable and untraceable supply chains can create a lot of risk for companies, especially in today’s pandemic. A sudden lockdown can interrupt and block the supply of clothing and merchandise at various stages in the value chain.

While some fashion brands are grappling with supplies, others fight with the amount of unsold apparel that was left over when stores closed in many countries. Which problems are underlined by this sheer extent of unsold stock?

The fashion industry has been destroying the ecosystem for the past decades in very unaccountable ways. It has been freely taking common goods such as water, clean air, soil and land from the natural ecosystem without ever paying back the price.

The industry has never reinvested in creating a regenerative system, it just invested in destroying and extracting as much as possible from the system for its own gain. From the over a hundred billion pieces of clothing that the fashion industry produces, not only are 85 percent trashed, but it also takes more than 200 years for polyester to be recycled. .

You have provided a couple of examples for shortcomings, do you also see any remedies for these?

I have given examples of some of the problems that the industry has been trying to deal with in the past years. The current situation has exacerbated them and we need to confront these problems now. The board of directors of fashion companies needs to reconsider their supply chain and produce more locally, because problems like this if they keep on happening, will have a bad impact on the bottom line.

What else needs changing other than more local production?

From an environmental standpoint, I hope there will be a wake-up call and that it will be impossible to continue with this level of degradation of resources. We need to start building more regenerative systems with companies recognizing that the resources and land that they are using aren’t free. We should do everything that we can to give back to our ecosystems – starting now.

Also in terms of the level of production, nobody asked to have the billions of garments that are dumped at an increasing rate every single year.

Overproduction has also been recognized as a problem in the industry itself, weighing on the profit margins and resulting in early sales. Why has it been so hard to tackle this?

The good old mentality that infinite growth is possible has started to crumble and fall apart. It is evident to everybody that the problem is that nobody has figured out how to maintain or refine the concept of growth.

If we think about growth in mere financial terms, it means that we need to sell more products every year and at a higher margin every year. This mentality has led us to the current system. If we think of growth as creating more value for citizens and nature, as well as creating healthier and safer spaces and clothing for people, then the paradigms start to shift. That’s the reality that I hope we will transition into after this crisis.

How can this paradigm shift happen in a practical way?

We need a systemic and synergic simultaneous intervention, which, in my opinion, includes three levels. Let’s start with the inner circle, the fashion companies. They really need to redefine how they produce, how much they produce and the function of what they produce. That is a cultural shift that needs to happen in fashion enterprises which is starting to happen. But there is still a lot of tension between the old school and the new school, the younger generation of leaders stepping up and the old generation that has been profit-led for decades.

But you also think the efforts can’t just stop at the companies. What’s the next level?

There needs to be a big change at the financial level, which has already started to happen. We need new financial systems or schemes pretty much based on two pillars: People that lend capital need to consider the environmental and social risks of the company that they’re putting their money in. Sustainable finance is a thing within the biggest financial investment banks, but it’s not the standard. That needs to change.

What’s the last level at which change needs to occur?

A lot of changes need to happen at the government level. We are at the break of a new industrial revolution but the public needs to intervene with legislation and policies engineered to support the rise of new business models – whether they’re circular, regenerative, supporting innovation in different fields or subsidizing better materials, which are very expensive today because they haven’t scaled up.

The government also needs to regulate standards and norms, in order to avoid the confusion that’s happening at the market level. This involves having standards and laws that can tell you when a product can be defined as organic, recycled and biodegradable. Right now everybody is using these terms in a very, very unchecked way and this causes so much confusion – from vegan fragrances to biodegradable t-shirts. One could argue that every single t-shirt is biodegradable – one takes five years to decompose while the other takes 200 years.

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How likely do you think it is that your calls will become a reality in the current environment, where fashion companies have to focus on daily operations just to stay afloat?

Companies are really focused on surviving. When you get into survival mode the first thing that you think about is the bottom line, which means selling a lot of products to catch up with the losses of the past four months of lost revenues and making sure the margins are high.

At the same time, there has been a call to refocus and realign business models in order to better concentrate on what makes sense. The probably says it all. Slow down, focus on what you can do, don’t do too much. It’s vulgar, it’s useless, it has a cost. Both views will probably be happening at the same time.

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  • While the future remains uncertain, there are still hopes that the covid-19 pandemic might act as a kind of catalyst. What are your hopes about fashion companies coming out of this crisis?

    I hope that some companies spent the past weeks in lockdown to rethink their business model. I already know that some of them have. We need to see how the public’s mindset comes out of this in terms of behaviour and consumption changes. We need to expect companies to, hopefully, reuse the fabrics that they already have. Rather than making a new collection, they should keep unsold garments from past collections and make changes for the next season.

    Fashion companies need to create a more participative and inclusive design process. After being out of the market, they need to listen to what it wants and respond to the true needs of humanity in terms of actual emergencies that are happening and social needs as well.

    What are those needs that fashion companies need to recognize?

    We need to speak about the function of design. What are brands good at, what is at their core? Calvin Klein – they make great underwear, so focus on the underwear. We don’t need you to make huge batches of other stuff. Fast fashion companies: Stop it. Stop trying to fill our planet with a shitload of stuff that we don’t need. […] Use the product to support and sustain causes that transcend the product itself. Right now, it’s pretty obvious that nobody needs clothing and everybody needs to make sure that we have safe air, safe water and a safe environment to live in for the next 30 years.

    If we don’t really need more clothes, what purpose could fashion serve at all?

    What I expect is that fashion companies will use fashion as a communication, identification and innovation tool, as well as to push for more innovative, regenerative business models, rather than focusing on selling more clothes that benefit the wealth of one percent of the worldwide population.

    Picture: Matteo Ward