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C’est à “The Rider” de Chloé Zhao que revient le Grand Prix de ce 43ème Festival du cinéma américain de Deauville, tandis que “Brooklyn Yiddish” et “A Ghost Story” se partagent le Prix du Jury.

1. A Ghost Story
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Prix du Jury ex-aequo, Prix de la Révélation et Prix de la critique
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© A24

Le Jury présidé par Michel Hazanavicius a rendu son palmarès de la 43ème édition du festival du cinéma américain de Deauville. Le Grand Prix est allé au film d’une réalisatrice ayant su allier, selon les mots du président : “poésie et humanité, [et créer] une espèce de réflexion politique extrêmement douce” : The Rider.

Signé Chloé Zhao, il s’agit d’un second long métrage racontant la façon dont un ancien champion de rodéo apprend qu’à la suite d’un grave accident il ne pourra plus jamais monter à cheval et encore moins se risquer à entrer dans l’arène. Son combat pour l’acceptation de son sort et ce que le film dit de l’Amérique rurale est puissant, et a fait mouche auprès du jury.

Le Prix du Jury a été remis à deux films ex-aequo : Brooklyn Yiddish et A Ghost Story. Le premier dresse le portrait d’un homme dont “le quotidien est universel” dixit son réalisateur, et sort en salles le 25 octobre. Quant à A Ghost Story, il raconte la réincarnation d’un homme en fantôme, et beaucoup d’autres choses. C’est un film dense et mystérieux, qui a également “hanté” le jury de la presse.

Brooklyn Yiddish Bande-annonce VO

 

Car le Prix de la critique a lui aussi salué la “réflexion sur la vie, l’amour et la mort” que constitue A Ghost Story. Absent durant le festival mais présent sur scène pour recevoir ses trois prix, le réalisateur David Lowery a remercié toute son équipe ainsi que sa femme, qui lui a inspiré ce film. Pour sa deuxième présence en compétition après Les Amants du Texas en 2013, c’est la première fois que le réalisateur originaire du Wisconsin est récompensé à Deauville.

A Ghost Story a également remporté le Prix Révélation, qui honore le film jugé le plus innovant de la compétition. Soit trois prix au total pour le film de Lowery.

A Ghost Story Bande-annonce VO

 

Le comédien Woody Harrelson était également présent sur scène avant la cérémonie du palmarès pour recevoir le dernier hommage de cette 43ème édition. Devant une salle pleine à craquée, il a déclaré :

“Je ne serai jamais George Clooney, Owen Wilson ou Matthew McConaughey, mais ce soir avec vous, je suis content d’être moi”.

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Le festival aura été autrement riche en bonnes découvertes comme le documentaire We Blew It de Jean-Baptiste Thoret, qui revient sur les vestiges des années 60 et 70 dans les Etats-Unis d’aujourd’hui. On citera également l’intéressant Sweet Virginia, reparti bredouille de la compétition. Enfin, un temps fort du festival aura été la projection de Ça, ce samedi après-midi hors compétition, avec un public qui n’est pas reparti déçu côté sensations fortes.

Ça Bande-annonce VO

 

Deauville 2017 : le palmarès complet

Grand Prix : The Rider de Chloé Zhao (date de sortie inconnue).

Prix du Jury ex-æquo : Brooklyn Yiddish de Joshua Z. Weinstein (sortie le 25 octobre) et A Ghost Story de David Lowery (sortie prévue d’ici la fin de l’année).

Prix de la Révélation : A Ghost Story de David Lowery (sortie prévue d’ici la fin de l’année).

Prix de la Critique : A Ghost Story de David Lowery (sortie prévue d’ici la fin de l’année).

Prix du Public : Mary de Marc Webb (sortie le 13 septembre).

Prix d’Ornano-Valenti : Jeune femme de Léonor Serraille (en salles le 1er novembre).

 

Ce lundi 21 octobre, Cyril Hanouna s’intéressait à la bataille judiciaire qui fait rage entre Laeticia Hallyday et David et Laura Smet. A cette occasion, il recevait dans Touche pas à mon poste l’avocat Roland Perez qui en a profité pour faire quelques révélations.

Après près de deux ans de guerre ouverte, c’est un tournant que personne n’avait imaginé. Laeticia Hallyday semblait ne vouloir faire aucune concession à ses beaux-enfants dans l’affaire de l’héritage de Johnny Hallyday. Mais voilà qu’elle a finalement annoncé faire marche arrière. « Il est temps aujourd’hui d’éclaircir et d’apaiser, dans un dialogue constructif et serein, les incompréhensions et les querelles qui ont maintenant trop duré. Je choisis la paix », écrivait-elle notamment. Sauf que derrière cette façade d’apaisement se cacherait en réalité une stratégie bien pensée. Et pour cause, Johnny Hallyday possédait d’importantes dettes.

Ce serait donc une manière pour elle de les partager avec David Hallyday et Laura Smet. Le débat passionne. Si bien que ce lundi 21 octobre Cyril Hanouna et sa bande de chroniqueurs se sont donc intéressés à cette affaire dans Touche pas à mon poste. « Toutes les dettes, elle veut maintenant les faire payer à David et Laura », lance ainsi Matthieu Delormeau, avant de surenchérir : « Elle a compris que tout l’argent allait être bouffé par le fiscet maintenant, ce qui l’intéresse, c’est le futur. Le futur, c’est ce qu’on aura sur les droits moraux. Elle veut donc trouver un accord pour profiter des droits moraux car c’est là qu’est l’argent maintenant ».

« Ils savaient qu’il n’y aurait pas grand-chose à partager »

Une opinion partagée par Valérie Benaïm qui assure que désormais, la veuve du Taulier espère que « tout le monde va être obligé de casquer » et qu’ils devront donc se partager les dettes de Johnny Hallyday en cinq. Mais David et Laura Smet étaient-ils conscients de l’importance des dettes de leur père ? Selon Roland Perez, l’avocat de Sylvie Vartan c’est totalement possible. « Je pense que depuis le départ, les enfants savaient qu’au niveau des actifs actuels, le fisc s’inviterait autour de table et il n’y aurait probablement pas grand-chose à partager », explique-t-il. De quoi expliquer pourquoi David Hallyday tient tant au droit moral de son père.

Et s’ils n’étaient pas au courant précédemment, pas de doute, aujourd’hui, ils le sont. « Ils ont mis à plat absolument tout, en disant : ‘On est en train de se disputer sur beaucoup de choses mais de quoi parle-t-on aujourd’hui ? On va mettre les actifs, on va mettre les passifs et on va voir ce qui va pouvoir être fait», annonce Roland Perez. Le nerf de la guerre va donc se jouer sur le patrimoine artistique de Johnny Hallyday. La hache de guerre n’est donc pas près d’être enterrée.

Crédits photos : doc C8

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Le long métrage “Kingsman : Le Cercle d’or” s’installe en tête du box-office américain avec 39 millions de dollars de recettes, un démarrage supérieur à celui du premier film. “Ça” et “LEGO Ninjago” complètent le podium.

1. N°5 – Home Again : 3,31 millions de dollars de recettes
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© Metropolitan FilmExport

Avec 39* millions de dollars de recettes au compteur, le long métrage Kingsman : Le Cercle d’or s’installe en tête du box-office américain. Un démarrage sensiblement supérieur à celui du premier film, qui avait rapporté 36,2 millions de billets verts sur son premier week-end.

Box-office américain du 22 au 24 septembre 2017 : le Top 10

Rang (Rang précédent) Film Recettes (en dollars) Total US (en dollars)

1 (Nouveauté)
Kingsman : Le Cercle d’or
39 000 000
39 000 000
2 (1e)
Ça
30 000 000
266 338 881
3 (Nouveauté)
LEGO Ninjago : Le Film
21 245 000
21 245 000
4 (2e)
American Assassin
6 250 000
26 180 459
5 (4e)
Home Again
3 311 821
22 347 652
6 (3e)
Mother!
3 260 000
13 429 018
7 (Nouveauté)
Friend Request
2 400 000
2 400 000
8 (5e)
Hitman & Bodyguard
1 850 000
73 597 979
9 (Nouveauté)
Stronger
1 747 910
1 747 910
10 (6e)
Wind River
1 265 285
31 653 034

Le film d’horreur Ça, après deux semaines au sommet du box-office, rétrograde au deuxième rang mais reste tout de même très solide avec encore 30* millions de dollars de recettes. Avec un total de plus de 266 millions de billets verts, l’adaptation du roman de Stephen King est devenue ce week-end le plus gros succès de l’histoire pour un film d’horreur aux Etats-Unis.

La troisième marche du podium est occupée par le film d’animation LEGO Ninjago, crédité de 21,2* millions de dollars de recettes pour ses débuts en salles. Il s’agit du moins bon démarrage pour un film LEGO, derrière les 53 millions de Lego Batman et les 80,3 millions de La Grande Aventure Lego.

A noter enfin la carrière difficile de Mother!, qui cumule 13,4* millions de billets verts en dix jours d’exploitation.

Kingsman 2 : Taron Egerton, Channing Tatum et Colin Firth prennent la pose à l’avant-première

* Les chiffres mentionnés dans l’article sont des estimations, publiées dimanche soir par la société spécialisée Exhibitor Relations et annoncés par le Film français.

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Forte de ses 878 000 abonnés sur Instagram, Cristina Cordula est très active sur le réseau social où elle a déjà posté pas moins de 1207 publications. La présentatrice franco-brésilienne la plus populaire de France a accepté de se dévoiler dans notre programme Tel Me More. Confidences.

Chaque semaine dans Tel Me More, des stars nous ouvrent leur smartphone personnel. Après Eva Longoria, Emily Ratajkowski, Tony Parker, Inès Règ ou Caroline Receveur,Cristina Cordula a répondu avec humour et franchise à toutes nos questions. Son fond d’écran ? Son fils et son mari. Son dernier titre shazamé ? “Mania de Peitao” de Seu Jorge. Son dernier appel ? À sa comptable. Sa photo la plus likée ? Avec Karl Lagerfeld. Le compte qui l’a fait le plus rire ? Camille Lellouche. Par qui elle rêverait d’être suivie ? Le Prince Harry et Meghan Markle. Lequel de ses amis fait les meilleures stories ? Son maquilleur Tom Sapin.

Retrouvez toutes ses réponses dans notre vidéo exclusive ci-dessus.

Crédits photos : DR

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Matthieu Lucci n’avait jamais osé jouer la comédie jusqu’alors. A 19 ans, ce jeune espoir s’impose comme la révélation du film de Laurent Cantet, “L’Atelier”. Rencontre.

AlloCiné : C’est votre premier film, vous n’aviez vraiment aucune expérience ?

Matthieu Lucci : Non, c’est ma première expérience de comédie. Je n’avais vraiment rien fait du tout auparavant qui s’en rapproche.

A quoi vous vous destiniez au moment où on est venu vous chercher pour ce film ?

J’avais dix-huit ans, aujourd’hui j’en ai dix-neuf, je passais mon bac ES, que j’ai eu d’ailleurs. (rires) Je ne savais pas du tout où j’allais, je n’avais pas de cursus précis en tête, comme plein de gens. J’ai eu la chance qu’on m’ait un petit peu aiguillé.

Comment Laurent Cantet vous a repéré ?

La directrice de casting, Marie Cantet, tournait dans la ville de La Ciotat, elle distribuait des tracts à tous les jeune qui pouvaient correspondre physiquement aux rôles du film, en proposant aux jeunes de passer le casting. Et puis voilà, je l’ai fait.

Comment s’est passé le casting ?

C’était beaucoup d’impro. Pour le tout premier casting, j’étais avec deux jeunes filles, c’était une improvisation sur le fait que parce qu’on était jeune on avait subi une injustice. Après, on a commencé à nous donner des traits de caractère un peu plus précis et à mettre en scène un atelier d’écriture comme dans le scénario, mais on ne savait pas encore à quoi ça correspondait, on n’avait même pas de titre pour le film. On nous a dit : « Voilà, vous avez comme projet d’écrire un livre. Toi, tu es réticent, toi tu donnes des idées, mais c’est n’importe quoi, toi tu es très enjouée… »

Je crois qu’ensuite vous avez fait une sorte d’atelier préparatoire, quelle forme ça a pris ?

Une fois qu’on a su qu’on était sélectionnés, on a eu deux ou trois semaines de répétitions. Ca nous a permis de maîtriser un peu le texte, les idées et de construire encore le scénario, et ça nous a permis de faire connaissance entre nous et d’apprendre à connaître Marina [Foïs], parce qu’arriver le premier jour et se retrouver avec une actrice qu’on a tous vue à la télé, ça aurait été très intimidant.

Le tournage a été un moment difficile, pour vous qui n’aviez jamais vécu ça ?

Au début du tournage, je ne savais pas où me mettre, les premiers jours c’était assez atroce. Laurent et Marina et toute l’équipe étaient beaucoup là pour nous, les jeunes comédiens. Laurent me dirigeait assez peu dans la globalité, on abordait les choses par étape. C’est lui, qui au montage, a créé cette évolution du personnage.

Il y a même des moments où vous étiez mal à l’aise par rapport à la trajectoire que prend votre personnage, un jeune homme perdu qui bascule un peu du côté obscur, si on peut dire…

Oui, j’avais presque peur de bien jouer et qu’on se dise que je pensais ce que je disais. Du coup, je me sentais un peu obligé de me justifier auprès de mes camarades comédiens, en leur disant : « Ce n’est pas moi, je ne suis pas d’accord avec ce que dit Antoine, je ne pense pas comme ça du tout. »

Vous avez quand même réussi à vous sentir proche du personnage d’Antoine ?

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C’est ce qui est fort avec ce personnage, il est repoussant, il dit des choses absolument affreuses, et en même temps, il est attachant et il a des problèmes existentiels normaux pour les gens de notre âge, de cette génération. Finalement, parfois je me disais : « En fait, il fait de la peine, il est perdu, il en sait pas où il va. » Je le trouve plus à plaindre qu’à blâmer, même si attention, ce qu’il dit n’est pas excusable !

Vous êtes originaire de La Ciotat. Est-ce que vous avez aimé la manière dont Laurent Cantet a décidé de filmer la ville, de la mettre en scène ?

C’est peut-être ce qui m’a le plus plu. Sur les images d’archives, c’est là que les larmes me sont monté aux yeux. J’ai un grand-père qui a travaillé dans le chantier naval de La Ciotat donc ça m’a beaucoup touché. La manière dont il a filmé la ville, c’est très vrai, c’est comme ça. C’est une ville qui a subi un gros traumatisme, on a essayé de s’en remettre, mais c’est une ville qui tournait autour d’une seule chose, le chantier, et qui l’a perdu. Il y a eu une lutte incroyable. Il y a un vrai choc des générations à ce sujet, notre génération, on a eu nos grands parents qui ont travaillé au chantier naval, mais on n’a pas connu tout ça, alors que beaucoup de gens des générations précédentes sont encore très marqués, dans la nostalgie de ces années révolues.

Est-ce que cette expérience a éveillé en vous une vocation, est-ce que vous allez continuer à jouer ?

Oui, c’est quelque chose qui m’a toujours intéressé, même si je n’avais jamais osé. Maintenant que j’ai eu la chance qu’on vienne me tirer du lit, je me dis que je vais essayer, que je vais essayer de continuer. Le cinéma, c’est sûr, l’acting, on verra, mais le cinéma, c’est sûr.

Avec Laurent Cantet par exemple ?
Ah, si il veut de moi… Je ne sais pas si moi, je voudrai de lui, mais en tout cas, la discussion peut se faire ! (rires)

La bande annonce de L’Atelier : 

L'Atelier Bande-annonce VF

 

Nouveau coup dur pour Richard Dewitte. Le chanteur du tube J’ai encore rêvé d’elle a été condamné en appel pour « proposition sexuelle à une mineure de quinze ans », rapporte Le Parisien. Les faits reprochés remontent à 2015.

« J’ai encore rêvé d’elle » chantait Richard Dewitte dans les années 1970 aux côtés de la regrétée Joëlle au sein du groupe Il était une fois. Près de 50 ans plus tard, ce n’est pas pour un nouveau tube que le chanteur fait parler de lui, mais pour une condamnation. Selon Le Parisien, la cour d’appel de Paris l’a condamné à dix-huit mois de prison avec sursis pour « proposition sexuelle à une mineure de quinze ans par un majeur utilisant un moyen de communication électronique ».

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Les faits se sont déroulés du 23 au 25 février 2015. Le lendemain, les gendarmes l’avaient interpellé.Avec le pseudo « Richarmeur », il échangeait des messages avec une adolescente de 14 ans sur Internet. Il lui aurait bien envoyé des cœurs et demandé d’être « sa meuf », mais comme il n’y avait pas de proposition sexuelle directe, il avait été relaxé par le tribunal correctionnel en première instance en octobre 2018.

Un soulagement de très courte durée puisque le parquet de Fontainebleau avait tout de même requis douze mois de prison, dont six avec sursis et une mise à l’épreuve de deux ans. La sanction finale est moins dure, mais reste trop « sévère » pour l’avocat de Richard Dewitte, Stéphane Loisy qui rappelle dans Le Parisien que son client « n’a jamais proposé de rapport sexuel concret avec un jour, un lieu et un horaire », qu’il s’agit de « quelques échanges avec absence de contact réel, ni photos ».

« C’est Monsieur Dewitte qui a clôturé cette conversation en lui disant qu’elle était complètement frappadingue. Mon client était perdu », raconte l’avocat qui précise que l’adolescente utilisait le compte de sa mère et se faisait selon lui passer pour elle. Il envisage un pourvoi en cassation.

En 2015, il avait fait un mois de prison ferme, après avoir été piégé par un gendarme qui s’était fait passer pour une collégienne de 12 ans. « Mon client lui avait écrit : ‘On se parle depuis des semaines, je passe dans ta région. Je veux savoir qui tu es.’ Il n’a jamais fait de propositions sexuelles », rappelle l’avocat du chanteur de 73 ans qui ne retournera pas derrière les barreaux.

Crédits photos : JLPPA / Bestimage

Avant même la sortie de “Wonder Wheel” au cinéma, Woody Allen œuvre déjà sur son nouveau long métrage, intitulé “A Rainy Day in New York”.

Alors que Wonder Wheel sortira sur nos écrans en janvier, le titre du prochain film de Woody Allen vient d’être dévoilé sur Twitter, par le PDG de Mars Films. Il s’intitulera A Rainy Day in New York ! 

Un titre très poétique pour le 51e long métrage du cinéaste qui, à 81 printemps, enchaîne un film par an. Comme à chaque fois, Woody Allen s’entoure d’un casting quatre étoiles. Selena Gomez et Elle Fanning donneront ici la réplique à Jude Law ou Diego Luna, pour ne citer qu’eux.

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Distribué par Amazon, le film est encore très mystérieux. Pas l’ombre d’un pitch n’a encore fuité. Nous ne savons pas non plus quand sera tourné ce Rainy Day in New York, qui sortira très probablement dans les salles à l’automne 2018. A suivre.

D’ici là, place à Wonder Wheel, avec Kate Winslet et Justin Timberlake

Wonder Wheel Bande-annonce VO

 

Très discret ces derniers mois dans la presse, Bernard Tapie est réapparu ce lundi à la télévision à l’occasion d’un long entretien avec la chaîne l’Equipe. L’ex-homme politique évoque sans détour le combat qu’il mène contre la maladie.

La chaîne l’Equipe diffusait ce lundi un documentaire intitulé Bernard Tapie, l’affranchi. A la suite de ce reportage dédié à l’homme d’affaires devenu patron de club et homme politique, Bernard Tapie en personne a accepté de s’entretenir durant une longue demi-heure avec l’un des journalistes de la chaîne. Le père de famille, qui avait disparu des écrans ces derniers mois, évoque pourquoi il n’a pas donné de nouvelles au grand public durant cette absence prolongée. Comme je ne veux pas mentir, je n’avais pas envie de paraître devant eux pour leur dire : ‘ça ne va pas bien.’ Maintenant, ça va mieux, donc je reviens dans le cycle de la télé. Mais l’été a été très dur, très très dur. On n’appelle pas ça une longue maladie par hasard.

L’état de santé de Bernard Tapie s’était pourtant un temps amélioré. Courant 2017, l’homme d’affaires avait commencé par dévoiler être atteint d’un cancer de l’estomac. Hospitalisé, opéré, traité, il avait finalement pu quitter l’établissement. Alors que ses proches espéraient qu’il aille mieux, l’ex-patron de club avait annoncé quelques mois plus tard être en fait atteint d’un double cancer de l’estomac et de l’œsophage avant d’indiquer au mois de mai devoir reprendre sa chimiothérapie. Depuis, il s’était fait très discret. Sa présence hier sur la chaîne de l’Equipe a donc apporté beaucoup d’espoir à ses admirateurs.

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Au cours de l’entretien qu’il a confié au média sportif, Bernard Tapie a également évoqué le soutien sans faille dont ses proches ont fait preuve à son égard. Qu’il s’agisse des membres de sa famille, de ses amis ou même de certains de ses anciens employés tels que le footballeur Basile Boli, qui a pris la parole face aux caméras de l’Equipe. L’ancien patron de l’OM assure désormais concentrer son énergie dans son combat contre la maladie. Qu’il s’agisse de la sienne ou de celle des autres. Bernard Tapie essaye en effet de “donner le moral” aux personnes atteintes d’un cancer. Il leur adresse d’ailleurs un message clair: “Battez vous, croyez-y !“.

Crédits photos : ALAIN ROLLAND/ IMAGEBUZZ/ BESTIMAGE

Récemment annoncé au casting de “Fonzo”, un film sur la vie du gangster Al Capone par le réalisateur des “4 Fantastiques”, Tom Hardy confirme son engagement au projet sur Instagram…

Après Robert de Niro dans Les Incorruptibles et Stephen Graham dans la série Boardwalk Empire, Tom Hardy incarnera bientôt le légendaire gangster Al Capone au cinéma devant la caméra de Josh Trank (Chronicle, Les 4 Fantastiques).

Intitulé Fonzo, le long métrage mettra en scène les années de prison du gangster, durant lesquelles il aurait peu à peu perdu la raison, tout en se remémorant sa carrière et son ascension dans le milieu du crime à Chicago. Bref, un rôle dans lequel on a absolument aucun mal à imaginer Tom Hardy, qui a déjà incarné plusieurs criminels au cinéma et en séries, notamment le terrifiant Bronson, prisonnier le plus dangereux d’Angleterre, dans le film de Nicolas Winding Refn.

Déjà annoncé au casting de Fonzo en octobre dernier, Tom Hardy vient de confirmer son engagement au projet via une énigmatique photo sur son compte Instagram :

Time for Al Cap

Une publication partagée par Tom Hardy (@tomhardy) le

En attendant d’en apprendre davantage sur “Fonzo”, (re)découvrez la bande-annonce de “Venom”, dans lequel Tom Hardy incarnera un méchant d’une toute autre sorte…

Venom Teaser VF

 

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WASHINGTON  — 

House Speaker Nancy Pelosi made the point clear at her news conference Thursday: The impeachment train is heading down the track, and there’s no plan to slow down.

“We feel comfortable with all of the time that has gone into this,” Pelosi (D-San Francisco) said when asked about comments from some Democratic lawmakers that their constituents haven’t yet absorbed what the case is about.

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“If some people have some unease, we’ll catch them up.”

There’s a tradeoff for speed, but the Democratic leadership believes it’s worthwhile. Let’s take a look.

SPEEDY VS. THOROUGH

The most fundamental tradeoff is speed versus thoroughness.

As Pelosi’s lieutenant on impeachment, Intelligence Committee Chairman Rep. Adam B. Schiff (D-Burbank), acknowledged this week, there are still “unanswered questions” about President Trump‘s conduct toward Ukraine.

Some of the questions involve small points of evidence.

Schiff’s investigation, for example, obtained telephone logs showing that Trump’s lawyer, Rudolph W. Giuliani, made several calls to a government phone number that may be at the Office of Management and Budget during the period in which the administration was freezing U.S. security aid to Ukraine.

The phone number in question is associated with an OMB switchboard, and the logs don’t specify whom Giuliani called, let alone what they talked about.

Plenty of evidence establishes that the White House ordered that the security aid be held up — Trump has said that himself. And whether or not Giuliani was personally involved in that aspect of the case doesn’t change the overall picture much. But the calls are a loose end.

Other unanswered questions are more significant.

For example, Gordon Sondland, the U.S. ambassador to the European Union, testified that he spoke to Trump by phone on Sept. 9. It was during that call, Sondland said, that Trump told him that he wanted “nothing” from Ukraine and that there was “no quid pro quo.”

Trump and his Republican allies have frequently cited that testimony as exculpatory. Rep. Jim Jordan of Ohio, one of Trump’s most pugnacious defenders, excoriated Sondland for not citing that call in his opening statement when he testified publicly to the committee last month.

But other evidence suggests the call never happened. Sondland, who repeatedly said he never took notes and doesn’t recall many details, may have misremembered the events.

Two other witnesses who do have extensive notes, William Taylor, the top U.S. diplomat in Ukraine, and Tim Morrison, a senior official at the National Security Council, both say that Sondland talked to Trump on Sept. 7, and their accounts of what Sondland related at the time aren’t exculpatory at all. Indeed, Morrison’s boss, John Bolton, the national security advisor, was so alarmed when he heard about the Sept. 7 call that he told Morrison to report it immediately to White House lawyers.

According to what Sondland told both Morrison and Taylor, Trump did say the words “no quid pro quo,” but also laid out an extremely specific quid pro quo: In order to get the aid restored, Ukrainian President Volodymyr Zelensky had to personally announce, on television, that he was starting investigations that Trump had demanded. That included an investigation into Joe Biden‘s son.

Did Sondland have two calls with Trump or just one? And is the “no quid pro quo” line a piece of exculpatory evidence or just a throwaway?

Sondland testified that he can’t be sure whether he called Trump once or twice, and the White House has refused to release the call logs that could definitively answer the question.

SPEED VS. STONEWALL

That last point — the refusal of the White House to release the logs — is the one Democrats most often cite to explain why they’re barreling ahead despite the unresolved issues.

Trump has tried to obstruct the investigation and wants to try to run out the clock, Schiff has repeatedly said. The White House has refused to allow Bolton and other officials like him to testify and has withheld reams of records that the Intelligence Committee has demanded.

If that testimony or the records were likely to exonerate Trump, the White House would be happy to publicize it, Schiff has noted. Since they’re blocking the evidence, he says, Democrats are entitled to draw the inference that it would be incriminating.

Moreover, he and Judiciary Committee Chairman Rep. Jerrold Nadler (D-N.Y.) both say, the withholding of evidence from a congressional inquiry is, by itself, an impeachable offense. The constitutional law scholars the Democrats invited to testify at the Judiciary Committee’s hearing Wednesday made that point as well.

That’s why Democrats have been unwilling to pause in their investigation to battle in court over the evidence they want.

In their eyes, the existing evidence already establishes the president’s serious misconduct, they’re justified in assuming that the evidence being withheld wouldn’t exonerate Trump and a lengthy court battle might not lead to anything of importance being added to the record.

“The question is, what more are we going to get?” Rep. Zoe Lofgren (D-San Jose), a member of the Judiciary Committee, told Sarah Wire.

POLITICS OF IMPEACHMENT

Pelosi insists that politics “has nothing to do” with impeachment. But politics permeates everything that elected officials do, and in this case, the political imperatives for Democrats are all on the side of pushing ahead.

Democratic voters see impeachment as a top priority. In our new Berkeley Institute of Governmental Studies poll of California voters, for example, Democratic voters, by 50% to 32%, said that Democrats in Congress should “focus more on impeachment” than on “other national issues.”

California is more Democratic than most states, of course, but Democrats elsewhere share the view that impeachment is a top priority, UCLA political scientists Lynn Vavreck and Chris Tausanovitch have found with their own analysis of polling data.

Doing what your constituents consider a top priority pretty much defines the job of a representative in Congress. Making the decision easier, there’s very little evidence of a political downside.

Ever since the debate began, Republicans have told themselves — and some outside analysts have agreed — that impeachment would hurt the Democrats and cost them seats in the House. After all, the impeachment of President Clinton in 1998, when the roles were flipped, contributed to the Republican loss of the House majority in that year’s elections.

No such backlash has occurred so far this time.

Last month, Democrats won two elections for governor in Republican states, Kentucky and Louisiana, where Trump campaigned heavily for his party’s candidates. And this week, Trump’s campaign manager, Brad Parscale, was so desperate for evidence of a political problem for Democrats that he tweeted out results of a survey done by Trump’s pollster showing that Rep. Kendra Horn — a Democrat elected last year in a huge upset in a heavily Republican district in Oklahoma — faced a tough reelection.

The poll, as several nonpartisan experts noted, actually showed Horn doing better against a Republican challenger than most analysts would have guessed.

WHAT COMES NEXT

On Monday, the Intelligence Committee’s Democratic and Republican lawyers are scheduled to lay out the two sides’ respective cases to the Judiciary Committee.

Then, midweek, expect to see the Judiciary Committee meet to hash out the specifics of an impeachment resolution. Officials are already warning reporters that the markup of the resolution could turn into a 24-hour marathon session if Republicans exercise their procedural rights to slow things down. Here’s Wire’s look at the California members of the Judiciary panel as that chore begins.

From there, the impeachment resolution would go to the House Rules Committee to set the parameters for a floor debate. The battle on the House floor would take place during the week of Dec. 16 with a vote likely around Dec. 20.

Also that week, the House and Senate need to agree on a crucial government spending bill or bring on a shutdown of federal agencies.

At the center of the spending debate, once again, is Trump’s demand for billions of dollars to fund his border wall. A year ago, Democrats’ refusal to agree to that demand led to the longest government shutdown in U.S. history — 35 days.

Merry Christmas.

STATE OF THE RACE IN CALIFORNIA

The Democratic primary remains fluid in California, our new Berkeley Institute for Governmental Studies statewide poll finds. But as Janet Hook wrote, it may not be fluid enough to provide a realistic opening for Michael Bloomberg, despite all his money.

The poll finds Sen. Bernie Sanders of Vermont slightly edging out Sen. Elizabeth Warren of Massachusetts for the top spot while Biden and South Bend, Ind., Mayor Pete Buttigieg vie for third.

Bloomberg, meanwhile starts off with just 2% of the likely primary voters listing him as their first choice, only 8% saying they’re even considering him and a deeply negative image. Can tons of television advertising change that picture enough to jump-start his campaign? History suggests not, but maybe he can defy the odds.

Sen. Kamala Harris had fallen to 7% in the poll, which was finished just a few days before she dropped out of the race. As Melanie Mason and Michael Finnegan note in their analysis of what went wrong with Harris’ bid, her withdrawal probably helps Biden and Warren, since those two were the second choices of most of her supporters. Any boost is probably marginal, but her rivals quickly swooped in to try to capitalize on Harris’ departure.

The poll also found that a sizable majority of California Democrats wanted Harris to drop out.

Finally, the poll asked voters for their priorities on issues. Climate change topped the list.

TRUMP RIDICULED OVERSEAS

Trump may have hoped that a trip overseas to a NATO meeting would provide flattering headlines to distract from impeachment — “I’m working at the public’s business while the other side is playing politics” was Clinton’s main strategy in 1998, and it worked.

The problem is that Trump lacks the discipline to pull off that strategy and has spent much of the last three years alienating the NATO allies. As a result, the headlines he got, as Noah Bierman wrote, were mostly about the other leaders ridiculing him.

SEEKING TO BLOCK DISCLOSURE

Finally, the Supreme Court has managed so far to largely stay out of the Trump impeachment drama, but that’s likely to end soon. As David Savage wrote, several cases involving subpoenas for Trump’s taxes and other financial records are heading to the high court. The justices could decide as soon as next week to take up at least one of the disputes.

LOGISTICS

That wraps up this week. Until next time, keep track of all the developments in national politics and the Trump administration on our Politics page and on Twitter @latimespolitics.

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