Alors qu’Emmanuel Macron lançait le grand débat national mardi 15 janvier à Grand-Bourgtheroulde, entouré de 600 maires, une éditorialiste politique de BFMTV a retoqué le président de la République sur l’une des phrases qu’il a prononcé. Apolline de Malherbe s’est ainsi attirée les foudres des défenseurs du chef de l’Etat.

Apolline de Malherbe joue-t-elle à un jeu dangereux ? L’éditorialiste politique de BFMTV s’en est pris au président de la République sur la chaîne d’information, mardi 15 janvier, alors que le chef de l’état, empêtré dans la crise des gilets jaunes donnant de lui (et de son épouse) l’image d’un représentant de plus en plus loin de la réalité des Français, lançait le grand débat national, à Grand-Bourgtheroulde (Eure). Après avoir écrit une lettre ouverte à tous les Français, il a répondu au coeur du gymnase de cette ville normande pendant sept heures aux questions de 600 maires. C’est sur une phrase prononcée lors de cette journée que l’éditorialiste reprend le président.

“Les gens qui sont en situation de difficulté on va davantage les responsabiliser car il y en a qui font bien, et il y en a qui déconne”, a-t-il annoncé. Apoline de Malherbe, dont la quatrième grossesse avait été révélé par un proche d’Emmanuel Macron, l’interprète ainsi : “Sous-entendu je suis là pour responsabiliser ceux qui sont en situation de difficulté et qui déconne”. Pour elle, que le président se place dans une telle posture, ça ne passe pas. Elle estime cette phrase “provocatrice, comme s’il ne pouvait jamais s’en empêcher, à un moment ou à un autre de provoquer, de piquer, de faire un peu le kéké”, avant d’ajouter : “franchement je n’ai pas d’autres phrases”.

On avait plutôt pour habitude d’entendre les journalistes qualifier de kéké un autre collaborateur d’Emmanuel Macron : Christophe Castaner. Quand il a été nommé secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement et porte-parole du gouvernement, celui qui est aujourd’hui le ministre de l’Intérieur assumait et s’amusait ce côté “grande gueule” et “frimeur”. Mais est-ce que cela passera avec le président ? Certains journalistes ont par le passé regretté ce genre de petites phrases. Du temps de Nicolas Sarkozy, le présentateur du journal télévisé de TF1 Patrick Poivre d’Arvor avait été remercié après une entrevue. “Vous aviez l’air excité comme un petit garçon qui rentre dans la cour des grands”, lui dit-il, évoquant son comportement lors de son premier G8, en 2008. Le “petit garçon” ne passe pars pour le grand Nicolas Sarkozy, qui a toujours réfuté avoir demandé le départ du journaliste. Espérons qu’Emmanuel Macron saura sûrement se montrer plus clément.

Crédits photos : Pierre Perusseau / Bestimage

Laura Tenoudji a eu sa petite fille Bianca à tout juste 40 ans. Depuis ce jour d’août 2017, son bout de chou est devenu le centre de sa vie.

Le 4 août 2017, Christian Estrosi et Laura Tenoudji deviennent parents pour la première fois. Une joie infinie. Ils ont alors partagé leur bonheur sur les réseaux sociaux, comme lors du premier anniversaire de leur petite fille, qu’ils ont décidé de nommer Bianca.

Depuis, Christian Estrosi et Laura Tenoudji ne ratent rien de la vie de leur bébé. A chaque étape ses photos, à chaque moment ses sourires. Dernier en date : lors de l’épiphanie, quand Bianca a mangé sa première galette des rois. Et si l’histoire ne dit pas si elle a eu la fève, on sait qu’elle était la reine de la journée. Bianca portait une superbe couronne qui a rendu jalouse toutes les petites filles ! Partageant un cliché sur son compte Instagram, Laura Tenoudji a écrit ces quelques mots d’amour : « Bianca tire les rois à la petite maison #vivelareine ».

Des moments privilégiés qui lui font oublier les critiques qu’elle avait reçues lors de sa grossesse et même peu de temps après. Alors qu’elle montait les marches de Cannes en mai dernier, de nombreux internautes avaient critiqué son physique et sa tenue. Mais tout s’oublie avec le sourire d’un enfant.

Crédits photos : Piovanotto Marco/ABACA

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C’est une scène qui s’est déroulée en 1982, mais qui interroge aujourd’hui, alors que la sécurité de la famille royale est en question. Un intrus s’est introduit dans le palais de Buckingham, allant même jusqu’à la chambre de la reine Elisabeth II. Qu’il aurait surpris en robe de chambre. Ou presque…

Elisabeth II surprise en petite tenue, dans sa chambre du palais de Buckingham… Cette scène – qui s’est déroulée dans les années 1980 – a de quoi poser des question sur la sécurité de la famille royale. Or, celui qui s’est introduit dans le palais a de nouvelles révélations à faire, qu’il a délivrées à la gazette d’Islington. Michael Fagan, qui avait 33 ans à l’époque, raconte la façon dont il entré dans le palais où vit la famille royale. Après que sa femme l’a quitté, ce peintre et décorateur sans emploi erre dans les rues de Londres. Escaladant les murs du palais, il se serait ensuite faufilé par une fenêtre ouverte.

Il se serait alors promené pieds nus dans les couloirs du palais, qu’il décrit comme décoré assez simplement, voire même “poussiéreux“, avec “du parquet qui grince“. Il se souvient d’une pièce remplie de cadeaux pour William, la princesse Diana venant à l’époque tout juste d’accoucher. Mais il ne trouve pas de toilettes, lui qui en aurait pourtant bien besoin… Pour finir sa déambulation, Michael Fagan se retrouve dans la chambre de la reine. Comment est-il arrivé là ? Il aurait tout simplement suivi les tableaux accrochés au mur. Une fois dans la chambre, il se serait même assis sur la lit de la reine. Celle-ci, assoupie, lui aurait demandé : “Que faîtes-vous ici?”, avant qu’il ne détale, sous le coup de la peur.

Il vient donc d’admettre qu’il avait légèrement trahi la réalité, quand il avait annoncé il y a 36 ans que la reine portait une robe de chambre. En réalité, il n’a pas pu remarquer les vêtements d’Elisabeth II. Il avait donc rajouté ce détail croustillant pour donner de la couleur à son histoire. La tenue d’Elisabeth II dans l’intimité de sa chambre reste donc toujours mystérieuse. Mais le récit rocambolesque ne s’arrête pas là, puisqu’un valet de pied aurait surpris le visiteur, puis lui aurait servi un verre de whisky avant l’arrivée de la police…

Une plainte aurait été déposée, avant d’être retirée. Une alarme aurait bien détecté l’intrusion, mais la police n’aurait pas été vigilante, et aurait pensé qu’il s’agissait d’une erreur. L’intrus, plutôt instable, a été envoyé par la suite dans un hôpital psychiatrique, puis emprisonné pour avoir attaqué des policiers en pleine rue. Ce récit pose la question de la sécurité de la famille royale, alors que Meghan Markle aurait une tendance paranoïaque, et alors que sa garde du corps vient de démissionner. Un ancien garde du corps de lady Diana a récemment critiqué un dispositif de sécurité défaillant.

Victor Nicolas

Crédits photos : Bestimage

Thriller intime sur un couple iranien bouleversé par une agression sexuelle, le dernier long métrage d’Asghar Farhadi ferme la marche de la compétition cannoise en emballant la Croisette.

Toutes les news de Cannes 2016 !

En bref

Le film : Le Client

Réalisateur : Asghar Farhadi

Acteurs : Shahab Hosseini, Taraneh Alidousti, Babak Karimi…
Date de sortie : 2 novembre 2016
Sélection : Compétition officielle

De quoi ça parle ?
Contraints de quitter leur appartement du centre de Téhéran en raison d’importants travaux menaçant l’immeuble, Emad et Rana emménagent dans un nouveau logement. Un incident en rapport avec l’ancienne locataire va bouleverser la vie du jeune couple.

Le réalisateur

En sept longs métrages, tournés entre 2003 et 2016, l’iranien Asghar Farhadi a réussi à s’imposer comme un cinéaste majeur sur la scène internationale. C’est son cinquième film, Une Séparation, qui lui offre une exposition planétaire, allant jusqu’à recevoir l’Oscar du meilleur film en langue étrangère. En 2013, Asghar Farhadi est sélectionné pour la première fois au Festival de Cannes en compétition avec Le Passé, un film tourné en France, avec Tahar Rahim et Bérénice Béjo qui décroche le Prix d’interprétation féminine. Avec Le Client, le cinéaste tente à nouveau de décrocher la Palme d’Or, qui n’a été reçue qu’une seule fois par un de ses compatriotes (Abbas Kiarostami en 1997 pour Le Goût de la cerise).

Les bonnes raisons de voir le film

Pour la scène d’introduction qui résume le film en un plan-séquence vertigineux
Pour l’interprétation de Shahab Hosseini qui porte le film sur ses épaules
Pour son scénario délicat et ingénieux, cousu main par Asghar Farhadi

Pour le choc de la scène finale dans laquelle un soupçon de violence suffit à faire sursauter le spectateur
Pour l’habileté avec laquelle Asghar Farhardi parvient à rebondir sur son intrigue pour brosser le portrait de la société iranienne 

La revue de tweets

#Cannes2016
Avant-dernier film en compet’, #LeClient (#TheSalesman) : beau thriller qui se conclut formidablement – https://t.co/3wbMwa2RsJ

— Cinématraque (@Cinematraque) May 21, 2016

#FigaCannes #LeClient d’Asghar Faradhi est une très bonne surprise cannoise. Un film tendu, complexe, qui bouscule! pic.twitter.com/dkxuduHGUZ

— Delcroix Olivier (@Delcroixx) May 21, 2016

Avec #LeClient, Farhadi nous venge de Penn mais sans convaincre vraiment par manque de cohérence, y compris dans le casting #Dommage

— Laurent Delmas (@LtDelmas) May 20, 2016

#Cannes2016 20e film en compet : #LeClient étonnant thriller iranien sur la vengeance et le pardon @RTLFrance @LVT_RTL

— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) May 20, 2016

La revue de presse

Caroline Vié / 20 Minutes : “Entre polar et étude pyschologique, ce très beau film confirme le talent sensible de son auteur. Le client se révèle un concurrent sérieux pour la Palme d’or.” Lire la critique complète

Marilyne Letertre / Metronews : “Dans ce drame domestique au suspense réaliste, tout ou presque se dessine dans la pudeur, les silences, les regards. Aussi délicat que percutant, et donc très probablement présent au palmarès cannois.” Lire la critique complète

Pierre Murat / Télérama : “Le côté Pirandello (« à chacun sa vérité ») qu’a toujours apprécié le cinéaste, vire, ici, au mélo moralisateur. Tout les personnages semblent constamment jugés et jamais pardonnés (…) La sensibilité de Farhadi est devenue un système. On n’y croit plus. » Lire la critique complète 

Owen Gleiberman / Variety : “Asghar Farhadi, maître du cinéma iranien à qui l’on doit “Une séparation” et “Le Passé”, nous livre un joyau finement ciselé.” Lire la critique complète 

Deborah Young / The Hollywood Reporter : “Un manque de subtilité et un sens du drame forcé, conduisent ici à quelques moments ennuyeux, pour ne pas dire pénibles. Mais tout est pardonné grâce à la scène finale, qui laisse le spectateur pantois. Une scène intense, à couper les souffle.” Lire la critique complète   

Aurélien Allin / CinemaTeaser : “Construit avec soin (…) le scénario du CLIENT prouve une nouvelle fois la rigueur d’écriture de Farhadi (…) Pourtant, si la construction du CLIENT est quasi inattaquable, le film n’a pas l’évidence limpide de certains des précédents opus de Farhadi. On comprend son intention, mais il pousse parfois le curseur des enjeux dans la zone rouge, quitte à les rendre poussifs et moins universels. C’est notamment le cas dans le dernier acte où, à force de vouloir rendre son récit plus percutant, Asghar Farhadi finit par étirer sa conclusion jusqu’à l’effusion gênante.” Lire la critique complète

Son Altesse royale la princesse consort plus connue sous le nom de Camila Parker-Bowles s’est rendue dans un centre communautaire situé dans l’est de Londres. Sur twitter, on a pu voir la duchesse de Cornouailles danser avec les personnes âgées, résidents au Jewish Care Brenner Center à Stepney. Let’s danse!

On se souvient des larmes de l’épouse du Prince Charles lors de sa visite en mai dernier dans les locaux de l’association Viffil (Violences Intrafamilliales femmes information liberté ). Très émue, Camilla Parker Bowles avait vivement encouragé cette association qui héberge des femmes et des enfants victimes de violences familliales. “Vous faites un travail formidable. De toutes les associations caritatives que j’ai rencontrées à travers le monde, vous êtes une des plus belles“.

Sa visite ce mercredi au Jewish Care Brenner Center à Stepney a, en effet, pris un ton plus festif que celle du Viffil puisque Camilla s’est laissée embarquée dans une grande ronde fraternelle avec les résidents du centre, aux sons de chants folkloriques hébreux dont le célèbre Nava Hagila. Son collègue travailliste, Lord Lévy, guidait ses pas pendant que la duchesse de Cornouailles dansait et souriait en glissant au groupe de retraités : “Nous sommes tous jeunes à l’intérieur !“

D’autres membres de la royauté se sont déjà rendus dans le centre, notamment la grand-mère de la reine, Queen Mary qui a inauguré ce service en 1938. 80 ans plus tard, le Jewish Care Brenner Center a donc accueilli la belle-mère des princes William et Harry, visiteuse royale et … reine du dance-floor !

Crédits photos : Bestimage

Le casting de Fast & Furious 8 a enfin été réuni, et une vidéo de la production a immortalisé la scène.

Le 8e opus de la saga Fast and Furious poursuit son tournage et a publié une vidéo immortalisant les retrouvailles de la “Toretto family”. Vin Diesel, Michelle Rodriguez, Tyrese Gibson, Chris “Ludacris” Bridges, Kurt Russell, Scott Eastwood, Jason Statham et Nathalie Emmanuel, et même Dwayne Johnson très content de ses muscles… Ils sont tous là !

Seule Charlize Theron (la méchante du film) manque encore à l’appel, mais une première photo a déjà dévoilé son look. L’absence de l’actrice n’entame pas l’enthousiasme de Tyrese Gibson, qui est ravi de retrouver ses camarades :

It’s true I do well brushing my teeth in the mornings – Having fun while making history……. #F8

Une photo publiée par TYRESE (@tyrese) le 26 Mai 2016 à 11h05 PDT

Fast & Furious a tourné des scènes à Cuba, et prévoit d’aller à New York, Atlanta et en Islande. Les rumeurs parlent également de scènes en Russie. F. Gary Gray assure la réalisation de ce nouvel épisode de la saga qui promet des cascades toujours plus impressionnantes, et sera le premier sans Paul Walker au casting.

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Valeria Bruni-Tedeschi se trouvait sur le plateau de C à vous ce lundi 28 janvier. Face à Anne-Elisabeth Lemoine et à ses invités, la réalisatrice a révélé que sa petite fille Oumy n’avait pas la langue dans sa poche !

Aussi talentueuse soit-elle, Valeria Bruni-Tedeschi ne peut pas plaire à tout le monde ! Invitée sur le plateau de C à vous ce lundi 28 janvier afin de faire la promotion de son dernier film Les estivants, dans lequel sa fille Oumy joue un rôle, l’actrice a dévoilé que cette dernière n’avait pas particulièrement aimé le long-métrage. Du haut de ses 10 ans, la petite Oumy a en effet décrété qu’il ne s’agissait pas là d’un film pour enfant, ce avec quoi sa maman est absolument d’accord : ” Elle n’a pas aimé ! Elle n’aime pas, elle ne s’aime pas. Elle n’aime pas le film, elle dit que ce n’est pas un film pour les enfants, elle a raison. Et je suis très contente de cette réaction que je trouve très saine. Elle préfère jouer avec ses amis” a déclaré la soeur de Carla Bruni avant d’ajouter : ” Mais pas contre je crois qu’elle entend le fait qu’elle a très très bien travaillé !”

Il faut dire que la jeune Oumy, adoptée en 2009, a livré une très belle prestation sur le film de sa maman. Et si l’actrice l’a choisie pour incarner ce rôle, c’est que la petite fille l’a totalement bluffée lors des castings : “Je lui ai fait faire des essais parce qu’on ne sait pas si les enfants vont être à l’aise devant la caméra, a confié l’artiste au magazine ELLE, Elle, elle l’était, elle avait envie de jouer. Elle était contente sur le tournage même si ce n’était pas non plus le but de sa vie. (…) Mais elle m’a soufflée !”

Avec des parents aussi talentueux que Louis Garrel et Valeria-Bruni Tedeschi, Oumy finira-t-elle par prendre goût à la comédie et marcher dans leur pas ? Affaire à suivre…

Crédits photos : Giancarlo Gorassini/BestImage

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L’ex-interprète d’Hannibal rejoint Transformers: The Last Knight pour un rôle encore inconnu.

Un acteur vétéran rejoint Transformers: The Last Knight. Le producteur et réalisateur Michael Bay a annoncé la nouvelle de la présence d’Anthony Hopkins dans le film via le compte Twitter officiel du film :

The man, the myth, the legend – help us welcome Sir Anthony Hopkins to the #transformers universe. pic.twitter.com/PfkTuWZHD9

— #TRANSFORMERS (@transformers) 3 juin 2016

Le rôle de l’acteur dans la franchise robotisée est encore inconnu, et il s’agit d’un nouveau blockbuster après son apparition en Odin dans Thor et sa suite. Hopkins sera d’ailleurs dans Thor: Ragnarok, qui se tournera dans le courant du mois. Quant à Transformers 5, il  se filme actuellement à Cuba.

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Il verra un personnage revenir dans le rôle du grand méchant.

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Sur le plateau de l’émission Je t’aime etc, Michèle Bernier est revenue avec humour sur ses déconvenues amoureuses pour valoriser le soutien indéfectible de ses amis.

Elle est humoriste et c’est par l’humour que Michèle Bernier a choisi d’extérioriser sa peine. Invitée sur le plateau de l’émission Je t’aime etc, l’ancienne compagne de Bruno Gaccio et mère de ses deux enfants, n’a pas pu s’empêcher de glisser un clin d’oeil à ses déconvenues amoureuses tandis qu’elle évoquait la force de ses amitiés.

” J’ai beaucoup de chance parce que j’ai des amis depuis longtemps, longtemps, longtemps. Beaucoup d’amis qui ne sont pas dans le métier, ce qui me permet aussi, égoïstement, de rester les pieds sur terre. Et je suis très contente parce qu’en tant que fille unique, j’ai réussi à créer une autre famille. On prend les meilleurs pour vous accompagner dans la vie (…) Comme je dis toujours, l’avantage avec les amis c’est qu’ils ne vous quittent pas pour une plus jeune. Ils ne disent pas “Oh, tu es un peu vieille comme amie maintenant, je vais te dégager”. Depuis la fin de sa relation avec Bruno Gaccio, Michèle Bernier a enchaîné les histoires courtes. Elle semble avoir décidé de prendre avec humour sa malchance dans le domaine de l’amour.

Crédits photos : France 2

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Les adaptations de littérature pour ados ont encore de beaux jours à venir sur grand écran, puisque même Doug Liman, le réalisateur de La Mémoire dans la peau, s’y colle ! Une mauvaise nouvelle pour ceux qui attendaient Gambit…

S’il doit tourner Gambit, Doug Liman cache bien son jeu. Après avoir mis en boîte un second film avec Tom Cruise (Mena), avant d’enchaîner avec le tournage de The Wall avec Aaron Taylor-Johnson, le Hollywood Reporter annonce maintenant que le cinéaste se lance dans l’adaptation du roman The Knife of Never Letting Go de Patrick Ness.

Premier volume de la saga Chaos Walking, Doug Liman envisage également de réaliser les deux suivants : The Ask and the Answer et Monsters of Men. Autrement dit : il ne faudrait pas trop compter sur lui pour travailler sur le superhéros Gambit que campera Channing Tatum pour la Twentieth Century Fox.

==> Gambit : le tournage est encore repoussé

La trilogie Chaos Walking raconte la vie d’un jeune homme qui s’apprête à passer à l’âge adulte dans une ville où rien n’est secret. A Prentisstown, chacun peut entendre ce que pense tout le monde dans un brouhaha permanent. Mais le jeune héros va découvrir un endroit silencieux et, par la même occasion, le mensonge qui règne sur la ville. Inévitablement, c’est aussi là que sa fuite va commencer.

Initialement, c’était Robert Zemeckis qui devait chapeauter le projet. Bien qu’il ait passé la main, le réalisateur de Retour vers le Futur reste au générique en tant que producteur. Doug Liman ne donne donc pas non plus suite à Edge of Tomorrow, alors qu’il était encore question il y a peu de temps qu’il signe la suite de son premier film. Tournage prévu pour début 2017.

Pour tout savoir du travail de Doug Liman, retrouvez La Mémoire dans la peau dans Faux Raccord

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