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Nicolas Sarkozy chercherait-il à jouer avec les sentiments d’Emmanuel Macron à l’approche de la présidentielle de 2022 ? Une élue estime que l’ancien président a une stratégie pour s’imposer auprès de son successeur.

Nicolas Sarkozy pourrait-il se ranger derrière Emmanuel Macron pour la présidentielle de 2022 ? Depuis une petite phrase prononcée par l’ancien président dans les colonnes du Figaro au lendemain de sa condamnation dans l’affaire des écoutes, de nombreux politiques estiment que cela pourrait se dérouler ainsi. “Je ne suis ni candidat ni dans la situation de vouloir pousser ou soutenir un candidat plutôt qu’un autre. Au moment où chacun aura fait valoir ses ambitions légitimes, je dirai qui je soutiens et pourquoi je le fais, en toute transparence avec ma famille politique,” assurait-il.

Et si cette réponse cachait une stratégie ? Entre Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy, les relations oscillent entre confiance et méfiance, alors que veut-il dire ? “C’est un jeu de poker menteur, Sarkozy le tient en haleine, ça lui laisse une monnaie d’échange ; la vérité, c’est que je suis persuadée que si il peut tuer Macron, il le tuera,” estime dans L’Express une élue de droite. Car le mari de Carla Bruni aurait bien un objectif : négocier un poste au côté d’Emmanuel Macron s’il est réélu.

© Agence / BestimageEmmanuel Macron et Nicolas Sarkozy en premier plan, Anne Hidalgo derrière les deux hommes

“Emmanuel Macron est soit faible, soit très faible”

Soit Emmanuel Macron est faible, soit il est très faible.” – Voilà ce que dirait Nicolas Sarkozy aux personnes qu’il reçoit. Alors soutenir un homme qu’il estime “faible” et qui se fait réélire serait pour lui une aubaine. S’il martèle que la politique, c’est terminé pour lui, il pourrait tout de même s’imposer comme le sauveur auprès de l’actuel chef de l’Etat. Nos confrères l’expliquent, il pourrait “négocier au moment où il le souhaite – comprenez : après le premier tour de la présidentielle si cela lui chante – et à prix d’or son soutien.” Une stratégie bien pensée.

Crédits photos : Michael Baucher / Panoramic / Bestimage

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Seulement neuf fois après leur arrivée à Montecito, leur manoir a déjà été investi deux fois par un inconnu, révèle le site TMZ. La sécurité des Sussex est plus que jamais au cœur des débats.

Dans leur entretien-fleuve, accordé à Oprah Winfrey et diffusé sur CBS le dimanche 7 mars dernier, Meghan Markle et le prince Harry ont confié avoir peur pour la sécurité de leur famille. Et on les comprend. Selon le site TMZ, un individu se serait introduit dans leur manoir luxueux de Montecito, en Californie. Le tabloïd rapporte, en effet, qu’un homme de 37 ans nommé Nickolas Brooks a été surpris en train de s’introduire au domicile du duc de la duchesse le jour de la veille de Noël. Les agents du shérif du comté de Santa Barbara l’ont laissé partir avec un avertissement.

Mais, visiblement peu découragé par cette première déconvenue, l’homme a retenté sa chance. Deux jours plus tard, le 26 décembre, le même homme a une nouvelle fois essayé de s’introduire dans la propriété que le couple et leur fils Archie occupent depuis près d’un an et leur décision de quitter la famille royale britannique. Cette fois-ci, il a cependant été arrêté. Selon les sources de TMZ, l’homme venait de l’Ohio, mais on ignore encore les motifs de cette intrusion, ni même, si les Sussex étaient chez eux au moment des faits.

Il est clair que la question de leur sécurité est primordiale pour le prince Harry et son clan. Il y a un an, lorsque le couple a décidé de s’installer en Californie, elle était déjà au cœur des débats. Dans le sillage du Megxit, la famille royale avait en effet décidé de leur couper les vivres. “J’avais juste besoin d’assez d’argent pour assurer la sécurité de ma famille”, a confié à ce sujet Harry à Oprah Winfrey. “Nous vivons grâce à l’argent que ma mère m’a laissé. Sans cela, nous n’aurions pas pu partir”, a-t-il précisé. Mais aujourd’hui, il semblerait que ces “problèmes” financiers soient derrière eux. Selon un récent article du Times, le couple serait désormais à la tête d’une fortune de 100 millions de dollars, soit plus de 116 millions d’euros. Une somme qui devrait largement leur permettre d’assurer leur propre sécurité.

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Article écrit en collaboration avec 6Médias.

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

Ce mardi 16 mars, Pascal Praud et ses chroniqueurs ont une nouvelle fois évoqué la crise sanitaire dans L’Heure des Pros. Alors que le médecin Michael Bohbot s’exprimait sur le confinement partiel, qui a été mis en place dans plusieurs territoires, Pascal Praud a poussé un coup de gueule.

L’Île-de-France va-t-elle être à son tour confinée le week-end ? C’est la question que se sont posés Pascal Praud et ses chroniqueurs, ce mardi 16 mars, dans L’Heure des Pros. Présent en plateau, le médecin généraliste Michael Bohbot a affirmé qu’il fallait prendre des décisions en fonction des chiffres, même si ceux-ci évoluaient de manière constante. “Ce qui est intéressant chez le président, c’est qu’il essaie de ne pas être dogmatique. La question, c’est de prendre une décision en fonction des données qu’il a au moment où il prend sa décision”, a-t-il noté au sujet d’Emmanuel Macron. Le scientifique s’est ensuite exprimé sur la situation en Île-de-France, expliquant qu’il allait être “compliqué” de ne pas confiner alors que d’autres régions le sont déjà : Ça va être un peu compliqué de ne pas confiner quand on est au niveau de Dunkerque et que Dunkerque est confinée le week-end”, a-t-il fait remarquer.

Pascal Praud a pour sa part jugé que “ça ne servait à rien” de confiner le week-end : “Mais enfin, les restaurants sont fermés, les bars sont fermés, les cinémas sont fermés, tout est fermé et votre virus est toujours là!”, s’est agacé le présentateur de L’Heure des Pros. Et de poursuivre : “Je veux bien que vous m’expliquiez qu’il y a quelque chose qui sert à quelque chose, ça m’intéresse vraiment beaucoup… Tout est fermé !”, a-t-il martelé. Alors que la situation sanitaire pèse de plus en plus sur le moral des Français, Pascal Praud a tenté de faire réagir son invité : Qu’est-ce que vous voulez ? Qu’on reste tous bouclés ad vitam æternam ? C’est quoi votre solution ? Moi je l’attends… Il n’y en a qu’une, c’est de vivre avec, de vivre avec et de se protéger.”

“On apprend au fur et à mesure”

Également présente en plateau, la journaliste Anne Fulda a pointé du doigtun problème de cohérence. Et sa consoeur Charlotte d’Ornellas de renchérir : “Sans compter que l’opposition permanente de ces derniers temps entre la vie que nous menons aujourd’hui et le confinement commence à être un peu pénible parce que la vie que nous menons est partiellement, mais très largement, déjà confinée en fait, a-t-elle observé à l’antenne de CNews. Quelques minutes plus tard, le médecin généraliste Michael Bohbot a fait savoir qu’il n’aimerait pas être à la place du gouvernement : “Il y a un moment donné, il faut se rendre compte qu’il y a des choses qu’on savait, il y a des choses qu’on ne savait pas. On apprend au fur et à mesure. Je ne voudrais pas être à leur place, c’est extrêmement compliqué”, a-t-il estimé.

Crédits photos : Capture d’écran CNEWS

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Les bureaux de François Sarkozy, frère de Nicolas Sarkozy, ont été cambriolés. Le dossier a été confié au commissariat du XVIIe arrondissement de Paris.

Un coup dur pour François Sarkozy. Les locaux de FSNB Health Care, société de conseil en santé dirigée par le frère de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy ont été cambriolés, nous apprend Le Parisien. Une enquête a été lancée ce lundi 22 mars, confiée au commissariat du XVIIe arrondissement de Paris. Jusqu’ici, il est précisé qu’on ignore encore si cette opération ciblait François Sarkozy ou s’il s’agit d’un “cambriolage d’opportunisme”.

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Les faits se sont déroulés le 15 mars dernier, entre 13h10 et 14h15. Deux ordinateurs portables et une tablette numérique ont été volés dans les locaux de la société FSNB Health Care, société de conseil en stratégie de la santé de François Sarkozy. Ils ont ainsi profité de la pause déjeuner pour s’infiltrer dans les bureaux vides de cet immeuble qui se situe dans le quartier de Villiers, dans le XVIIe. Selon une source policière, il n’est pas dit si le matériel informatique subtilisé contenait des informations potentiellement sensibles. C’est le médecin de 60 ans, François Sarkozy, qui a lui-même porté plainte en se rendant au commissariat des Batignolles, dans le même arrondissement.

Des indices envoyés au labo

Jusqu’ici le ou les cambrioleurs n’ont pas été attrapés. Mais déjà, la police scientifique peut se féliciter d’avoir des relevés de traces et d’indices. “Ça a été envoyé au labo. On attend le retour. On verra si ces traces matchent avec le fichier”, a déclaré une source policière.

Crédits photos : Agence / Bestimage

Certains n’ont retenu que son intervention lors des César, où elle est apparue nue sur scène. Quelques jours après la diffusion des images qui ont fait le tour du monde, Corinne Masiero a décidé de répondre à ses détracteurs.

Elle souhaitait interpeller, c’est désormais chose faite. Lors de la 46ème cérémonie des César, Corinne Masiero a alerté le ministère de la Culture quant à la situation critique des intermittents du spectacle, tristement bouleversés par la fermeture des lieux culturels. Pour ce faire, l’actrice s’est intégralement déshabillée sur scène face aux téléspectateurs. Partagée dans le monde entier, la séquence n’a pourtant pas fait l’unanimité notamment auprès du gouvernement. Roselyne Bachelot a même défini l’événement comme étant “navrant”. Certains, comme Stéphane Tapie n’ont d’ailleurs pas hésité à critiquer le physique de la comédienne. Mais Corinne Masiero insiste : Moi ma force, c’est d’être moche, populaire et vulgaire. Parce que ce qui est vulgaire, c’est ce qui vient du peuple”.

Dans une interview accordée à Mediapart, Corinne Masiero s’est réjouie des retours, positifs et négatifs, sur son intervention aux César. “Ce dont on parle le plus, c’est de mes vieilles fesses en ruine et de mes nichons qui tombent, avec ‘No future, no culture’ marqué”, a-t-elle confié. “Mais ce qui est génial, et ça je suis contente parce que c’était le but, c’est qu’on en parle. Si je ne l’avais pas fait, on ne pourrait pas parler de ça, on ne pourrait pas parler de la précarité des gens issus de la culture, de l’éducation, de la santé“. Et la comédienne persiste et signe : “Si ça gêne des gens, posez-vous la question du pourquoi ça vous gêne messieurs-dames“.

© Dominique Charriau / Pool / BestimageCorinne Masiero lors de la cérémonie des Cesar ce vendredi 12 mars

Corinne Masiero répond à Roselyne Bachelot

Ce mardi 16 mars, c’est après plusieurs jours de silence que Roselyne Bachelot décidait de s’exprimer sur la soirée des César. La ministre de la Culture a déclaré que l’événement n’a, selon elle, “pas été utile au cinéma français”. Un discours qui a agacé Corinne Masiero. “La meuf là, elle est venue soi-disant aux César… Si elle n’est pas contente, elle n’avait qu’à venir me le dire. Elle était dans la salle, elle n’avait qu’à venir sur le plateau me dire “mes chers amis, mais quand même”, a déclaré l’actrice, toujours auprès de Mediapart. Les tensions semblent donc loin d’être apaisées…

Crédits photos : Bestimage

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La ville de Meaux est désormais propriétaire de la demeure de Jean-Claude Brialy, décédé en 2007. Si pour certains elle incarne un patrimoine national à conserver, pour d’autres, la facture est salée, comme le rapporte Le Parisien ce mercredi 17 mars.

Cette belle bâtisse ne fait pas que des heureux. Situé à Monthyon, en Seine-et-Marne, le château de Jean-Claude Brialy est à la fois un trésor et une plaie pour Meaux. La commune est désormais propriétaire de la demeure de 500 m² et des huit hectares qui l’entourent. Mais la facture est lourde à porter : “Le gardien est un employé de la ville. Nous assurons les frais d’entretien courant. L’adjoint aux finances a lâché, dans le débat, une somme de 300 000 euros sans plus de détail“, explique ce mercredi 17 mars au Parisien le chef de file de l’opposition municipale, André Moukhine-Fortier, qui refuse de payer pour l’entretien du château si le public ne peut pas y accéder.

Jean-Claude Brialy, acteur phare de la Nouvelle Vague décédé en 2007 des suites d’un cancer, a acquis cette demeure en 1959 et en avait fait sa résidence secondaire. Un havre de paix datant du XVIIe et XVIIIe siècle qu’il partageait avec son compagnon, Bruno Finck. Dans son testament, le comédien l’avait légué à la ville à la seule condition que celle-ci l’entretienne tant que le deuxième habitant y était installé. Ce dernier l’ayant quittée en juillet dernier, la question se pose sur l’avenir des lieux.

© Wikimedia CommonsJean-Claude Brialy avait acquis la demeure en 1959 et la partageait avec son compagnon, Bruno Finck.

Un entretien estimé à 40 000 euros par an

Si l’acquisition d’une telle bâtisse apparaît bénéfique pour la commune, elle n’en est pas moins difficile à assumer. La ville de Meaux voit une large part de son budget s’envoler au profit du château. “Le coût peut être estimé à 24 000 euros par an (fluides, eau) auxquels s’ajoutent 6 000 euros pour l’entretien du parc. De juillet 2020 à juillet 2021, le total s’élèvera donc à moins de 40 000 euros. Il convient de rajouter en 2020 des travaux d’élagage et d’abattage pour la mise en sécurité de différents points du site pour 8 000 euros“, précise la majorité.

Si l’opposition préfère transmettre l’entretien du château à la commune de Monthyon, le maire, Jean-François Copé, voit là une belle affaire. L’édile envisage d’en faire “un lieu de culture pluridisciplinaire dans la ligne mémorielle de Jean-Claude Brialy“. Un musée consacré à l’acteur pourrait y être érigé, ainsi qu’une salle de spectacles et d’expositions. À l’origine accessible au public deux fois par an, le parc sera également restauré. De quoi redonner vie aux lieux, quatorze ans après le décès de son précèdent propriétaire.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : Bestimage

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Parmi les révélations faites lors de leur interview avec Oprah Winfrey, Meghan Markle et Harry en faisaient une troublante sur leur mariage secret en toute intimité, trois jours avant la cérémonie officielle. Qu’en est-il vraiment ?

Le 7 mars dernier, Meghan Markle et Harry faisaient un lot de révélations durant leur entretien vérité avec Oprah Winfrey. Des accusations de racisme qui ont été prises très au sérieux par la Couronne, des attaques ciblant Kate Middleton qui ont mis très en colère le prince William, mais aussi cette histoire de mariage secret. Les parents d’Archie confiaient en effet s’être unis lors d’un mariage en toute intimité trois jours avant la cérémonie diffusée dans le monde entier le 19 mai 2018. Ce lundi 22 mars, ce fait est démenti par leur propre certificat de mariage.

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Le document a été fourni par l’Office général du registre, nous apprend le Sun, et il confirme que les formalités ont bien eu lieu le 19 mai 2018 au château de Windsor. M. Borton, le responsable qui a rédigé ce certificat a déclaré que Meghan Markle était “manifestement confuse et mal informée” à propos de ce mariage. Pour rappel, le couple de Sussex a affirmé s’être dit “oui” dans le jardin de Nottingham Cottage, sur les terres de Kensington, sans invités ni témoins, trois jours avant leur royal wedding. Une première union intime qui se serait déroulée devant Justin Welby, l’archevêque de Canterbury.

Le certificat assure pourtant le contraire. “Ils ne se sont pas mariés trois jours plus tôt devant l’archevêque de Canterbury”, a insisté M. Borton auprès du média britannique. Il pense que ce que décrit la duchesse et de le duc de Sussex comme un mariage secret est en réalité l’échange de leurs voeux. “Ils ont dû échanger leurs voeux, ce qui est à la mode, ou bien c’était une simple répétition, a-t-il continué. Il a assuré qu’ils n’auraient pas pu s’unir dans l’enceinte de ce jardin car il ne s’agit pas d’un lieu autorisé et qu’il n’y avait pas assez de témoins présents pour que la cérémonie soit valide. Le certificat en la possession de l’actrice américaine serait donc un certificat de voeux mais de mariage officiel.

L’archevêque refuse de commenter

Le Sun s’est produit le certificat de mariage officiel qui confirme que la cérémonie a bien eu lieu le 19 mai 2018 à Windsor, avec comme témoins le prince Charles et la mère de Meghan Markle, Doria Ragland. Et si les propos de Meghan Markle et Harry s’étaient avérés être vrais, l’archevêque de Canterbury aurait non seulement enfreint la loi, mais aurait ensuite présidé un “faux” mariage en présence de la reine Elizabeth II, qui rappelons le est gouverneur suprême de l’Église d’Angleterre. Un porte-parole de l’archevêque, Justin Welby a fait savoir qu’il ne ferait aucun commentaire sur des questions personnelles ou pastorales. Mais il a été affirmé que ce dernier ne faisait pas de mariage privé, par le révérend Mark Edwards, de Newcastle. Cela dit, il est précisé que “le fait que l’archevêque n’ait pas fait de commentaires publiquement doit être abordé”.

Crédits photos : Agence / Bestimage

Alors que la France fait face à une flambée de l’épidémie, Axel Kahn est revenu ce lundi 29 mars sur BFMTV sur les “deux occasions manquées” par l’exécutif, profitant de l’occasion pour une nouvelle fois fustiger les choix d’Emmanuel Macron.

Il ne voulait pas être le président du 3ème confinement. Alors que la situation sanitaire semble aujourd’hui hors de contrôle, nombre de chercheurs, à l’image d’Axel Kahn, pointent du doigt les décisions prises par Emmanuel Macron qui, désireux de trancher par lui-même, a pris ses distances avec les blouses blanches. Invité de BFMTV ce lundi 29 mars, l’éminent généticien, visiblement agacé, n’a pas hésité à charger le président.

S’il estime que les mesures de freinage annoncées par le gouvernement sont la pire des solutions, Alex Kahn déplore également l’entêtement du chef de l’État qui est selon lui passé à côté de “deux occasions” après les fêtes de Noël, mais également à l’occasion des vacances de février. Et le président de la Ligue Nationale contre le Cancer de poursuivre : “ce qui est absolument dramatique, c’est que la décision prise en janvier et en février a été de faire avec un niveau de circulation virale extrêmement élevé, et quand vous rajoutez une recrudescence considérable, évidemment vous êtes dans une situation qui est extrêmement difficile“.

“Emmanuel Macron a voulu se présenter comme le sauveur des Français”

Ce n’est pas la première fois qu’Axel Kahn accable Emmanuel Macron. Invité d’Europe 1 le 18 mars dernier, le généticien avait déjà évoqué “l’échec” de la stratégie mise en place par l’exécutif. Et de railler le chef de l’Etat : Comme il considère qu’il connaît maintenant tout de l’épidémiologie, il s’est dit ‘je vais peut-être parvenir (à éviter le reconfinement) et si j’y parviens alors le bénéfice en termes politiques est considérable.” Un “pari” que le président, qui “a voulu se présenter comme le sauveur des Français, (celui) qui les protégeaient de ce confinement”, a visiblement perdu. Et Axel Kahn de conclure, acerbe : “rien de ce qui se passe aujourd’hui n’était imprévu”.

Crédits photos : BFMTV

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Ce mardi 23 mars, Martin Blachier était présent sur le plateau de Touche pas à mon poste. Durant l’émission, et alors qu’il débattait avec l’ancien médecin Gérard Delépine, l’épidémiologiste a été contraint de s’expliquer au sujet d’une rumeur circulant sur son ex-femme. Explications.

C’est sans doute la première fois qu’il se confie sur sa vie privée. Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste ce mardi 23 mars, le Dr Martin Blachier a été contraint de s’expliquer au sujet d’une rumeur qui circulerait depuis peu et qui le concernerait lui ainsi que son ex-femme. Dans un premier temps, le sujet a été abordé par Gérard Delépine, médecin à la retraite, qui se trouvait face à lui dans le talk-show animé par Cyril Hanouna. “M. Blachier, vous êtes trop proche, enfin, votre épouse est trop proche du LEEM !”, a-t-il lâché, l’air de rien, avant de se faire interrompre par l’animateur de C8 : “C’est quoi ça ?”, a demandé Cyril Hanouna. “C’est le syndicat des entreprises du médicament, donc leur but, c’est de vendre de nouveaux médicaments chers”, a précisé l’ancien médecin. Agacé par ces propos, le Dr Martin Blachier n’a pas tardé à faire une mise au point au sujet de cette rumeur.

Mon ex-épouse travaille à l’hôpital, elle n’est pas du tout au LEEM. Mais bon, ce n’est pas grave…”, a-t-il expliqué en préambule, avant d’ajouter : “J’ai une ex-épouse qui travaille dans un hôpital mais là, il y a une rumeur qui court qui dit que ma tante serait mon épouse et qui, effectivement, travaille… C’est une rumeur qui court”, a fait savoir l’épidémiologiste. Une information qui n’a pas manqué d’amuser Cyril Hanouna : “Votre tante serait votre épouse ? Vous savez que mon père s’appelle Maurice ?”, a-t-il rétorqué, en référence à la célèbre pièce Ma femme s’appelle Maurice de Chevallier et Laspalès.

Le Dr Martin Blachier préfère rester discret sur sa vie privée

Désireux de rester discret au sujet de sa privée, Martin Blachier a rapidement repris le fil de la conversation, qui concernait les vaccins. “Juste pour répondre sur cette histoire, parce que je veux dire les choses. Oxford a conclu avec AstraZeneca, il lui a dit : ‘on travaille avec vous si le vaccin est disponible à prix coûtant pour le monde entier’. Et c’est effectivement le cas. Le laboratoire Johnson a eu beaucoup de financements de la part de l’état américain, entre autres, et ils vendent le vaccin à prix coûtant. Donc ce n’est pas pour faire de l’argent qu’AstraZeneca commercialise ce vaccin”, a-t-il clarifié sur le plateau de TPMP. Nul doute que le Dr Martin Blachier préfère s’exprimer sur la crise sanitaire plutôt que sur sa vie sentimentale… Au moins, les choses sont claires.

Crédits photos : Capture d’écran C8

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Invité sur le plateau de C à vous ce jeudi 25 mars, Nicolas Hulot a raconté une anecdote savoureuse sur sa rencontre avec Donald Trump, lorsqu’il était ministre de l’Ecologie.

Nicolas Hulot n’est pas près d’oublier sa rencontre avec Donald Trump. En pleine promotion de sa BD intitulée Les petits pas ne suffisent pas, publiée chez Rustica éditions, l’ancien ministre de l’Ecologie a raconté une anecdote datant du 14 juillet 2017, lorsqu’il était encore en poste. Placé juste derrière le président américain lors du défilé de la fête nationale, Nicolas Hulot a expliqué avoir failli lui faire une mauvaise blague. “Le président Macron savait que je n’avais pas une grande affinité avec Donald Trump et que je n’étais pas forcément enthousiaste à l’idée qu’il soit invité au défilé du 14 juillet et je pense que ce n’est pas un hasard si le protocole m’a mis juste dans l’axe du président Trump“, a-t-il expliqué.

Puis d’ajouter : “Je l’avoue, à un moment, quand les troupes américaines passaient devant l’estrade, tout le monde se levait et le président américain se levait pour saluer ses troupes. Il m’a traversé l’esprit à un moment de lui retirer sa chaise. Je me suis dit je ferais deux pierres d’un coup : une, je rentre dans l’Histoire, deux j’en sors immédiatement“. Une anecdote qui a particulièrement amusé les chroniqueurs autour de la table, ainsi qu’Anne-Élisabeth Lemoine. Pourtant, Nicolas Hulot a précisé qu’il avait à l’époque bien fait de s’abstenir, compte tenu de la sécurité autour de l’époux de Melania Trump. “Un de mes officiers de sécurité à qui j’ai raconté ça m’a dit ‘vous savez ils ont quand même la détente facile du côté US donc vous avez bien fait de vous abstenir“,a-t-il conclu. Désormais exilé à Mar-a-Lago, Donald Trump peut se réjouir d’avoir évité une belle chute !

Crédits photos : Capture d’écran C à vous

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