Hors films de super-héros, les suites d’Avatar sont probablement les projets les mieux gardés d’Hollywood. Mais une visite de Vin Diesel sur les plateaux de tournage pourraient signifier la présence de l’acteur dans les futurs films de James Cameron.
C’est sur le compte Instagram de Vin Diesel que la scène se passe. Une vidéo a priori anodine, si l’acteur n’était pas accompagné de… James Cameron et s’ils n’étaient pas sur le tournage d’Avatar 2, 3, 4 et 5 (le compte est bon). L’acteur de la franchise Fast & Furious ne cache pas son admiration pour le réalisateur de Terminator, rappelant qu’il restait une personne à Hollywood avec qui il souhaitait travailler et apprendre : James Cameron, bien sûr. L’occasion pour le père d’Avatar de blaguer sur le caractère exceptionnel de cette vidéo et la nécessité de flasher (façon Men in Black) Vin Diesel afin de conserver le caractère top secret du tournage.
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And the journey continues… #Blessed #Grateful #Avatar
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Rien n’indique si l’acteur sera officiellement dans les suites ou s’il s’agit d’une simple visite de courtoisie (un peu privilégiée quand même). D’un côté, l’innocence à Hollywood, on ne connaît pas ; de l’autre, notre époque s’embrase très rapidement à la moindre petite information et tend des conclusions parfois hâtives. Suspense…
Au rayon des retours, on est sûr de pouvoir compter sur les présences de Sam Worthington, Zoe Saldana, Joel David Moore, Dileep Rao, Stephen Lang, Matt Gerald et Sigourney Weaver. Auxquels s’ajoutent des petits nouveaux : Kate Winslet, Cliff Curtis et Oona Chaplin. James Cameron a révélé quant à lui que le colonel Miles Quaritch (Stephen Lang) sera bien le méchant principal des suites.
Avatar 2 est prévu pour le 18 décembre 2020 sur les écrans américains, le 3 un an plus tard, le 17 décembre 2021. Il faudra attendre 2024 et 2025 pour voir les épisodes 4 et 5 mais leur existence dépendra du succès des deux volets précédents.
Avatar : la nouvelle génération d’acteur des suites se dévoile en photo :
Lewis Hamilton was again fastest in another practice session disrupted by rain as team-mate Nico Rosberg crashed during FP2 in Melbourne.
It was Hamilton who set the pace in FP1 and he again sat top of the timing screens at the end of the second session with a best time of 1:38.841. Nico Hulkenberg was second on this occasion, with the Force India driver 0.467s slower than Hamilton’s benchmark.
Unlike the first session, there was no opportunity for dry tyre running, with al of the times registered set on Pirelli’s green-marked intermediate tyre.
It was a very wet start to the session which led to little running early on. Once drivers started to head out after around half an hour, Rosberg was caught out by the conditions and aquaplaned exiting Turn 6, hitting the wall with the nose of the Mercedes, breaking the front wing.
While Rosberg attempted to limp slowly back to the pits with the front wing scraping along the track ahead of the front wheels, the German was told to stop by his team as a result of the debris he was depositing. Rosberg parked his Mercedes in the final sector which ended his running after four laps.
The stoppage will not prove too costly for Rosberg as only seven drivers reached double figures in terms of laps in the damp weather. The track conditions remained largely stable and allowed the top five – with Kimi Raikkonen, Daniel Ricciardo and Carlos Sainz behind Hamilton and Hulkenberg – to set times within a second of each other.
Sergio Perez was set to go comfortably fastest in the final 20 minutes having set the fastest first two sectors but ran slightly wide at Turn 12 and backed off despite catching the rear of his car. Heavier rain then fell to prevent further improvements.
Manor was by far the busiest team throughout the session, with Pascal Wehrlein completing 25 laps and team-mate Rio Haryanto adding a further 22 to its tally.
Despite his crash, Rosberg was still 15th quickest overall as a number of drivers failed to set a time. Both Sauber drivers and Max Verstappen even failed to head out on track at all in FP2.
Blanche comme Neige, nouveau long-métrage d’Anne Fontaine, se propose de dépoussiérer le célèbre conte. L’occasion de faire un petit focus sur les différentes adaptations de cette histoire universelle. Attention, certaines sont très… décalées !
1. Blanche Neige et les sept nains (1938)
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Blanche Neige et les sept nains est sûrement la version la plus connue et la plus appréciée du conte. La production a employé 750 personnes, qui ont travaillé d’arrache-pied durant près de quatre ans, de la conception à la fabrication, cette dernière étape ayant nécessité 18 mois à elle seule. Le budget, initialement de 150.000 dollars, a finalement atteint 1,4 millions de dollars. C’est avec ce film que la firme Disney a lancé la pratique des droits dérivés, consistant à percevoir un pourcentage sur l’usage de personnages, et qui représente une des entrées majeures de la société aujourd’hui.
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Blanche Neige et les sept nains est sûrement la version la plus connue et la plus appréciée du conte. La production a employé 750 personnes, qui ont travaillé d’arrache-pied durant près de quatre ans, de la conception à la fabrication, cette dernière étape ayant nécessité 18 mois à elle seule. Le budget, initialement de 150.000 dollars, a finalement atteint 1,4 millions de dollars. C’est avec ce film que la firme Disney a lancé la pratique des droits dérivés, consistant à percevoir un pourcentage sur l’usage de personnages, et qui représente une des entrées majeures de la société aujourd’hui.
BLANCHE NEIGE, LA SUITE
Ce long-métrage décalé et parodique propose d’explorer la suite de la vie de Blanche Neige après son mariage avec le prince. Pour cette production franco-belge mise en scène par le dessinateur Picha, Cécile de France et Jean-Paul Rouve sont les voix de Blanche Neige et du prince. Le réalisateur prend de grosses libertés avec le conte, convoquant notamment La Belle au Bois Dormant et Cendrillon.
BLANCHE NEIGE
Depuis quelques années, Disney s’est lancé dans des adaptations en live action de ses grands classiques. En attendant Aladdin et Le Roi Lion cette année, vous pouvez toujours (re)voir cette version dépoussiérée du mythe. Julia Roberts se glisse ici dans le costume de La Reine tandis que Lily Collins était révélée au monde entier en Blanche Neige. Le personnage est ici porteur d’une quête identitaire universelle qui dépasse le simple conte. Au départ timide et réservée, la jeune fille vit dans ses rêves et s’apparente à la parfaite héroïne de conte de fées, naïve à souhait, mais elle se forge peu à peu un caractère de femme et s’accomplit en tant que personne en découvrant la vie, la vraie, faite d’obstacles et de défis.
BLANCHE NEIGE ET LE CHASSEUR
Changement total de registre avec Blanche Neige et le chasseur ! Cette fois, la jeune femme n’est plus une princesse en détresse mais devient une vraie héroïne qui prend son destin en main. Kristen Stewart troque les jolies robes contre une armure seyante, cuirasse indispensable pour combattre et terrasser la méchante reine, incarnée par une glaçante Charlize Theron. Exit aussi le prince charmant bien sous tout rapport, place au chasseur viril et badass interprété par Chris Hemsworth. Cette version plus sombre du conte sera un joli succès qui aura droit à une suite en 2016, Le Chasseur et la reine des glaces.
BLANCANIEVES
Direction l’Espagne avec Blancanieves, une insolite réinterprétation de Blanche Neige. Film muet et tourné en noir et blanc, l’oeuvre s’inspire du cinéma de la fin des années 20, notamment d’Eldorado de Marcel L’Herbier et Les Rapaces d’Erich Von Stroheim. Le réalisateur Pablo Berger a privilégié le Super 16 pour garder le grain à l’image (qui est effacé par les caméras plus modernes). Blanche Neige s’appelle ici Carmen (Macarena Garcia). Fuyant un passé dont elle n’a plus mémoire, la jeune femme va faire une rencontre étonnante : une troupe ambulante de nains toreros qui va l’adopter et lui donner le surnom de “Blancanieves”. C’est le début d’une aventure qui va conduire Carmen/Blancanieves vers elle-même, vers son passé, et surtout vers un destin à nul autre semblable.
BLANCHE COMME NEIGE
Anne Fontaine revisite à sa façon le conte en le transposant à notre époque. Blanche Neige est rebaptisée Claire et a cette fois les traits de la sensuelle Lou de Laâge. Les sept nains ne sont plus petits et sont campés par Vincent Macaigne, Benoît Poelvoorde ou Jonathan Cohen. Quant à la méchante belle-mère, elle est interprétée par Isabelle Huppert.
LA NOUVELLE BLANCHE NEIGE
Fun fact : Lou de Laâge avait déjà campé Blanche Neige en 2011 dans ce téléfilm revisitant le conte de fées. Gabrielle (Claire Keim en belle-mère) vient d’épouser le richissime Stéphane Leroy quand celui-ci plonge dans un mystérieux coma. Gabrielle, espérant reprendre les rennes de l’empire industriel de son mari défunt, déchante lorsque maître Miroir, son notaire avec qui elle ne communique que par webcam, lui révèle l’existence d’une fille cachée de Leroy prénommée Blanche. Gabrielle décide alors de tuer sa gênante belle-fille et confie la tâche à son chauffeur, Grimm. Blanche, égérie du photographe de mode très connu Adrien Neige, ne se doute de rien.
BLANCHE FESSES ET LES SEPT MAINS
Comme son titre l’indique, Blanche Fesse et les sept mains est la version pornographique du conte. Réalisé en 1981 par Michael Caputo, le film met en scène Nicole Segaud alias Hélène Shirley dans le rôle principal.
According to the president of Italy’s governing motorsport body, the Italian GP is set to remain at Monza for the foreseeable future despite Imola’s push to secure the event.
Throwing somewhat of a wrench into Monza’s works, Bernie Ecclestone divulged yesterday that he has agreed terms with Imola to host the Italian GP, but was awaiting final approval from the Automobile Clun d’Italia (ACI).
The future of the race at the traditional Monza venue after this year’s edition had been put into jeopardy following a political and financial impasse, according to Formula 1’s supremo who was reluctant to compromise with the Monza organisers.
But the ACI’s president, Sticchi Damiani, just revealed that the problematic issues have now been overcome and that a new formal agreement with FOM will soon be on its way. It’s effective signing would invalidate Imola’s contract with Ecclestone.
“We have finally solved all the problems there were with the territorial entities – the region [of Lombardy], the cities of Milan and Monza, and the Park Authority,” Sticchi Damiani told Gazzetta dello Sport.
“We have found an agreement between ACI Milan and SIAS [which owns Monza through the ACI], and we are preparing a binding offer to be sent to FOM.
“At this point there are no more political problems.”
The vice-president of the Lombardy region, Fabrizio Sala, also chimed in, saying his region is providing €5million per year to help “close the contract”.
“We are pleased the president of the ACI has clarified there is no political problem, and a binding offer is to be sent to FOM,” Sala said.
“We hope we quickly arrive at a conclusion. The Italian GP is Monza, is part of our tradition, and we cannot allow it to go away.”
Closing the gap? 2016 constructors points progression
FEATURE: Red Bull Racing: Be My Guest
From the cockpit: Felipe Nasr on the green grass of home
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Roubaix, une lumière, le premier polar de Desplechin, se dévoile dans une série d’extraits avec ses têtes d’affiche Roschdy Zem, Léa Seydoux et Sara Forestier. Le film est présenté en compétition au Festival de Cannes 2019.
À Roubaix, un soir de Noël, Daoud le chef de la police locale et Louis, fraîchement diplômé, font face au meurtre d’une vieille femme. Les voisines de la victime, deux jeunes femmes, Claude et Marie, sont arrêtées. Elles sont toxicomanes, alcooliques, amantes… Telle est l’histoire de départ de Roubaix, une lumière, prochain film d’Arnaud Desplechin qui pose une nouvelle fois sa caméra dans sa ville de naissance et de coeur. C’est ici-même qu’il a tourné son dernier long-métrage, Les Fantômes d’Ismael (film d’ouverture à Cannes en 2017).
Roubaix, une lumière – EXTRAIT VF (2) "Vous avez une famille ?"
Son premier polar se dévoile dans trois longs extraits : on y fait la rencontre de Claude et Marie, jouées par Léa Seydoux et Sara Forestier, et des deux héros campés par Antoine Reinartz (César du meilleur second rôle 2018 pour 120 battements par minute) et Roschdy Zem. Ce dernier nous fait part dans l’un des extraits de son amour pour cette ville gangrenée par le trafic et la violence. Impossible de ne pas y voir là les pensées de son réalisateur…
Roubaix, une lumière – EXTRAIT VF (3) "Pourquoi tu cours, Farid ?"
Desplechin s’offre avec son dixième long-métrage une nouvelle sélection en compétition au Festival de Cannes 2019, qui se déroule actuellement. Roubaix, une lumière n’a pour le moment aucune date de sortie en salle.
Sauber driver Felipe Nasr is raring to kick start his 2016 F1 campaign in Melbourne, a place where he secured a “fantastic” result for his maiden grand prix start 12 months ago.
Following his graduation from GP2 Series, Nasr claimed fifth in the 2015 Australian Grand Prix, withstanding race-long pressure from Daniel Ricciardo’s Red Bull to make it the best-ever debut performance for a Brazilian driver.
“The Australian Grand Prix reminds me of my fantastic result from last year,” he said. “Finishing fifth in my first ever Formula One race is something I will probably never forget. It is nice to come back to Albert Park with these great memories.”
Sauber did not enjoy the smoothest of winters, having only introduced its new C35 at the second test following late tweaks to the 2016 F1 calendar while cash-flow difficulties resulted in delayed payments of staff salaries for February.
Team principal Monisha Kaltenborn quickly moved to dismiss rumours saying the Swiss outfit will not compete in Melbourne’s curtain raiser, and Nasr now hopes to reward Sauber with another strong showing Down Under.
“During testing in Barcelona I had some productive days collecting good mileage in the C35. I feel well prepared to start my second Formula One season. I am curious to see where we stand with the C35 in comparison to the other teams.
“Everyone within the factory in Hinwil has worked really hard, so we deserve a successful start to the 2016 Formula One season.”
Attendu dans nos salles pour le 4 novembre 2020, le long métrage Marvel “Eternals” vient d’entrer en production. Sur les premières photos de tournage, on peut voir Angelina Jolie en costume de Théna.
Alors que la phase 3 du MCU s’est achevée en fanfare cette année avec Avengers: Endgame et Spider-Man: Far From Home, les pièces de l’échiquier Marvel se mettent déjà en place pour la phase 4. Après le film centré sur Black Widow (le 29 avril 2020) et la première série dédiée au Faucon et au Soldat de l’Hiver sur Disney+, ce sont donc les Eternals qui entreront dans la danse en novembre 2020.
Projet encore assez mystérieux dirigé par la réalisatrice Chloé Zhao et consacré aux êtres surpuissants capables de manipuler l’énergie cosmique, ce nouveau long métrage vient d’entrer en production, et comme le veut la tradition, les premières photos de tournage clandestines n’ont pas attendu bien longtemps avant de fuiter sur la toile.
6 November 2020 The Eternals are coming.. pic.twitter.com/E6URRtqNxc
— Marvel Universe (@77MCU) 20 septembre 2019
Sur les deux premiers clichés ci-dessus, on peut ainsi voir Angelina Jolie en costume de Théna, l’héroïne qu’elle incarne dans le film. Dotée d’une longue chevelure blonde et d’une robe blanche, elle fait donc elle aussi partie des Eternels (chargés par les Célestes de protéger la Terre contre les Déviants) et semble être en train de déverser les cendres d’une urne funéraire dans un lac.
Outre Angelina Jolie, le casting quatre étoiles du long métrage Marvel comptera notamment Richard Madden (Ikaris), Salma Hayek (Ajek) et Kit Harington (Black Knight).
En attendant davantage d’informations sur ce projet intrigant, (re)découvrez notre diaporama dédié aux “Eternals”…
Pour ses premières séances parisiennes, “Avengers : Endgame” écrase logiquement toute concurrence, avec 17051 entrées, laissant très très loin derrière “L’adieu à la nuit” et ses 835 entrées. Le drame “Mais vous êtes fous” ferme la marche du podium.
Rang
Film
Entrées*
Nombre de copies*
Moyenne par copie*
1
Avengers : Endgame
17051
28
609
2
L’adieu à la nuit
835
15
56
3
Mais vous êtes fous
539
14
39
4
Un tramway à Jérusalem
356
11
32
5
Victor et Celia
353
15
24
6
90’s
349
7
50
7
Monrovia, Indiana
140
4
35
8
House by The River (reprise)
33
1
33
9
Je vois rouge
30
1
30
10
Requiem pour un massacre (reprise)
29
1
29
11
Debout
22
3
7
12
Disperata
20
1
20
13
L’esprit le Corbusier
14
1
14
14
Charlie, mon héros (reprise)
9
3
3
15
La Miséricorde de la jungle
8
1
8
A RETENIR
Sans surprise, Avengers : Endgame se taille la part du lion et siphonne au maximum les entrées de ces premières séances parisiennes de 14h, en attirant plus de 17000 spectateurs sur une combinaison de 28 copies; et même 48358 si on englobe la périphérie et portant le nombre de copies à 100.
A date, il s’agit déjà du troisième plus gros démarrage All Time de ces premières séances parisiennes 14h, derrière un certain 007 Spectre, qui avait attiré 22510 spectateurs sur 28 copies, soit une moyenne de 804 spectateurs. La médaille d’or revenant à un autre film de super-héros avec Spider-Man 3, et ses 27995 entrées. Ou 83126 en englobant la périphérie. Autant dire que les 3e (més)aventures de Spider-Man sauce Sam Raimi va encore rester un moment en haut de l’Olympe.
Avengers : Endgame frappe plus fort que le volet précédent, Infinity War, qui avait attiré 10667 spectateurs. Plus loin derrière, Avengers : l’ère d’Ultron n’avait attiré “que” 6586 spectateurs, et le chiffre tombait à 5922 pour le premier volet de la saga des Avengers.
Si l’on considère uniquement les films de super-héros Marvel ( y compris donc les films non produits par Disney), Avengers : Endgame est dans le top 3, juste devant Spider-Man 2, qui avait cumulé 16141 entrées, et donc derrière Spider-Man 3. C’est là qu’on mesure encore la force de frappe que fut la saga de l’homme araignée mise en scène par Sam Raimi.
Ci-dessous, la bande-annonce du film…
Avengers: Endgame Bande-annonce (4) VO
Notre débrief du film en podcast [Attention, spoilers]
A huge crash for Fernando Alonso has caused the Australian Grand Prix to be stopped.
Alonso was attacking Esteban Gutierrez and using DRS approaching the braking point for Turn 3 when the McLaren clipped the rear of the Haas, breaking its front right suspension. Alonso was then a passenger as his car hit the outside wall at high speed, dug in to the gravel trap and was sent somersaulting in to the barrier.
Amazingly, Alonso climbed out of the car and appeared to only be shaken by the incident but without injury. Gutierrez’s car was less heavily damaged and he too was uninjured.
The incident occurred with Gutierrez having yet to pit but Alonso on new soft tyres.
The race was immediately brought under control under the safety car and then red flagged with huge debris in the area requiring clearing up. Sebastian Vettel was leading from Nico Rosberg at the time of the stoppage, which lasted for 20 minutes.
A l’occasion de la sortie de la suite des “Petits mouchoirs”, focus sur “Nous ne vieillirons pas ensemble” et “Nous irons tous au paradis”, deux classiques auxquels Guillaume Canet a voulu rendre hommage en titrant son film “Nous finirons ensemble”.
Si le titre de la suite des Petits mouchoirs, Nous finirons ensemble, met l’accent sur deux thématiques au centre du film, l’amitié et le temps qui passe, il constitue également un clin d’oeil à deux classiques du cinéma français : Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat et Nous irons tous au paradis d’Yves Robert, sortis tous les deux dans les années 1970.
Basé sur un roman relativement autobiographique écrit Maurice Pialat, Nous ne vieillirons pas ensemble est son second long métrage après L’Enfance nue. Le film raconte l’histoire d’un éternel enfant et cinéaste raté (Jean Yanne) qui a une relation tumultueuse avec sa maîtresse (Marlène Jobert). Présenté en compétition au Festival de Cannes de 1972, Nous ne vieillirons pas ensemble permet à son acteur principal de remporter le Prix d’interprétation masculine. Ayant réalisé plus de 1,7 millions d’entrées sur le sol français, le long métrage a par la même occasion révélé Maurice Pialat à un public plus large.
Référence incontournable en matière de film de potes (dont Guillaume Canet s’est inspiré pour Nous finirons ensemble), Nous irons tous au paradis est la suite d’Un éléphant ça trompe énormément sorti un an avant, en 1976. Les deux comédies dramatiques réalisées par Yves Robert suivent quatre amis quarantenaires – notamment leur rapport aux femmes et à l’amitié – incarnés par Jean Rochefort, Claude Brasseur, Victor Lanoux et Guy Bedos. En lice pour trois César en 1978 (meilleur film, meilleurs décors et meilleur scénario), le long métrage n’en a remporté aucun, mais a réalisé plus de deux millions d’entrées en France.