Le long métrage Millenium : les hommes qui n’aimaient pas les femmes devrait bien avoir une suite : l’adaptation du livre Ce qui ne me tue pas, qui se fera sans le réalisateur David Fincher ni les comédiens Daniel Craig et Rooney Mara.

Nouveau départ pour la saga Millenium ! Le site The Hollywood Reporter annonce qu’un nouveau film verra bientôt le jour, mais sans le réalisateur David Fincher ni les comédiens Rooney Mara et Daniel Craig, l’équipe vedette du film Millenium : les hommes qui n’aimaient pas les femmes, sorti en salles au début de l’année 2012.

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Le nouveau long métrage sera en fait l’adaptation du roman Ce qui ne me tue pas de David Lagercrantz, paru au mois d’août dernier, prolongement de la saga littéraire culte de Stieg Larsson. Un ouvrage qui a fait polémique en Suède à sa sortie, la veuve de Larsson accusant notamment la maison d’édition de ne rechercher qu’un intérêt financier avec cette publication.

=> Millenium : au mois d’avril, David Fincher n’était plus sur le projet des deux suites

L’idée de ce nouveau film, qui pourrait être écrit par Steven Knight (scénariste du récent A vif !), est pour le studio Sony de rebooter la franchise Millenium. En conséquence, le sort des deux suites initialement prévues, adaptation des volumes La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette et La Reine dans le palais des courants d’air, est incertain. Si on ne sait pas qui tiendra la vedette du long métrage, le nom d’Alicia Vikander a récemment circulé pour reprendre le rôle de Lisbeth Salander.

Le roman Ce qui ne me tue pas permet de retrouver la hackeuse Lisbeth Salander et le journaliste Mikael Blomkvist, plongés cette fois dans une enquête mêlant espions, cybercriminalité et gouvernements corrompus.

Le Top 5 des génériques qui nous ont bluffés en 2012 :

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A company engaged in trading in cryptocurrencies has challenged an RBI circular, prohibiting banks and financial institutions from providing services in relation to such virtual currencies, in the Delhi High Court.

The plea was yesterday listed for hearing before Justice Rajiv Shakdher, who asked the high court registry to place it before the bench which is already hearing a similar matter.

The petitioner company, Flintstone Technologies Private Limited, has sought the withdrawal of the April 6 circular of the Reserve Bank of India (RBI), claiming that it is “arbitrary, unfair and unconstitutional“.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Découvrez la vie du gangster et chef de gang James J. Bulger, interprété par Johnny Depp dans “Strictly Criminal”, en Combo Blu-ray DVD à partir du 6 avril…

Johnny Depp aime se transformer ! Après avoir changé de visage et de coiffure pour interpréter des personnages aussi variés que Raoul Duke dans Las Vegas Parano, Edward aux mains d’argent ou Willy Wonka dans Charlie et la chocolaterie, l’acteur se grime à nouveau pour les besoins de Strictly Criminal (sortie le 25 novembre). Plus méconnaissable que jamais, il prend ainsi les traits du célèbre gangster James J. Bulger, alias “Whitey” Bulger. Mais qui est donc ce criminel qui a figuré pendant 12 ans parmi les hommes les plus recherchés par le FBI ?

Les débuts

C’est dans le quartier pauvre de South Boston que commence l’histoire du jeune James Bulger. Son père docker, qui perd son bras lors d’un accident de travail, parvient difficilement à subvenir aux besoins de la famille, ce qui n’empêche pas ses deux autres fils de réussir leurs études (l’un d’eux, interprété par Benedict Cumberbatch dans Strictly Criminal, deviendra même sénateur du Massachusetts).

James, quant à lui, préfère passer son temps parmi les gangs de la rue qu’à l’école, et abandonne rapidement ses études. Ses jeunes années de délinquance le conduiront à passer pour la première fois derrière les barreaux à l’âge de 14 ans pour vol. Après quelques années dans l’US Air Force, il a tôt fait de renouer avec ses anciennes relations et habitudes dès son retour à South Boston.

Chef de gang

Sa montée en puissance dans le milieu du crime se fait progressivement. Après un séjour de 9 ans en prison (dont 3 à Alcatraz) il rentre à nouveau chez lui, réussissant à réduire considérablement sa peine en acceptant de servir de cobaye à la CIA pour tester des drogues. L’expérience le laisse, lui qui ne consomme ni tabac ni alcool, traumatisé. A son retour, il participe à la guerre des gangs et tue pour la première fois.  

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James J. Bulger prend progressivement la tête du Winter Hill Gang à la fin des années 70 et devient le gangster le plus craint de la ville de Boston. Parallèlement, il travaille avec son ami d’enfance John Connolly (incarné par Joel Edgerton dans Strictly Criminal), comme informateur pour le FBI. Protégé par ce dernier d’un côté, il est sans cesse traqué par la DEA de l’autre.

16 ans de cavale avec sa compagne et une récompense d’1 million, puis de 2 millions de dollars, mèneront à son arrestation en 2011. Aujourd’hui âgé de 86 ans, il est toujours derrière les barreaux.

Bulger à Hollywood

Cette véritable épopée du crime a fait de James J. Bulger l’un des gangsters les plus célèbres et les plus redoutés de son époque, lui conférant même la deuxième place dans la liste des 10 criminels les plus recherchés par le FBI, juste derrière… Oussama Ben Laden. Une légende dont Hollywood ne s’est pas privée de s’inspirer, notamment pour donner vie au terrifiant Frank Costello, chef de gang irlandais interprété par Jack Nicholson dans Les Infiltrés de Martin Scorsese.

Cette année, c’est donc au tour de Johnny Depp, sous la houlette du réalisateur Scott Cooper, de se glisser dans le costume de Bulger, aidé par ses talents d’acteur et par le maquilleur Joel Harlow. “C’était une transformation psychologique et émotionnelle, d’un homme aimable, doux, prévenant à un homme vénal, froid, effrayant et violent. C’était hypnotisant,” se souvient Cooper.

En vente depuis le 14 octobre : “Strictly Criminal (Black Mass)” chez Hugo & Cie – auteurs : Dick Lehr & Gerard O’Neill – prix : 19,50 € – 395 pages

La vie de James J. Bulger en images…

Alors qu’un hommage national sera rendu à Charles Aznavour ce vendredi 5 octobre, Michel Fugain laisse éclater sa colère. Il regrette l’absence de tout cortège dans les rues de Paris.

Après un refus de la part de sa famille, Charles Aznavour aura finalement droit à un hommage national, qui se déroulera ce vendredi 5 octobre aux Invalides en présence notamment du président de la République Emmanuel Macron et de son épouse Brigitte, mais sans Line Renaud. Mais le déroulé de cet hommage n’est pas vraiment du goût de Michel Fugain. Celui-ci regrette en effet qu’aucun moment de communion populaire ne soit prévu. Il a ainsi déclaré sur Franceinfo être “embêté avec ça parce que ça veut dire que des hommes politiques, un État confisquent Charles Aznavour, un artiste populaire, à un peuple.”

“Cela aurait été beaucoup plus représentatif de dire qu’il y a un cortège qui va de tel endroit à tel endroit, et le peuple de France se serait mis derrière. Alors que là, il va dans la cour des Invalides. Qu’est-ce que ça représente ? (…) Qu’est-ce que Charles Aznavour fout dans la cour des Invalides ? Ça n’a rien à voir,” a également déploré le chanteur.

Michel Fugain est d’autant plus remonté qu’il aimait beaucoup l’interprète de La Bohème qu’il considérait comme un “père” : “Il m’a accroché alors que je devais avoir une dizaine d’années. Charles a été en filigrane de toute ma vie.” Après son coup de gueule, il a également tenu à rendre hommage au talent de Charles Aznavour : ” Ses chansons étaient hyper bien foutues, il a toujours bien écrit. Il a fait des choses exceptionnelles, inattendues. (…) Il faudrait des heures pour faire une vraie analyse de Charles, ses combats pour la vie, pour l’Arménie. Tout ça compte. On a perdu un homme d’exception,” a-t-il également confié.

Crédits photos : Sierakowski/Isopix/SIPA

While most people think one child is a handful, 52-year-old Manju Bala Panda has mothered 23. She was in her thirties when she signed up with the non-profit SOS Children’s Villages as a foster mother, and was given the task of caring for 8-10 kids at a time.

“At first, I used to worry about how I would care for 10 kids, get them ready, pack 10 tiffins every morning, and rig up meals,” she admits.

Twenty-two years in, she no longer finds motherhood challenging, merely rewarding.

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TOI

Emma Smet et Estelle Lefébure entretiennent une relation privilégiée et n’hésitent pas à le montrer sur les réseaux sociaux. Aussi, quand Emma Smet poste un adorable cliché d’elle alors qu’elle n’était encore qu’un bébé, sa mère ne peut s’empêcher de s’extasier devant tant de beauté.

Sur Instagram comme dans la vie, Estelle Lefébure est très proche de sa fille Emma Smet. À l’occasion de la journée internationale des filles qui a lieu le 11 octobre, cette dernière a partagé un très joli cliché d’elle qui a beaucoup fait réagir sur la toile et que sa mère a particulièrement apprécié. Haute comme trois pommes et assise dans sa poussette, elle pose devant la caméra en tenant dans ses petites mains des bouquets de boutons d’or et de pâquerettes. Une photo qui a fait remonter des souvenirs très chers au coeur Estelle Lefébure… Touchée, l’ancien mannequin a tenu à laisser un petit message sous la photo. “Oh mon amour de fille” a-t-elle commenté.

L’histoire d’amour entre Estelle Lefébure et sa fille dure depuis toujours : elle a débuté le 13 septembre 1997, le jour de la naissance d’Emma Smet et n’est pas près de se terminer. Après le divorce de ses parents -Emma est née de l’union entre Estelle Lefébure et David Hallyday qui se séparent en 2001- la jeune fille grandit chez sa mère qui prend soin de la protéger de l’exposition médiatique. Grâce à ce cocon familial confortable, elle se construit loin des polémiques qui touchent sa famille avant de partir faire ses études à New York, puis à Londres.

La jeune Emma, aussi belle que sa mère et que sa soeur Ilona, a récemment suivi les pas de celle qu’elle admire tant : en 2017, tout comme Estelle Lefébure, elle prend elle aussi la pose pour la marque Mixa. La relève est assurée.

Crédits photos : CYRIL MOREAU / BESTIMAGE

Annoncés récemment comme hors-jeu pour le prochain volet de la saga Millenium sur grand écran, Rooney Mara et Daniel Craig pourraient toujours être dans la course.

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Il y a quelques jours, un nouveau volet de la saga Millenium était annoncé, adaptation sur grand écran du livre The Girl in the Spider’s Web, mais sans les présences au casting de Rooney Mara et Daniel Craig. Aujourd’hui, le site Entertainment Weekly annonce que, selon des sources proches du projet, les choses ne seraient pas définitives et que les acteurs pourraient donc être de retour pour le nouveau film.

Le site Entertainment Weekly rappelle qu’en 2014, Rooney Mara avait proposé aux fans de lancer une pétition pour qu’elle reprenne son rôle de la hackeuse Lisbeth Salander. Cette même Rooney Mara qui a récemment déclaré au micro du site Eonline n’avoir pas été mise au courant de son éventuelle mise hors-jeu. “A ce que je sache, je joue toujours dans le prochain film jusqu’à ce que quelqu’un me dise le contraire”, a ainsi déclaré la comédienne en pleine promotion du film Carol.

=> Millenium : au mois d’avril, David Fincher n’était plus sur le projet des deux suites

Le roman The Girl in the Spider’s Web (Ce qui ne me tue pas en VF) permet de retrouver la hackeuse Lisbeth Salander et le journaliste Mikael Blomkvist, plongés cette fois dans une enquête mêlant espions, cybercriminalité et gouvernements corrompus.

Avec le projet d’adapter directement le quatrième livre de la saga (le seul qui ne soit pas écrit par Stieg Larsson), le sort des adaptations de La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette et de La Reine dans le palais des courants d’air est incertain. A noter enfin que des rumeurs récentes annonçaient l’actrice Alicia Vikander pour reprendre le rôle de Lisbeth Salander.

Le Top 5 des génériques qui nous ont bluffés en 2012 :

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La rousse voit rouge. Réconciliée avec les Windsor, la flamboyante Sarah Ferguson ne supporte plus qu’on la dise en mauvais termes avec la famille royale. Après s’être laissée piétiner par la presse tabloïd pendant des années, l’ex du prince Andrew contre-attaque et le fait savoir…

Sarah Ferguson ne servira plus de punching-ball à la presse britannique. Ou alors, elle rendra coup pour coup. Ras le chapeau de cette étiquette de scandaleuse qui lui colle au front, depuis qu’elle s’est fait surprendre avec un amant, John Bryan, au bord d’une piscine tropézienne, il y a plus de 25 ans. Les clichés licencieux lui avaient valu son expulsion de la famille royale d’Angleterre et son divorce d’avec le prince Andrew, en 1996. Les années qui suivirent ? Une lente descente aux enfers, marquée par des bouquins expiatoires, des reality shows pathétiques et l’interdiction de prendre part aux grandes célébrations des Windsor.

De retour en grâce depuis le mariage de sa fille Eugénie d’York et plus complice que jamais avec Andrew, la flamboyante Fergie veille désormais à sa réputation et contre-attaque. L’édition anglaise du magazine Closer vient d’en faire les frais. Alors qu’il assurait que la duchesse, éternel panier percé, réfléchissait à un deal de 17 millions d’euros pour écrire un brûlot sur “la Firme”, en août dernier, le tabloïd a été contraint de publier un démenti sur son site.

Pas peu fière d’avoir obtenue réparation, l’ex-belle-fille préférée de Sa Majesté a reposté les excuses du Closer UK sur son compte Instagram.

Et un round de gagné pour la duchesse… A qui le tour ?

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Crédits photos : Abaca

Poétique et contemplatif, son cinéma ne ressemble à aucun autre. S’il en laisse certains perplexes, il émeut les autres par son approche sensorielle et visuelle totalement unique. Pourquoi on aime Terrence Malick ? La réponse en 10 plans…

1. L'arrestation de Kit dans "La Balade sauvage" (1973)
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C’est avec son premier film, La Balade sauvage, que Terrence Malick entrait dans la légende du cinéma contemporain. Ses héros aussi, Kit et Holly (Martin Sheen et Sissy Spacek) allaient y entrer. Sociopathe rêvant d’écrire le récit de sa propre vie, Kit est arraché des Badlands et au coeur de sa Bonnie lorsque la police finit par retrouver sa trace. Après une course poursuite de légende (décidément !), il s’arrête au bord de la route, crève l’un de ses pneus et marque avec un petit tas de pierre le lieu de sa future – et docile – arrestation. Digne d’un western, le plan où il lève les mains en l’air tout en jetant un oeil à sa future postérité est magnifique…

Photographie : Tak Fujimoto et Stevan Larner
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© Capture d'écran

Moins de deux semaines après la mise en ligne de sa bande-annonce, “Captain America : Civil War” nous dévoile de nouvelles images le temps d’un making-of.

Déjà des nouvelles images de Captain America : Civil War ! Pas dans une nouvelle bande-annonce, deux semaines seulement après la première, mais grâce à un making-of mis en ligne par Entertainment Weekly et dans lequel les réalisateurs Joe et Anthony Russo expliquent que leur film se penchera sur les répercussions des événements survenus dans les précédents.

En parallèle de nouveaux plans du film ou des coulisses, plusieurs intervenants exposent les enjeux de cet épisode, et notamment l’importance du Registration Act, qui oblige tous les super-héros à faire connaître leur véritable identité.

==> Un seul d’entre eux devrait cependant y échapper selon son interprète

De ce fait, Kevin Feige explique Civil War fera intervenir “autant de personnages que dans tous les [films] précédents” et des clans vont se créer entre eux. Et c’est pour cette raison, comme le précise Chris Evans, qu’il ne sera plus question de “méchants contre des héros”, mais d’un affrontement entre “des amis, une famille”. Assez pour “remettre en cause votre point de vue sur Tony Stark, et sur Steve Rogers”, selon Joe Russo.

Et si Black Panther représente les nouveaux personnages, même s’il sera extérieur au conflit entre Iron Man et Captain America, les autres sont absents, qu’il s’agisse de Spider-Man ou du Baron Zemo incarné par Daniel Brühl. Un méchant que nous pourrions revoir ensuite face à Doctor Strange (“Il y a une possibilité. C’est écrit de cette façon”, explique Kevin Feige) et qui sera “un produit du Marvel Cinematic Universe et de tout ce qui s’y est déroulé jusqu’ici.” Des propos mystérieux à décrypter le 27 avril dans les salles.

Quelle place occupera-t-il dans le récit qui s’annonce intense ?

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Captain America: Civil War Bande-annonce VO