Deadpool 2 : les 10 détails cachés qu’il ne fallait pas louper dans le court métrage

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Diffusé avant “Logan” dans les salles américaines, le court métrage “No Good Deed” qui met en scène Deadpool est à la fois savoureux… Et bourré de clins d’oeil ! En voici onze !

1. Le film "Logan" diffusé dans un cinéma de quartier
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Savoureuse mise en abîme. Le film Logan apparaît vers 00”43, lorsque Ryan Reynolds / Deadpool se met à courir vers la cabine téléphonique pour se changer.
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© Marvel Studios

Vous vous demandiez peut-être ce qui se disait dans le long texte qui défile à toute allure, à la fin du petit court métrage annonçant Deadpool 2 ? Comme précisé dans notre diaporama, il s’agit d’une relecture du Vieil Homme et la mer d’Ernest Hemingway, revu et bien corrigé par Deadpool Himself !

Ci-dessous, la traduction intégrale du texte :

« Le Vieil Homme et la mer » est l’histoire d’une bataille entre un vieux pêcheur accompli, Santiago, et un très gros poisson. Genre… ENORME. L’histoire commence sur Santiago qui souffre d’avoir passé quatre-vingt-quatre jours sans une seule prise parce qu’il est le plus malchanceux des vieux fils de p*** sur Terre. Franchement, si vous étiez sur un bateau pendant quatre-vingt-quatre jours, ce serait difficile de ne PAS choper un poisson… même par accident. Santiago n’avait tellement pas de bol que même son apprenti, Manolin, s’était fait interdire par sa Maman et son Papa d’aller pêcher avec lui. Mais, comme disait le Prince de Bel Air : « Les parents, ça pige rien ». Du coup, le gosse va faire un tour dans la cabane de Santiago. Le tout en ne faisant pas attention aux risques encourus quand on rend visite à un vieux qui se parle à lui-même. Manolin se rend utile en bougeant le matos de Santiago à gauche à droite, en faisant la bouffe et en lui parlant baseball. Surtout de Joe DiMaggio ; qui jouait à touche-pipi avec Marilyn Monroe. Le jour d’après, Santiago dit à Manolin qu’il part sur le Courant du Golfe. TRES LOIN au Nord de Cuba. Dame Chance est de retour ! Au quatre-vingt-cinquième jour de sa déveine, Santiago lance sa ligne et à midi, il sent mordre ce qui semble être un gros poisson de bâtard. Il est sûr d’avoir gagné. Il se bat encore et encore, mais pas moyen de le remonter à bord. La vieille barcasse de Santiago qui prend la flotte se fait trainer pendant deux jours et deux nuits tandis que le vieux briscard s’accroche à sa vie. Bien qu’en sang et crevé, Santiago commence à apprécier son terrible adversaire. Il se met à l’appeler « Frère » et même « Frangin ». C’est un peu une histoire d’amour, quand on y pense. Et comme dans la plupart des comédies romantiques, le lecteur s’imagine un montage sympa à la Pretty Woman où ils se changent, suivi d’un inévitable mariage inter espèces. Mais, le troisième jour, Santiago est LESSIVÉ, et il décide qu’il veut juste que le poisson fasse ce qu’il lui dit de faire et arrête de nager là où il veut. Donc il le plante. Avec un put*** de harpon. C’est le bordel. Dégueu. Du sang partout. Parce que, comme la plupart des hommes de son âge, Santiago a du mal à exprimer ses émotions et ses peurs avec des mots et se contente de ses bas instincts en imposant ses opinions infiniment mauvaises sur n’importe quel sujet via une violence aveugle. Classique. Bref, il attache le merlan à l’arrière de son rafiot et se rentre à la maison, prêt à se la raconter à mort devant tout le monde et à probablement arnaquer les gens sur le prix du poisson. Mais vous savez quoi ? Très vite, des requins se mettent à attaquer la carcasse sanglante du merlan, parce que comme chacun sait, la vie n’est qu’un tragique opéra et juste quand on croit avoir trouvé quelque chose de beau et de vrai, des requins se pointent et vous le déchirent en put*** de lambeaux en pourtant votre dignité avec leur teubs de requins lubriques et chelous. Bien sûr, Santiago essaie d’en tuer quelques-uns, mais il lâche son harpon parce que ses mains sont aussi vieilles que lui. Quand la nuit tombe, les requins ont bouffé presque tout le merlan. Il ne reste plus qu’un squelette tout blanc qui se fout de sa gueule en silence dans l’obscurité. Santiago réalise alors qu’il n’a pas de bol. VRAIMENT pas de bol. (Bah ouais !) Il appelle les requins des « assassins de rêves ». Ce qui n’est pas tout à fait juste. Je veux dire, les requins faisaient juste leur boulot et le merlan… bon sang, me parlez même pas du merlan ! Il se baladait simplement un beau jour, en s’occupant de ses affaires, peut-être en se demandant ce qu’il pouvait faire aujourd’hui pour être un meilleur chef de famille et BIM ! Coup de harpon dans la tête. Qui c’est, l’ « assassin de rêves » maintenant, connard ? L’hypocrisie n’a pas de limite, quand on en est là. Pour finir, Santiago revient à terre. En laissant les restes du merlan dans le bateau, il se traîne jusqu’à sa cabane. Il y arrive et s’écroule, comme je l’ai déjà dit : il est super fatigué. Le jour suivant, des marins se regroupent autour du bateau de Santiago. Un d’eux mesure le poisson et, put*** de bordel de m**** ! Il fait plus de 5 mètres de long ! La tête du poisson est offerte à Pedrico (bizarre vu que c’est la première fois qu’on entend parler de lui) et le reste des pêcheurs demande à Manolin de transmettre leurs joyeuses félicitations au vieil homme. Manolin amène le journal et un café à Santiago et quand il se réveille, ils décident de repartir pêcher. Des années plus tard, il y a un restaurant Red Lobster dans presque chaque ville des Etats-Unis, qui propose un service tout à fait convenable et une place de parking facile d’accès.”

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