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“Old Soldiers Never Die, They Just Fade Away.” Every Independence Day, in every corner of the country, Indian flags are hoisted. Students draped in tricolour uniforms, sing traditional ‘Bharat ke geet’. The atmosphere is suffused with a feeling of patriotism. As we recall our brave freedom fighters and revolutionists who helped India gain independence, we are reminded of Indian struggles.

However, there are many heroes who were an integral part of this journey. Their names might not be known to everyone but their contribution was just as important as every other soldier. Here is a list of Kargil war veterans who fought for their nation 19 years ago and can fight again with the same zeal and enthusiasm.

1) The Untold Story Of Kargil Hero Maj Wangchuk Who Won The First Point In The War

Five Indian Space Research Organisation (ISRO) satellites have come to the rescue of flood hit Kerala state. While over 370 people have died in these floods, thousands are left stranded, waiting to be rescued.

ISRO earth-based satellites are monitoring the flood situation and are assisting in relief work. Oceansat-2, Resourcesat-2, Cartosat-2 and 2A and INSAT 3DR send real time images to the ground station which helps in monitoring the flood situation and planning of required rescue operations, reported TOI.

“We are using the data from these satellites to provide alerts on flooding, areas of inundation during and after rain, and weather forecasts,” an official said.Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Dans une interview accordée à Ici Paris et parue ce mercredi 25 septembre, Anthony Colette s’est confié sur plusieurs sujets. S’il évoque pour la première fois sa relation passée avec Iris Mittenaere, il explique aussi ce qu’il cherche chez une femme.

Anthony Colette serait à nouveau un coeur à prendre. Dans une interview accordée à Ici Paris ce mercredi 25 septembre, le danseur professionnel, que les téléspectateurs ont pu découvrir dansDanse avec les stars, s’est confié comme rarement sur sa vie sentimentale. Ce dernier a répondu à une question que bon nombre de fans se posent : qu’en est-il de sa situation amoureuse ? Anthony Colette a mis fin au suspens et déclaré : « Pour le moment, je suis célibataire. Je n’ai personne». Une annonce qui devrait faire des heureuses…

Le célèbre danseur de DALS a profité de cet entretien avec nos confrères pour donner ses « critères » concernant la femme idéale. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le jeune homme de 24 ans a une idée bien précise de la femme avec qui il souhaite partager sa vie. « Je veux juste la trouver belle et agréable avec moi, et qu’elle me soutienne », indique le partenaire d’Elsa Esnoult dans cette dixième saison de Danse avec les stars. Ce dernier reconnaît avoir « beaucoup d’objectifs professionnels ». Si pour l’heure, son travail semble être sa priorité, Anthony Colette ne se ferme aucune porte. A bon entendeur…

Pour la première fois – et contre toute attente – le jeune homme est également revenu sur sa romance passée avec Iris Mittenaere… pour le plus grand plaisir de tous ceux qui se posaient encore de la question de la véracité de leur couple. « On s’est tout de suite bien aimés. Et on est sortis ensemble. Je ne regrette rien », a expliqué l’ex-partenaire de Miss Univers, précisant toutefois que leur histoire d’amour avait pris fin « il n’y a pas très longtemps ». Anthony Colette est donc désormais célibataire. Jusqu’à quand ?

Crédits photos : Best Image

The Madhya Pradesh Protection for Child Rights Commission on Thursday initiated an inquiry into the reported abandonment of a 13-year-old girl adopted from Bhopal by a Spanish couple earlier this year.

Sources say the couple has written to Central Adoption Resource Agency (CARA) that they were misled on the child’s age and she is 13-and-a-half years old, not seven as her papers said at the time of adoption. The teenager is now in a protection home in Spain, awaiting rescue by the women and child development ministry.

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The Spanish couple had adopted the child from special adoption agency Udaan in Bhopal on January 1, 2018.

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Actuellement à l’affiche de “Mon poussin”, Thomas Solivérès se dévoile un peu plus sous les traits de Spirou, grâce aux nouvelles photos de l’adaptation de la célèbre bande-dessinées de ses aventures publiées par “Le Figaro Magazine”.

1. Spirou (Thomas Solivérès) et Spip
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© Le Figaro / Sony Pictures

Depuis le 28 juin, il doit faire face aux méthodes parfois brutales de parents pourtant bien intentionnés, joués par Pierre-François Martin-Laval et Isabelle Nanty, dans Mon poussin. Et le 21 février prochain, c’est un tout autre défi qui attend Thomas Solivérès : être le premier acteur à incarner Spirou sur grand écran, dans l’adaptation signée Alexandre Coffre (Le Père Noël). Un long métrage qui se dévoile un peu plus aujourd’hui grâce aux photos publiées par Le Figaro Magazine.

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Quand Ramzy se rase le crâne et devient Zorglub en images :

Les Aventures de Spirou et Fantasio BONUS "Ramzy devient Zorglub"

Egalement emmené par Alex Lutz et Géraldine Nakache, Les Aventures de Spirou et Fantasio entraînera les deux héros, alors qu’ils ne sont pas encore amis, en Europe et en Afrique pour sauver le célèbre et farfelu Comte de Champignac, incarné par Christian Clavier. Lequel, après Astérix, L’Enquête corse et Les Profs, et en attendant Cédric, ajoute une adaptation de bande-dessinée supplémentaire dans une filmographie déjà bien riche en la matière. Reste maintenant à la découvrir en action, avec ses camarades, dans une bande-annonce.

Mais vous pouvez avoir un aperçu du film grâce à notre reportage sur le tournage :

Les Aventures de Spirou et Fantasio "Visite du tournage"

Les Macron et les Chirac n’auront eu que peu de temps pour faire connaissance et nouer des liens solides. Pourtant, dès la première rencontre, le courant est immédiatement passé entre les deux couples.

C’est Claude Chirac elle-même qui a joint Emmanuel Macron par téléphone jeudi matin pour lui annoncer la nouvelle. A 86 ans, son père Jacques Chirac venait de mourir. Annulant tous ses engagements, le président de la République a consacré la journée d’hier à préparer son discours mais aussi à organiser les différentes cérémonies à venir. Dans son allocation télévisée, Emmanuel Macron a rendu un vibrant hommage à son prédécesseur : Il était un homme d’Etat que nous aimions autant qu’il nous aimait“.

Click Here: pandora BraceletsQuelles relations entretenaient les deux hommes ?

Emmanuel Macron, plus jeune président de l’histoire de la république élu à seulement 39 ans, et Jacques Chirac, vieux lion de la politique retiré de la vie publique depuis plusieurs années. Les Macron et les Chirac se rencontrent pour la première fois en juillet 2017 au domicile des Chirac dans le 6ème arrondissement, quelques semaines après l’élection du nouveau président. Selon le Parisien, Jacques Chirac aurait été touché par la démarche de son successeur et lui aurait offert un portrait de Charles de Gaulle. Un cadeau très personnel puisque le petit tableau a accompagné Jacques Chirac durant toute sa carrière, de la Mairie de Paris à l’Elysée.

« Chirac y tenait beaucoup. C’est le président Pompidou qui le lui avait donné. Ce geste symbolisait la transmission républicaine » confiait il y a quelques mois Claude Chirac à nos confrères. Ultime hommage rendu à l’ancien président, lors de son discours hier soir, le seul objet que l’on devinait sur le bureau d’Emmanuel Macron était justement ce petit portrait. Ce rendez-vous entre les deux hommes aurait dépassé le simple passage obligé. Lors de leur rencontre, il s’est passé quelque chose” confirmait un ami du président au Parisien. Mais il n’y a pas qu’entre les deux présidents que le courant est bien passé. Leurs épouses se découvrent également des points communs et déjeunent ensemble à l’Elysée quelques semaines plus tard. En juin dernier, déjà très affaiblie, Bernadette Chirac démissionnait de la Fondation des hôpitaux de Paris et demandait à Brigitte Macron de lui succéder. Un passage de témoin symbolique.

Hier soir peu après 21 heures, Emmanuel Macron et son épouse se sont rendus au domicile des Chirac pour se recueillir devant la dépouille du président. Selon la volonté de Claude Chirac, ils ont été les seuls à avoir ce privilège.

Crédits photos : DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE

10 ans après la sortie de “Dikkenek” son réalisateur, Olivier van Hoofstadt, nous a accordé un entretien revenant sur ce film devenu culte aujourd’hui. Comment un projet aussi déjanté a-t-il vu le jour ? Une suite est-elle envisagée ? Rencontre.

A l’occasion de la diffusion de Dikkenek ce soir sur NT1, nous vous proposons de découvrir un entretien inédit avec son réalisateur, Olivier van Hoofstadt. Sorti en 2006, en pleine Coupe du monde, cette comédie belge portée par un impressionnant casting (François Damiens, Marion Cotillard, Florence Foresti, Mélanie Laurent, Jérémie Rénier…) est désormais régulièrement rediffusée à la télévision avec succès…

AlloCiné : Dikkenek est incontestablement un film devenu culte. On vous en parle encore beaucoup aujourd’hui ?

Olivier van Hoofstadt, réalisateur et coscénariste : Souvent oui. Ca fait plaisir que les gens aiment bien. C’est dommage que pour faire des films un peu singuliers, ça soit aussi compliqué. Mais sinon, ça me fait plaisir quand on me parle du film. Il passe beaucoup à la télé.

Ce film singulier en particulier a été compliqué à monter ?

7 ans pour trouver les financements, le réaliser… De la feuille blanche à la sortie.

Personne ne voulait faire Dikkenek

Pourquoi est-ce que ça été aussi long ?

Personne ne voulait le faire.

C’était le cas des acteurs aussi ?

Si, toujours. J’adore les comédiens. On écrit un autre [film] et si vous entendiez le casting, vous tomberiez de votre chaise ! Mais c’est compliqué car c’est hors du commun, c’est plus décalé, c’est plus violent.

Il y a des remix de Dikkenek avec Pretty Woman…

Comment percevez-vous justement que l’on s’approprie votre œuvre ? C’est plutôt flatteur ?

Je trouve ça gai qu’il y ait des gens qui s’amusent. Il y a des gosses qui ont refait le film sur Internet. Il y a des morceaux de musique avec des dialogues du film. C’est gai d’entendre des gamins répéter ton film.

Le point de départ d’inspiration de Dikkenek, c’était quoi ?

Mon enfance. J’ai cherché dans toutes les conneries que j’ai faites quand j’étais jeune, des personnages qu’on a croisé à la campagne parce qu’on habitait souvent à la campagne. Claudy Focan, le mec il existait vraiment dans le village où on habitait quand on était petit. Tous ces gars qui ont des vies complètement décalées… Pendant un an et demi, j’ai réfléchi à tout ça. On ne parle que de ce qu’on connaît bien.

Et comment le film a été perçu par les gens dont vous vous êtes inspiré ?

Ils ne savent pas, ils ne savent pas ! J’aime bien mettre des prénoms de gens que je connais, et puis ça les fait rire quand ils regardent le film ! Ils ne s’y attendent pas, ils ne savent pas au départ.

Est-ce qu’il y a une scène ou un personnage dont on vous parle plus ?

Claudy Focan. Il faut dire que je le connais bien le personnage. Il est habillé par mon père, par son père. C’est vraiment un mélange de nous.

Le film est culte aujourd’hui mais parfois on a des surprises quand on s’intéresse au succès en salles d’un film devenu populaire avec ses passages télé… Ces films ne font pas forcément beaucoup d’entrées en salles. Est-ce que c’était le cas de celui-là ?

Oui, carrément. Il n’est peut être pas sorti au bon moment. Il est sorti en pleine Coupe du monde où la France était en finale contre l’Italie, au début de l’été [2006]. 130 000 personnes en France. Donc ça n’a pas marché, mais c’est après. Le bouche à oreille avec la VOD, Canal+…

Et en Belgique, ça a bien marché ?

Ca a fait aussi plus ou moins 100 000 entrées. Ce qui est pas mal pour une comédie belge. C’était un film très gai à faire. On s’est bien marrés.

Et c’est un casting complètement fou. Quand on voit la carrière de Marion Cotillard, par exemple, aujourd’hui, et qu’on sait qu’elle a joué dans un film comme celui-là…

Surtout elle était dans mon premier court métrage, elle avait 15 ans.

Comment l’avez-vous connue ?

Elle tournait dans un téléfilm en Belgique avec Anna Karina [Chloé de Dennis Berry, Ndlr.]. J’ai un ami qui m’a dit : ‘Il faut que je te présente Marion. C’est une jeune comédienne. Elle va réussir, tu verras…’ J’étais à Liège, on a vu Marion. On a fait ce court métrage qui s’appelle Snuff Movie.

Il y a également Jérémie Rénier qu’on associe plutôt au cinéma des frères Dardenne et à des films plus « sérieux ». Comment vous sont venues toutes ces idées de casting et de contre-emploi ?

Quand on écrivait, on essayait de réfléchir à des gens avec qui on aimerait travailler, de justement prendre des gens à contre-emploi. Jérémie, ça lui a plu de tourner une comédie. François Damiens commençait à faire des caméras cachées en Belgique et quand j’ai vu ça, je me suis dit : il nous faut ce gars là. François est très très doué, c’est un plaisir de travailler avec lui.

Est-ce que tout était très écrit ? Par exemple les répliques de François Damiens justement ?

En fait, il y a énormément de préparation. Il y a beaucoup de répétitions. 90% était écrit. Après, ce que j’avais dit à François, un mois avant le tournage, c’était qu’on allait arrêter de répéter, arrêter de trouver des blagues, et comme ça quand on fait ensuite des prises et qu’elles sont bonnes, tu peux garder de l’improvisation, trouver d’autres choses…

Il n’y a eu aucune censure

Est-ce que la version qui est sortie au cinéma est une version censurée ?

Ah non, là franchement, il n’y a eu aucune censure. Luc Besson [producteur de Dikkenek] m’avait vraiment donné carte blanche. Ils ont juste oublié une feinte de Florence Foresti dans la copie 35 pour les salles, mais qui est sur le DVD.

Luc Besson justement, comment est-il arrivé sur ce projet ?

En fait, mon premier court métrage, c’était Snuff Movie avec Marion Cotillard. Puis, j’ai fait Parabellum et Keo avec José Garcia. La femme de José Garcia, Isabelle Doval, a fait Rire et châtiment [produit par EuropaCorp, la société de Luc Besson]. Je pense qu’un jour José Garcia a dû déjeuner avec Luc Besson qui avait vu Parabellum sur Canal+ ou ailleurs. Il lui a demandé comment j’arrivais à faire un court métrage de 33 minutes en scope avec des poursuites d’hélicoptère, des fusillades, 4000 figurants… José lui a expliqué comment j’avais procédé, avec beaucoup de débrouille, des sponsors… J’ai toujours fait un peu comme ça.

Luc m’a appelé en me demandant si j’avais un projet et j’avais justement Dikkenek. Tout était déjà story-boardé et tous les décors étaient pris en photo. On s’est rencontrés. Il a lu le scénario et m’a dit qu’il allait financer le film avec son propre argent et c’est comme ça qu’on l’a fait.

Avant lui, vous aviez eu beaucoup de refus parce que le film était trop…

Les gens ont la trouille, alors que c’est juste pour faire rigoler. Mais c’est comme Steve [projet sur lequel il travaille actuellement, Ndlr.] : il y a Anglade, Berléand, Foresti, Natacha Régnier, Jérémie Rénier, Pauline Etienne, Corinne Masiero, Lubna Azabal, Paul Bartel, Karim Leklou, Alice Belaidi, Chloé Jouannet… C’est une comédie, il n’y a rien de violent.

C’est un projet donc pour lequel le scénario est prêt, un casting… Et maintenant vous attendez que quelqu’un ait le courage de le financer ?

Il y a des gens qui l’ont lu, qui aiment bien. Entre temps, on a aussi écrit un film qui s’appelle Uca qu’on a vendu pour 7 tomes de BD, qu’on va essayer de développer.

Quand on voit le côté culte de Dikkenek, on pourrait se dire que ça ouvre des portes ?

Mais c’est justement ça le problème : c’est que généralement un film culte ne marche pas au cinéma.

Il n’y aura jamais un Dikkenek 2

Y aura-t-il un Dikkenek 2 ?

Jamais. Déjà parce qu’un casting comme celui-là, c’est impayable.

Parce qu’à l’époque, il n’avait pas coûté cher ?

Non, ça avait coûté 2,5 millions d’euros en tout. De toute façon, on n’aurait pas eu plus d’argent, donc il fallait le faire comme ça. On ne peut pas avoir beaucoup d’argent pour faire des films aussi décalés que celui-là. Mais les acteurs, ce n’est pas un soucis.

Alors pourquoi jamais ?

Jamais parce que je trouve qu’on a fait le tour avec ces personnages et j’ai envie de m’amuser avec d’autres personnages, d’autres histoires. Et s’il y avait de quoi monter un peu plus dans Dikkenek, si on ne l’a pas fait, c’est bien comme ça.

Il y a beaucoup de scènes coupées ?

Il y en a certaines, mais il y a surtout des prises. C’est un petit peu comme si vous aviez un bêtisier.

Vous les avez déjà montées ou montrées ?

Je les ai vu pendant qu’on montait. Ils existent.

Vous ne voudriez pas les utiliser ?

Si, ce serait cool, en DVD. Un remix en fait !

Aviez-vous été contacté pour faire un Dikkenek 2 avec le succès télé ? Luc Besson par exemple vous l’a-t-il proposé ?

Non. Luc Besson souhaitait que je fasse Go Fast juste après, ce que j’ai fait. Il n’en a jamais été vraiment question.

Après Dikkenek, vous avez tourné Go Fast, dans un tout autre univers. Est-ce aussi un film dont on vous parle beaucoup ?

Surtout à Roschdy Zem, je pense. Il me disait qu’on lui parlait beaucoup de ce film, comme s’il avait fait que celui-là ! Il y a beaucoup de femmes qui adorent ce film, c’est marrant ! Un film très difficile à faire, gros tournage, mais très chouette expérience. Tous les courts métrages que j’ai faits avant sont d’ailleurs beaucoup plus comme Go Fast que Dikkenek.

Dikkenek : notre rencontre avec l’équipe du film en 2006 lors de sa présentation à Cannes 

Interview 1 – Français

 

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Ce 30 septembre, les obsèques de Jacques Chirac se sont tenues en l’Eglise Saint Sulpice, à Paris, en présence de nombreux chefs d’états et souverains. La reine Elizabeth II, qui a bien connu l’ancien président de la République, du temps de ses années à l’Elysée, entre 1995 à 2007, a envoyé un membre de la famille royale pour la représenter.

En douze années à l’Elysée, Jacques Chirac a croisé la route de nombreux souverains. Outre Hussein de Jordanie, Hassan II du Maroc, Rainier de Monaco, sa relation avec la reine Elizabeth II du Royaume-Uni était des plus complices, malgré ses entorses répétées au protocole royal. Ce 30 septembre, c’est finalement un membre de la famille royale britannique qui a représenté la Couronne à Paris. Les obsèques de l’ancien président de la République se sont tenues en l’Eglise Saint Sulpice, en présence du prince Edward.

Quatrième et plus jeune fils de la reine Elizabeth II, comte de Wessex et de Forfar, il était venu sans sa femme Sophie Rhys-Jones, et a été aperçu en train de serrer la main d’Edouard Philippe, avant de s’asseoir derrière le grand-duc Henri de Luxembourg et son épouse María Teresa. On l’a croisé plus tard sur le perron du Palais présidentiel, avec le prince Albert de Monaco, saluant le couple Macron.

Le prince Edward salue Emmanuel et Brigitte Macron à l’Elysée, ce 30 septembre – CYRIL MOREAU / BESTIMAGE

Un déplacement cordial qui a pourtant fait grincer des dents, ce lundi. En effet, en lieu et place du prince Edward, certains soutiennent que c’est son grand frère, le prince Andrew, qui aurait pu être chargé de cette mission… si seulement son nom n’était pas cité dans l’affaire Epstein. Une théorie fantaisiste, selon Richard Palmer correspondant du Daily Express. L’absence du prince Andrew serait en réalité due à un contre-temps. Comme cet expert l’a expliqué sur Twitter : “Le duc d’York (alias le prince Andrew, NDLR) est en Australie et continue d’assumer ses fonctions royales malgré les accusations d’Epstein le menaçant“. Et de conclure : “Ses engagements ne sont généralement pas annoncés à l’avance. On ne sait pas si c’est parce que son bureau est incroyablement mal organisé ou tente de se soustraire à un contrôle“.

Crédits photos : GOFF INF / BESTIMAGE

80-year-old ex-serviceman Nand Lal, having tears in his eyes, sent shockwaves across the country with his image telling the story of poor Indians during 2016 demonetisation. He was among the millions of Indians forming queues at various banks to exchange the old notes that were declared illegal by Prime Minister Narendra Modi. Many helpless people could not sustain the pain of standing for hours and died in the successive days. Nand Lal, with his military training, was able to bear the pain physically, however, emotionally, he was so broken that he could not keep his composure and burst into tears.

His image gave voice to many unheard stories as the world got to know that poor people are bearing the brunt of the scheme that was, according to the government, aimed at bringing back the thousands of crores of Rupees hoarded in cosy homes of the rich people.

Indiatimes/twitterClick Here: New Zealand rugby store

Très discrète sur sa vie amoureuse, Sophie Davant a laissé entrevoir sa vision du mariage lors d’un épisode de son émission Affaire conclue. Alors qu’un candidat évoquait ses 52 années de vie commune avec son épouse, l’animatrice a eu une réaction plutôt cocasse.

Sophie Davant a une vie professionnelle bien remplie et épanouie. Aux commandes depuis 2017 de l’émission Affaire conclue, qui enchaîne les records d’audience depuis sa première diffusion, l’animatrice chouchou des Français a rempilé à la rentrée pour une saison de plus. Un beau succès qui n’est sûrement pas étranger à sa personnalité chaleureuse et sa complicité naturelle avec les candidats qu’elle reçoit chaque jour sur le plateau. Côté cœur, en revanche, la situation semble être un peu plus compliquée. Mariée pendant 23 ans au journaliste Pierre Sled, l’animatrice s’est faite très discrète sur sa vie privée depuis son divorce en 2012. Même si cette dernière a confié avoir eu d’autres histoires après la fin de son mariage, et même si elle pourrait avoir récemment retrouvé l’amour, Sophie Davant chercherait toujours la formule magique de la longévité des couples.

C’est du moins ce que l’animatrice a laissé entendre dans un épisode d’Affaire conclue. Sur le plateau, Sophie Davant reçoit ce jour-là Gérard, venu mettre aux enchères une boite à cigares ancienne. Après les questions sur sa profession, l’animatrice l’interroge sur sa vie personnelle. Mais quand le candidat lui répond qu’il est marié depuis 52 ans, sa réaction est hilarante. « Wow ! Comment vous avez fait pour tenir aussi longtemps ? », demande-t-elle avec un grand sourire, avant de s’exclamer, lorsque Gérard lui explique qu’il a dû « choisir la bonne » : « Ah, c’est ça ! ». Un ingrédient indispensable que Sophie Davant n’a apparemment pas trouvé !

Crédits photos : Capture France 2

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